Désolée pour les lecteurs de mon blog, mais je vais encore vous parler d’un problème strictement poitevin, débattu entre amis ces derniers jours. Pour vous situer, j’ai pris une carte Openstreet Map (cartographie participative libre). Le sens de cette rue a changé depuis la réorganisation du parking Carnot/Hôtel de ville. Pour vous repérer: en rouge les bornes à accès réglementé (bus, secours, riverains, livraisons à certaines heures), cercle bleu l’endroit où les voitures sont bloquées, cercles verts les points que j’ai regardés, de 2 à 4.
Donc, régulièrement, plusieurs fois par jour selon les riverains immédiats (dont les commerces), des voitures de touristes « et même des Poitevins », selon Philippe, se retrouvent bloquées entre des bornes d’accès réglementé en débouchant en sens interdit de la rue Charles-Gide. Ils n’ont alors qu’une solution: faire demi-tour au milieu des piétons, et comme ils sont énervés de se retrouver piégés, c’est souvent dangereux! Mes photos sont d’hier, 14 juillet, avec les barrières le matin, sans l’après-midi. Chauffards et incivilité pour moi, peut-être pas complètement volontairement pour Philippe. Je vous laisse juger, sans doute un peu des deux, mais on peut facilement améliorer les choses avec quelques panneaux bien placés, sans attendre un choc entre une voiture en sens interdit et une qui sort du parking ou un piéton renversé dans le carrefour où ils font demi-tour. (Et je continuerai avec une question de panneaux jeudi pour le « couloir d’avalanches » du boulevard Solférino! Késako? suivre ce lien!). Et comme des élus nous reprochent de toujours critiquer sans proposer, j’ai fait un reportage en images avec des propositions de correction des panneaux!
D’où viennent ces voitures? Première option (cercle vert n° 2), de la rue Victor-Hugo en tournant le dos à la préfecture. Dans ce cas, il arrive par la flèche noire, se heurte à un panneau sens interdit, « sauf ayants droit » (sic), mais une autorisation pour l’hôtel, les autres doivent tourner à droite dans la rue Théophraste-Renaudot (flèche verte). Ceux qui s’engagent plus loin ont a priori été avertis.
Première option, bis, toujours dans le cercle vert n° 2 du plan. Il vient du début de la rue Théophraste-Renaudot, depuis la rue de la Marne, où il s’est peut-être heurté à un autre accès réglementé. Il a continué dans une rue à la chaussée très dégradée.
S’il marque une balise et non un stop, il n’est pas sûr qu’il voit ce panneau sans interdit, pas bien dans son axe de vision, mais bon, il y a bien un sens interdit et j’en ai vu faire marche arrière une fois bien engagés. [Au passage, je l’avais déjà signalé au moment des travaux, mais une élue m’a répondu sèchement qu’il n’y avait aucun problème, les « bateaux » pour le passage des fauteuils roulants ou des poussettes sont orientés uniquement dans le sens de la rue Victor-Hugo, pas pour traverse cette rue! En fauteuil, pas le droit de vouloir aller d’une portion de la rue Renaudot à l’autre! Un des nombreux points où l’accessibilité pose encore problème, voir les liens dans mon dernier article sur le sujet: Poitiers ville accessible??? L’APF doit avoir la berlue…].
Un petit panneau interdit de tourner à gauche dans la rue Renaudot améliorerait la situation…
Si malgré les interdictions il s’est engagé, que se passe-t-il face aux bornes (cercle 3 du plan)? Quand il se heurte aux bornes…
… rien ne lui dit qu’il n’a pas le droit de prendre la rue Charles-Gide!!!
Pas de panneau sens interdit ni interdiction de tourner à droite… Ah si, en fait, il y en a un, mais trop haut, mal tourné et donc invisible sauf pour les piétons!
Nous proposons un panneau sens interdit non pas là où il est (flèche rouge) mais plutôt d’un côté ou de l’autre de la rue…
… et une interdiction de tourner à droite un peu en amont…
Dernier cas (cercle 4 du plan), la voiture sort du parking. Là, il a un panneau interdit de tourner à droite, un panneau zone 30 et un stop.
