Une tomate au tricot

Une tomate au tricot, vue de dessus et de profilPuisqu’il paraît que les enfants ont du mal à reconnaissance les légumes (sur de vilains dessins), j’ai décidé d’attaquer une série de légumes au tricot… Après le panais, voici une tomate, j’ai choisi le modèle tomate ronde (et non olivette), mais en augmentant (et diminuant) une fois de plus et en intercalant deux rangs supplémentaires au milieu. Je n’en ai tricotée qu’une, vue de dessus et de côté, diamètre de 8 cm. Les tomates du jardin, ce n’est pas pour tout de suite… et ça sera tomates du balcon cette année pour moi, le jardin reste inaccessible… deux jours de beau temps ce week-end, après un jeudi épouvantable… et depuis lundi, il est tombé plus de 50mm d’eau, l’orage gronde à nouveau ce matin, accompagné de fortes pluies…

Tomate et panais au tricotModèle de Susie Johns, Fruits & légumes au tricot (éditions Didier Carpentier, 2012), avec le reste de la laine rouge utilisée pour une boule pour noël 2011et pour des chaussons façon baskets et un reste de la laine verte utilisée pour mon cache-coeur. Avec le panais (pour celles qui ont laissé des commentaires et n’avaient jamais goûté –Luna, Cathdragon, Danielle 06 (sans blog), etc. -, il faudra patienter quelques mois pour le trouver à nouveau sur le marché, vous devriez trouver à partir de juillet, peut-être un peu plus tard cette année vue la météo, et jusqu’en octobre les panais plantés au printemps, et en mars-avril ceux semés à l’automne…). Voir la suite: le chou-fleur, le champignon, l’ananas, la banane, le trognon de pomme, le petit pois, la pastèque, la figue, le poivron, l’aubergine, le poireau, les cerises, la tomate

Le cheval de Fratin à Metz

Metz, cheval pur sang en bronze de Christophe Fratin, deux vues presque de faceEn vous montrant il y a quelques semaines les aigles attaquant un cerf de Christophe Fratin (Metz, 1801  – Le Raincy, 1864) au jardin des plantes de Metz (à Montigny-lès-Metz), je vous avais annoncé qu’il y avait dans la même ville, devant le palais de justice, un grand cheval du même artiste, commandé en 1848 par le ministère de l’Intérieur, exposé au Salon des artistes français de 1850 sous le n° 3394, « cheval pur sang, bronze » (voir page 273 du catalogue illustré), arrivé à Metz en 1852.

Metz, cheval pur sang en bronze de Christophe Fratin, signature du sculpteurIl porte la signature du sculpteur, « Fratin »…

Metz, cheval pur sang en bronze de Christophe Fratin, marque des fondeurs De Eck et Durand, 1850… et la marque du fondeur, « De Eck et Durand, 1850 ».

Metz, cheval pur sang en bronze de Christophe Fratin, vue des deux profilsCe cheval a été l’objet de critiques lors de sa présentation: au lieu d’être représenté dans une position classique et figée, l’artiste a choisi de le mettre en mouvement avec sa queue au vent et sa tête fièrement dressée, comme aux aguets. Il est quand même beaucoup plus calme que celui du monument à Eugène Fromentin à La Rochelle!

Photographies de août 2012.

Pour rebondir sur la sculpture animalière réaliste du 19e siècle et du 20e siècle avant la première guerre mondiale, je vous invite à revoir les cerfs du jardin des plantes de Nantes (Georges Gardet, 1910), la chienne et la louve de Pierre Rouillard (1865) à Toulouse ou les animaux de l’ancienne fontaine du Trocadéro à Paris (1878), avec l’ancienne fontaine et ses éléments transportés devant le musée d’Orsay, le cheval à la herse de Pierre Rouillard, l’éléphant pris au piège d’Emmanuel Frémiet, le rhinocéros de Henri Alfred Jacquemart (le bœuf d’Auguste Cain est à Nîmes), les aigles de Christophe Fratin au jardin des plantes de Metz.

