Archives de l’auteur : Véronique Dujardin

Pochette bicolore, c’est parti!

Pochette bicolore, recto et versoLe point utilisé pour la pochette écrue offerte à Emmanuelle / le Marquoir d’Élise me plaisait bien, j’ai décidé de recommencer en bicolore, comme suggéré aussi dans la revue Tricot mag’ n° 27 (mai / juin 2015), spécial 100% accessoires. J’ai prévu de faire une autre pochette, de la largeur d’un livre cette fois.

Pochette bicolore, détail de l'arrière du tricotElle sera moins large que la première pochette, pas un mauvais choix, car en deux couleurs, le point d’Astrakhan est encore plus long à tricoter. Sur les premiers rangs, j’ai choisi de croiser les fils, comme dans du jacquard, mais cela se prêtait mal au point et ralentissait encore le tricot, j’ai donc choisi de laisser les fils tendus à l’arrière, sur trois mailles, ce n’est pas très gênant, surtout que je mettrai aussi une doublure. Je tricote de la laine Ruby en aiguilles n° 4… à suivre…

Attention, on coupe!

Percement de la forêt entre les compartiments 2 et 3 du petit chaperon rougeCela fait un moment que je n’ai pas partagé avec vous mes avancées du petit chaperon rouge. A cette étape, il s’agissait de sortir les ciseaux, avec la même crainte que pour le hardanger, même si ici, avec la couture, une erreur est toujours rattrapable avec une pièce. J’y suis donc allée par étape, d’abord en enlevant le « vert » jusqu’à la limite du bas de l’arbre de l’autre côté, puis en découpant le surplus de « bleu ». Il ne restait plus ensuite qu’à refermer au niveau des arbres et au niveau du sol, par des points invisibles. Les deux chemins ne sont pas face à face, mais je l’avais déjà vu en faisant l’assemblage des pièces. J’ai ensuite solidarisé les troncs de chaque côté de la cloison, le long de l’ouverture.

Percement de la forêt entre les compartiments 3 et 4 du petit chaperon rougeMême opération de l’autre côté de la pièce 3, là, les chemins concordent, j’avais fait beaucoup plus attention. Vous voyez peut-être mieux ce que je veux dire sur la limite avec le ciel et les arbres de la pièce de l’autre côté de la cloison…

Les trois pièces avec la forêt après percement des chemins, pour le petit chaperon rougeEt voici les trois pièces avec la forêt, en bas, avant et après avoir fixé les troncs plus loin que l’ouverture contre la cloison…

Les arbres supplémentaires, non fixés, du petit chaperon rougePour la forêt, il restera encore à fixer les derniers arbres dans l’angle de la troisième pièce, mais j’ai longuement cogité pour savoir comment m’y prendre pour qu’ils ne tombent pas.

Le projet: réaliser pour Noël 2014 (finalement courant 2015) trois contes tirés de Créez vos contes en tissus, de Anne Guérin, créapassions, 2011 (il existe une deuxième édition corrigée en 2013 mais apparemment avec toujours beaucoup d’imprécisions), Boucle d’or, le petit chaperon rouge et le haricot magique.

Suivre l’avancée du haricot magique

La vache du haricot magique terminéeLes poupées : le début et la fin de la vache, la casquette et la chemise de Jack,

Le haricot magique, l page de couverture terminéePage 1 : positionnement, début de la fixation des lettres, page 1 terminée

Le haricot magique, page 2, terminéePage 2 : le paysage, le début et la fin des feuilles de maïs, les barrières, page 2 terminée

Haricot magique, la page 3 terminéePage 3: le paysage, étals des marchands et du stand de tissus, les légumes, les marchands, les tonneaux et la page 3 terminée

Le haricot magique, pages 4 et 5, terminéesPages 4 et 5: le patron, le paysage, les maisons, la fumée, les tuiles et les briques, fixation avec des points de feston, des points de tige et de bouclette, les pages 4 et 5 terminées