En revanche, s’il veut quand même s’engager (ou pour celui qui s’est engagé depuis le bout de la rue, cas précédent), il n’y a pas de panneau de sens interdit, on peut suggérer les emplacements ici!
Bon, qu’en dites-vous, pas constructifs, ceux qui « critiquent, râlent, font leur mauvaise tête »???
C’est résolu! (complément du 10 août 2014)
Après cet article, j’ai aussi envoyé des photographies au service Pictavie, qui permet à chacun de signaler (par téléphone ou messagerie) des problèmes, je l’utilise assez souvent pour des trous ou des obstacles dans la chaussée, lampadaires grillés en donnant le numéro, etc. Ils m’ont rappelée et mise en relation avec le responsable de la voirie. Nous avons discuté en même temps d’autres problèmes, et il a vite résolu celui de la rue Charles-Gide, et d’autres (voir cet article), il réfléchit aussi à la question du « couloir d’avalanches ». Pour l’automobiliste qui se présente par la rue Renaudot, il y a désormais un interdit de tourner à gauche et le sens interdit sauf ayant-droits a été tourné et est bien visible.
Pour celui qui arrive par la rue Victor-Hugo, pas de problème, le premier sens interdit était bien visible, le second moins mais ne lui est pas destiné.
Si donc il a raté ces avertissements, arrivé au bout de la rue Victor-Hugo (photo de droite), il a un tout nouveau interdit de tourner à droite. Le sens interdit (la flèche) reste peu visible, il pourrait aussi être un peu tourné.
En tout cas, ce dimanche (10 août 2014), vers 10h30, trois voitures en quelques minutes se sont engouffrées en connaissance de cause rue Victor-Hugo sans avoir les autorisations requises: le premier au fond, en train de faire demi-tour, m’a demandé sa route. Je lui ai demandé pourquoi il s’était engagé en sens interdit, il pensait qu’il pourrait passer quand même (« sauf ayant-droits »), qu’il n’y aurait pas la police un dimanche… Oui, pas la police, mais des bornes. EN tout cas, il n’a pas pris le sens interdit, ni les suivants. Et je l’ai accompagné en voiture dans le bon sens jusqu’au parking Carnot / hôtel de ville, pour 50 centimes, il est garé correctement pour rejoindre la banque sur la place… traversée un peu plus tôt en travers par un anglais avec une voiture et une remorque!!! Il sortait de l’hôtel voisin, ils auraient pu lui indiquer le chemin à suivre sans traverser la place piétonne, mais l’hôtelier ne parlait sans doute pas anglais…
Comme annoncé
Croix noire sur son torse, croix blanches sur le T-Shirt des membres de la Compagnie, quelques affichettes « tous en lutte », manifestations discrètes du soutien aux intermittents (et aux grands plans de licenciements en cours dans la région).
Elle s’agenouille…
Elle se relève…
Cachée par les acacias
Elle bondit
Gare au virage
Mission accomplie, elle reprend de l’élan
Épingle à cheveux, attention
Elle passe à deux pas de mon poste d’observation (terrasse du
Au revoir et bravo aux manipulateurs!
