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Chaumont-sur-Loire 2012 (3), en bocaux et en sachets…

Chaumont-sur-Loire, festival des jardins 2012, jardin 5, 1, vue générale Cette année, je suis allée visiter le festival des jardins (sur le thème Jardins des délices, jardins des délires, voir le site du domaine de Chaumont-sur-Loire) le 15 juin 2012 avec Emmanuelle / le Marquoir d’Élise. Comme d’habitude, nous y sommes allées en train, arrêt en gare d’Onzain puis traversée de la Loire à pied (par le pont!)… Pas de grand soleil, mais pas de pluie non plus… Vous retrouverez les liens vers les articles de cette année avec ceux des années précédentes, sur cette page.

Je vous présente aujourd’hui trois jardins qui ont mis des éléments en sachets ou en bocaux…

On commence par le jardin 5, Un jardin psyché-délice, conçu par Christophe Baerwanger, Léa Dufour, Richard Mariotte, Sara Moreau et Charles Clément.

Chaumont-sur-Loire, festival des jardins 2012, jardin 5, 2, coin repos rouge Pas de jardin sans coin détente… tout en profitant des plantes variées tout autour… (trop humides, ces sièges, pas testés…). Les plantes n’ont pas encore complètement grimpé sur la structure pour créer une pergola ombragée…

Chaumont-sur-Loire, festival des jardins 2012, jardin 5, 3, coin repos en osier et sculpture

Chaque espace a un sol en matériau de récupération, ici, culs de bouteilles dans le coin détente (chaise longue, table en rouleau de câbles) et éclats de miroirs pour accueillir une sculpture en bois.

Chaumont-sur-Loire, festival des jardins 2012, jardin 5, 4, bocaux et sol en pots de confiture Sur les piquets qui vous ont peut-être intrigué, il y a des bocaux… je ne vous mets pas de vue rapprochée, le contenu est peu ragoutant: des bonbons, à l’origine, mais ils auraient dû sceller les bocaux… Mal fermés, l’eau de pluie s’est infiltrée, et les bonbons commencent à faire le bonheur des fourmis… En bas, un autre sol, en couvercles de bocaux…

Chaumont-sur-Loire, festival des jardins 2012, jardin 1, 1, vu depuis l'entrée Nous poursuivons avec le premier jardin, Coulisses d’un festin, conçu par Etienne Rivière, Aline Gayou, Mathilde Coineau, Marion Delage, Pauline Bertin et Laura Yoro. Ils ont choisi de mettre leur jardin en hauteur, dans des massifs surélevés à bordure tressée… C’est plus facile pour le désherbage et la récolte, il n’y a pas à se baisser trop!

Chaumont-sur-Loire, festival des jardins 2012, jardin 1, 2, capucines et autres Un jardin riche de nombreuses espèces de légumes et de fleurs, les capucines étaient déjà bien développées…

Chaumont-sur-Loire, festival des jardins 2012, jardin 1, 3, recettes en sachets Un jardin qui ne peut que rappeler des soirées de rangement de mini-et maxi-grip (les sachets à glissières) aux archéologues que nous sommes, avec Emmanuelle / le Marquoir d’Élise (c’est d’ailleurs sa main qui tient celui-ci)… Pas de silex ou de tessons de poterie, ici, mais des recettes inscrites sur des papiers dans des sachets lestés par des petits cailloux et suspendues au-dessus du jardin. On en a retenu quelques-unes à tester… tant qu’elles étaient encore lisibles! Parce que l’eau s’est infiltré dans les sachets, gare aux moisissures noires dans les prochaines semaines!

Chaumont-sur-Loire, festival des jardins 2012, jardin 24, 2, la bière en raccourci

Je poursuis avec le jardin de la bière (jardin n° 24), conçu par Joost Emmerik.

Chaumont-sur-Loire, festival des jardins 2012, jardin 24, 2, la bière en raccourci Un condensé des ingrédients pour fabriquer la bière… le houblon, l’orge, l’eau (oups, peut-être pas celle-ci!) et la levure…

Chaumont-sur-Loire, festival des jardins 2012, jardin 24, 3, levure Ah, oui, voici le flacon… de levure, sur la table… Avec un gros flacon comme ça, il va être possible de faire une grande cuvée

Chaumont-sur-Loire, festival des jardins 2012, jardin 24, 4, à travers le houblon Quand le houblon aura poussé, la vision de ce jardin sera sans doute plus touffue, avec un jeu de cache-cache entre les supports de pousse…