Le haricot magique, page 6 terminée avec des points de tige, de bouclette et de noeudPage 6: le patron, le décor et la maison, les briques et les tuiles, la page 6 terminée

Haricot magique, pages 3 à 6, terminées avec des oiseaux et quelques nouvelles fleursPages 3 à 6: l’assemblage, le début des finitions, pages 3 à 6 terminées

Page 7: demande de conseil, le début et la fin de la tige, les nuages extérieurs, le paysage, Pouët, pouët, le château vide, les poussins, la table de l’ogre, les feuilles sur la tige, sur un petit nuage

Le livre du haricot magique terminé

Suivre l’avancée du petit chaperon rouge

Les poupées du petit chaperon rouge: loup, bûcheron, grand-mère et filletteLes poupées: le loupà poil, le bûcheron et sa scie, la grand-mère, le petit chaperon rouge sans capuche, le petit chaperon rouge terminé

La préparation du plateau de jeu

La forêt: troncs, un arbre peut en cacher un autre, d’autres arbres, des nuages, un chemin, des fleurs brodées, le chemin de la troisième case, les arbres et les nuages de la troisième case

La chambre de la grand-mère : l’armoire, le lit et la table, préparation de la pièce, la chambre meublée

Les maisons: les toits, les murs, une autre maison

Les deux premières pièces

Voir la version de Hanrietta

Tarte aux prunes et aux amandes

Tarte aux prunes, reines-claudes et mirabellesJe n’avais pas fait de pâtisserie depuis longtemps, il faut dire que l’anosmie (absence d’odorat et donc d’une bonne partie du goût) ne donne pas trop envie de cuisiner. Je me suis quand même remuée pour faire une tarte aux prunes et aux amandes l’autre jour, en apportant le dessert chez des amis…

Sur un fond de pâte sablée (maison, congelée), j’ai saupoudré environ 40g de sucre et 50g de poudre d’amande. J’ai ensuite dénoyauté les prunes, des reines-claudes, pour le tour et au centre, et des mirabelles pour la partie intermédiaire. Je les ai disposées partie bombée vers le bas. J’ai ensuite saupoudré encore un tout petit peu de sucre sur les reines-claudes (j’aurais aussi pu mettre du miel), car elles n’étaient pas très mûres, et parsemé de petites noisettes de beurre, et hop, au four thermostat 6/7 pour une grosse trentaine de minutes (à adapter en fonction de votre four). J’avais mis un papier sulfurisé sous la pâte, en craignant que le jus des prunes passe à travers la pâte et fasse coller la tarte au moule, mais cela n’a pas été le cas…

Gâteau marbréComme il y a de la place dans le four à côté de la tourtière, j’ai aussi préparé un gâteau marbré, suivant la recette que j’utilise depuis des années, mais en faisant une plus grosse moitié (presque les 2/3) sans cacao, histoire de bien garder les marbrures.

Une pochette écrue…

Sac tricoté écru, doublé en tissuJ’ai oublié de photographier la partie tricot juste terminée, mais le point d’astrakhan se poursuit sur 60 cm de haut. Après le montage du tricot, j’ai préparé une doublure en tissu, avec une fermeture éclair que j’ai montée… trois fois avant de réussir à mettre l’ouverture dans le bon sens, et encore, j’ai mis le pli trop près à l’intérieur, du coup, la tirette a tendance à se prendre dans le tissu. Je pense qu’Emmanuelle / le Marquoir d’Élise va devoir refaire la couture de cette pochette au format prévu pour ranger une revue A4 et un petit ouvrage -de dame-, mais libre à elle d’en faire un autre usage, bien sûr 😉 Bon, j’avais juste 3 mois de retard pour son anniversaire, je vais essayer de rattraper quelques autres envois à des ami(e)s bientôt… Sinon, je vous rassure, ses petits monstres sont bien sages, mais allez savoir si, la nuit, ils ne font pas la java comme les objets de Objectivement de la nouvelle mini-série d’Arte! (ça dure 3 minutes, à 20h45… une sorte de Bonne nuit les petits pour moi, après au lit, avant que mon cerveau n’abdique).

