Après une petite saison 2013-2014 au théâtre et auditorium de Poitiers / TAP (l’année dernière, au moment de la programmation, je n’avais pas encore la date de mon opération et n’avais rien pris en novembre-décembre), je me suis rattrapée cette année! La présentation de la saison était mercredi dernier, et comme d’habitude, j’ai ajouté des spectacles, notamment Exhibit B, Au-Delà et John Dowland, et ça m’a confirmé mon avis pour Modèles. J’ai aussi craqué pour Henry VI, 17h de spectacle sur deux dimanches (pauses incluses)… Voici donc en détail mes choix, pour la plupart, j’ai pu choisir des représentations à 19h30, même si pour les deux premières, je vais rentrer tard et qu’il faudra sans doute que je demande à mon voisin de siège de me réveiller au cas où (l’année dernière, j’ai même réussi l’exploit de m’endormir pendant L’empereur d’Atlantis, l’opéra écrit dans le camp de concentration de Terezin par Viktor Ullmann avec un livret de Peter Kien!
Après une saison méditerranéenne, ce sont les dragons d’Asie qui vont débouler au théâtre et auditorium de Poitiers (réservations en ligne ouvertes, sur place la semaine prochaine), bon, j’ai réservé en ligne, en agrandissant mon écran à 180% (comme d’habitude), je cherchai la bonne case pour réserver en ligne et n’ai pas vu l’avertissement sur la page d’accueil que le « pass intégral » d’Henry VI n’était pas disponible en ligne… Bon, ça s’est arrangé avec un mél au service des publics, merci à eux: le jour des réservations sur place, il y a trop de monde, je crains les bousculades, je préférai la boutique en ligne, j’ai fait très très attention avec la foule de mercredi soir. Je croise les doigts pour pouvoir tout suivre!
Voici donc mes choix:
– dans la programmation asiatique: L’âme du Japon (Quatuor Diotima, programme avec Claude Debussy, Toshio Hosokawa des musiques japonaises traditionnelles… et des sushis à l’entracte), La Métamorphose version androïde (d’après Kafka, par Oriza Hirata), hommes et robots, j’avais entendu une émission pendant ma convalescence sur leur spectacle précédent, un ciné-concert autour de Oyuki la vierge de Kenji Mizoguchi et le quatuor Francis et ses peintres, et, en fin de saison, Crazy Camel, danse butō par la compagnie Dairakudakan.
– « LE » monument de la saison, choisi sur les deux dimanches (pour 4 soirs en semaine, je pense que ce n’est pas jouable pour moi, même en février): Henry VI de Shakespeare, mis en scène par Thomas Jolly (27 ans), 21 acteurs, 200 rôles, 400 costumes avec la figuration… et 17h de spectacle (entractes compris mais annoncés « accompagnés » dans une auberge élisabéthaine)! Grand succès à Avignon cet été, il a même fait la une du Monde, le directeur du théâtre en avait parlé lors du bilan de saison (avant le succès estival).
– le spectacle de noël (toujours un grand moment), j’ai même pris les deux… Extension par le Cirque inextrémiste (trois acrobates dont un tétraplégique au volant d’une minipelle mécanique sur scène) et… une sieste acoustique de Bastien Lallemant (avec Albin de la Simone, entre autres invités), ça tombe bien, j’arrive à peine à la sauter de temps à autre, la sieste! Les doudous sont même recommandés! Spectacle allongé sur scène, et d’autres siestes, pas encore ouvertes à la réservation, sont promises en janvier et en mars. Nous avions déjà eu un spectacle de danse allongés sur la scène du théâtre, Castor et Pollux, par Cecilia Bengolea et François Chaignaud (et l’année dernière, je n’avais pas pris les contes dans des lits superposés)
– le colloque organisé avec l’université de Poitiers, Peaux de tigre et de pouilleux, du colonisé à l’étranger, portera sur autrui, l’autre, les autres, les zoos humains, la colonisation. Un spectacle très original est annoncé au musée, Exhibit B de Bett Bailey (en 12 tableaux humains) pour réfléchir sur les zoos humains, en attendant que je vous parle de la cité de l’immigration et du palais des colonies créé pour l’exposition coloniale de 1931 (devenu musée des arts africains et océaniens puis cité de l’immigration, avec aquarium au sous-sol), je vous invite à relire mon avis sur Exhibitions, exposition qui m’avait un peu laissée perplexe dans son traitement, sujet voisin.
