Archives par étiquette : jardin

Ficus et hérisson de noël…

La décoration de mon ficus pour noël 2011 Pas facile de prendre en photographie mon ficus (et le scheffléra) que j’ai décoré en cette fin d’année (comme en 2010… et en 2008, je n’ai pas retrouvé la photo de 2009) avec divers pendouilles, biscornus etc. Vous y reconnaîtrez en particulier des cadeaux reçus de Cathdragon, Zazimuth, Emmanuelle / le Marquoir d’Élise (et toutes les autres amies…), la boule de noël au tricot, les biscornus du SAL biscornu tout au long de l’année 2010, etc.

Le hérisson se hérisse de cartes J’ai aussi ressorti mon livre hérisson, qui reçoit les cartes de voeux reçues ces derniers jours…

PS : vous pouvez le voir chargé de cartes pour noël 2011, l’été 2012.

Crue et décrue? Des nouvelles de mon jardin et de la centrale nucléaire de Civaux

Poitiers, au pont Saint-Cyprien, la crue du Clain le 20 décembre 2011 Après la tempête de la nuit de jeudi à vendredi dernier et la crue de ces derniers jours, dimanche, il y avait un bon mètre d’eau sous le pont de chemin de fer qui permet l’accès à mon jardin, où le niveau du Clain était encore très très bas mi-octobre:on voyait à peine le haut des oreilles de l’éléphant, mais j’avais oublié mon appareil photo chez moi. Je suis passée hier midi (20 décembre 2011) au pont Saint-Cyprien… Le niveau à un peu baissé, mais reste nettement trop haut pour passer chez moi et voir s’il y a eu des dégâts avec la tempête… Il faudra attendre encore un peu pour aller voir ce qui s’y passe…

Une crue plus forte que celle de l’année dernière, mais beaucoup moins que la crue centenaire de 1904, à revoir dans cet article sur les crues du Clain : d’hier (février 1904) et aujourd’hui (décembre 2010). Vous y trouverez aussi des liens pour la crue de 1896 qui a surtout été forte sur la Vienne.

Par ailleurs, Grégory Vouhé m’a signalé ce article du dimanche 6 avril 1913 de L’avenir de la Vienne, qui montre sur la vue numérisée n° 11/51 la crue du Clain au pont Saint-Cyprien, à peu près au même endroit que la photographie ci-contre.

Défi photo, jardins, 2, Poitiers, pont Saint-Cyprien Pour mémoire, voici le même endroit que la photographie du haut prise en juillet 2011, c’était alors une période de sécheresse… L’eau montait encore hier plus haut que le haut de l’escalier…

Du côté de la centrale nucléaire de Civaux (sur la Vienne, et pas sur la Loire, comme l’a écrit le Canard enchaîné dans son dossier spécial nucléaire), il y a un mois, le niveau était toujours limite très bas, autour de 15 mètres-cubes par seconde, l’interruption est à 10 mètres-cubes, toujours très proche de la sécheresse, d’autant plus qu’il semble que tout l’été, EDF a calculé un débit surestimé par rapport à la réalité et à ce qui était mesuré en amont par le syndicat des eaux. Avec la pluie de la dernière quinzaine, il était remonté à près de 100 mètres-cubes par seconde. Samedi et dimanche, un pic a été atteint plus de 650 mètres-cubes par seconde en moyenne (voir les relevés sur le site d’EDF), avec un pic à plus de 850. Il a rebaissé en-dessous de 300, mais un réacteur a été coupé hier pour cause d’invasion d’algues dans les grilles… l’incident est reporté sur cette autre page d’EDF. Et oui, la jussie, même si elle n’est pas citée, ça semblait bien être elle sur le reportage de France 3 hier, s’en est donné à cœur joie cet été avec la sécheresse, elle étouffe peu à peu nos rivières, en couvrant la surface et en diminuant l’oxygénation de l’eau)… et finira peut-être par avoir la peau de la centrale???

Côté sécurité de cette centrale, ça devient limite… Il y a eu deux autres coupures en un mois pour dégagement de fumée (le 30 novembre et le 8 décembre 2011) suite au redémarrage de la tranche 1 après la visite décennale (réalisée 16 ans et non 10 après sa mise en service en 1995). Le 14 novembre, il y a eu un incident classé niveau 1 (les autres sont à zéro…) : un camion avait oublié de décharger sa remorque pleine de matières radioactives, pudiquement, pour EdF, ça s’appelle un déplacement non prévu de combustible. En juin, il y avait eu 4 autres incidents classés au niveau 1, si on ajoute celui du mois de janvier, ça fait beaucoup sur l’année 2011 (6 incidents de niveau 1, l’autorité de sûreté nucléaire n’a pas encore rendu son avis sur le classement des « anomalies » de décembre). La plupart sont présentés comme des erreurs humaines… Vive la sécurité renforcée des centrales après Fukushima!!!

Les mystères douloureux de Camille Alaphilippe à Tours

Tours, les mystères douloureux de C. Alaphilippe, 1, vue générale

Petite erreur de programmation, l’article était prévu pour le 20 décembre 2011…

Cela faisait un moment que je ne vous avais pas emmenée en visite à Tours… Aujourd’hui, nous retournons dans le parc Mirabeau, où je vous ai déjà montré la fontaine inaugurale et la stèle aux céramistes. Cette fois, il s’agit d’un groupe sculpté en marbre, Les mystères douloureux. Il est composé d’un couple, un homme et une femme, qui se lamentent sur le corps inanimé d’un jeune enfant (cela vous rappelle peut-être une sculpture sur le même thème que je vous ai montrée à Poitiers, La douleur maternelle de Antoine Etex, 1859). Le père est un homme assis, nu, musclé, qui passe le bras gauche autour de la taille de sa femme assise à son côté, vêtue d’une longue robe, la tête nue aux longs cheveux décoiffés, et soutient de son autre main la tête de l’enfant dont le corps est allongé sur ses genoux.