Si l’on excepte le cours épisode des
Retour donc sur le viaduc, si le sujet vous intéresse, vous pouvez relire les épisodes précédents, et si vous passez par là, ne grillez pas les feux comme la police (sans gyrophare) et des dizaines de voitures chaque jour, il va finir par y avoir un accident (voir des propositions pour résoudre ce
Donc, après sa mise en service, le principal problème était la séparation des piétons et des cyclistes. Un trottoir pour les uns, un pour les autres, la première signalétique n’était pas claire… Des autocollants sont apparus, d’abord quelques-uns mi-février…
Un chantier tellement peu terminé que l’on pourrait croire que le baudrier de sécurité est obligatoire pour s’engager sur la passerelle de liaison avec le parking et la liaison vers la gare…
Vélos interdits en revanche! Enfin, renseignements pris, ils peuvent passer « pied à terre » pour rejoindre l’ascenseur qui avait été prévu pour monter du boulevard à la passerelle…
Quelques jours plus tard (18 février), les autocollants se multiplient, ceux qui attendent le bus sont toujours en plein vent, sans abri-bus, les murets comme siège… Comme les vélos sont plutôt des habitués, ils commencent à prendre le « bon trottoir », les piétons prennent celui qu’ils veulent…
20 février 2014, une dame est tombée il y a quelques jours sur les trottoirs glissants (une petite gelée, accentuée dans cette zone de courants d’air), et l’a fait savoir dans la presse, un nouveau revêtement est promis pour dans quelques semaines, en attendant, invasion des autocollants! Non mais, ils vont comprendre, les piétons??? Il y a un trottoir qui ressemble à un trottoir mais qui est une piste cyclable interdite aux piétons! Et la chaussée, c’est que pour le bus, il ne faut traverser qu’à l’arrêt de bus ou aux extrémités. Prière de passer du bon côté! Euh, un médiateur, ça serait sans doute plus efficace que les autocollants géants!
11 avril 2014, un curieux quadrillage est soigneusement dessiné à la craie… Son usage va rester mystérieux, les traits rouges en revanche ont sans doute servi de repère à l’opération suivante.
A défaut d’inauguration officielle (février), une plaque avec les financeurs, dont l’Europe (grosse pub, drapeaux etc., les européennes pointent à l’horizon), est posée en petit comité.
26 mai 2014. Presque 3 mois après l’ouverture du viaduc, les abribus n’ont toujours pas de parois ni de toit, et
De nouveaux ouvriers apparaissent, ils posent des graviers enrobés dans une résine qui pue (même avec mes
29 mai 2014, le trottoir « piétons » est terminé, il y a de curieuses rainures tous les 50 centimètres. J’en ai demandé la fonction à la mairie, pas de réponse pour l’instant, mais c’est option « tape-cul » si vous êtes en fauteuil roulant… Pourtant, je pense que c’est pour eux qu’ils ont été mis en place, car il y a une longue pente d’ouest en est sur ce trottoir, sans possibilité de repos, pas de plateforme à plat ni de main courante à la bonne hauteur pour se retenir. En mettant le fauteuil perpendiculaire au sens de circulation, il est quand même possible de s’arrêter. Les rainures ont sans doute une fonction anti-recul dans la tête de ceux qui les ont conçues (elles n’existent pas côté cyclistes), c’est raté, ça donne surtout une obligation d’effort supplémentaire pour franchir chacune! En plus, le revêtement avec les graviers est très peu « roulant », beaucoup de frottements… Bon, j’avais donné début juin mes disponibilités jusqu’au 14 juillet pour un rendez-vous au service handicap et avec les élus concernés pour discuter de ces problèmes et de ceux évoqués par ailleurs (revoir
Voici côté vélos, pas de rainures (juin 2014). Au fait, il n’y a plus d’autocollants pour dire où doivent aller les vélos et les piétons, seulement les petites marques côté est (ville), et rien côté ouest!
19 juin 2014, les abribus ont enfin un toit et des parois, les horaires papier sont toujours positionnés le plus loin possible des voyageurs. certes, un téléviseurs a été mis en place sous l’abribus, mais ces dernières semaines, il a plus souvent affiché « chargement en cours » que les horaires…
Et maintenant? Hier (12 juillet 2014), à la sortie de la passerelle de liaison, vous voyez la distance pour aller consulter les horaires…
Les abribus sont très mal conçus. Pas fermés à l’ouest (au bout de la photo), ils ne protègent pas du vent. Les « assis-debout » sont très inconfortables!
Du coup, il est plus confortable de s’asseoir sur les murets, s’il ne pleut pas.