Pour retrouver les articles de 2012 / Jardins des délices, jardins des délires

  • La Loire haute en 2012 comparée aux années précédentes
  • le jardin n° 1, Coulisses d’un festin, conçu par Etienne Rivière, Aline Gayou, Mathilde Coineau, Marion Delage, Pauline Bertin et Laura Yoro
  • le jardin n° 2, Le jardin bleu d’Absolem, conçu par Jérôme et Christian Houadec
  • le jardin n° 3, Lèche-vitrine, conçu par Benjamin Jardel et Nicolas Epaillard et Yohimbé
  • le jardin n° 4, Le potager, conçu par le bureau d’études de Gally
  • le jardin n° 4bis, Liberté, Egalité, Fraternité, conçu par Sim Flemons et John Warland
  • le jardin n° 5, Un jardin psyché-délice, conçu par Christophe Baerwanger, Léa Dufour, Richard Mariotte, Sara Moreau et Charles Clément
  • le jardin n° 6, Le jardin bijou, conçu par Loulou de La Falaise
  • le jardin n° 7, Le jardin de la Belle au Bois Dormant, créé par Niels De Bruin et Nevena Krilic
  • le jardin n° 8, d’un mode à l’autre, conçu par Dominik Scheuch et Edina Massàny, de l’agence Yewo landscape.
  • le jardin n° 9, Locus genii : le génie est partout, conçu par GIGA-G (Genius Inspired Garden Admirers-Group)
  • le jardin n° 10, Toi et moi, une rencontre, conçu par Nicolas Degennes
  • le jardin n° 11, En pâtisserie, tout est permis, conçu par Simon Tremblais et Matthieu Gabillard et leurs professeurs
  • le jardin n° 12, Delirium tremens, conçu par Marine Vigier, Émilie Delerue, Marie-Laure Hanne, Jérôme Jolyet Frédéric Delcayrou
  • le jardin n° 13, Cordon bleu / Le Jardin d’Alain Passard et du jury
  • le jardin n° 14, Orange mécanique, conçu par Rudy Toulotte et Carola Iglesias Garcia De Sola, de l’AtelierDT
  • le jardin n° 15, Paradis terrestre / Mag mell, conçu par Rita Higgins et Peter Little
  • le jardin n° 16, Le jardin des renards rouges, conçu par Katya Crawford, Susan Frye et Veree Parker Simons
  • le jardin n° 17, émeraude , conçu par Dauphins architecture
  • le jardin n° 18, sens dessus dessous, conçu par Adrien Defosse, Damien Roidot et François Bosset
  • le jardin n° 19, Jardin des délires délicieux, conçu par Guillaume Vigan et Alexandre Granger
  • le jardin n° 19bis, En vert, créé par la superstructure, un collectif de créateurs
  • le jardin n° 20, Le délire des sens, conçu par l’école supérieure d’environnement de Nürtingen-Geislingen, en Allemagne
  • le jardin n° 21, Le calendrier des sept lunes, conçu par l’agence RCP
  • le jardin n° 22, Les chrysadélires, conçu par Laurent Fayolle et Noël Pinsard
  • le jardin n° 23, Fruit de l’imagination, conçu par l’institut national d’horticulture
  • le jardin n° 24, le jardin de la bière, conçu par Joost Emmerik
  • le jardin de sorgho, une création de Michel Blazy
  • Dans le parc : oeuvres de Giuseppe Penone (et de nouvelles photos des celles de Rainer Gross, Tadashi Kawamata et Erik Samakh), d’autres artistes (François Méchain, Bob Verschueren, Alex MacLean, Patrick Douherty)
  • Les Prés du Goualoup et les oeuvres de Pablo Reino
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Chaumont-sur-Loire 2012 (2), Penone et autres dans le parc

Chaumont-sur-Loire 2012, Penone, l'arbre aux cailloux

Cette année, je suis allée visiter le festival des jardins (sur le thème Jardins des délices, jardins des délires, voir le site du domaine de Chaumont-sur-Loire) le 15 juin 2012 avec Emmanuelle / le Marquoir d’Élise. Comme d’habitude, nous y sommes allées en train, arrêt en gare d’Onzain puis traversée de la Loire à pied (par le pont!)… Pas de grand soleil, mais pas de pluie non plus…

Je n’ai pas encore eu le temps de mettre ne forme mes photographies des jardins, alors, je commence par le parc et un nouvel artiste invité cette année, Giuseppe Penone, à voir jusqu’au 7 novembre 2012 (pour découvrir d’autres œuvres de cet artiste, voir le dossier du Centre Pompidou pour la rétrospective de 2004). Ces œuvres seront encore là l’année prochaine… Impossible de rater le grand arbre mort avec des cailloux dans les branches…

Chaumont-sur-Loire 2012, Penone, 2, dans le bosquet De là, un chemin en écorce broyée mène au cœur d’un bosquet, un arbre avec une grosse cicatrice à l’entrée, puis des structures en fers à béton dessinent de futurs haies/œuvres d’art.

Chaumont-sur-Loire 2012, Penone, 3, la main en bronze A la sortie, une main en bronze semble tenir le tronc frêle d’un jeune tilleul. Là, nous avons vraiment hésité, est-ce bien ce qui est en photo sur le guide de visite? Il ne lui ressemble vraiment pas…

Chaumont-sur-Loire 2012, Penone, 4, la main, autre vue … même en tournant autour… Une charmante employée à vélo nous a rassuré, oui, c’est bien ça, la photo du guide est un photomontage de l’évolution probable dans quelques années, lorsque le tronc aura grandi en absorbant plus ou moins la main…

Je vous montrerai d’autres nouveautés dans les prochaines semaines, en attendant, revenons sur quelques œuvres plus anciennes…

Chaumont-sur-Loire 2012, passerelle sur la Loire Le plancher de Tadashi Kawamata, qui domine la Loire, s’est patiné au fil des mois, vous pouvez le revoir version plus jaune en 2011, avec les œuvres de Tadashi Kawamata qui sont aussi toujours en place (cabanes, grand plancher). [PS: vous pouvez aussi découvrir derrière un rideau d’eau son observatoire de Lavau-sur-Loire vu à la fin de ma croisière de Nantes à Saint-Nazaire].

