Archives mensuelles : janvier 2011

Une série de trousses

Bidules joints aux envois de noël 2010 Pour les cadeaux envoyés en fin d’année, il me restait à vous montrer une série de finitions… toutes en trousses! En fonction du poids et de la destinataire, le paquet était ou non enveloppé dans une des boîtes que vous avez vues au pied de mon ficus, et j’avais ajouté des bidules tirées de cet achat un peu en vrac, des stylos à gel, des autocollants, des bonbons, des pétards (attention, hein, Cathdragon et Zazimuth, je les ai pris pour l’image, mais ils peuvent quand même exploser), etc.

Pour que le texte ne se décale pas par rapport aux images, j’ai fait un tableau, désolée pour les personnes en lecture oralisée du blog, overblog ne gardant pas les balises TH et Header, sachez que la colonne de gauche comprend une image avec la broderie, celle du centre une image avec le tissu du dos de la trousse et celle de droite le texte et les liens vers les articles, vous devriez quand même vous y retrouver grâce aux titres et textes alternatif.


Photo de la face Photo du dos Texte d’accompagnement
Noël 2010, trousse à la grenouille, la face Noël 2010, trousse à la grenouille, le dos Pour la grenouille brodée d’après une grille de Broderies à lire (collection l’Atelier de Clémentine, éditions Tutti Frutti, 2009), de Battybat et envoyée à Emmanuelle, le dos et l’intérieur sur un tissu d’inspiration irlandaise…
Noël 2010, trousse au dragon, la face Noël 2010, trousse au dragon, le dos J’ai utilisé le même tissu pour le dragon qui s’est envolé chez Pour Cathdragon et brodé sur une grille destinée au filet au crochet.
Noël 2010, trousse à la feuille d'automne, la face Noël 2010, trousse à la feuille d'automne, le dos Pour la feuille d’automne tirée d’un modèle de la revue Anna, n° 36 (octobre 2010) et envoyée à Brigitte / Boîte de biscotte, j’ai utilisé pour le dos l’un des tissus d’ameublement acheté dans un vide-grenier. Je l’ai déjà utilisé par exemple pour le masque de carnaval offert il y a quelques mois à Monique / Bidouillette / Tibilisfil.

battybat_broderies_lire.jpg

Battybat (Cécile Dourlens), Broderies à lire, Collection l’Atelier de Clémentine, éditions Tutti Frutti, 2009.

<l
i>le cobaye à lire fini en trousse, modèle paru dans une revue

De nouveaux défis lecture…

Trois défis lecture entre autres dans les prochaines semaines et mois… Laissez vous tenter aussi par ces aventures!

http://vdujardin.com/blog/wp-content/uploads/2011/03/60890631_p2.jpgD’abord une semaine hongroise organisée du 7 au 13 mars 2011 chez par Schlabaya (qui organise aussi le défi du 1 % rentrée littéraire 2010) et Cryssilda (qui a créé le logo) : il s’agira de présenter des lectures, des recettes, des voyages en Hongrie… Sur sa recommandation notamment, j’avais lu L’héritage d’Esther de Sándor Márai. J’ai sorti de la médiathèque vendredi un livre de Magda Szabo… Si vous voulez de l’inspiration, allez voir ce site de littérature hongroise… Mais je vous présenterai la Hongrie autrement que par les livres!

Mes articles de la semaine hongroise :
– une lecture : Le Faon de Magda Szabó ;
– une découverte de blog : Falby de là bas et son p’tit bonheur
– un vin : le tokay ou tokaji aszù
– une découverte patrimoniale : saint Martin (né en Hongrie et fondateur de Ligugé)

– une broderie : un berlingot sur une grille hongroise

– des timbres hongrois

– des découvertes : le stylo à billes, les allumettes et la vitamine C.