Pour aller plus loin : Henri Navel, Le cheval de l’esplanade, Académie nationale de Metz, 1954-1955 [paru 1956], p. 115-116.

Avec les dernières asperges… une quiche au bleu

quiQuiche aux asperges et au bleuche_asperges_bleuSamedi dernier, ma marchande d’asperges a prévenu qu’elle venait pour la dernière fois… Je lui en ai pris 500g de fines pour préparer une variante de celle que je vous ai déjà présentée il y a trois ans (revoir la quiche aux asperges), en utilisant un reste de fourme d’Ambert…

Il faut donc:

– une pâte brisée ou une pâte feuilletée (maison c’est mieux, du commerce, ça marche aussi)

– 500 g d’asperges (pesées avant cuisson et raccourcissement…)

– 100g de fromage râpé ou coupé en fines lamelles (ici un mélange fourme d’Ambert / emmenthal)

– 3 oeufs

– 20cl de lait entier ou de crème liquide

– poivre (sel inutile avec le fromage), muscade

La recette:

– Bien laver, éplucher et cuire les asperges à la vapeur (10 à 12 minutes selon la grosseur), les raccourcir après cuisson, garder une grosse moitié à deux tiers côté pointe (les épluchures bien lavées et la partie queue sont allées dans une soupe aux épluchures d’asperge, comme les fois précédentes, j’ai mis les épluchures avec des pommes de terre dans le bac du dessous, économie de cuisson)

– Étaler la pâte, la foncer dans un moule à tarte (le papier cuisson facilite le démoulage)

– Disposer les asperges (cette fois, je l’ai fait proprement, en rayons autour du centre…), parsemer de fines lanières de fromage entre et au-dessus des asperges

– Préparer l’appareil à quiche (bien battre les œufs à la fourchette jusqu’à les faire mousser, ajouter le lait ou la crème, battre à nouveau, assaisonner avec le poivre et la muscade) et le verser sur la pâte

– Cuire 25 à 30 minutes (selon votre four, vous devez avoir l’habitude) thermostat 7/8… A déguster avec une salade!

Végétaros le stégosaure (3), la fin du corps

Végétaros le stégosaure, le corps au tricot trerminéJe poursuis Végétaros le stégosaure (voir le début ici, la deuxième étape), d’après un modèle tiré de Animaux tricotés de Claire Garland (éditions Fleurus, 2011), dans lequel j’avais réalisé l’année dernière la tortue. Toujours en fil de coton issu de l’agriculture biologique (mais sans information sur la teinture, dommage) de Phildar,  qualité Phil Etik, coloris capucine, tricoté avec des aiguilles n° 3,5 (le modèle est en n° 4, mais comme tout est donné en nombre de rang et pas en cm, cela ne pose pas de problème)… Le corps est terminé, il reste à préparer la crête, le montage s’annonce compliqué… Longueur totale 34 cm.

Voir la crête, Végétaros le stégosaure terminé.

Dans le même livre, j’ai réalisé:

C’est la lutte finale! Petit tour à Saint-Hilaire de Poitiers

Poitiers, chevet de l'église Saint-Hilaire, absidiole du transept sud, la flèche montre la métope avec la lutte finale et un obscenaCela fait un bon moment que je ne vous ai pas parlé de l’église Saint-Hilaire-le-Grand à Poitiers, à quelques dizaines de mètres de chez moi… En plusieurs articles, je vais vous faire découvrir la richesse de la sculpture extérieure de son chevet, à suivre bientôt les lions et les végétaux (feuilles, arbres)… Je vous ai déjà montré les inscriptions d’Hugo le trésorier (et Aleacis). Au passage, j’en profite pour signaler à la ville que la plupart des spots qui éclairent le chevet le soir sont grillés! La mise en lumière avait été vantée à grands renforts de publicité il y a quelques années… il n’en reste quasiment rien. Et pourtant, Poitiers continue à faire sa publicité sur cette église « classée au patrimoine mondial de l’humanité par l’Unesco« , ce qui est faux, c’est juste l’un des 77 « jalons » du bien culturel collectif (1998), les chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en France. Titre dont elle est indigne depuis la construction du clos Saint-Hilaire, qui pèsera sans doute lourd dans l’instruction de la demande de Poitiers pour être inscrite sur la liste représentative française (préalable indispensable avant tout classement à l’Unesco), ce n’est pas le récent lâcher de ballons (7 juin 2013) qui effacera ceci et les autres « erreurs d’appréciation » de ces dernières années (revoir le ratage du nouveau square de la République et le nettoyage très brutal du monument aux morts de 1870-1871). Au fait, toujours aucune nouvelle de l’enquête publique sur la secteur sauvegardé de Poitiers, alors que le commissaire enquêteur aurait dû rendre son avis début mai et que celui-ci devrait être mis à disposition de tous en mairie, « on » me répond toujours qu’il n’est pas rendu… Faudra-t-il saisir la commission d’accès aux documents administratifs / CADA pour y avoir accès?

Poitiers, le clos Saint-Hilaire, 7, dépotoir entre le garage et la clôtureCe plan de sauvegarde prévoit (entre autres) de raser le parking de la résidence installé en plein milieu du cloître dans des matériaux de médiocre qualité… mais envahis par la végétation. Les matériaux abandonnés à l’arrière du chantier depuis plusieurs années, adossés à un immeuble classé monument historique (l’église et le mur sur rue) ne sont toujours pas enlevés… Par rapport à cette photographie, ils sont juste masqués par la végétation.

Ça serait peut-être au moins une bonne idée de remettre en service l’éclairage  de l’église Saint-Hilaire-le-Grand avant l’arrivée des touristes en ville, avec le retour du soleil depuis hier (il faut en profiter, orages annoncés dès ce soir), ils vont peut-être finir par revenir.

Poitiers, chevet de l'église Saint-Hilaire, absidiole du transept sud, métope avec la lutte finale et un obscena

En attendant que la ville reprenne les choses en main, sur une métope (la pierre entre les modillons qui portent la corniche, voir le schéma ci-dessous) de l’absidiole du transept sud, cet homme veille en vue de la « lutte finale », point droit levé et gourdin (bien phallique, surtout si l’on considère la scène voisine) dans la main gauche…

A gauche de la même métope, un « obscena », un animal avec une belle érection.

Poitiers, chevet de l'église Saint-Hilaire, serpents entrelacés qui se mordent la queueLes serpents entrelacés, à l’autre bout du chevet, se mordent la queue… Un motif assez récurrent dans l’art roman notamment en Poitou.

Poitiers, chevet de l'église Saint-Hilaire, oiseaux

Les oiseaux sont beaucoup moins habituels: ils sont ici beaucoup plus « vivants » qu’ailleurs, faisant leur toilette ou cherchant à s’envoler…

Photographies de mars 2013…

Un peu de vocabulaire, corniche, modillon, métope, chapiteau

Saint-Hilaire-le-Grand

Un tigre dans la rivière (4)

Un tigre dans la rivière, troisième étape Je poursuis tranquillement la broderie du tigre dans la rivière d’après un kit de DMC. Pour « l’herbe », il y a beaucoup plus de changements de couleurs…

Les étapes précédentes:

– la préparation,

– la première étape

– la deuxième étape

– la troisième étape

– la quatrième étape

Le baron Taylor par Gabriel Jules Thomas au Père Lachaise à Paris

Le baron Taylor par Gabriel Jules Thomas au Père Lachaise à Paris, vue générale du tombeauRetour au cimetière du Père Lachaise pour un tombeau d’un personnage aujourd’hui oublié mais qui fut très célèbre en son temps, le baron Isidore Taylor… Sa tombe, composé d’un hémicycle et d’un haut piédestal avec une statue en marbre,  est si bavarde qu’elle raconte sa vie… à condition de réviser les chiffres romains 😉 . Allez, je suis dans un bon jour, je vous les ai traduit en chiffres arabes entre crochets… Sous la statue d’abord, on peut lire « Au baron Taylor / membre de l’institut / M.DCCC.LXXXIV [1884] ». Au dos :

XV [15] août M.DCC.LXXXIX [1789] / VI [6] septembre M.DCCC.LXXIX [1879] /
M.DCCC.XXV [1825] / Commissaire royal / près la comédie française /
M.DCCC.LXIX [1869] / sénateur /
M.DCCC.LXXVII [1877] / Grand officier de la légion d’honneur

Outre son œuvre littéraire et artistique (il faut inspecteur général des Beaux-Arts), Isidore Taylor a notamment créé des sociétés de secours mutuel, ancêtres de la sécurité sociale, de la caisse de retraite et des mutuelles, dans différents domaines inscrits dans les médaillons tout autour du monument :

Premier médaillon à gauche : « M.DCCC.XL [1840] / association / des / artistes dramatiques »
Deuxième médaillon : « M.DCCC.XLIII [1843] / association / des / artistes musiciens »
Médaillon central, sous la statue : « M.DCCC.XLIV [1844] / association / des artistes / peintres sculpteurs / architectes graveurs / et dessinateurs »
Quatrième médaillon : « M.DCCC.XLIX [1849] / association / des inventeurs / et des / artistes industriels »
Cinquième médaillon : « M.DCCC.LVIII [1858] / association / des / membres / de / l’enseignement »

Le baron Taylor par Gabriel Jules Thomas au Père Lachaise à Paris, la signature G.J. ThomasLa sculpture porte la signature « G. J. Thomas », pour Gabriel Jules THOMAS (Paris , 1824 – Paris, 1905), premier prix de Rome de sculpture en 1848 (après avoir reçu le deuxième prix en 1844), dont je vous ai déjà parlé pour le buste de Paul Abadie à Angoulême.

Le baron Taylor par Gabriel Jules Thomas au Père Lachaise à Paris, de côté et la pile de livresLe baron Taylor est représenté debout, en appui sur une pile de livres posée au-dessus d’une colonne à chapiteau. Ces piles de livres que vous avez déjà vu pour un certain nombre de monuments dédiés à des intellectuels (voir par exemple René Descartes et François Rabelais à Tours ou  Théophraste Renaudot à Loudun)…

Photographies de novembre 2012

L’avent de l’été par Zazimuth (3)

ATC de Zazimuth, jeu de l'avent de l'été 2013, semaine 3

Pour accueillir l’été 2013 après le printemps pourri, Zazimuth m’a proposé un « jeu de l’avent »… décalé, en m’envoyant une grande série d’ATC (cartes de 2,5 sur 3,5 pouces, 6,4 sur 8,9 cm), avec pour consigne d’en tirer une par jour jusqu’à épuisement du stock… Voici donc mes tirages de la semaine:

9 juin, carte 44, contagieux (un orchestre joyeux!)

10 juin, carte 5, vive la verdure!

11 juin, carte 20, « Coquelicots de l’été 2 », la lumière de l’été…

12 juin, carte 45, pour un monde meilleur

13 juin, carte 19, rencontres

14 juin, carte 22, sauter du coq à l’âne

15 juin, carte 24, indispensable (ça, c’est sûr, un petit carré de chocolat de temps en temps…)

 

Revoir :

– la carte d’accompagnement et la première ATC

– la semaine 2

Celle que je ne suis pas de Vanyda

Couverture ed Celle que je ne suis pas de Vanydapioche-en-bib.jpgLogo BD for WomenUne bande dessinée trouvée dans les bacs de la médiathèque.