Chaumont-sur-Loire 2012, toit à terre Voici une nouvelle vue de Le Toi(t) à terre de Rainer Gross à revoir en 2011 et en 2010, je n’ai pas repris de photographie du Toi(t) en perspective. Voir aussi Flux et exposition de Rainer Gross à Poitiers en 2014.

Chaumont-sur-Loire 2012, luciole de Samakh Plusieurs des lucioles solaires de Erik Samakh pendaient dans les arbres, je ne les verrai toujours pas à Chaumont , puisqu’elles ne fonctionnent que la nuit et que les nocturnes ne sont que le vendredi en juillet et août… mais je les déjà vues ailleurs, à Melle et au centre d’art du lac de Vassivière…

Je n’ai pas repris de photographies d’autres œuvres qui ont peu évolué, je vous invite à suivre les liens des années précédentes pour les revoir:

Dominique Perrault, dans le parc en 2011. Au passage, la vidéo de Victoria Klotz n’a toujours pas été réparée

L’abri, la grande œuvre de Dominique Bailly sous le château d’eau (que je vous ai présenté ici),

Anne et Patrick Poirier (voir de nouvelles photographies en 2011). Au passage, leur œil est toujours dans la glaciaire à la sortie du vallon des brumes, mais Colorès, de Michel Racine et Béatrice Saurel (qui avait évolué depuis 2009), et les fers ne sont plus visibles, la partie du chemin est marquée comme accès privé, on ne peut plus les apercevoir que de loin..

– l’arbre aux échelles de François Méchain est toujours là, à revoir en 2009, 2010 et 2011

– le jardin de Méditation de Erik Borja et Simon Crouzet (en 2010), car la précédente image n’était pas terrible…

Pour retrouver les articles de 2012 / Jardins des délices, jardins des délires

  • La Loire haute en 2012 comparée aux années précédentes
  • le jardin n° 1, Coulisses d’un festin, conçu par Etienne Rivière, Aline Gayou, Mathilde Coineau, Marion Delage, Pauline Bertin et Laura Yoro
  • le jardin n° 2, Le jardin bleu d’Absolem, conçu par Jérôme et Christian Houadec
  • le jardin n° 3, Lèche-vitrine, conçu par Benjamin Jardel et Nicolas Epaillard et Yohimbé
  • le jardin n° 4, Le potager, conçu par le bureau d’études de Gally
  • le jardin n° 4bis, Liberté, Egalité, Fraternité, conçu par Sim Flemons et John Warland
  • le jardin n° 5, Un jardin psyché-délice, conçu par Christophe Baerwanger, Léa Dufour, Richard Mariotte, Sara Moreau et Charles Clément
  • le jardin n° 6, Le jardin bijou, conçu par Loulou de La Falaise
  • le jardin n° 7, Le jardin de la Belle au Bois Dormant, créé par Niels De Bruin et Nevena Krilic
  • le jardin n° 8, d’un mode à l’autre, conçu par Dominik Scheuch et Edina Massàny, de l’agence Yewo landscape.
  • le jardin n° 9, Locus genii : le génie est partout, conçu par GIGA-G (Genius Inspired Garden Admirers-Group)
  • le jardin n° 10, Toi et moi, une rencontre, conçu par Nicolas Degennes
  • le jardin n° 11, En pâtisserie, tout est permis, conçu par Simon Tremblais et Matthieu Gabillard et leurs professeurs
  • le jardin n° 12, Delirium tremens, conçu par Marine Vigier, Émilie Delerue, Marie-Laure Hanne, Jérôme Jolyet Frédéric Delcayrou
  • le jardin n° 13, Cordon bleu / Le Jardin d’Alain Passard et du jury
  • le jardin n° 14, Orange mécanique, conçu par Rudy Toulotte et Carola Iglesias Garcia De Sola, de l’AtelierDT
  • le jardin n° 15, Paradis terrestre / Mag mell, conçu par Rita Higgins et Peter Little
  • le jardin n° 16, Le jardin des renards rouges, conçu par Katya Crawford, Susan Frye et Veree Parker Simons
  • le jardin n° 17, émeraude , conçu par Dauphins architecture
  • le jardin n° 18, sens dessus dessous, conçu par Adrien Defosse, Damien Roidot et François Bosset
  • le jardin n° 19, Jardin des délires délicieux, conçu par Guillaume Vigan et Alexandre Granger
  • le jardin n° 19bis, En vert, créé par la superstructure, un collectif de créateurs
  • le jardin n° 20, Le délire des sens, conçu par l’école supérieure d’environnement de Nürtingen-Geislingen, en Allemagne
  • le jardin n° 21, Le calendrier des sept lunes, conçu par l’agence RCP
  • le jardin n° 22, Les chrysadélires, conçu par Laurent Fayolle et Noël Pinsard
  • le jardin n° 23, Fruit de l’imagination, conçu par l’institut national d’horticulture
  • le jardin n° 24, le jardin de la bière, conçu par Joost Emmerik
  • le jardin de sorgho, une création de Michel Blazy
  • Dans le parc : oeuvres de Giuseppe Penone (et de nouvelles photos des celles de Rainer Gross, Tadashi Kawamata et Erik Samakh), d’autres artistes (François Méchain, Bob Verschueren, Alex MacLean, Patrick Douherty)
  • Les Prés du Goualoup et les oeuvres de Pablo Reinoso

