Puisqu’il paraît que les enfants ont du mal à reconnaissance les légumes (sur de vilains dessins), j’ai décidé d’attaquer une série de légumes au tricot… Après le panais, voici une tomate, j’ai choisi le modèle tomate ronde (et non olivette), mais en augmentant (et diminuant) une fois de plus et en intercalant deux rangs supplémentaires au milieu. Je n’en ai tricotée qu’une, vue de dessus et de côté, diamètre de 8 cm. Les tomates du jardin, ce n’est pas pour tout de suite… et ça sera tomates du balcon cette année pour moi, le jardin reste inaccessible… deux jours de beau temps ce week-end, après un jeudi épouvantable… et depuis lundi, il est tombé plus de 50mm d’eau, l’orage gronde à nouveau ce matin, accompagné de fortes pluies…
Modèle de Susie Johns, Fruits & légumes au tricot (éditions Didier Carpentier, 2012), avec le reste de la laine rouge utilisée pour une boule pour noël 2011et pour des chaussons façon baskets et un reste de la laine verte utilisée pour mon cache-coeur. Avec le panais (pour celles qui ont laissé des commentaires et n’avaient jamais goûté –Luna, Cathdragon, Danielle 06 (sans blog), etc. -, il faudra patienter quelques mois pour le trouver à nouveau sur le marché, vous devriez trouver à partir de juillet, peut-être un peu plus tard cette année vue la météo, et jusqu’en octobre les panais plantés au printemps, et en mars-avril ceux semés à l’automne…). Voir la suite: le chou-fleur, le champignon, l’ananas, la banane, le trognon de pomme, le petit pois, la pastèque, la figue, le poivron, l’aubergine, le poireau, les cerises, la tomate
En vous montrant il y a quelques semaines les
Il porte la signature du sculpteur, « Fratin »…
… et la marque du fondeur, « De Eck et Durand, 1850 ».
Ce cheval a été l’objet de critiques lors de sa présentation: au lieu d’être représenté dans une position classique et figée, l’artiste a choisi de le mettre en mouvement avec sa queue au vent et sa tête fièrement dressée, comme aux aguets. Il est quand même beaucoup plus calme que celui du
Samedi dernier, ma marchande d’asperges a prévenu qu’elle venait pour la dernière fois… Je lui en ai pris 500g de fines pour préparer une variante de celle que je vous ai déjà présentée il y a trois ans (revoir la quiche
Je poursuis Végétaros le stégosaure (voir le
Cela fait un bon moment que je ne vous ai pas parlé de l’
Ce plan de sauvegarde prévoit (entre autres) de raser le parking de la résidence installé en plein milieu du cloître dans des matériaux de médiocre qualité… mais 
Les serpents entrelacés, à l’autre bout du chevet, se mordent la queue… Un motif assez récurrent dans l’art roman notamment en Poitou.

Je poursuis tranquillement la broderie du tigre dans la rivière d’après un kit de DMC. Pour « l’herbe », il y a beaucoup plus de changements de couleurs…
Retour au cimetière du Père Lachaise pour un tombeau d’un personnage aujourd’hui oublié mais qui fut très célèbre en son temps, le baron Isidore Taylor… Sa tombe, composé d’un hémicycle et d’un haut piédestal avec une statue en marbre, est si bavarde qu’elle raconte sa vie… à condition de réviser les chiffres romains 😉 . Allez, je suis dans un bon jour, je vous les ai traduit en chiffres arabes entre crochets… Sous la statue d’abord, on peut lire « Au baron Taylor / membre de l’institut / M.DCCC.LXXXIV [1884] ». Au dos :
La sculpture porte la signature « G. J. Thomas », pour Gabriel Jules THOMAS (Paris , 1824 – Paris, 1905), premier prix de Rome de sculpture en 1848 (après avoir reçu le deuxième prix en 1844), dont je vous ai déjà parlé pour le buste de
Le baron Taylor est représenté debout, en appui sur une pile de livres posée au-dessus d’une colonne à chapiteau. Ces piles de livres que vous avez déjà vu pour un certain nombre de monuments dédiés à des intellectuels (voir par exemple 







Par ailleurs, elle m’a envoyé plein de cartes à publicité accompagnées d’une jolie carte maison…
… la voici de plus près.
Le jaune serait-il à la mode chez les graphistes?
Ah oui, j’ai oublié, il y avait aussi deux cartes postales pour me donner envie d’une escapade à Vannes… Euh, vue la météo d’hier à Poitiers, pas sûre que cela donne envie de voir s’il fait aussi mauvais en Bretagne…
et oui, je vous l’avais dit,