Côté ouest, le cheminement piétons et cyclistes n’est pas explicité…
Comme je vous le disais l’autre jour avec le
il y a aussi un nouveau « mouton-papillon », en deux versions colorées…
… ou bien s’est un effet de la pluie sur les encres? (je ne pense pas)
J’ai bien rigolé à cette version avec un mouton qui pisse dans l’urinoir de Marcel Duchamps (R. Mutt, Fontaine, 1917), première œuvre reconnue du ready-made. J’en ai vu plusieurs, mais mon préféré est celui collé sur un « cani-site »… Le message? « dans l’art, il y a ceux qui marquent leur temps… et ceux qui marquent leur territoire ».
Car M. Mouton a de l’instruction! Il a aussi personnalisé la page du mois de juillet des riches heures du duc de Berry où l’on voit le château (détruit, il reste quelques tours dont celle de la porte de Paris qui n’est pas que le repère d’un carrefour complexe!), la moisson au centre et… la tonte des moutons au premier plan! Bien vu!
Sinon, il y a aussi une ombre qui regarde des moutons…
… et des versions déjà vues mais tirées en grand sur des façades de magasins!
Depuis quelques jours (et il y a quelques mois), la presse et les collectivités locales nous ont rebattu les oreilles avec les Championnats de France 2014 de cyclisme sur route, « à Poitiers et au 
Dimanche, 10h15, je fais un crochet par le 
En janvier 2010, je vous ai présenté l’
La pierre est désormais bien blanche, avec sur la série de photographies de janvier quelques algues vertes, réaction normale après restauration quand la pierre n’est plus protégée par son calcin, qui va se reformer peu à peu. J’ai déjà parlé de ce phénomène à propos de l’
Du coup, la lucarne gauche est désormais bien lisible, elle m’a un peu surprise dans sa composition, et j’ai demandé à
En façade, l’ornementation se concentre traditionnellement sur la porte d’entrée et sur les lucarnes, dont la richesse décorative exprime celle du bâtisseur de la demeure, son importance sociale comme son opulence financière.
La lucarne d’angle est très intéressante. D’abord il s’agit d’une lucarne double, comportant une ouverture sur chaque façade.



En abordant l’
L’inscription principale mentionne la dédicace proprement dite par
le chevet

le
J’ai publié la première fois cet article le 28 septembre 2008. Je le réédite avec des photographies de juin 2013 (sauf la première, que je garde de l’article d’origine), lors de la dernière ouverture du site pour les journées de l’archéologie.
Le site sera à nouveau ouvert aujourd’hui, si l’accès au jardin est libre, les visites de l’intérieur de l’hypogée sont limitées à de petits groupes (pour des raisons de sécurité et de conservation).
Le quartier des Dunes (de Dubes, hauteur) domine la ville de Poitiers. Une vaste nécropole antique (cimetière romain) y est connue depuis le 19e siècle, le long de la voie romaine de Poitiers à Bourges par Argenton-sur-Creuse.
Les peintures murales y sont remarquables mais très dégradées, d’où la fermeture de l’édifice et la reprise de leur étude. Aucune date de travaux ni de réouverture n’est annoncée. Cependant, la pelouse est entretenue par le service des parcs et jardins… Des instruments mesurent le climat à l’intérieur et à l’extérieur de l’édifice… avec des aménagements (tranchée et gaine orange) pas toujours très heureux.
Les sarcophages sont toujours à l’extérieur, ainsi que des tombes sous tuiles qui se dégradent de plus en plus au fil des ans. Vous pourrez apercevoir le bâtiment de la chapelle funéraire qui a été fortement restauré.