Des nouvelles de mon jardin (juin 2012)

Mon jardin le 25 mai 2012, la jungle... Après la crue du 1er mai, mon jardin avait carrément viré à la jungle, impossible de pénétrer, avec la poursuite des pluies régulières, il restait trop humide… Le 25 mai 2012, il ressemblait à ceci… Avec surtout une invasion de rumex et d’orties… à enlever soigneusement à la fourche-bêche pour ne pas que ça repousse tout de suite.

Mon jardin le 17 juin 2012, 1, après un grand nettoyage Dimanche dernier (17 juin), j’ai enfin pu retourner poursuivre le nettoyage commencé une quinzaine de jours plus tôt. Il faut tout couper à la main, pas d’électricité ni de carburant au bord du Clain (risque de pollution en cas de crue), et ma tondeuse à rouleau ne supporte pas l’herbe haute… Vive la faucille et le coupe bordure… Il me reste encore le coin vers l’accès à la rivière à nettoyer, ainsi que le quai (invasion de ronces), mais je ne voulais pas trop en faire d’un coup, pour éviter les courbatures… Un peu de réconfort et profiter du (presque) beau temps pour lire un peu face au Clain.

Mon jardin le 17 juin 2012, 2, les saxifrages du Japon Les saxifrages du Japon, données par une ancienne collègue il y a trois ans, sont en retard et encore en fleur (si vous voulez voir ces fleurs toutes légères, j’avais mis une vue rapprochée en 2010). Quand la floraison sera terminée, j’étalerai un peu plus ce tapis sous le figuier en transplantant quelques plants…

Mon jardin le 17 juin 2012, 3, aspérule et angélique L’aspérule odorante, plantée il y a trois ans (juste un pied), forme maintenant un joli tapis vert d’où émergent deux plants d’angélique…

Mon jardin le 17 juin 2012, 4, le tas de branches et d'herbe En deux jours de nettoyage, le tas de compost est bien haut, le tas de branches aussi, ce sont des branches qui sont tombées avec les différents coups de vent de cet hiver et un peu de dégagement des figuiers…

Mon jardin le 17 juin 2012, 5, le goûter avec groseilles et framboises Après le travail… le réconfort! J’avais apporté quelques cookies au chocolat, promis, je vous donnerai la recette, nous n’avions pas tout mangé le vendredi précédent avec Emmanuelle / le Marquoir d’Élise à Chaumont-sur-Loire. J’ai pu compléter avec quelques groseilles (pas de groseilles à maquereau, il n’y en a pas cette année) et de rares framboises…

Le festival des jardins 2012 à Chaumont-sur-Loire

Chaumont-sur-Loire, la Loire qui déborde le 15 juin 2012 Les années de festival des jardins se suivent et ne se ressemblent pas… Cette année, j’y suis allée vendredi dernier (15 juin 2012) avec Emmanuelle / le Marquoir d’Élise. Comme d’habitude, nous y sommes allées en train, arrêt en gare d’Onzain puis traversée de la Loire à pied (par le pont!)…La Loire était très haute, envahissant encore ses bras mineurs… (à comparer ci-dessous avec l’image de 2010, une semaine plus tôt, prise à peu près du même endroit. Pas de grand soleil, mais pas de pluie non plus…

Le thème cette année est Jardins des délices, jardins des délires. En attendant la suite, vous pouvez déjà faire la visite sur le site du domaine de Chaumont-sur-Loire. Sinon, je montrerai ici chaque samedi midi quelques-uns de ces jardins dans les prochaines semaines… Mais pas d’énorme coup de cœur comme avec le jardin n° 2, Sculptillonnages, conçu par Corinne Julhiet-Detroyat et Claude Pasquer en 2011 ou le jardin 20, Le vilain petit jardin de Jean-Michel Vilain, conçu par Arno Denis, Pauline Robiliard et Xavier Coquelet en 2010.

Et qui dit délices dit réconfort des visiteurs… Emmanuelle / le Marquoir d’Élise avait préparé des barres aux céréales maison et moi des cookies tout chocolat. Depuis, j’ai aussi testé la recette des barres de céréales.

Château de Chaumont-sur-Loire, 2011, des gargouilles, 12, la Loire et ses abords grillés En 2011, j’étais allée visiter le festival des jardins de Chaumont-sur-Loire (sur le thème Jardins d’avenir ou l’art de la biodiversité heureuse) le 10 juin 2011, en train comme d’habitude (jusqu’à Onzain), avec Dalinele. Les bords de Loire étaient alors très secs… Il y avait eu un gros orage dans la nuit précédente. J’y suis retournée le 30 septembre.

