Encore du papier maison blanc!

Papier maison 2013, 820 pages blanchesJ’ai poursuivi en juillet ma production de papier maison blanc… (je vous renvoie à ce premier article pour les liens sur sa fabrication). J’en ai réalisé 821 pages (facile à compter, par paquets de 50, soit 25 matin et soir)!

papier maison 2013, le papier coloré déchiréAu fur et à mesure que je trouve des feuilles colorées (enveloppes, tracts politiques, don des copines, il me restait encore pour certaines couleurs non refaites ces dernières années du papier envoyé pour cet usage par Cathdragon, etc.), je les trie par couleurs et les déchire en petits morceaux, en attendant de les transformer en pâte à papier et en feuilles. Y’a plus qu’à! En commençant par le jaune, le plus logique après le blanc, car je garde l’eau qui reste dans la cuve pour passer d’une couleur à l’autre…

Paris à tout prix de Reem Kherici (et la compagnie Carabosse à Poitiers)

Spectacle mouillé de la compagnie Carabosse, place d'Armes à Poitiers, 14 septembre 2013Samedi soir, nous avions prévu avec des amis d’aller assister à l’illumination de la place d’Armes à Poitiers par la compagnie Carabosse (revoir le spectacle de Parthenay-le-Vieux à l’occasion d’une nuit romane en 2011), un spectacle programmé par la ville dans le cadre des journées du patrimoine, mais la pluie insistante et ininterrompue de l’après-midi nous a amenés au cinéma… A la fin de la séance (au cinéma commercial à Buxerolles), nous nous sommes quand même aventurés en centre-ville, pluie plus légère, pas beaucoup de monde à 22h sur la place, certaines installations sont noyées, à l’arrière, les Marcel sont suspendus mais sans les bougies… Dommage.

La place d'Armes à Poitiers, 16 septembre 2013, salie par les installations de CarabosseLa soirée a laissé sur la place de larges traces de suie, étalées par la circulation des camions qui ont enlevé les installations… Un bon nettoyage va s’imposer, l’occasion peut-être d’enlever aussi les chewing-gums qui souillent la place ?

Façade de Notre-Dame-la-Grande, 16 septembre 2013, la pluie a en partie rincé l'éosineSeul bon point de ce déluge (34 mm samedi d’après météo France à la station de Poitiers-Biard, à comparer à la moyenne de septembre des 20 dernières années, 51 mm), la pluie a bien rincé l’éosine projetée la semaine dernière sur la façade de Notre-Dame-la-Grande par de stupides étudiants en médecine. Il en reste encore dans les pores des pierres, mais c’est beaucoup moins visible à l’œil nu. Le nettoyage par une société spécialisée (dissolution de ce qui reste et recueil dans des compresses, un peu la même méthode que celle utilisée il y a vingt ans pour retirer le sel de la pierre) doit commencer cette semaine.

Côté cinéma, nous avons opté pour une comédie, Paris à tout prix de Reem Kherici.

Affiche de Paris à tout prix de Reem KhericiLe film : de nos jours à Paris et Marrakech. Maya (Reem Kherici),vit à Paris depuis vingt ans. Elle a rompu ses relations avec son père, retourné vivre au Maroc alors que la mère se mourrait d’un cancer. A force de travail, elle a réussi  se faire une place en CDD dans une grande maison de couture dirigée par Nicolas (Stéphane Rousseau), qui la met en concurrence avec une autre styliste de sa maison pour décrocher un CDI à l’issue de la fashion week. Mais voilà qu’à la sortie d’une soirée bien arrosée avec Emma (Shirley Bousquet), sa meilleure amie infirmière, et son ami Firmin (Philippe Lacheau), elle est l’objet d’un contrôle de police, son titre de séjour est périmé depuis un an, elle est expulsée au Maroc près de Marrakech, retour chez sa grand-mère (Fatima Naji), avec son père (Mohammed Bastaoui) et son frère Traek (Tarek Boudali)… Arrivera-t-elle à rentrer à Paris à temps pour participer à la semaine de la mode?