Logo BD for Women Audouchoc de son côté a décidé de lancer ici un défi BD : Libérez les femmes artistes et leur crayon du placard ! Et ce n’est pas du luxe… Aucune femme au jury du festival international de la BD d’Angoulême cette année (2011), et elles représentaient à peine un tiers de la sélection de la compétition… un espoir quand même… beaucoup de femmes à l’exposition de la maison des auteurs à Angoulême. Elle propose deux versions de logo : allez voir chez elle… La première critique dans le cadre de ce challenge est programmée pour début mars : Le bleu est une couleur chaude de Julie Maroh, qui a d’ailleurs reçu hier à Angoulême le prix du public, la seule femme primée avec Élodie Durand, prix de la révélation pour son album La Parenthèse. J’ai déjà parlé de (trop rares) albums écrits et/ou dessinés par des femmes :

Je ne promets pas la parité, mais au moins une BD de femme par mois… La suite des lectures de BD de femmes en suivant le dernier lien…

Logo God save the livre Antoni / passion livres nous propose un défi God save the livre. Il s’agit de lire un ou plusieurs livres anglais d’ici fin février 2012 (en une grosse année donc) et atteindre l’une de ces catégories : « Duty Harry » (1 livre lu), « Prince Charles » (5 livres), « Prince William » (10 livres), « Lady Di »(15 livres), « The Beatles » (20 livres et plus), « Queen Mom » (au moins un livre en VO)… Bon, la première catégorie sera facile à atteindre, LOL! J’en ai lu une bonne dizaine l’année dernière… La suite sur ma page dédiée le défi God save the livre (littérature anglaise)!

L’église Saint-Porchaire à Poitiers, quelques vues anciennes…

Poitiers, église Saint-Porchaire, 1, vue aére.ienne des années 1950 avec le théâtre Poitiers, église Saint-Porchaire, carte postale ancienne, 3 Hier, je vous disais que l’église Saint-Porchaire à Poitiers était à un peu plus de 500m de chez moi… Cela m’a donné envie de ressortir quelques cartes postales anciennes, qui permettent aussi de voir l’évolution du magasin voisin… des véhicules et des tenues de ces dames notamment. Je commence par une vue aérienne de la fin des années 1950 ou des années 1960 (en tout cas après 1954, date de sa reconstruction, et sans doute avant 1963, à gauche, c’est l’ancienne toiture des galeries devenues depuis le hideux Printemps). Au premier plan vers la gauche donc, vous voyez le théâtre et à peu près au milieu, l’église Saint-Porchaire, dont la seule partie romane conservée est le clocher porche, pour lequel je vous ai déjà montré Daniel dans la fosse aux lions [à voir désormais restauré en 2012 ici]. J’ai aussi quelques cartes postales intérieurs, et d’autres photographies d’aujourd’hui (enfin, l’année dernière plutôt…), je vous les montrerai et commenterai une autre fois, je vous laisse à ce voyage dans le passé, des années 1900 aux années 1950… mais surtout des années 1920. J’ai un faible pour la dernière, avec ces femmes en grande tenue devant le magasin de mode (aujourd’hui, il y a à la place le CRIJ).

Poitiers, église Saint-Porchaire, carte postale ancienne, 5

Poitiers, église Saint-Porchaire, carte postale ancienne, 6

Poitiers, église Saint-Porchaire, carte postale ancienne, 8

Poitiers, église Saint-Porchaire, carte postale ancienne, 9

Poitiers, église Saint-Porchaire, carte postale ancienne, 4

Poitiers, église Saint-Porchaire, carte postale ancienne, 2, carte-correspondance

Poitiers, église Saint-Porchaire, carte postale ancienne, 10

SAL mystère de Brodstich, janvier 2011 (2)

SAL mystère de janvier 2011 de Brodstich, deuxième étape En ce mois de janvier, Brodstich organise un SAL mystère. Voici la deuxième étape, toujours avec des cotons de Défi de toile. Il me reste maintenant à refaire le premier motif dans la partie droite.