Chaumont-sur-Loire, festival des jardins 2010, l'arrivée au château, vu depuis l'autre rive de la Loire En 2010, j’y étais allée avec Jardin zen le vendredi 11 juin et ce fut une très belle journée bien réussie.

En 2009, j’y étais allée début septembre…

Vous retrouverez aussi les liens vers les articles de cette année avec ceux des années précédentes, sur cette page.

Pour retrouver les articles de 2012 / Jardins des délices, jardins des délires

  • La Loire haute en 2012 comparée aux années précédentes
  • le jardin n° 1, Coulisses d’un festin, conçu par Etienne Rivière, Aline Gayou, Mathilde Coineau, Marion Delage, Pauline Bertin et Laura Yoro
  • le jardin n° 2, Le jardin bleu d’Absolem, conçu par Jérôme et Christian Houadec
  • le jardin n° 3, Lèche-vitrine, conçu par Benjamin Jardel et Nicolas Epaillard et Yohimbé
  • le jardin n° 4, Le potager, conçu par le bureau d’études de Gally
  • le jardin n° 4bis, Liberté, Egalité, Fraternité, conçu par Sim Flemons et John Warland
  • le jardin n° 5, Un jardin psyché-délice, conçu par Christophe Baerwanger, Léa Dufour, Richard Mariotte, Sara Moreau et Charles Clément
  • le jardin n° 6, Le jardin bijou, conçu par Loulou de La Falaise
  • le jardin n° 7, Le jardin de la Belle au Bois Dormant, créé par Niels De Bruin et Nevena Krilic
  • le jardin n° 8, d’un mode à l’autre, conçu par Dominik Scheuch et Edina Massàny, de l’agence Yewo landscape.
  • le jardin n° 9, Locus genii : le génie est partout, conçu par GIGA-G (Genius Inspired Garden Admirers-Group)
  • le jardin n° 10, Toi et moi, une rencontre, conçu par Nicolas Degennes
  • le jardin n° 11, En pâtisserie, tout est permis, conçu par Simon Tremblais et Matthieu Gabillard et leurs professeurs
  • le jardin n° 12, Delirium tremens, conçu par Marine Vigier, Émilie Delerue, Marie-Laure Hanne, Jérôme Jolyet Frédéric Delcayrou
  • le jardin n° 13, Cordon bleu / Le Jardin d’Alain Passard et du jury
  • le jardin n° 14, Orange mécanique, conçu par Rudy Toulotte et Carola Iglesias Garcia De Sola, de l’AtelierDT
  • le jardin n° 15, Paradis terrestre / Mag mell, conçu par Rita Higgins et Peter Little
  • le jardin n° 16, Le jardin des renards rouges, conçu par Katya Crawford, Susan Frye et Veree Parker Simons
  • le jardin n° 17, émeraude , conçu par Dauphins architecture
  • le jardin n° 18, sens dessus dessous, conçu par Adrien Defosse, Damien Roidot et François Bosset
  • le jardin n° 19, Jardin des délires délicieux, conçu par Guillaume Vigan et Alexandre Granger
  • le jardin n° 19bis, En vert, créé par la superstructure, un collectif de créateurs
  • le jardin n° 20, Le délire des sens, conçu par l’école supérieure d’environnement de Nürtingen-Geislingen, en Allemagne
  • le jardin n° 21, Le calendrier des sept lunes, conçu par l’agence RCP
  • le jardin n° 22, Les chrysadélires, conçu par Laurent Fayolle et Noël Pinsard
  • le jardin n° 23, Fruit de l’imagination, conçu par l’institut national d’horticulture
  • le jardin n° 24, le jardin de la bière, conçu par Joost Emmerik
  • le jardin de sorgho, une création de Michel Blazy
  • Dans le parc : oeuvres de Giuseppe Penone (et de nouvelles photos des celles de Rainer Gross, Tadashi Kawamata et Erik Samakh), d’autres artistes (François Méchain, Bob Verschueren, Alex MacLean, Patrick Douherty)
  • Les Prés du Goualoup et les oeuvres de Pablo Reinoso

Pour habiller mon yucca…

Le yucca sur mon balcon, juin 2012, après le gel, pas de reprise Les anciens et fidèles lecteurs de mon blog se rappellent peut-être du grand yucca offert par mes parents et qui était sur mon balcon (à revoir par exemple lors de son dernier rempotage). Il est trop grand pour rentrer dans mon appartement, je l’avais protégé, mais il n’a pas résisté au gel de cet hiver… Au printemps, je lui avais coupé toutes les feuilles gelées, et planté du lierre et de la pervenche récupérés au jardin…

Le yucca sur mon balcon, juin 2012, plantations de lierre, cornichon, haricots et pervenche Je lui ai ajouté un pied de cornichon et quelques haricots (j’ai piqué des graines à un collègue…). Ceux-ci semblent bien aimer l’atmosphère humide de ces derniers jours, ils poussent à vue d’œil! Affaire à suivre, j’espère que toutes ces plantes vont accepter de grimper sur les tiges!