Mon avis : une comédie légère, ça change après plusieurs films d’art et essai (revoir ces dernières semaines Michael Kohlhaas d’Arnaud des Pallières, Grand central de Zlotowski Rebecca et Gare du Nord de Claire Simon). La critique a parlé d’un film plein de clichés, mais j’ai passé un bon moment dans ce milieu impitoyable de la mode, avec quelques passages savoureux (la pauvre stagiaire, le travail des petites mains), et une manière d’aborder sans en avoir l’air la question des origines, le retour au pays, l’argent « pas envoyé » au pays, contrairement aux codes, et peu à peu la réappropriation de l’identité, des identités plutôt… A voir s’il passe encore près de chez vous (il est sorti depuis un moment) ou attendre sa sortie en DVD ou à la télévision…

Kutzenhausen, Broder’idées 2013, septembre

Calendrier pour Kutzenhausen 2013, septembre, fête des vinsAprès janvier, février et marsavril, mai, juinjuillet, août et la préparation des cases, j’ai brodé le mois de septembre sur une grille « fêtes du vin » proposée par Sophie Schönhöfer / De fils en mots (quelqu’un a un lien vers un site?). Pour les fils, j’ai choisi des fils suivants :

– de Annick Abrial / les fils de morphée Terre d’Afrique (déjà utilisé pour un fou terminé en trousse) et Lune de miel (utilisé aussi pour une feuille d’automne terminée en trousse ; un motif brodé inspiré des bannières de Cluny terminé en trousse à deux compartiments)

passion de brodeuse de un Coeur à prendre offert par Emmanuelle, si, si, c’était pour mon anniversaire en 2010 :  des petits chanteurs sur un coussinet, sur une grille de  Emmanuelle ; une broderie alsacienne finitionnée en marque-page ; une miniature L finie en étiquette ; un V tout rouge

Calendrier pour Kutzenhausen 2013, septembre, l'ensembleLes grilles sont bien carrées, mais j’ai pris une toile de tissu d’ameublement non calibrée, en choisissant une déformation verticale. C’est une toile que j’aime bien broder quand les déformations n’ont pas grande importance… Le tour est en DMC 915. La zone brodée mesure environ 40 sur 30 cm.

L’année dernière, j’ai participé, grâce à Marlie, aux oriflammes brodées pour Kutzenhausen, dans le Bas-Rhin, présentées lors du Festival autour du Point de Croix 2012 de Kutzenhausen, « Au fil des couleurs », en brodant deux carrés, un U et un N. Cette année, la maison rurale d’outre-forêt propose un projet au fil des mois, une grille et une créatrice par mois, enfin, des petits mois, nous devrons envoyer le tout en octobre, le festival aura lieu du 25 au 27 octobre et du 1er au 3 novembre 2013.

A louer sans commission, de Didier Daenincks

pioche-en-bib.jpg Couverture de A louer sans commission, de Didier DaenincksJe lis de temps à autre un livre de cet auteur, mais je m’aperçois que je ne vous en ai jamais parlé (sauf pour une adaptation en bande dessinée, Levée d’écrou (scénario de Didier Daeninckx, dessin de Mako)… J’ai choisi ce titre parce qu’il se passe dans un immeuble qui fait référence au familistère de Guise, dont je vous ai parlé au sujet de De briques et de sang de Régis Hautière (scénario) et David François (dessin et couleurs). Un livre trouvé à la médiathèque.

Le livre : À louer sans commission, de Didier Daenincks, collection Frontières, éditions Gallimard Jeunesse, 1998, 155 pages, ISBN 9782070519880.