Tours, les mystères douloureux de C. Alaphilippe, 2, signature Ce groupe sculpté est beaucoup plus récent et est daté de 1905, année où il a aussi été présenté au salon des artistes français sous le n° 2786. Il est signé de Camille Alaphilippe, dont je vous ai déjà montré, aussi à Tours, la messe miraculeuse de saint Martin (voir cet article pour un bref aperçu de la vie de ce sculpteur) dans la basilique Saint-Martin. Il a aussi réalisé plusieurs monuments aux morts en Algérie, où il a poursuivi sa vie, dont celui de Skikda (Philippeville) déplacé à Toulouse, ainsi que par exemple le Premier miroir dans le jardin des plantes de Nantes.

Tours, les mystères douloureux de C. Alaphilippe, 3, l'enfant très endommagé Ce groupe en marbre a subi de nombreuses dégradations, en particulier, l’enfant a eu les bras et les jambes fracturés…

Tours, les mystères douloureux de C. Alaphilippe, 4, quatre vues de détail

Voici quelques détails qui montrent comment le sculpteur a représenté la douleur notamment de la mère, soutenue par son mari, qui contraste avec le visage serein de l’enfant.

Tours, les mystères douloureux de C. Alaphilippe, 5, quatre vues de détail dont les visages

Voici quelques détails des visages de la mère, de l’enfant et du père. De dos, on voit la position relâchée, effondrée du père.

Les photographies datent d’octobre 2011.

Un jardin à la française pour Marlie

Marque-page jardin à la française pour Marlie J’ai rencontré Marlie à Paris il y a quelques jours… Je lui avais apporté un marque-page pour noël, un jardin à la française dans le style de Marly (le-Roi)! Finition avec du biais vert pelouse et du thermocollant au dos. Je l’avais accompagné d’une ATC vache… clin d’œil au concours de Nans-sur-Sainte-Anne (PS: il est maintenant terminé, vous pouvez découvrir ici l’ensemble que j’ai réalisé).

Le modèle vient de Marque-pages au point de croix, par Catherine Auguste et Odile Baudron, chez Edisud (2006), dans lequel j’ai brodé le marque-page du Rajasthan et sans doute d’autres à venir…

Dans ce livre, j’ai réalisé:

Un stage de vannerie à Jaunay-Clan

Stage de vannerie à Jaunay-Clan, 1, les végétaux Il y a une dizaine de jours, j’ai eu l’occasion de participer à un stage de vannerie organisé à Jaunay-Clan près de Poitiers par l’association Cycleum. Cette association propose régulièrement des ateliers autour du recyclage le mercredi soir, et cette fois tout un samedi après-midi. De l’osier bien sûr, mais aussi plein d’autres matériaux…

Stage de vannerie à Jaunay-Clan, 2, les réalisations Après quelques heures de rigolade, voici le résultat de chacun…

Stage de vannerie à Jaunay-Clan, 3, ma réalisation, un petit panier … et le mien! Pas très rond, pas facile de façonner au fur et à mesure de l’avancée, mais cela me donne envie de me pencher sérieusement sur la technique…

Chaumont-sur-Loire, festival 2011 (22) : Sarkis

Chaumont-sur-Loire 2011, combles du château, un vitrail de Sarkis

Cette année, je suis allée visiter le festival des jardins de Chaumont-sur-Loire (sur le thème Jardins d’avenir ou l’art de la biodiversité heureuse) le 10 juin 2011, en train comme d’habitude (jusqu’à Onzain), avec Dalinele. Vous retrouverez les liens vers les articles de cette année avec ceux des années précédentes, sur cette page, et au fur et à mesure de leur publication en bas de chaque article. En attendant la suite, vous pouvez aussi faire la visite sur le site du domaine de Chaumont-sur-Loire). J’essayerai de mettre des liens vers les sites des concepteurs ou les sites créés pour ce festival, n’hésitez pas à suivre les liens…

Les combles et le deuxième niveau de l’aile sud du château, qui n’étaient pas ouverts au public ces dernières années, ont été investis par Sarkis. La Région Centre lui a passé la commande de 72 vitraux pour le château de Chaumont-sur-Loire, 40 en 2011 et 32 en 2012 pour les cuisines et les sous-sols.

Chaumont-sur-Loire 2011, combles du château, un autre vitrail de Sarkis En voici un second exemple, vous pouvez retrouver les autres sur ce diaporama. Il a investi des couloirs, des pièces qui servent de débarras, utilisé la technique du vitrail avec du verre peint ou imprimé (en sérigraphie?) de photographies ou de fragments de photographies.

Il y avait aussi d’autres expositions de photographies, Noces de Gilbert Fastenaekens dans la chambre de la princesse (des photographies en noir et blanc dans une forêt de Champagne-Ardenne), et Stockage de Luzia Simons (qui étaient l’année dernière dans la ferme). Côté sculptures, il restait dans la cuisine les cloches de Jannis Kounellis, mais ouf, les couteaux de l’année dernière ont disparu… Et les cloches ne seront plus là en 2012, puisque les vitraux de Sarkis sont annoncés dans cet espace.