Décollage d’une fusée à Poitiers?

Décollage de fusée au sud de Poitiers?Je vous ai parfois parlé d’illusions d’optique, encore récemment avec le thaumatrope (voir Préhistoire de la bande-dessinée à Lussac-les-Châteaux, il est encore temps d’aller visiter l’exposition) ou auparavant avec les flipbooks (Quand les livres s’amusent au musée de l’imprimerie à Lyon) ou les zootropes (Des mondes de papier, l’imagerie populaire de Wissembourg à Strasbourg). Cette fois, point de persistance rétinienne, mais une question de courbure de la terre et de trajectoire d’avion… car je ne pense pas qu’une fusée ait décollé plein sud par rapport à Poitiers vers 13h le 26 août (2015). Ou bien le farfelu qui exposait des missiles dans sa ferme de la vallée du Né en Charente il y a des années a-t-il fait décoller l’un d’entre eux? 😉

Je viens, de Emmanuelle Bayamack-Tam

pioche-en-bib.jpgCouverture de Je viens, de Emmanuelle Bayamack-TamUn livre recommandé dans la sélection d’été du magazine Causette et trouvé dans une annexe de la médiathèque.

Le livre : Je viens, de Emmanuelle Bayamack-Tam, éditions POL, 2014, 462 pages, ISBN 9782818035412.

L’histoire : de nos jours à Marseille. Charonne, la vingtaine, est une jeune fille métisse, obèse, abandonnée à sa naissance, adoptée à l’âge de 5 ans, par des parents qui l’auraient bien rendu quelques mois plus tard à l’aide sociale à l’enfance, « trop noire »… Dans la grande maison, il y a sa grand-mère, Nelly, nonagénaire, ex-star d’une grande beauté, Charlie, son deuxième époux, raciste, atteint de la maladie d’Alzheimer depuis quelque temps. Quand ils ne sont pas en vadrouille au Bhoutan, il y a aussi les parents de Charonne, Gladys, la fille – la soixantaine – de Nelly et Fernand (qui fut son grand amour malgré son infidélité), et Régis, le fils de Charlie et d’une mère qui les a abandonnés quand il avait douze ans. Ajoutez à ces personnages les employés de maison, une famille philippienne, les parents, aidés pour leurs vieux jours par leurs enfants (un garçon adopté et 6 filles), et un mystérieux personnage qui semble habiter le bureau, et vous aurez le tableau général de cette maisonnée…

Mon avis : trois chapitres d’environ 150 pages chacun, avec pour narratrice successivement Charonne (personnage récurrent de l’auteure mais je n’ai pas lu ses autres romans), Nelly et Gladys, la même histoire, un point de vue et donc des « vérités » qui varient pour chacune. Un seul lieu, une grande maison située à Marseille (mais ça pourrait être ailleurs), quelques rares escapades, dans le parc voisin, à l’hôtel (pour la nuit de noces de Nelly et Fernand), d’autres biens hérités de Fernand (la villa à Cassis etc., juste mentionnés). L’amour ou le manque d’amour filial, mais aussi le racisme, la beauté (de Nelly jeune), la laideur (supposée de Charonne), sont au cœur de ces trois récits successifs d’une même histoire familiale. Il y a aussi la tentation du suicide : par Charonne, la mal-aimée, rejetée à sa naissance puis par ses curieux parents adoptifs, de Nelly, qui veut en finir avec sa déchéance et surtout celle de Charlie, en mettant de côté des médicaments… Un récit à la limite du conte, surtout lors des apparitions du « fantôme » dans le bureau, sur fond de Petrouchka, ce conte russe mis en ballet par Igor Stravinski. Alors, vous demandez-vous? Ai-je aimé ce livre? Je ne sais pas, je l’ai lu de manière fragmentée, sur une quinzaine de jours, je l’avais choisi en raison de la critique que j’avais lue mais aussi parce que POL offre l’avantage d’avoir un interligne suffisant pour ne pas devoir emporter l’ordinateur et la caméra en vacances, c’était sans compter sur le fait que les pages ne sont pas assez opaques et que le texte du verso des pages brouille ma lecture, impossible de lire plus de quinze à vingt pages à la fois, cela n’aide pas pour apprécier un ouvrage. Chacun des trois gros chapitres de 150 pages forme un bloc compact, sans subdivision (sous-chapitre, saut de page), un choix de l’auteur mais cela n’aide pas à « respirer », ni à reposer la vue surtout. De plus, à nouveau, comme il y a des mois avec résonne/raisonne dans N’entre pas dans mon âme avec tes chaussures de Paola Pigani, mon cerveau a eu des difficultés à restituer le sens d’une phrase mal orthographiée :  » ma décision est prise est je n’y reviendrai pas  » (page 239)… Bref, l’inconfort matériel de la lecture ne m’a sans doute pas aidée à apprécier ce roman à sa juste valeur.