Le livre : Celle que je ne suis pas de Vanyda (scénario et dessin), éditions Dargaud, 2008, 192 pages, ISBN 978-2505003441.

L’histoire : de nos jours à Lille [ce n’est pas dit clairement, mais il y a une lettre porte une adresse lilloise, le métro, un extrait de plan]. Valentine est en classe de troisième et vit seule avec sa mère. Elle forme une sorte de bande avec ses copines, Émilie, Julie et Yamina. Comme Cette dernière, elle adore les mangas. Elle cherche son identité, si elle semble à l’aise avec ses copines, fait les expériences de son âge (les cigarettes, l’alcool à un anniversaire, les garçons), elle est mal dans sa peau et se confie encore à son nounours anda dans l’intimité de sa chambre…

Mon avis : une bande dessinée en noir et blanc au style très manga, que ce soit par le format ou la forme des visages. Je trouve que les difficultés de cette adolescente sont bien montrées, les relations pas toujours faciles avec la mère, l’absence du père, les relations au collège avec les copines et parfois les garçons. Ceci étant, c’est un portrait réaliste mais sans grande surprise de cette bande de copines, sans beaucoup plus d’action que dans la vie des collégiens, les cours, la récré, la cantine, les messages SMS sitôt séparés et rentrés chez eux. Ceci étant, rien de révolutionnaire… les délégués de classe sont de bons élèves, la meneuse de la bande, Julie, un peu paumée et en échec scolaire, les garçons boutonneux…

Voir la suite :  Celle que je voudrais être. De la même auteure, voir aussi L’immeuble d’en face

Pour aller plus loin : voir le site officiel de Vanyda.

Logo du top BD des blogueurs 2013 Cette BD sera soumise pour le classement du TOP BD des blogueurs organisé par Yaneck / Les chroniques de l’invisible. Mes chroniques BD sont regroupées dans la catégorie pour les BD et par auteur sur la page BD dans ma bibliothèque.

Merci à Mamazerty (cartes et photographies…)

Nantes, monument à Villebois-Mareuil, signature de Deglane sur le socle, cliché Mamazerty

Ces deux dernières semaines, Mamazerty ne m’a pas seulement envoyé les photographies pour le reportage sur le mémorial du champ de tir du Bêle à Nantes.

Nantes, le monument à Villebois-Mareuil, deux vues rapprochées, de face et de côtéElle est aussi allée en ville pour faire des photographies des signatures sur le monument à Villebois-Mareuil. Je n’avais pas pu mettre cette photographie de la signature de l’architecte , qui était floue… J’ai ajouté celle de Mamazerty à mon article…

Nantes, monument à Villebois-Mareuil, signature de Raoul Verlet sur le socle, cliché Mamazerty

Elle a aussi refait toutes les photographies des marques du fondeur (Antoine Durenne, dans une très belle version) et du sculpteur Raoul Verlet. Surprise, j’avais vu celle sur le bronze, pas cherché plus… il y en avait une autre sur le socle en pierre! Un monument couvert de signatures 😉

Mamazerty, juin 2013, cartes à publicité et carte maisonPar ailleurs, elle m’a envoyé plein de cartes à publicité accompagnées d’une jolie carte maison…

Mamazerty, juin 2013, carte maison… la voici de plus près.

Mamazerty, juin 2013, cartes à publicitéLe jaune serait-il à la mode chez les graphistes?

Mamazerty, juin 2013, cartes à publicité et deux cartes postalesAh oui, j’ai oublié, il y avait aussi deux cartes postales pour me donner envie d’une escapade à Vannes… Euh, vue la météo d’hier à Poitiers, pas sûre que cela donne envie de voir s’il fait aussi mauvais en Bretagne…

Mamazerty, juin 2013, cartes à publicité et marque pageet oui, je vous l’avais dit, Mamazerty a fait une énorme collecte de cartes!