Pour retrouver les articles de 2011 / Jardins d’avenir ou l’art de la biodiversité :

  • en préalable, le puits avec des archers et les gargouilles du château
  • le jardin n° 1, Le laboratoire, conçu par Méryl Fanien, Philippe Guillemet et Cyrille Parlot
  • le jardin n° 2 : Sculptillonnages, conçu par Corinne Julhiet-Detroyat et Claude Pasquer
  • le jardin 4bis, La bibliothèque du souvenir, conçu par Gaétan Macquet, Oreline Tixier et Pierre-Albert Labarrière
  • le jardin 5, L’envers du décor, conçu par Cathy Viviès et Vanessa Farbos
  • le jardin n° 7 : la sève à la croisée des chemins, conçu par Ernesto Neto et Daisy Cabral Nogueira
  • le jardin n° 8 : La biodiversité en question, conçu par Olivier Chardin, Anaïs Brochiero, Philippe Verigno et Anaïs Brochiero,
  • le jardin n° 11, Manier avec précaution, conçu par Jeroen et Maarten Jacobs
  • le jardin n° 13 : La nature des choses, conçu par Soline Portmann, Aurélie Zita et Mioko Tanaka.
  • le jardin n° 14, Célébrons et tissons la [bio]diversité, conçu par Manon Bordet-Chavanes
  • le jardin n° 15, Entre ciel et terre, conçu par Wang Xiangrong
  • le jardin n° 16, Lucy in the sky, conçu par Chilpéric de Boiscuillé, Raphaëlle Chéré, Pauline Szwed et Benjamin Haupais,
  • le jardin 22, Graines d’espoir ou le jardin d’un regard partagé, conçu par des étudiants de l’école Du Breuil et de l’école Boulle
  • les jardins zen : le jardin de méditation d’Erik Borja et Simon Crouzet et le jardin 7
  • les murs végétaux : le jardin 8 et les murs de Patrick Blanc
  • des oeuvres dans le château : La soupe verte de Gerda Steiner et Jörg Lenzlinger, Jardins engloutis et Carnivores de Helene Schmitz, Atmosphère de Shin-Ichi Kubota
  • les oeuvres de Dominique Bailly dans le parc et les écuries

Chaumont-sur-Loire, festival 2011 (21) : le jardin pédagogique

Chaumont-Sur-Loire 2011, le jardin expérimental, 01, le coin des enfants

Cette année, je suis allée visiter le festival des jardins de Chaumont-sur-Loire (sur le thème Jardins d’avenir ou l’art de la biodiversité heureuse) le 10 juin 2011, en train comme d’habitude (jusqu’à Onzain), avec Dalinele. Vous retrouverez les liens vers les articles de cette année avec ceux des années précédentes, sur cette page, et au fur et à mesure de leur publication en bas de chaque article. En attendant la suite, vous pouvez aussi faire la visite sur le site du domaine de Chaumont-sur-Loire). J’essayerai de mettre des liens vers les sites des concepteurs ou les sites créés pour ce festival, n’hésitez pas à suivre les liens…

Vers l’entrée haute du domaine, près du parking (en tant que piéton, puisque je viens en train, je n’arrive jamais par là), se trouve l’espace pédagogique et le jardin expérimental.

Chaumont-Sur-Loire 2011, le jardin expérimental, 02, des barquettes en osier Des sortes de barquettes en osier tressé renferment des fleurs et des aromatiques.

Chaumont-Sur-Loire 2011, le jardin expérimental, 03, un espace pédagogique Sous la structure en bois, des panneaux à vocation pédagogique en français et en anglais…

Chaumont-Sur-Loire 2011, le jardin expérimental, 04, vers le mur végétal Juste derrière se trouve l’un des murs végétaux de Patrick Blanc que je vous ai déjà montré avec les murs végétaux

Chaumont-Sur-Loire 2011, le jardin expérimental, 05, un hôtel à insectes Tiens, un autre hôtel à insectes, avec autour des photographies agrandies des hôtes potentiels…

Chaumont-Sur-Loire 2011, le jardin expérimental, 06, de la laîche massue Et puis, parmi les plantes, celle-ci très curieuse, le laîche massue…

Chaumont-Sur-Loire 2011, le jardin expérimental, 07, des poiriers en cordon On franchit un petit couloir végétal et on entre dans le jardin expérimental avec ces poiriers taillés en cordon…

Chaumont-Sur-Loire 2011, le jardin expérimental, 8, le potager en carré Au centre, un potager en carré… (et au fond, les bâtiments de l’ancienne ferme modèle).

Chaumont-Sur-Loire 2011, le jardin expérimental, 09, le paillage du potager On ne lésine pas sur le paillage… et les cageots peuvent aussi servir de protection. Et une mare avec des nénuphars à gauche.

Chaumont-Sur-Loire 2011, le jardin expérimental, 10, encore du paillage Une autre vue, betteraves au premier plan…

Chaumont-Sur-Loire 2011, le jardin expérimental, 11, un autre hôtel aux insectes Un autre hôtel pour les insectes, plus grand et d’un modèle plus fréquent… j’en ai croisé des semblables au jardin botanique de Tours et à Cahors.

Chaumont-Sur-Loire 2011, le jardin expérimental, 12, les ruches Et pour faire vivre encore et encore les petites bêtes, dans le parc se trouvent plusieurs ruches…

Chaumont-Sur-Loire 2011, le jardin expérimental, 13, des nichoirs … et des nichoirs à oiseaux tous différents, histoire que chaque espèce puisse trouver son bonheur…

Chaumont-Sur-Loire 2011, le jardin expérimental, 14, des nichoirs Une dernière petite vue en attendant le dernier article de la saison samedi prochain…

Chaumont-sur-Loire, festival des jardins 2011, le jardin expérimental en automne (30 septembre) En fait non, je suis retournée à Chaumont fin septembre 2001, voici la récolte des aulx et autres oignons mis à sécher…

Chaumont-sur-Loire, festival des jardins 2011, le jardin expérimental en automne (30 septembre) … et deux vues du jardin pédagogique qui a pas mal évolué au fil des mois.