Toutes les étapes du SAL :

Un truc rond… et une église à 500 m de chez nous

Itinéraire Mappy vers le bureau, de chez moi à Saint-Porchaire Pour nous inciter à prendre l’air, Monique / Bidouillette / Tibilisfil nous a proposé de faire une photographie de quelque chose de rond dans un rayon de 500 m de chez nous… J’ai d’abord pensé retourner faire une photographie de la rotonde de l’ancienne chambre de commerce de Poitiers, mais un tour sur Mappy me dit que je suis à plus de 900m. Je refais donc virtuellement le trajet de chez moi (sortie haute, rue Saint-Hilaire) et le bureau (1,9 km, qu’il dit…), et voit que 500m, cela tombe un peu avant l’église Saint-Porchaire

Le 29 janvier 2011 à Poitiers, 1, le chevet de l'église Saint-Hilaire Ce matin au retour du marché, à 11h, le ciel s’est dégagé de la brume matinale, il fait encore frisquet… À 150 mètres environ de chez moi, je fais une halte sur le chevet de l’église Saint-Hilaire (montré ici avec une autre photographie)… C’est du tout rond, non? Je vous invite à suivre les liens pour avoir plus d’informations sur ces éléments que je vous ai déjà montrés…

Edit de samedi 29 à 23h: j’étais en retard la semaine dernière (et oui, samedi à Paris, festival télérama, festival de la BD d’Angoulême, conférence, etc.), mais là, je suis presque en avance: je n’avais pas encore lu le thème de la nouvelle semaine… un édifice religieux à 500m! Cette photo comptera pour les deux, LOL!
Le 29 janvier 2011 à Poitiers, 2, le jardin anglais du parc de Blossac Mais je pensais surtout au jardin anglais du parc de Blossac, et notamment au massifs tout en rondeur et au fond de l’image, le petit coin cosy, les feuilles tomberont au printemps, quand les nouvelles feuilles pousseront… Vous ne le voyez pas? Il est au centre tout au fond…

Le 29 janvier 2011 à Poitiers, 3, la fontaine aux amours de Durenne dans le parc de Blossac En m’approchant, je passe à côté de fontaine aux amours et aux nymphes, de Durenne, encore un peu givrée…

Le 29 janvier 2011 à Poitiers, 4, le petit coin rond, avec le faune souflant dans un coquillage Et voilà, l’intérieur de ce petit espace tout rond… avec au centre (et au premier plan,… mon ombre!). Au centre, le Faune soufflant dans une corne, de Durenne, que je vous avais montré avec une photographie de début d’été…

Le 29 janvier 2011 à Poitiers, 5, dans le jardin anglais du parc de Blossac On ressort de l’autre côté… Au premier plan, vous voyez le monument au comte de Blossac, par Raymond Sudre, qui a été nettoyé depuis mon article, et le massif de bambous a été enlevé… la pelouse n’a pas encore repoussé à cet endroit. Au fond, tout blanc aussi maintenant, le lion amoureux par Étienne Hippolyte Maindron, espérons que les autres sculptures, à l’entrée du parc, que je ne vous ai jamais montré tant elles sont salles, seront à leur tour nettoyées au printemps…

Alors, Monique / Bidouillette / Tibilisfil, mission accomplie pour ce premier défi?

Ah, pour les copines, hier, journée au festival de la BD d’Angoulême, aujourd’hui, j’ai profité du soleil pour une grande promenade (après la séance photo), alors, je passerai lire vos articles des trois derniers jours ce soir…

Pour aller plus loin : voir l’article de Grégory Vouhé, Édouard André, jardins pour Poitiers, L’Actualité Poitou-Charentes n° 96, avril 2012, p. 42-44.

Vous allez rencontrer un bel et sombre inconnu de Woody Allen

Affiche de vous allez rencontrer un bel et sombre inconnu de Woody Allen Finalement, j’ai réussi à voir sept films de la sélection du festival Télérama, ce qui est presque autant que l’année dernière (neuf films) alors que je partais de zéro cette année. Je poursuis mes avis sur les films avec Vous allez rencontrer un bel et sombre inconnu de Woody Allen.