Retour de la plage?

Cinquième étape du nécessaire à couture sur le thème de la mer, poissons, hippocampe et fillette qui pêcheDeux poissons, un hippocampe, une nouvelle petite fille avec une canne à pêche… voici des petits motifs pour ne pas vous faire regretter le retour de la plage pour la rentrée scolaire désormais imminente!

Cinquième étape du nécessaire à couture sur le thème de la merEt voici l’ensemble. Modèle de Mains et merveilles (n° 109, juillet-août 2015) pour la réalisation d’un nécessaire de couture sur le thème de la mer, créé par Sara Guermani. Revoir le premier bateau et la pêche avec un deuxième bateau, encore un bateau et de la friture, à l’abri d’un parasol

Dheepan, de Jacques Audiard

Affiche de Dheepan, de Jacques AudiardJe suis allée voir Dheepan, le dernier film de Jacques Audiard, palme d’or à Cannes en 2015 (revoir Un prophète, De rouille et d’os).

Le film : il y a quelques années, dans un camp de réfugié. Dheepan [Antonythasan Jesuthasan], ancien combattant des Tigres Tamouls, au Sri Lanka, a perdu toute sa famille, massacrée. Il achète des papiers, il lui faut trouver une femme et une fille d’environ 9 ans pour coller à ceux de la famille décédée dont il va prendre l’identité. Ça sera Yalini [Kalieaswari Srinivasan], qui rêve de rejoindre sa cousine en Angleterre, et Illayaal [Claudine Vinasithamby], une jeune orpheline trouvée dans les allées du camp. Les voici à Paris, sans parler la langue, vendeur à la sauvette, à la préfecture pour l’enquête pour les papiers de réfugiés, et finalement Dheepan est envoyé comme gardien dans une cité sensible. Il est accueilli par Youssouf [Marc Zinga], qui lui explique les règles, qu’il doit respecter les dealers, leurs horaires. Illayaal est scolarisée, Yalini est casée comme aide-ménagère chez un monsieur handicapé, dont le fils, Brahim [Vincent Rottiers], ne tarde pas à revenir, libéré de prison sous bracelet électronique, chef des trafics (drogue etc.) dans la cité…