L’histoire : Paris, été 1990 (non spécifié, mais l’Irak attaque le Koweït)… José et Milna cherchent depuis des mois un nouvel appartement à la place de leur minuscule studio… José, ouvrier dans une imprimerie, a beau dépouiller les petites annonces dès leur sortie, il arrive toujours trop tard, jusqu’au jour où il finit par être accepté près du canal de l’Ourcq, square de Gréville, au sixième étage d’un immeuble tout en coursives. Une bonne partie sont en loyers 1948, un promoteur immobilier réussit à acheter peu à peu chaque appartement et à le relouer plus cher. En dessous de chez eux, un étrange monsieur, qu’ils croisent régulièrement sur le palier à 3h du matin… Un jour, les « hommes en vert » de la propreté de Paris font le ménage, ont évacué tous les papiers qu le vieux monsieur gardait chez lui depuis des dizaines d’années, les voisins se sont répartis ses quelques meubles… Où est passé le monsieur? Ils finissent par le retrouver, anonyme et refusant de donner son nom, dans une maison de retraite de l’aide sociale, à Pantin. Sur un coup de tête, ils décident de l’héberger chez eux…

Mon avis : un court roman attachant qui aborde néanmoins des questions importantes, la spéculation immobilière (qui a encore augmenté depuis à Paris, surtout dans ce quartier là devenu très à la mode), l’anonymat des « vieux », la mémoire recomposée qui lui fait raconter à sa manière divers vieux polars des années 1950. Des portraits courts et hauts en couleur aussi, le chauffeur de taxi fan de Claude François, le patron de bistrot auvergnat et raciste, la concierge, etc. Un petit instant de lecture réjouissante!

 

Une nouvelle boîte à clefs

Préparation en mai 2011 de la boîte à clef, première couche de blanc à l'intérieurIl y a des choses qui traînent parfois au niveau de la finition… j’avais fini la broderie du SAL Bienvenue proposé par Lili HR et montré la boîte à clefs achetée il y a 3 ans… J’avais commencé à peindre l’intérieur en blanc.

Boîte à clefs avec le SAL bienvenue de Lili HRJe n’avais jamais fait l’assemblage! Un peu de peinture pour éclaircir la partie en bois, du carton pour boucher l’ovale, un montage de la broderie sur cartonnette avec du kraft au dos et du molleton, une petite découpe pour le bouton d’ouverture de la porte… et voilà, la boîte à clefs est enfin terminée!

Toutes les étapes du SAL bienvenue de Lilli HR :

Livres d’heures en lumière à la médiathèque de Poitiers

Affiche de l'exposition Livres d'heures en lumière à la médiathèque de PoitiersLa semaine dernière était inaugurée à la médiathèque de Poitiers l’exposition Livres d’heures en lumière, qui présente des manuscrits et quelques incunables (premiers livres imprimés avant 1500) parmi les 34 livres d’heures (livres personnels qui permettaient de suivre la liturgie au fil des heures de la journée et des jours, sans rater les prières et les fêtes particulières) et imprimés du 16e siècle conservés à la médiathèque. Le « petit dernier », un livre d’heures à l’usage de Poitiers du début du 16e siècle, est mis en valeur dans un espace central isolé. Cette exposition clôture les travaux de feu le pôle associé Moyen Âge de la bibliothèque nationale de France, dans lequel se trouvaient la médiathèque de Poitiers, le Centre d’études supérieures de civilisation médiévale de l’Université de Poitiers, le Service de l’Inventaire du patrimoine culturel de la Région Poitou-Charentes. Parmi les travaux de ce pôle associé, la numérisation de nombreux documents a été réalisée et est présentée sur des écrans dans l’exposition ainsi que sur le site internet de la médiathèque, partagés dans deux espaces virtuels entre les manuscrits et les imprimés.

L’exposition se tient jusqu’au 2 novembre 2013, les manuscrits enluminés sont ouverts a minima (pour respecter les reliures) et peu éclairés (normes de conservation des supports sur parchemin et papier) et accompagnés de panneaux explicatifs sous la forme de blocs de texte peu engageants, je suis passée plusieurs fois depuis près de cet espace, la densité des textes (gros pavés en caractères trop petits, pas assez espacés ou illustrés) engage très peu de visiteurs à lire les textes… à vouloir trop en dire, personne ne fait l’effort de lire.