– musiques du monde et danse: Au-Delà, de Delavallet Bidiefono (République du Congo)
– danse: rien, à part Crazy Camel, danse butō dans le cadre de la saison asiatique, mais j’ajouterai sans doute des propositions du festival A corps, qui sera dévoilé en février)
– théâtre: à part les 17h de Henry VI et La Métamorphose version androïde dans la saison asiatique, j’ai choisi Modèles, de Pauline Bureau, une vision apparemment originale du féminisme
– musique classique: en plus de L’âme du Japon, j’ai choisi John Dowland : Lachrimae par Thomas Dunford (luth), et Couperin, leçons de ténèbres sous la direction de Hervé Niquet (François Couperin, Marc-Antoine Charpentier et Michel-Richard Delalande au programme)
Je sèche à nouveau la danse classique (Giselle, trop vu comme le Lac des Cygnes en ex-URSS), le jazz (le ciné-concert de la saison asiatique Oyuki la vierge de Kenji Mizoguchi s’en approche) et l’électro! (euh, le bruit trop fort me gène encore énormément, pour la neurologue du centre anti-douleur, c’est dû au « traumatisme crânien » de l’opération).
Pour comparaison, vous pouvez revoir mes saisons 2013-2014, 2012-2013, 2011-2012, 2010-2011 et 2009-2010.
J’attaque avec quatre lettres la deuxième ligne de l’alphabet arabe proposé par Fabienne Bassang dans Alphabets étrangers, zone brodée de 28 sur 12 cm. Pour répondre aux questions, l’alphabet arabe comprend 28 lettres et un signe diacritique (comme notre cédille), le hamza (qui n’est pas dans la grille proposée). L’écriture est monocamérale: pas de majuscule ou de minuscule, ni de différence entre l’écriture manuscrite et l’écriture imprimée, qui est « liée », contrairement à la nôtre, mais dans un mot. Mais la graphie varie selon que la lettre est écrite en début, au milieu ou en fin de mot, et toutes les lettres d’un mot ne sont pas liées, histoire de compliquer les choses!
Vous avez donc, de droite à gauche,
Un album trouvé parmi les nouvelles acquisitions de la 

En attendant de continuer la
Le retournement a été plus simple que prévu, comme la polaire est déjà épaisse, je n’ai pas ajouté de bourre. Puis j’ai fermé le petit espace à points invisibles (trois jours pour quelque chose qui aurait dû me prendre 1/2h à 1h maxi, mais j’ai réussi!).
Ensuite, beaucoup plus facile, j’ai ajouté une surpiqûre tout autour, c’est plus net, et ça renforce la couture, sur de la polaire, j’ai toujours des doutes sur la solidité, surtout dans les mains d’un bébé. Et voilà deux nuages tout doux, de 25 sur 17 cm.
Les poupées : le
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Les poupées: le 
Celui du n° 26 est assez limité, à part l’encadrement des fenêtres et le décor géométrique de la corniche sous le toit.
Mais celui des n° 28 et 30 est plus riche. Il s’agit de deux maisons jumelles (sous le même toit) à deux étages, chacune avec à l’extérieur une travée étroite un peu en retrait (escalier intérieur) et des visages sur les clefs des fenêtres (homme en haut, femme en bas), chaque maison a deux travées avec la porte à gauche (pour ceux qui s’y perdent dans les mots compliqués, vous pouvez revoir ici le schéma avec le vocabulaire pour
Porte ouvragée en fer forgé, linteaux des portes et fenêtres très décorés, comme la corniche sous le toit. Au-dessus de la porte, on aperçoit aussi le bandeau de niveau (qui sépare le rez-de-chaussée du premier étage) avec un décor géométrique en croisillons.
Voici un détail des quatre visages, coiffures et vêtements sympa, même s’ils sont sales (à moins qu’il n’y aiteu un ravallement depuis), dans l’ordre où ils se présentent sur la façade, et deux détails des décors végétaux.
J’avais emporté mon 
J’ai abandonné depuis de longs mois le
Le SAL suffit organisé par 
Bien qu’elle se trouve juste à côté du monument aux déportés d’Auschwitz-Birkenau (que l’on aperçoit à l’arrière-plan), à proximité des autres monuments des camps de concentration, en face du mur des fédérés, et donc près d’autres personnalités communistes, la tombe de
Mort à Paris le 15 mars 1947, son hommage funèbre fut rendu le 19 mars par Jacques Duclos pour le parti communiste et Louis Aragon devant les locaux du journal Ce soir, qu’ils avaient tous deux créé en 1937 et relancé en 1945. Sa tombe est toute simple, avec une dalle funéraire peu lisible, une autre plus petite en hommage à sa femme Maguite (Marguerite Herzog). Des plaques sont posées tout autour de la tombe, notamment pour des mouvements liés à la guerre d’Espagne, dont Jean-Richard Bloch a rendu compte.
Sur la stèle a été apposé le masque mortuaire tiré en bronze.
Près du tombeau de 
Un long tube en point de cordelette sur 8 mailles, avec de la bourre, ça devait aller! Bingo, j’ai le reste de laine « qui va bien », je mets de la bourre au fur et à mesure… et suis arrivée à moitié chemin, environ 75cm! Il me restera à trancher pour les feuilles: en tissu, ça risque d’être long, en crochet, j’aime pas faire du crochet (mais j’aime bien le résultat!).
J’ai terminé la lecture des livres pour la 