Le film : aujourd’hui à Londres. Alfie (Anthony Hopkins), vieux beau qui cultive son image, vient de quitter sa femme Helena (Gemma Jones) pour une call-girl. Helena, en pleine déprime, abuse du scotch et tombe sous l’emprise d’une médium qui prétend lire l’avenir. Sally (Naomi Watts), leur fille, travaille dans une galerie et est amoureuse de son patron, Greg (Antonio Banderas), alors que Roy (Josh Brolin), son mari qui tente d’écrire depuis des années un nouveau livre, tourne dans leur appartement et s’entiche de la nouvelle voisine en vis-à-vis, Dia, qui habite là en attendant son mariage dans quelques semaines… Toutes ces histoires se mêlent, s’emmêlent, s’entrecroisent, les couples se font et se défont, quand l’un des amis de Roy, qui vient d’écrire un livre qu’il n’a fait lire qu’à lui, décède d’un accident de voiture… Et s’il s’attribuait le manuscrit ?

Mon avis : Pas le meilleur Woody Allen, mais j’ai passé un agréable moment quand même devant ces portraits sans complaisance de la société d’aujourd’hui… à travers une galerie d’une douzaine de portraits qui auraient peut-être gagné à être moins nombreux mais plus approfondis…

La liste des films de la sélection 2011 du festival Télérama que j’ai vus :

Pour Woody Allen, vous pouvez relire mes articles

Des enveloppes et des pochettes pour ATC

Enveloppes pour ATC de noël 2010 Quelques ATC envoyées pour noël (notamment les Tours Eiffel et les autres cartes brodées) flottaient dans leur enveloppe. Pour les séries suivantes et notamment celle que je vous ai montrées ici, je suis d’abord aller acheter des mini-enveloppes, puis j’en ai sacrifié une qui m’a servi de gabarit pour une série d’enveloppes à la bonne taille, découpées dans des couvertures de magazines.

Pochettes pour ATC de noël Pour la série spéciale janvier 2011, où les destinataires (Cathdragon et Zazimuth, Véro bis, Capucine O et Jardin zen, je suis la sixième), j’ai récupéré du papier d’emballage cadeau (et des magazines pour les autres, de toute façon, elles ne sont prévues que pour un an…) pour en faire des pochettes comme celles que j’avais déjà réalisées sur un modèle que m’avait envoyé Mumu qui brode.

Un porte-cartes…

Noël 2010, un porte-carte ouvert Pour Flo (qui n’a pas de blog), j’ai trouvé un tuto sur ce site de clubs de patchwork pour réaliser un étui à cartes. Je ne suis pas trop contente de la pose du biais… Pour le tissu intérieur, c’est celui que j’ai utilisé pour mon tablier au concours de Moncoutant.

Noël 2010, un porte-carte fermé Pour l’extérieur, c’est un tissu d’ameublement acheté à ce vide-grenier. Pour la fermeture, j’ai utilisé un petit cordon réalisé avec la lucette offerte par Pat-à-Bois.

Le noël de Flo, 1Je vous ajoute les photos de Flo, bien meilleures que les miennes…

Le noël de Flo, 2Vous reconnaissez une carte de la série que j’ai envoyée à noël…

Geronimo (2) de Davodeau et Joub

Couverture du tome 2 de Geronimo, de Davodeau et Joub pioche-en-bib.jpgJ’ai emprunté à la médiathèque le tome 2/3 de la série Geronimo de Davodeau et Joub (voir ici le tome 1 et le tome 3).

Le livre : Geronimo, tome 2 de d’Étienne Davodeau et Joub (scénario et dessin), éditions Dupuis, 2010, 56 pages, 9782800146607.