Si vous voulez vraiment profiter des enluminures de toute beauté et que vous n’êtes pas « fétichistes » des originaux, vous les verrez beaucoup mieux… sur votre ordinateur tranquillement chez vous! Je vous remets les liens pour voir les manuscrits et les imprimés. Vous pourrez tranquillement feuilleter les pages, zoomer, y revenir, ce qui est impossible sur les originaux.

Concours Gourmandise – de Fil en Idées (3)

Concours gourmandise 2013, étape 3, une glaceComme en 2011 (revoir une chouette, une deuxième chouette, un petit piaf et un hibou, l’ensemble est revenu ici avec un petit bonus), je me suis inscrite au concours organisé par l’association de Fil en idées et relayé par Zéliane pour un salon à Fleury-les-Aubray les 21 et 22 septembre 2013, sur le thème de la Gourmandise, à réaliser sur une toile de 21 sur 29 cm. Après la pomme d’amour et le texte jours de fête,  de Délices au point de croix, de Tinou Le Joly Sénoville, j’ai choisi une glace tirée de Péché de gourmandise à broder de Martine Rigeade, un livre dans lequel j’ai déjà brodé le rouleau de réglisse et le berlingot et la pâte d’amande montés en porte-clefs, une nouvelle fournée de bonbons que j’ai finitionnés (barre chocolat, caramel, berlingot et pâtes d’amande) et d’autres glaces.

Concours gourmandise 2013, étape 3, l'ensembleEt voilà l’ensemble.

Le tombeau d’Auguste Bartholdi au cimetière du Montparnasse à Paris

Tombeau de Bartholdi au Montparnasse à Paris, deux vues généralesJe vous ai beaucoup parlé d’Auguste Bartholdi (Colmar, 1834 – Paris, 1904) ces dernières semaines (vous pouvez (re)voir sur mon blog la statue de Rouget-de-Lisle à Lons-le-Saunier, la fontaine Bartholdi à Lyon, la statue du sergent Hoff au cimetière du Père Lachaise et la copie du lion de Belfort place Denfert-Rochereau à Paris, les copies de La Liberté éclairant le monde à Poitiers et Châteauneuf-la-Forêt)… Je continue avec son tombeau dont il a réalisé lui-même la sculpture du génie féminin ailé qui domine l’obélisque en porphyre rouge sur lequel est inscrit « Auteur / du lion de Belfort / et de la statue de la Liberté / éclairant le monde ». Il faudra que j’essaye de reprendre les photographies un jour à une autre heure, pour ne pas avoir cet horrible contre-jour…

Tombeau de Bartholdi au Montparnasse à Paris, le génie de face, vue générale et détailAuguste Bartholdi a exploité dans plusieurs autres œuvres le thème du génie funèbre, par exemple Le génie funèbre, réalisé en 1865 et présenté au salon des artistes français de 1866 sous le n° 2626, un génie recroquevillé qui se trouvait sur la tombe de Georges Nefftzer dans le même cimetière du Montparnasse (aujourd’hui au lycée Bartholdi à Colmar) ou le Génie sorti des griffes de la misère, présenté au salon des artistes français de 1859 sous le n° 3073 (plâtre préparatoire au musée de Colmar, un autre exemplaire déposé par ce même musée au musée de Belfort).

Ici, le génie semble s’élever vers le ciel, dans une composition très classique reprise aussi dans de nombreuses représentations des Victoires, main droite levée et main gauche vers le bas. Il s’agit d’ailleurs d’un génie féminin, si l’on en juge par les seins… et non d’un ange (sans sexe???) comme on le lit sur de nombreux sites en ligne…

Tombeau de Bartholdi au Montparnasse à Paris, le drapé au pied de l'obélisque et le génie de dosUn drapé est tombé au pied de l’obélisque. Comme de nombreuses figures allégoriques, le génie est représenté pieds nus.