Affaire à suivre ici

Dans ma mini-serre, ça pousse…

Ca pousse dans ma mini-serre Vous vous souvenez de mes godets en papier journal, réalisés grâce à la « machine » prêtée par Philippe de Tout Poitiers? Et bien, ça pousse, au moins pour les coquelourdes (lychnis) et les lunaires (monnaies du pape), le reste des graines offertes il y a au moins deux ans par Jean-Marie et Marie-José… Les concombre aussi ont bien levé, mais pas les œillets d’Inde, ils ont dû avoir un peu froid en avril… Je vous mets une photographie de ma « serre maison », une bourriche d’huître, un plastique au fond pour l’étanchéité, un fond en bouchons de lièges, du terreau, et une plaque de plexi venant d’un cadre pas cher par dessus.J’ai mis un godet par-dessus, vous voyez que les plantules ont percé le journal… Il va être temps de penser au repiquage, mais pour cela, il faut que je finisse la remise en état de mon jardin, inondé encore au début du mois, il reste très humide, même si j’ai pu y aller vendredi après-midi et hier, pas samedi, j’ai cru qu’il allait pleuvoir (il faut un gros quart d’heure pour en revenir…).

Chaumont-sur-Loire, de 2011 à 2012

Chaumont-sur-Loire 2011, envolée de montgolfières dans l'oeuvre de Dominique Bailly Cette année, j’irai au festival des jardins de Chaumont-sur-Loire le vendredi 15 juin 2012 avec Emmanuelle / le Marquoir d’Élise. Comme d’habitude, j’y vais en train, arrêt en gare d’Onzain puis traversée de la Loire à pied (par le pont!)… Si quelqu’un veut se joindre à nous, ça sera avec grand plaisir… Le thème cette année est Jardins des délices, jardins des délires. En attendant la suite, vous pouvez déjà faire la visite sur le site du domaine de Chaumont-sur-Loire.

En 2011, je suis allée visiter le festival des jardins de Chaumont-sur-Loire (sur le thème Jardins d’avenir ou l’art de la biodiversité heureuse) le 10 juin 2011, en train comme d’habitude (jusqu’à Onzain) , avec Dalinele. J’y suis retournée le 30 septembre dans un cadre de réunion professionnelle (qui s’est poursuivie le lendemain à Amboise (voir Aux cracheurs, aux drôles, au génie, la fontaine de Max Ernst), Chenonceau, et sur des barrages sur le Cher), nous avions pu faire un tour à nouveau dans les jardins, j’ai refait des photos que j’ai mises à la suite des articles publiés après la visite de juin… A voir ou revoir par ces liens… La photographie que j’ai mise pour illustrer cet article est aussi prise fin septembre, une envolée de montgolfières vues à travers l’œuvre de Dominique Bailly. Vous retrouverez aussi les liens vers les articles de cette année avec ceux des années précédentes, sur cette page.

Chaumont-sur-Loire, festival 2011, le jardin7, 4, canne à sucreC’est probablement le jardin n° 7, la sève à la croisée des chemins, conçu par Ernesto Neto et Daisy Cabral Nogueira, qui a le plus changé, avec des canes à sucre toutes petites en juin…

Chaumont-sur-Loire, festival des jardins 2011, jardin 7 en automne (30 septembre) : deux vues … et très grandes fin septembre…

Je vous laisse découvrir les autres… Les liens vers les sites des créateurs, quand ils en ont, sont dans les articles…

Pour retrouver les articles de 2011 / Jardins d’avenir ou l’art de la biodiversité :