Pour retrouver les articles de 2011 / Jardins d’avenir ou l’art de la biodiversité :

  • en préalable, le puits avec des archers et les gargouilles du château
  • le jardin n° 1, Le laboratoire, conçu par Méryl Fanien, Philippe Guillemet et Cyrille Parlot
  • le jardin n° 2 : Sculptillonnages, conçu par Corinne Julhiet-Detroyat et Claude Pasquer
  • le jardin n° 7 : la sève à la croisée des chemins, conçu par Ernesto Neto et Daisy Cabral Nogueira
  • le jardin n° 8 : La biodiversité en question, conçu par Olivier Chardin, Anaïs Brochiero, Philippe Verigno et Anaïs Brochiero,
  • le jardin n° 11, Manier avec précaution, conçu par Jeroen et Maarten Jacobs
  • le jardin n° 13 : La nature des choses, conçu par Soline Portmann, Aurélie Zita et Mioko Tanaka.
  • les jardins zen : le jardin de méditation d’Erik Borja et Simon Crouzet et le jardin 7
  • les murs végétaux : le jardin 8 et les murs de Patrick Blanc
  • des oeuvres dans le château : La soupe verte de Gerda Steiner et Jörg Lenzlinger, Jardins engloutis et Carnivores de Helene Schmitz, Atmosphère de Shin-Ichi Kubota

Chaumont-sur-Loire, festival 2011 (20) : les derniers jardins

Chaumont-sur-Loire, festival 2011, le jardin 23, 1, l'entrée

Cette année, je suis allée visiter le festival des jardins de Chaumont-sur-Loire (sur le thème Jardins d’avenir ou l’art de la biodiversité heureuse) le 10 juin 2011, en train comme d’habitude (jusqu’à Onzain), avec Dalinele. Vous retrouverez les liens vers les articles de cette année avec ceux des années précédentes, sur cette page, et au fur et à mesure de leur publication en bas de chaque article. En attendant la suite, vous pouvez aussi faire la visite sur le site du domaine de Chaumont-sur-Loire). J’essayerai de mettre des liens vers les sites des concepteurs ou les sites créés pour ce festival, n’hésitez pas à suivre les liens…

Je vous présente cette semaine les derniers jardins, il me restera encore la semaine prochaine les jardins expérimentaux puis les dernières œuvres d’art, ensuite, il faudra patienter quelques mois pour le prochain festival en 2012… sans doute en juin aussi, après une dizaine d’années de fréquentation, je pense que c’est vraiment la meilleure période… Je commence par le jardin n° 23, Le pollen exubérant, conçu par Yekaterina Yushmanova et Ruth Currey.

Chaumont-sur-Loire, festival 2011, le jardin 23, 2, les bacs en bois Un jardin au sol blanc avec de grands bacs carrés en bois de différentes hauteurs, plein de fleurs…

Chaumont-sur-Loire, festival 2011, le jardin 23, 3, plein de butineurs sur les fleurs Réussi côté biodiversité, les butineurs s’en donnent à cœur joie…

Chaumont-sur-Loire, festival 2011, le jardin 23, 4, le lit dans ses bulles... Au fond, un lit sous des bulles de plastique…

Chaumont-sur-Loire, festival 2011, le jardin 23, 5, une mare au pied du lit Attention, ne pas descendre par le bout, sinon, plouf dans le bassin…

Chaumont-sur-Loire, festival des jardins 2011, deux vues du jardin 23 en automne (30 septembre) Voici ce qu’il était devenu le 30 septembre 2011.

Chaumont-sur-Loire, festival 2011, le jardin 24, 1, l'entrée La sieste finie, on passe à table avec le jardin n° 24, La salle à manger, conçu par un groupe d’étudiantes japonaises, Eri Okuma, Manami Oyakawa, Mika Shiotani et Yumi Nakao, encadrées par leurs professeurs Yoshinori Kitamura et Yoshikatu Zaha. Le site du jardin est en anglais dans un environnement des pages en japonais…

Chaumont-sur-Loire, festival 2011, le jardin 24, 2, la table est mise... et servie en fruits Plus d’excuse pour ne pas mettre la table, assiettes et couverts sont peints… Il n’y a plus de fraises (oui, des fraisiers au milieu de la table), mais cela va être très sympa en fin d’été, le raisin directement à portée de main… Cette table devrait être inscrite au livre des records dans la catégorie « circuits courts »!

Chaumont-sur-Loire, festival 2011, le jardin 24, 3, un parterre Les animaux façon nains de jardin jouent à cache-cache ou se montrent bien en vue sur la table, dans les allées et dans les parterres.

Chaumont-sur-Loire, festival 2011, le jardin 24, 4, fleurs, légumes et fruitiers Un jardin qui allie avec harmonie fleurs, légumes et arbres fruitiers…

Chaumont-sur-Loire, festival des jardins 2011, deux vues du jardin 24 en automne (30 septembre) En automne (30 septembre), la vigne avait pris place à table…

Chaumont-sur-Loire, festival 2011, le jardin 19bis, 1, l'entrée du jardin Je continue avec le jardin n° 19 bis La biodiversité bleue, sans concepteur identifié, juste indiqué comme réalisé avec le concours d’Agrocampus Ouest à Angers… En bleu certes, mais loin d’être mon préféré…

Chaumont-sur-Loire, festival 2011, le jardin 19bis, 2, les parterres bleus Un sol de cailloux blancs et de tessons de verre poli bleu (ou de pierres colorées?) dans lequel les plantes n’ont pas très bonne mine…

Chaumont-sur-Loire, festival 2011, le jardin 19bis, 3, des cailloux et des fleurs bleues … une grande impression de désordre…