Tombeau de Bartholdi au Montparnasse à Paris, médaillon en bronzeSur l’obélisque est apposé un médaillon en bronze avec les profils droits d’Auguste Bartholdi au premier plan et de sa femme, Jeanne Émilie Baheux de Puysieux, enterrée avec lui, à l’arrière.

Tombeau de Bartholdi au Montparnasse à Paris, signature de Auguste Rubin sur le médaillon en bronzeCe médaillon porte la signature « A mes / amis Bartholdi / A. Rubin / 1905 ». Il a été réalisé par Auguste Rubin (Grenoble ? – Paris, 1909). L’original en plâtre teinté se trouve au musée Bartholdi de Colmar, qui conserve également un autre tirage en bronze apposé sur la lucarne-pignon, au fond de la cour du musée.

Photographies de juin 2013.

Le papier maison de Zazimuth, cuvée 2013

Papier maison 203 de Zazimuth, vue généraleMon envoi de l’ATC de rentrée et de quelques pages de mon nouveau papier maison a croisé jour pour jour celui de Zazimuth. Elle a varié les couleurs, les formats, du rectangle, du carré…

Papier maison 2013 de Zazimuth, détail de quelques feuilles à structure différente… et aussi les textures (papier moulé sur du papier à bulles par exemple) ou des inclusions de fils, ce que je n’ai pas fait de mon côté cette année… Son papier est très joli! Vous pouvez aussi revoir ses créations précédentes, ici,   ou encore par là… (j’ai sans doute oublié des liens…). Allez vite rendre visite à Zazimuth (un énorme merci à toi!) pour découvrir son univers et en particulier cet article où elle montre son atelier au beau pavage.

Top BD des blogueurs, août 2013

Logo du top BD des blogueurs 2013Le classement du TOP BD des blogueurs proposé par Yaneck / Les chroniques de l’invisible du mois d’août est arrivé… merci à lui pour ces savants calculs et cette organisation. Attention, c’est un nouveau lien… car à son tour, Yaneck a quitté Overblog et choisi wordpress…