  • en préalable, le puits avec des archers et les gargouilles du château
  • le jardin n° 1, Le laboratoire, conçu par Méryl Fanien, Philippe Guillemet et Cyrille Parlot
  • le jardin n° 2, Sculptillonnages, conçu par Corinne Julhiet-Detroyat et Claude Pasquer
  • le jardin n° 3, Tu me manques, conçu par Jacob Vilato et Marc Cunat
  • le jardin n° 4, La transparence du ver, conçu par Anne Blouin et Alessandra Blotto
  • le jardin n° 4bis, La bibliothèque du souvenir, conçu par Gaétan Macquet, Oreline Tixier et Pierre-Albert Labarrière
  • le jardin n° 5, L’envers du décor, conçu par Cathy Viviès et Vanessa Farbos
  • le jardin n° 6, Le jardin bijou, conçu par Loulou de La Falaise avec le concours de Paul-Antoine Penneau
  • le jardin n° 7, la sève à la croisée des chemins, conçu par Ernesto Neto et Daisy Cabral Nogueira
  • le jardin n° 8, La biodiversité en question, conçu par Olivier Chardin, Anaïs Brochiero, Philippe Verigno et Anaïs Brochiero,
  • le jardin n° 9, Le jardin pixélisé conçu par Mattéo Pernigo et Claudio Benna
  • le jardin n° 10, Le jardin méditerranéen conçu par les équipes du festival en liaison avec les étudiants de l’Institut national d’horticulture d’Angers
  • le jardin n° 11, Manier avec précaution, conçu par Jeroen et Maarten Jacobs
  • le jardin n° 12, Le jardin des plantes disparues, conçu par Olivier Barthélémy et Denis Valette
  • le jardin n° 13, La nature des choses, conçu par Soline Portmann, Aurélie Zita et Mioko Tanaka.
  • le jardin n° 14, Célébrons et tissons la [bio]diversité, conçu par Manon Bordet-Chavanes
  • le jardin n° 15, Entre ciel et terre, conçu par Wang Xiangrong
  • le jardin n° 16, Lucy in the sky, conçu par Chilpéric de Boiscuillé, Raphaëlle Chéré, Pauline Szwed et Benjamin Haupais,
  • le jardin n° 17, Les bulbes fertiles, conçu par Xavier Bonnaud, Stéphane Berthier, Clément Bouchet, Fabien Gantois, Etienne Panien, Olivier Duraysseix et Guillaume Pezet
  • le jardin n° 18, Le jardin à la rue, conçu par Julien Maieli et Germain Bourré
  • le jardin n° 19, le jardin de Madame Irma, conçu par Gladys Griffault, Clara Juncker, Emmie Nyk et Pascale Trouillet
  • le jardin n° 19bis, La biodiversité bleue, sans concepteur identifié
  • le jardin n° 20, Le jardin à emporter, conçu par Steve Papps, Jo Chapman et Jackie Bennett
  • le jardin n° 21, Le jardin des marées, conçu par Sarah Foque, Roland Horne, Jeremy Clark, Jos Gibson, Olly Hurst et Stan Van Der Laan…
  • le jardin n° 22, Graines d’espoir ou le jardin d’un regard partagé, conçu par des étudiants de l’école Du Breuil et de l’école Boulle
  • le jardin n° 23, Le pollen exubérant, conçu par Yekaterina Yushmanova et Ruth Currey
  • le jardin n° 24, La salle à manger, conçu par un groupe d’étudiantes japonaises
  • les jardins zen : le jardin de méditation d’Erik Borja et Simon Crouzet et le jardin 7
  • les murs végétaux : le jardin 8 et les murs de Patrick Blanc
  • le jardin expérimental
  • des oeuvres dans le château : La soupe verte de Gerda Steiner et Jörg Lenzlinger, Jardins engloutis et Carnivores de Helene Schmitz, Atmosphère de Shin-Ichi Kubota, Sarkis
  • les oeuvres de Dominique Bailly dans le parc et les écuries et celles de Bob Verschueren (Dominique Perrault, Herman de Vries, Manfred Menz)
  • Colorès dan
    s le vallon des brumes
  • les oeuvres de Tadashi Kawamata, de Dominique Perrault (avec de nouvelles photographies des oeuvres de Anne et Patrick Poirier, François Méchain, Victoria Klotz et Rainer Gross), dans le parc

Du muguet… sous l’eau (au sens propre)

Crue du Clain le 30 avril 2012, 1, mon jardin sous 5 cm d'eau

Le mois de mars 2012 a été très sec à Poitiers, la rivière avait son niveau d’étiage de juin/juillet. Changement de programme en avril… Trois semaines de giboulées, 43 mm d’eau en plus samedi (et jusqu’à 55 mm en amont), et voici le Clain à nouveau en crue depuis dimanche… Une crue moins importante qu’en décembre 2011 (environ 80 cm en partie basse), mais là (photographies de lundi 29 vers 17h30), il y a quand même de l’eau en surface jusqu’au milieu du jardin… qui ressemble à une rizière bien verte… Impossible de couper l’herbe ou de désherber depuis les giboulées, du coup, ça pousse, il y a quelques centimètres d’eau sur les framboisiers (en bas) et plus de 5 cm je pense au-dessus du muguet, à l’arrière de mes carrés de potager qui surnagent…

Crue du Clain le 30 avril 2012, 2, les scilles Les scilles offerts par Jean-Marie et Marie-José sont encore bien fleuris, mais impossible d’aller cueillir un bouquet, même avec des bottes, ça s’enfonce trop… (à gauche de la photo, les perches de l’un des carrés, le muguet est un peu plus à gauche).

Crue du Clain le 30 avril 2012, 3, sous le pont de chemin de fer et jardin voisin Impossible aussi de passer sous le pont de chemin de fer et donc de remonter par le chemin de la Cagouillère, je prends donc le chemin de Traine-Bot au retour comme à l’aller (j’avais été prudente)… Et au passage, vue sur un jardin voisin du mien, un peu plus bas, artichauts et poireaux surnagent… Bon, il y aura du boulot à la décrue… Le pire, c’est que ça déborde, mais les nappes phréatiques ne se rechargent pas vraiment, les plantes absorbent l’essentiel de l’eau qui ne s’évacue pas directement vers la mer.