Avant d’y aller, n’oubliez pas de lire voire imprimer le texte proposé par le
Grégory Vouhé a consacré un article au parc, à découvrir en suivant lelien:
Pratique : pour y aller, vous avez le choix… mais comme l’hypogée est fermé au public depuis plus de 10 ans par mesure conservatoire, vous n’en verrez que l’extérieur de la rue et l’alignement de sarcophages. Aussi un panneau annonçant sa fermeture (mais pas sa réouverture, ni aucune explication, voir plus haut)… Donc, si vous êtes à pied, du centre-ville, vous prenez le Pont-Neuf, vous remontez (raide) la rue du faubourg du Pont-Neuf, puis la rue de la Pierre-Levée à gauche. L’hypogée est fléché sur une petite rue à gauche (rue Saint-Saturnin), avant le Parc-à-Fourrage, faire le tour par la rue du Père de la Croix et le petit chemin de l’hypogée. Si vous montez un peu plus haut dans la rue de la Pierre Levée, au coin de la prochaine rue à gauche (la rue du Dolmen)… se trouve le dolmen (
Après des mois de travaux (voir
Ne parlons pas des pavés qui s’autodétruisent à grande vitesse (revoir
Les larges trottoirs, c’est idéal pour étendre les terrasses, sans toujours respecter les 1,40m pour laisser circuler les piétons, les personnes en fauteuil roulant ou avec des poussettes d’enfant. Ou quand elles le respectent « presque », comme ici (1,20m), comment on fait au bout de la terrasse avec le mobilier urbain? Sans parler qu’il faut slalomer d’un restaurant à l’autre, les espaces de circulations étant tantôt d’un côté, tantôt de l’autre. C’est un peu moins criant cette année, avec les faillites, il y a moins de terrasses. Chacun sait que c’est un vrai jeu de changer de direction en fauteuil roulant ;-(
Ce restaurant a de toute façon une interprétation bizarre de la réglementation. Vous voyez cette entrée? Derrière, avec un plafond, trois murs et en façade un mur sur plus des quatre cinquièmes de la longueur, et oui, la porte sans porte derrière la flèche, c’est ce qui fait de cet espace une « terrasse ouverte » aux fumeurs. Les non-fumeurs n’ont plus qu’à traverser en apnée pour atteindre la salle de restauration. Ce restaurant a rouvert depuis plus d’un an et visiblement, personne n’a rien trouvé à y redire, pour ma part, je n’y suis allée qu’une fois, avec une amie, et ne suis pas prête à retourner.
Côté stationnement, c’est un problème plus que récurrent revoir le
Il paraît que la ville veut sévir du côté de la place Lepetit (qui a connu une certaine activité l’année dernière suite à
Et ce n’est pas mieux dans les parkings officiels, ici au dernier niveau du parking Toumaï, recherché parce qu’il débouche directement pour les piétons sur le nouveau
La question des bandes podotactiles d’alerte (en haut des escaliers de plus de plus de trois marches), des mains-courantes, des garde-corps pourrait à nouveau (suivre les liens précédents…) être posée pour le square de la République (avec le
Et pourtant, il est possible de bien faire les choses, je vous ai déjà montré
J’ai été aussi agréablement surprise, en mars 2014, lors de la découverte des nouveaux halls de la foire exposition et des cheminements extérieurs. Quand on le veut vraiment, on peut faire les choses bien! Les normes ne sont pas là pour em…er les collectivités et les entrepreneurs, comme on me l’a dit encore il y a quelques jours, mais pour permettre à tous de bien vivre ensemble dans l’espace urbain!
Dans les établissements récents, comme la
Du nouveau mobilier est aussi apparu, sans contraste! Je me suis prise les pieds dans ce présentoir, et j’ai aussi vu une vieille dame faire de même. Couleur bois sur bois, quand on a des problèmes de vision périphérique, c’est invisible!
La loi a donné à nouveau des délais pour la mise aux normes d’accessibilité, parions qu’elle ne sera à nouveau pas appliquée à l’issue de ces délais… La cour du musée de Poitiers, avec ses marches et ses pavés, donne un aperçu du trajet à parcourir… c’est encore pire à l’intérieur du musée!
Quant aux Salons de Blossac, où se tiennent régulièrement des manifestations (concerts, salons…), c’est un cauchemar de marches, Maryse a dû renoncer à y amener sa mère, en fauteuil roulant, pour le salon Frou-frou… Il y a encore plein de marches derrière la porte vitrée!