Chaumont-sur-Loire, festival des jardins 2011, le jardin 19bis en automne (30 septembre) … et ce n’était pas mieux fin septembre…

Chaumont-sur-Loire, festival 2011, le jardin 21, 1, l'entrée Passons dans le jardin n° 21, Le jardin des marées, conçu par Sarah Foque, Roland Horne, Jeremy Clark, Jos Gibson, Olly Hurst (ces quatre derniers de l’agence Aquarium Architecture) et Stan Van Der Laan…

Je n’ai vraiment rien dû comprendre à ce jardin qui, d’après sa présentation officielle, « évoque la beauté cachée et méconnue des jardins sous-marins, jardins d’avenir à préserver ». Dans des grillages façon grillages de soutien des digues sur la côte, les plantes ont l’air mal à l’aise et se battre pour survivre… sans doute une mauvaise impression due au sol grisâtre…

Chaumont-sur-Loire, festival 2011, le jardin 21, 3, les graviers et quelques sièges colorés Sur le bord, le tas de graviers représente sans doute la zone d’estran découverte à marée basse… Heureusement que de petits sièges viennent mettre une petite touche de couleur…

Chaumont-sur-Loire, festival 2011, le jardin 21, 4, des arbres pas en forme Les deux arbres ne sont pas très vaillants non plus…

Chaumont-sur-Loire, festival 2011, le jardin 21, 5, de l'eau pas propre Seul espace où il y a un peu de vie dans ce jardin, la mare. Cela ne se voit pas avec l’eau trouble et le reflet des feuilles, mais il y avait quelques têtards et insectes aquatiques… mais beaucoup moins que dans les autres espaces en eau des jardins voisins… il doit y avoir un problème ici…

Chaumont-sur-Loire, festival des jardins 2011, deux vues du jardin 21 en automne (30 septembre) Voici ce qu’il donne fin septembre…

Pour retrouver les articles de 2011 / Jardins d’avenir ou l’art de la biodiversité :

  • en préalable, le puits avec des archers et les gargouilles du château
  • le jardin n° 1, Le laboratoire, conçu par Méryl Fanien, Philippe Guillemet et Cyrille Parlot
  • le jardin n° 2, Sculptillonnages, conçu par Corinne Julhiet-Detroyat et Claude Pasquer
  • le jardin n° 3, Tu me manques, conçu par Jacob Vilato et Marc Cunat
  • le jardin n° 4, La transparence du ver, conçu par Anne Blouin et Alessandra Blotto
  • le jardin n° 4bis, La bibliothèque du souvenir, conçu par Gaétan Macquet, Oreline Tixier et Pierre-Albert Labarrière
  • le jardin n° 5, L’envers du décor, conçu par Cathy Viviès et Vanessa Farbos
  • le jardin n° 6, Le jardin bijou, conçu par Loulou de La Falaise avec le concours de Paul-Antoine Penneau
  • le jardin n° 7, la sève à la croisée des chemins, conçu par Ernesto Neto et Daisy Cabral Nogueira
  • le jardin n° 8, La biodiversité en question, conçu par Olivier Chardin, Anaïs Brochiero, Philippe Verigno et Anaïs Brochiero,
  • le jardin n° 9, Le jardin pixélisé conçu par Mattéo Pernigo et Claudio Benna
  • le jardin n° 10, Le jardin méditerranéen conçu par les équipes du festival en liaison avec les étudiants de l’Institut national d’horticulture d’Angers
  • le jardin n° 11, Manier avec précaution, conçu par Jeroen et Maarten Jacobs
  • le jardin n° 12, Le jardin des plantes disparues, conçu par Olivier Barthélémy et Denis Valette
  • le jardin n° 13, La nature des choses, conçu par Soline Portmann, Aurélie Zita et Mioko Tanaka.
  • le jardin n° 14, Célébrons et tissons la [bio]diversité, conçu par Manon Bordet-Chavanes
  • le jardin n° 15, Entre ciel et terre, conçu par Wang Xiangrong
  • le jardin n° 16, Lucy in the sky, conçu par Chilpéric de Boiscuillé, Raphaëlle Chéré, Pauline Szwed et Benjamin Haupais,
  • le jardin n° 17, Les bulbes fertiles, conçu par Xavier Bonnaud, Stéphane Berthier, Clément Bouchet, Fabien Gantois, Etienne Panien, Olivier Duraysseix et Guillaume Pezet
  • le jardin n° 18, Le jardin à la rue, conçu par Julien Maieli et Germain Bourré
  • le jardin n° 19, le jardin de Madame Irma, conçu par Gladys Griffault, Clara Juncker, Emmie Nyk et Pascale Trouillet
  • le jardin n° 19bis, La biodiversité bleue, sans concepteur identifié
  • le jardin n° 20, Le jardin à emporter, conçu par Steve Papps, Jo Chapman et Jackie Bennett
  • le jardin n° 21, Le jardin des marées, conçu par Sarah Foque, Roland Horne, Jeremy Clark, Jos Gibson, Olly Hurst et Stan Van Der Laan…
  • le jardin n° 22, Graines d’espoir ou le jardin d’un regard partagé, conçu par des étudiants de l’école Du Breuil et de l’école Boulle
  • le jardin n° 23, Le pollen exubérant, conçu par Yekaterina Yushmanova et Ruth Currey
  • le jardin n° 24, La salle à manger, conçu par un groupe d’étudiantes japonaises
  • les jardins zen : le jardin de méditation d’Erik Borja et Simon Crouzet et le jardin 7
  • les murs végétaux : le jardin 8 et les murs de Patrick Blanc
  • des oeuvres dans le château : La soupe verte de Gerda Steiner et Jörg Lenzlinger, Jardins engloutis et Carnivores de Helene Schmitz, Atmosphère de Shin-Ichi Kubota
  • les oeuvres de Dominique Bailly dans le parc et les écuries et celles de Bob Verschueren (Dominique Perrault, Herman de Vries, Manfred Menz)
  • Colorès dans le vallon des brumes
  • les oeuvres de Tadashi Kawamata, de Dominique Perrault (avec de nouvelles photographies des oeuvres de Anne et Patrick Poirier, François Méchain, Victoria Klotz et Rainer Gross), dans le parc