Des godets en papier journal…

Les godets en papier : la fabrication Il y a quelque temps, Philippe de Tout Poitiers montrait une photographie mystérieuse… qui s’avéra être un recyclage de la presse locale en godet en papier. Il m’a gentiment prêté son petit appareil à fabriquer ces godets, le paper potter qu’il a rapporté d’un voyage en Grande-Bretagne. J’ai même eu une démonstration et les conseils sur la largeur de papier journal, ne pas trop serrer, etc. De retour chez moi, c’est parti… Découpage de bandes, vous voyez, pas de préférence pour la presse locale, Centre Presse et la Nouvelle République, pas de jaloux! J’ai aussi essayé avec le Canard enchaîné, papier plus épais et bandes un peu plus longues… Ces petits godets vont remplacer avantageusement les godets en tourbe ou pire les godets en plastique pour les semis… J’en ai très vite fabriqué une cinquantaine.

Les godets en papier : les semis En plus, ils ont un gros avantage, on peut écrire directement sur le godet ce qu’il contient, fini les étiquettes qui tombent, les surprises à la germination… J’ai réutilisé ma « serre à semis » maison, à savoir une bourriche à huîtres plutôt grand format (et oui, je n’en ai pas seulement fait des rangements pour les rubans ou la laine). Donc, récupérer un vieille bourriche, bien la nettoyer (oui, là, elle est sale, mais elle a passé deux ans dehors). Étanchéifier le fond avec de vieux plastiques (pas top, je sais… mais au moins, ils ont ainsi une utilité plutôt que de partir à l’incinérateur ou en décharge). J’ai posé au fond une couche de bouchons en liège, ils ont un peu le même rôle que les billes d’argile, il suffit de demander aux amis pour en avoir vite un petit stock, c’est aussi utile à la place d’un paillage sur les jardinières du balcon… Bon, revenons à ma serre… Mettre au-dessus du terreau (moitié terreau, moitié compost maison) pour atteindre un peu plus du tiers de la hauteur de la bourriche. Arroser, cela maintiendra l’humidité de la serre… Poser les godets dessus, les remplir de terreau, mettre les graines et recouvrir de terreau selon ce qui est semé (j’ai mis des fleurs, de la salade, du poivron, de la coriandre, du concombre), arroser, et poser une vitre dessus (j’utilise un plexiglass de cadre pas cher)… Ne pas oublier d’aérer s’il y a trop de condensation, mais avec les planches non jointives en haut de la bourriche, je n’ai jamais eu le problème. Je la laisse sur le balcon pour pouvoir surveiller, quand les plants seront vigoureux, je les mettrai en pleine terre au jardin (à un gros quart d’heure à pied de mon appartement), pour ceux qui n’ont pas besoin de repiquage, ça sera directement en pleine terre avec le godet, comme pour les godets de tourbe… PS: ça a bien poussé!

Merci à Philippe de Tout Poitiers pour son prêt, j’avais vu l’engin l’année dernière dans une revue de jardinage, l’essai m’a convaincue!

L’éclosion du printemps au jardin

Mon jardin le 14 mars 2012, 1, les carrés

Il y a quelques jours, Jean-Marie et Marie-José me demandaient des nouvelles de mon jardin… Voici donc des photographies prises ces deux derniers soirs, et puis, avec les jours qui rallongent, je peux y passer en débauchant le soir… Suite à la crue du Clain de décembre 2011 (environ 80 cm en partie basse), les carrés de potager vont avoir besoin d’une petite consolidation, mais pas grand chose… En revanche, il faut que j’enlève toutes les feuilles et brindilles qui se sont déposées partout, j’ai déjà ôté les branches réparties ça et là…

Mon jardin le 14 mars 2012, 2, crocus et violettes Il reste encore quelques crocus en fleur dans la pelouse, et les violettes offertes par Jardin zen embaument… J’ai vu depuis une semaine ici et là des tapis de violettes dans les pelouses…

Mon jardin le 14 mars 2012, 4, au rayon fines herbes Au rayon aromates, important avec mon régime sans sel, le persil est reparti, comme la menthe chocolat (qui perce tout juste, vignette en bas à droite, cadeau d’Emmanuelle), la mélisse citronnelle et l’angélique (cadeau d’un collègue). La ciboulette aussi pointe son nez (pas de photo). En revanche, la sauge ananas (cadeau d’Emmanuelle aussi), la sauge officinale, la livêche et la menthe officinale n’ont pas encore décidé que le printemps arrivait et qu’il serait temps de sortir…

Mon jardin le 14 mars 2012, 3, au rayon futures fleurs Les euphorbes (aussi offerts par Jardin zen) ont résisté au gel. Côté fleurs, les campanules (cadeau d’une collègue) grandissent à vue d’œil, de même que les hémérocalles (pas photographiées) et les scilles offerts par Jean-Marie et Marie-José.

Mon jardin le 14 mars 2012, 5, framboisiers et groseillers Les fruits rouges devraient aussi avoir résisté au gel… Les framboisiers, les groseilliers normaux et à maquereau, qui viennent de chez mon père sont déjà bien partis…

Mon jardin le 14 mars 2012, 6, aspérule L’aspérule pointe aussi son nez (vous pouvez la revoir ici avant floraison). Dans un gros mois, je devrais avoir un joli tapis odorant…

Mon jardin le 14 mars 2012, 7, cerisiers sur le coteau Sur le coteau, les cerisiers commencent à fleurir. Gare aux gelées, hier matin, le thermomètre indiquait 2°…