Comme d’habitude, en gras, les albums que j’ai chroniqués ici…

1- (=) Le journal de mon père 18.88, Jiro Taniguchi, Casterman
2- (=) Un printemps à Tchernobyl 18.69, Emmanuel Lepage, Futuropolis, voir mon avis
3- (+) Maus 18.66, Art Spiegelmann, Flammarion, j’ai parlé ici du tome 1 : mon père saigne l’histoire, et du tome 2, Et c’est là que mes ennuis ont commencé
4- (=) Persépolis 18.55, Marjanne Satrapi, L’Association
5- (=) Asterios Polyp 18.5, David Mazzuchelli, Casterman
6 (=) Tout seul 18.5, Christophe Chabouté, Vents d’Ouest
7- (=) Idées Noires 18.5, Franquin, Fluide Glacial
8- (=) NonNonBâ 18.5, Shigeru Mizuki, Cornélius
9- (=) Daytripper 18.46, Fabio Moon, Gabriel Ba, Urban Comics
10- (=) Le loup des mers 18.33, Riff Reb, Soleil
11- (+) Le sommet des dieux 18.33, Yumemuka Bura, Jirô Taniguchi, Casterman, Tome 1, Tome 2, Tome 3, Tome 4, Tome 5.
12- (=) Portugal 18.3, Cyril Pedrosa, Dupuis
13- (=) Universal War One 18.27, Denis Bajram, Soleil, Tome 1, Tome 2, Tome 3, Tome 4, Tome 5, Tome 6.
14- (+) Les derniers jours de Stefan Sweig 18.25, L. Seksik, G. Sorel, Casterman
15- (=) V pour Vendetta 18.22, Alan Moore, David Lloyd, Delcourt
16- (=) Le Grand pouvoir du Chninkel 18.19, Van Hamme, Rosinski, Casterman
17- (+) Les ignorants 18.18, Etienne Davodeau, Futuropolis, je l’ai aussi beaucoup aimé
18- (=) Gatsby le magnifique 18.17, Benjamin Bachelier, Stéphane Melchior-Durand, Gallimard
19- (=) Les enfants de Jessica tome 1 18.16, L. Brunschwig, L. Hirn, Futuropolis
20- (=) Il était une fois en France 17.98, Fabien Nury, Sylvain Vallée, Glénat, Tome 1, Tome 2, Tome 3, Tome 4, Tome 5,Tome 6.
21- (=) Habibi 17.95, Craig Thompson, Casterman
22- (=) Gaza 1956 17.92, Joe Sacco, Futuropolis, voir mon avis : Gaza 1956
23- (=) Herakles tome 1 17.88, Edouard Cour, Akiléos
24- (=) Alice au pays des singes 18.86, Tébo, Nicolas Keramidas, Glénat
25- (=) Pinocchio 17.85, Winschluss, Les Requins Marteaux
26- (=) Scalped 17.85, Jason Aaron, R.M. Guerra, Urban Comics
Tome 1, Tome 2, Tome 3, Tome 4, Tome 5, Tome 6, Tome 7,
27- (=) Manabé Shima 17.83, Florent Chavouet, Editions Philippe Picquier
28- (=) Trois Ombres 17.82, Cyril Pedrosa, Delcourt
29- (-) Abélard 17.81, Régis Hautière, Renaud Dillies, Dargaud, Tome 1, Tome 2.
30- (-) La guerre des lulus tome 1 17.8, Régis Hautière, Hardoc, Casterman
31- (=) Une métamorphose iranienne 17.75, Mana Neyestani, Editions Ca et là
32- (=) L’histoire des trois Adolf, 17.75, Osamu Tezuka, Tonkam
33- (-) Paracuellos 17.54, Carlos Gimenez, Fluide Glacial
34- (=) Calvin et Hobbes, 17.7, Bill Watterson, Hors Collection, Tome 1, Tome 2, Tome 15, tome 17,
35- (=) Holmes 17.69, Luc Brunschwig, Cecil, Futuropolis, Tome 1, Tome 2, Tome 3.
36- (=) Urban 17.69, Luc Brunschwig, Roberto Ricci, Futuropolis, Tome 1, Tome 2,
37- (=) Anjin-san 17.67, Georges Akiyama, Le Lézard Noir
38- (=) Lorenzaccio 17.67, Régis Peynet, 12 Bis
39- (=) Quartier Lointain 17.63, Jiro Taniguchi, Casterman, je l’ai lu aussi, voir mon avis
40- (=) Les carnets de cerise tome 1 17.63, Joris Chamblain, Aurélie Neyret, Soleil
41- (=) Moi, René Tardi, prisonnier au Stalag IIB, 17.58, Tardi, Casterman
42- (=) Pyongyang 17.55, Guy Delisle, Delcourt, j’en ai parlé ici
43- (=) L’orchestre des doigts 17.5, Osamu Yamamoto, Editions Milan, Tome 1, Tome 2, Tome 3, Tome 4.
44- (=) L’enfant cachée 17.5, Loïc Dauvillier, Marc Lizano, Le Lombard
45- (=) Un ciel radieux, 17.5, Jiro Taniguchi, Casterman
46- (=) Alpha… Directions 17.5, Jens Harder, Editions de l’An 2
47- (=) Les seigneurs de Bagdad 17.5, Brian K. Vaughan, Niko Henrichon, Urban Comics
48- (=) Les petites gens 17.5, Vincent Zabus, Thomas Campi, Le Lombard
49- (=) La chronique des immortels 17.5, Von Eckartsberg, Van Kummant, Paquet, Tome 1, Tome 2,
50- (=) Une araignée des tagliatelles et au lit, tu parles d’une vie! 17.5, C. Jourdy, Drozophile