Chaumont-sur-Loire, festival 2011 (19) : deux autres jardins

Chaumont-sur-Loire, festival 2011, le jardin 3, 1, vu depuis l'entrée Cette année, je suis allée visiter le festival des jardins de Chaumont-sur-Loire (sur le thème Jardins d’avenir ou l’art de la biodiversité heureuse) le 10 juin 2011, en train comme d’habitude (jusqu’à Onzain), avec Dalinele. Vous retrouverez les liens vers les articles de cette année avec ceux des années précédentes, sur cette page, et au fur et à mesure de leur publication en bas de chaque article. En attendant la suite, vous pouvez aussi faire la visite sur le site du domaine de Chaumont-sur-Loire). J’essayerai de mettre des liens vers les sites des concepteurs ou les sites créés pour ce festival, n’hésitez pas à suivre les liens…

Je vous emmène visiter deux jardins aujourd’hui… Je commence par le jardin n° 3, Tu me manques, conçu par Jacob Vilato et Marc Cunat, qui était envahi par un groupe d’adolescents… Un bassin, plein de grenouilles (oui, des vraies, et des têtards), et un chemin de planches qui passe par dessus.

Chaumont-sur-Loire, festival 2011, le jardin 3, 2, la fontaine sur le bassin et le vélo Pour faire fonctionner le jet d’eau (horizontal, il part du chemin de planche, pas très visible au bout de la flèche jaune), il faut pédaler… ou trouver quelqu’un qui pédale à votre place.

Chaumont-sur-Loire, festival des jardins 2011, le jardin 3 en automne (30 septembre) J’y suis retournée le 30 septembre 2011, en voici une petite vue…

Chaumont-sur-Loire, festival 2011, le jardin 12, 1, vu depuis l'entrée Je poursuis avec le jardin n° 12 (en juin), Le jardin des plantes disparues, conçu par Olivier Barthélémy et Denis Valette.

Chaumont-sur-Loire, festival 2011, le jardin 12, 2, un carré en hommage aux plantes disparues Des carrés bien rangés de plantes surmontées d’étiquettes avec un pan noir sur lequel est écrit le nom d’espèces disparues…

Chaumont-sur-Loire, festival 2011, le jardin 12, 3, la face blanche des étiquettes …et un côté blanc avec d’autres noms. cela donne un peu une impression de cimetière des champs de bataille dans le Nord et le Pas-de-Calais (et aussi à Verdun et dans l’est de la France). De ce côté aussi, des noms de plantes disparues ou en voie de disparition…

Chaumont-sur-Loire, festival 2011, le jardin 12, 4, la face noire des étiquettes Une vue de plus loin, côté noir…

Chaumont-sur-Loire, festival 2011, le jardin 12, 5, deux petits bancs Au fond, il y a quand même deux petits bancs, repos éternel???

Chaumont-sur-Loire, festival des jardins 2011, deux vues du jardin 12 en automne (30 septembre) Et voici les faces noire et blanche sur des photographies prises le 30 septembre 2012.

Pour retrouver les articles de 2011 / Jardins d’avenir ou l’art de la biodiversité :