L’histoire : alors que son oncle est hospitalisé, Geronimo, 16 ans, part en vacances à la mer avec ses nouveaux amis (voir tome précédent). Lui qui a été élevé « en Indien » par son oncle (sa mère est morte peu avant sa naissance, qui n’a d’ailleurs pas été déclarée, il ne connaît pas son père), à l’écart du monde moderne, va aller de découverte en découverte : les filles, la plage, le scooter, la brique de lait, Jésus (« c’est qui le type en slip sur la croix »)…

Mon avis : comme le reste de la série (et des titres écrits par Davodeau seul), sous une histoire en apparence banale les auteurs invitent le lecteur (ici, ce sont les adolescents qui sont les lecteurs visés) à réfléchir au monde actuel… A-t-on vraiment besoin d’un t-shirt de marque? Si on fait de la pub pour la marque, ne devrait-il pas être moins cher plutôt que plus cher? Bon, je suis plutôt tendance no-logo sur ce coup là… La brique de lait? Dégueulasse mais pratique, il n’a pas tort, le Géronimo… Le samedi (ou le dimanche), j’essaye d’acheter un vrai bon lait cru à un producteur au marché, car il n’y a pas encore de retour des fermes en ville, quoique… les animaux ont pris leurs quartiers de décembre autour de Notre-Dame-la-Grande ! Certes, il faut le faire bouillir, c’est plus long que d’ouvrir la fameuse brique et de mettre le bol au micro-onde, mais c’est tellement meilleur!

Pour découvrir l’auteur : voir le site d’Étienne Davodeau, que je trouve très riche… et la venue à Poitiers de l’auteur.

Pour rappel, je vous ai parlé de nombreux albums d’Étienne Davodeau

de Kris et Davodeau

et de Davodeau et Joub

Logo top BD des blogueurs 2011 Cette BD sera soumise pour le classement du TOP BD des blogueurs organisé par Yaneck / Les chroniques de l’invisible. Mes chroniques BD sont regroupées dans la catégorie pour les BD et par auteur sur la page BD dans ma bibliothèque.

Emile Roux par René Pajot à Confolens

Emile Roux par René Pajot, 1937, à Confolens, 1, vue générale du monument En mars 2010, j’ai profité d’une belle journée printanière à Confolens (pour un colloque) pour faire une série de photographies et partager avec vous quelques-unes d’entre elles. Pour plus d’informations sur Confolens et la communauté de communes du Confolentais, deux livres sont toujours en librairie, Parcours du patrimoine n° 325 consacré à Confolens, ou encore l’image du patrimoine Le Confolentais : entre Poitou, Charente et Limousin… Aujourd’hui, je vous montre le buste d’Émile Roux réalisé en 1937 par René Pajot et mis en place devant l’ancien lycée Émile Roux, où son père était directeur et où il est né le 17 décembre 1853.

Confolens, l'ancien lycée Emile Roux Voici une vue de cet ancien lycée (aujourd’hui désaffecté, le lycée est désormais en périphérie de la ville).

Il travailla avec Louis Pasteur sur le choléra des poules puis le charbon des moutons, et découvrit le sérum antidiphtérique, la première thérapie efficace contre cette maladie. Il était d’ailleurs directeur de l’Institut Pasteur à Paris (depuis 1904) à sa mort le 3 novembre 1933 (voir le monument à Pasteur à Paris).

Emile Roux par René Pajot, 1937, à Confolens, 2, la signature Revenons à notre buste en bronze. Posé sur un haut piédestal (refait depuis), il est signé R[ené] Pajot et daté de 1937. Il fut inauguré le 14 novembre 1937 en présence du ministre de la santé, Marc Rucart.

Emile Roux par René Pajot, 1937, à Confolens, 3, le buste Je trouve que le sculpteur lui a donné un air sévère,…

Emile Roux par René Pajot, 1937, à Confolens, 4, détail du visage …peut-être accentué par les rides, les sourcils fournis, la barbe et la moustache, les joues creusées…