Initialement, j’avais prévu un article pour vous montrer les derniers photomontages du ateliers Lion sur la verrue de l’ancien Printemps à Poitiers… mais finalement, j’ai pensé qu’en ce dimanche électoral (n’oubliez pas d’aller voter, voir dans mon article d’hier sur la République de Peynot à Lyon), il valait mieux un article plus consensuel! En avant première, sachez qu’ils sont presque aussi drôles que celui pour l’aménagement du square de la République avec un monument qui n’était pas le nôtre (un square transformé en place et complètement raté); après Poitiers cœur d’agglomération, cœur de pagaille…, que nous réserve ce cabinet pour ce réaménagement et bientôt aussi, si j’ai bien compris, celui de l’ancien théâtre? Chut… Pour le consensus, je vous propose donc une promenade au parc de Blossac… dont je vous ai déjà beaucoup parlé, voir les liens en fin d’article. C’est parti pour une visite en cartes postales anciennes! Donc, comme nous sommes dimanche, nous sortons les grandes tenues. Pourquoi il y a les hommes d’un côté et les femmes de l’autre?
Hummm… L’usage de la coiffe s’est perdu.
Ces messieurs ont aussi de beaux chapeaux, et même les enfants, ici près du kiosque, selon la légende.
Quelle foule! Il y a même des rubans sur les canotiers… ça devait être un jour de fête, je n’ai jamais vu une telle foule sauf lors de la journée des associations…
Même les gardes prennent la pause… Les ombrelles ressemblent à des parapluies.
La belle aussi prend la pause, cette fois dans le jardin anglais.
Pendant ce temps (façon de parler), les hommes s’affrontent sur le pré… Match de rugby engagé!
J’aurai pu vous montrer bien d’autres cartes, j’espère que cette promenade vous aura plu!
Sur le parc de Blossac à Poitiers, voir ou revoir:
- le parc de Blossac et le jardin anglais en hiver, avec des oiseaux d’ici et d’ailleurs
- d’Antoine Durenne : la fontaine aux amours et aux nymphes (et la même un peu givrée), un Amour sur un griffon ou une panthère, un Amour sur un dauphin, le Faune soufflant dans une corne (autres vues en hiver), le Faune au coquillage
- de Étienne Hippolyte Maindron : le lion amoureux, approfondi ici
- de Raymond Sudre : le monument au comte de Blossac (une autre vue après nettoyage) et le groupe sculpté Léon Bazile Perrault
- de Antoine Etex, La douleur maternelle (1859) et Le bonheur maternel (1866)
- la grille et le feu d’artifice du 14 juillet 2009
- Bienvenue à la ferme 2010 à Blossac
- les attractions de noël 2010 sous la neige (15 décembre 2010)
- le boulevard sous Blossac
- ombre et lumière de la pergola
- des ponts