  • en préalable, le puits avec des archers et les gargouilles du château
  • le jardin n° 1, Le laboratoire, conçu par Méryl Fanien, Philippe Guillemet et Cyrille Parlot
  • le jardin n° 2, Sculptillonnages, conçu par Corinne Julhiet-Detroyat et Claude Pasquer
  • le jardin n° 3, Tu me manques, conçu par Jacob Vilato et Marc Cunat
  • le jardin n° 4, La transparence du ver, conçu par Anne Blouin et Alessandra Blotto
  • le jardin n° 4bis, La bibliothèque du souvenir, conçu par Gaétan Macquet, Oreline Tixier et Pierre-Albert Labarrière
  • le jardin n° 5, L’envers du décor, conçu par Cathy Viviès et Vanessa Farbos
  • le jardin n° 6, Le jardin bijou, conçu par Loulou de La Falaise avec le concours de Paul-Antoine Penneau
  • le jardin n° 7, la sève à la croisée des chemins, conçu par Ernesto Neto et Daisy Cabral Nogueira
  • le jardin n° 8, La biodiversité en question, conçu par Olivier Chardin, Anaïs Brochiero, Philippe Verigno et Anaïs Brochiero,
  • le jardin n° 9, Le jardin pixélisé conçu par Mattéo Pernigo et Claudio Benna
  • le jardin n° 10, Le jardin méditerranéen conçu par les équipes du festival en liaison avec les étudiants de l’Institut national d’horticulture d’Angers
  • le jardin n° 11, Manier avec précaution, conçu par Jeroen et Maarten Jacobs
  • le jardin n° 12, Le jardin des plantes disparues, conçu par Olivier Barthélémy et Denis Valette
  • le jardin n° 13, La nature des choses, conçu par Soline Portmann, Aurélie Zita et Mioko Tanaka.
  • le jardin n° 14, Célébrons et tissons la [bio]diversité, conçu par Manon Bordet-Chavanes
  • le jardin n° 15, Entre ciel et terre, conçu par Wang Xiangrong
  • le jardin n° 16, Lucy in the sky, conçu par Chilpéric de Boiscuillé, Raphaëlle Chéré, Pauline Szwed et Benjamin Haupais,
  • le jardin n° 17, Les bulbes fertiles, conçu par Xavier Bonnaud, Stéphane Berthier, Clément Bouchet, Fabien Gantois, Etienne Panien, Olivier Duraysseix et Guillaume Pezet
  • le jardin n° 18, Le jardin à la rue, conçu par Julien Maieli et Germain Bourré
  • le jardin n° 19, le jardin de Madame Irma, conçu par Gladys Griffault, Clara Juncker, Emmie Nyk et Pascale Trouillet
  • le jardin n° 19bis, La biodiversité bleue, sans concepteur identifié
  • le jardin n° 20, Le jardin à emporter, conçu par Steve Papps, Jo Chapman et Jackie Bennett
  • le jardin n° 21, Le jardin des marées, conçu par Sarah Foque, Roland Horne, Jeremy Clark, Jos Gibson, Olly Hurst et Stan Van Der Laan…
  • le jardin n° 22, Graines d’espoir ou le jardin d’un regard partagé, conçu par des étudiants de l’école Du Breuil et de l’école Boulle
  • le jardin n° 23, Le pollen exubérant, conçu par Yekaterina Yushmanova et Ruth Currey
  • le jardin n° 24, La salle à manger, conçu par un groupe d’étudiantes japonaises
  • les jardins zen : le jardin de méditation d’Erik Borja et Simon Crouzet et le jardin 7
  • les murs végétaux : le jardin 8 et les murs de Patrick Blanc
  • des oeuvres dans le château : La soupe verte de Gerda Steiner et Jörg Lenzlinger, Jardins engloutis et Carnivores de Helene Schmitz, Atmosphère de Shin-Ichi Kubota
  • les oeuvres de Dominique Bai
    lly
    dans le parc et les écuries et celles de Bob Verschueren (Dominique Perrault, Herman de Vries, Manfred Menz)
  • Colorès dans le vallon des brumes
  • les oeuvres de Tadashi Kawamata, de Dominique Perrault (avec de nouvelles photographies des oeuvres de Anne et Patrick Poirier, François Méchain, Victoria Klotz et Rainer Gross), dans le parc

Chaumont-sur-Loire, festival 2011 (18) dans le parc (suite)

Chaumont-sur-Loire 2011, le parc, suite, 14, arbre de Perrault Cette année, je suis allée visiter le festival des jardins de Chaumont-sur-Loire (sur le thème Jardins d’avenir ou l’art de la biodiversité heureuse) le 10 juin 2011, en train comme d’habitude (jusqu’à Onzain) , avec Dalinele. Vous retrouverez les liens vers les articles de cette année avec ceux des années précédentes, sur cette page, et au fur et à mesure de leur publication en bas de chaque article. En attendant la suite, vous pouvez aussi faire la visite sur le site du domaine de Chaumont-sur-Loire). J’essayerai de mettre des liens vers les sites des concepteurs ou les sites créés pour ce festival, n’hésitez pas à suivre les liens…

Je vous ai déjà montré les œuvres de Tadashi Kawamata et de Dominique Bailly, il reste à présenter une nouvelle installation de Dominique Perrault, dont je vous ai parlé pour une autre création dans la galerie du fenil.

Chaumont-sur-Loire 2011, le parc, suite, 1, capella dans la clairière de Poirier

Je continue avec des œuvres que je vous ai déjà montrées ces deux dernières années…. D’abord avec Capella dans la clairière de Anne et Patrick Poirier. Je vous l’ai déjà présentée l’année dernière, voici de nouvelles photographies…Ces œuvres sont présentées dans ce dossier en ligne (je ne suis pas sûre de sa pérennité)…

Chaumont-sur-Loire 2011, le parc, suite, 3, capella dans la clairière de Poirier, intérieur Notamment de l’intérieur, que je n’avais pas vu l’année dernière, avec un cerveau au milieu à la place de ce qui pourrait être le chœur de cette chapelle…

Chaumont-sur-Loire 2011, le parc, suite, 4, capella dans la clairière de Poirier, intérieur Voici une autre vue… Et sur les murs, il y a des mots gravés sur les dalles à l’extérieur (passion, émotion, rêve, oubli, observation, etc.) comme à l’intérieur.

Chaumont-sur-Loire 2011, le parc, suite, 5, oeil dans la clairière de Poirier Juste à côté se trouve L’œil de la mémoire

Chaumont-sur-Loire 2011, le parc, suite, 6, oeil dans la clairière de Poirier Oups, c’est mieux dans ce sens là?

Chaumont-sur-Loire 2011, le parc, suite, 6, oeil dans la glacière de Poirier Dans la glacière se trouve toujours L’œil de l’oubli, mais si vous comparez avec la photographie de l’année dernière, vous voyez qu’il a été envahi par les feuilles mortes.

Chaumont-sur-Loire 2011, le parc, suite, 7, vallon des brumes Puisque nous sommes là, empruntons le vallon des brumes.

Chaumont-sur-Loire 2011, le parc, suite, 8, colorès Tout en bas, les grandes poupées et les arbres enroulés de rouge de Colorès, de Michel Racine et Béatrice Saurel, continuent à vivre leur ville.

Chaumont-sur-Loire 2011, le parc, suite, 9, près du cietière des chiens Retournons dans le parc… Près du cimetière des chiens de la princesse de Broglie, le dispositif dans la chapelle est en panne, il n’y a plus de vidéo avec le chien qui court dans La chasse volante, mais l’autre œuvre de Victoria Klotz, La tombe de Miss Pundgi, est toujours là.