Mon avis : j’ai beaucoup aimé ce film. Vous lirez partout des commentaires sur les trafics de cette cité sensible (drogue, mais aussi en filigrane sexe, armes), je n’aborderai pas cet aspect. Je vous conseille le dossier des Inrocks sur la transformation de la paisible cité Coudraie à Poissy en zone de non-droit dans le film, avec l’implication des habitants. La partie violente annoncée partout est assez brève, un peu avant la fin critiquée elle-aussi mais elle permet aussi de repartir le cœur plus léger du cinéma… L’intégration de la famille est montrée de manière discrète, d’abord la fillette qui apprend très vite le français, puis la mère et le père, qui apprennent de plus en plus de mots ; le logement, vide quand ils arrivent, se meuble peu à peu, jusqu’à l’apparition d’une machine à coudre. Le poids de la diaspora n’est pas oublié, avec le rôle du traducteur [voir ci-dessous], qui signale que l’histoire servie par les passeurs ne sera pas crue, qui retrouve quelques mois plus tard la « famille » lors d’une cérémonie religieuse et qui conduit Dheepan à un ancien supérieur militaire qui va essayer de le racketter. Le film donne d’ailleurs envie d’en savoir plus sur la guerre civile au Sri-Lanka, qui est censée avoir pris fin en 2009 : les Tigres Tamouls avaient été inscrits sur la liste des organisations terroristes par l’union européenne, le tribunal a annulé cette inscription, mais en ce début 2015, le gouvernement sri-lankais a encore essayé de faire pression sur l’UE pour qu’aucun Tigre tamoul n’y reçoive le statut de réfugié… Dheepan a trouvé de quoi contourner cette interdiction en passant dans le camp des victimes par l’achat de papiers. Le film est aussi l’histoire de l’apprivoisement (au sens du Petit Prince de Saint-Exupéry) de trois personnes qui ne se connaissent pas, qui ont vécu la guerre civile et des choses terribles, visiblement dans des camps opposés, et qui doivent apprendre à se connaître pour former la famille conforme aux passeports achetés aux passeurs.

Pour aller plus loin : sur le thème des traducteurs et de leur rôle dans les préfectures : (re)lire Assommons les pauvres de Sinha Shumona.

Deux charmants petits monstres…

Monstres en couture d'EmmanuelleAlors que c’est moi qui avais plusieurs mois de retard pour son anniversaire, Emmanuelle / le Marquoir d’Élise n’est pas venue me voir les mains vides la semaine dernière! Elle avait prévu des confitures contenant des agrumes (voir ses recettes sur son deuxième blog Effondrille et abat-faim), saveur que je commence à pouvoir distinguer, et deux charmants petits monstres, même pas peur!!!

C’est une bonne idée pour donner libre cours à son imagination pour utiliser des stocks de boutons et de chutes de tissus, et ce format (une douzaine de centimètres) est plus maniable pour les loger sur une table de travail que Harry le monstre, au format jeu de bébé 😉

Attention, ils me surveillent derrière ma machine à coudre, en appui sur la boîte à bobines de fil!

Nuit européenne de la chauve-souris 2015

Une chauve-souris dans le tunnel de ma résidence, 1La nuit européenne de la chauve-souris, c’est ce soir (29 août 2015)! Il y aura partout en Europe des points d’observation, ainsi que demain… vous pouvez retrouver en suivant le lien toutes les informations et les lieux d’observation en France, pour les autres pays, je n’ai pas cherché… Protégez ces petites bêtes, laissez leur des gîtes sympathiques, la plupart de celles qui vivent dans nos contrées sont insectivores et mangent notamment des milliers de moustiques chacune! Celle de la photographie vient régulièrement se mettre au frais quelques jours dans le tunnel interne de la résidence où j’habite, qui permet de relier le « plateau » de Poitiers en ascenseur. Elle doit y trouver la fraîcheur des grottes. Les arbres en abritent aussi beaucoup, même s’il faut attendre de les voir sortir à la chasse aux insectes pour les voir. Lors des animations et des sorties nocturnes, des enregistrements des infrasons qu’elles émettent permettent de les identifier et de les repérer plus facilement.

Stalles de la cathédrale de Poitiers, dosseret, chauve-sourisSinon, pour les amis et visiteurs poitevins, vous pouvez aussi aller voir la chauve-souris sculptée sur l’un des dosserets des stalles de la cathédrale de Poitiers ou celles qui logent au-dessus des voûtes de l’église Sainte-Radegonde, et volent régulièrement dans la nef en passant par les anciens trous des cordes des cloches.

Pour aller plus loin : voir Le guide des chauves-souris en Poitou-Charentes, de Olivier Prévost (Collection les cahiers naturalistes, 2004, Geste éditions, 197 pages, ISBN 978-2845611625).