Chaumont-sur-Loire 2011, le parc, suite, 10, les échelles de Méchain L’arbre aux échelles de François Méchain n’a pas vraiment changé par rapport à 2010 et 2009. Il est aussi présenté dans ce dossier en ligne (je ne suis pas sûre de sa pérennité)… Il a créé en 2012 une nouvelle œuvre dans la grange aux abeilles.

Chaumont-sur-Loire 2011, le parc, suite, 11, toit à terre de Gross Le Toi(t) à terre de Rainer Gross est aussi toujours là, comme en 2010 (je ne l’avais pas photographié en 2009, panne de batterie).

Chaumont-sur-Loire 2011, le parc, suite, 12, toit en perspective de Gross Son Toi(t) en perspective aussi, à revoir aussi dans les photographies de 2010 et de 2009. Voir aussi Flux et exposition de Rainer Gross à Poitiers en 2014.

Chaumont-sur-Loire 2011, le parc, suite, 13, perspective du toit de Gross Cette année là, j’avais suivi une visite guidée du parc. La guide nous avait conseillé d’entrer à l’intérieur et de regarder la perspective… cette année, j’y ai glisse mon appareil photo, voici ce que donne cette vue…

Je n’ai toujours pas vu les lucioles d’Erik Samakh, il ne faisait pas nuit…

Pour retrouver les articles de 2011 / Jardins d’avenir ou l’art de la biodiversité :

  • en préalable, le puits avec des archers et les gargouilles du château
  • le jardin n° 1, Le laboratoire, conçu par Méryl Fanien, Philippe Guillemet et Cyrille Parlot
  • le jardin n° 2, Sculptillonnages, conçu par Corinne Julhiet-Detroyat et Claude Pasquer
  • le jardin n° 3, Tu me manques, conçu par Jacob Vilato et Marc Cunat
  • le jardin n° 4, La transparence du ver, conçu par Anne Blouin et Alessandra Blotto
  • le jardin n° 4bis, La bibliothèque du souvenir, conçu par Gaétan Macquet, Oreline Tixier et Pierre-Albert Labarrière
  • le jardin n° 5, L’envers du décor, conçu par Cathy Viviès et Vanessa Farbos
  • le jardin n° 6, Le jardin bijou, conçu par Loulou de La Falaise avec le concours de Paul-Antoine Penneau
  • le jardin n° 7, la sève à la croisée des chemins, conçu par Ernesto Neto et Daisy Cabral Nogueira
  • le jardin n° 8, La biodiversité en question, conçu par Olivier Chardin, Anaïs Brochiero, Philippe Verigno et Anaïs Brochiero,
  • le jardin n° 9, Le jardin pixélisé conçu par Mattéo Pernigo et Claudio Benna
  • le jardin n° 10, Le jardin méditerranéen conçu par les équipes du festival en liaison avec les étudiants de l’Institut national d’horticulture d’Angers
  • le jardin n° 11, Manier avec précaution, conçu par Jeroen et Maarten Jacobs
  • le jardin n° 12, Le jardin des plantes disparues, conçu par Olivier Barthélémy et Denis Valette
  • le jardin n° 13, La nature des choses, conçu par Soline Portmann, Aurélie Zita et Mioko Tanaka.
  • le jardin n° 14, Célébrons et tissons la [bio]diversité, conçu par Manon Bordet-Chavanes
  • le jardin n° 15, Entre ciel et terre, conçu par Wang Xiangrong
  • le jardin n° 16, Lucy in the sky, conçu par Chilpéric de Boiscuillé, Raphaëlle Chéré, Pauline Szwed et Benjamin Haupais,
  • le jardin n° 17, Les bulbes fertiles, conçu par Xavier Bonnaud, Stéphane Berthier, Clément Bouchet, Fabien Gantois, Etienne Panien, Olivier Duraysseix et Guillaume Pezet
  • le jardin n° 18, Le jardin à la rue, conçu par Julien Maieli et Germain Bourré
  • le jardin n° 19, le jardin de Madame Irma, conçu par Gladys Griffault, Clara Juncker, Emmie Nyk et Pascale Trouillet
  • le jardin n° 19bis, La biodiversité bleue, sans concepteur identifié
  • le jardin n° 20, Le jardin à emporter, conçu par Steve Papps, Jo Chapman et Jackie Bennett
  • le jardin n° 21, Le jardin des marées, conçu par Sarah Foque, Roland Horne, Jeremy Clark, Jos Gibson, Olly Hurst et Stan Van Der Laan…
  • le jardin n° 22, Graines d’espoir ou le jardin d’un regard partagé, conçu par des étudiants de l’école Du Breuil et de l’école Boulle
  • le jardin n° 23, Le pollen exubérant, conçu par Yekaterina Yushmanova et Ruth Currey
  • le jardin n° 24, La salle à manger, conçu par un groupe d’étudiantes japonaises
  • les jardins zen : le jardin de méditation d’Erik Borja et Simon Crouzet et le jardin 7
  • les murs végétaux : le jardin 8 et les murs de Patrick Blanc
  • des œuvres dans le château : La soupe verte de Gerda Steiner et Jörg Lenzlinger, Jardins engloutis et Carnivores de Helene Schmitz, Atmosphère de Shin-Ichi Kubota
  • les œuvres de Dominique Bailly dans le parc et les écuries et celles de Bob Verschueren (Dominique Perrault, Herman de Vries, Manfred Menz)
  • Colorès dans le vallon des brumes
  • les œuvres de Tadashi Kawamata, de Dominique Perrault (avec de nouvelles photographies des œuvres de Anne et Patrick Poirier, François Méchain, Victoria Klotz et Rainer Gross), dans le parc