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Défi photo… tout en blanc

Poitiers sous la neige, 20 janvier 2013, 1, chevet de Saint-Hilaire

Le retour de la neige, chaque année, c’est comme un marronnier dans la presse… Mais c’est de défi photo naturel proposé par Monique / Bidouillette / Tibilisfil cette semaine. Vendredi, j’ai vu le défi trop tard, la neige avait été remplacée par la pluie (verglaçante au début). Mais hier matin, de nouveau, une fine couche de neige sur la ville silencieuse. Je vous ai déjà montré de nombreuses images au fil des ans… avec Poitiers en blanc en février 2012, la patinoire de la grand’rue en janvier 2009, Notre-Dame-la-Grande sous la neige en 2009, le marché de la ZUP et la ville en décembre 2009, etc. Hier matin, je sors et ne résiste pas à reprendre le plus ou moins le parcours fait pour des choses rondes, en commençant par le chevet de l’église Saint-Hilaire.

Poitiers sous la neige, 20 janvier 2013, plots casse-gueule Au passage, à nouveau (revoir dans l’article Poitiers ville inaccessible), les plots et demi-boules évitant (et encore, ce n’est pas si efficace que ça) le stationnement des voitures, encore plus dangereuses sous la neige…

Poitiers sous la neige, 20 janvier 2013, 3, jardin anglais et château d'eau de Blossac Arrivée à Blossac, j’aurais voulu prendre l’hôtel des insectes (une des variantes de ma carte de vœux 2013, clic sur le lien pour la voir sur mon compte facebook) sous la neige, mais le jardin anglais était fermé… En face, la neige avait pris sur le mur taluté du château d’eau.

Poitiers sous la neige, 20 janvier 2013, 4, le bonheur et la douleur maternelles à Blossac La partie principale du parc était ouverte, avec La douleur maternelle (1859) et Le bonheur maternel (1866) de Antoine Etex blotties sous la neige…

Poitiers sous la neige, 20 janvier 2013, 5, le chevet de Saint-Jean-de-Montierneuf En début d’après-midi, en allant assister à un film au Diétrich, j’ai pris au passage le chevet de Saint-Jean-de-Montierneuf, vous voyez au passage sur la gauche les toits du rectorat et de l’inspection d’académie où la neige a déjà fondu… un bâtiment juste réhabilité, mais visiblement, mal isolé avec d’importantes fuites thermiques, car les autres toits tout autour étaient encore blancs…

L’Enfant d’en haut d’Ursula Meier

Affiche de L'Enfant d'en haut d'Ursula Meier Deux gros mois sans cinéma, ça ne pouvait pas durer… Le cinéma, si on n’y va pas pendant une semaine ou deux, on ne voit pas de présentation et on y va de moins en moins… Après avoir lu et entendu plusieurs critiques sur ce film, je suis allée le voir, même si j’avais eu du mal avec le précédent film d’Ursula Meyer, Home, vu dans le cadre du festival télérama 2009.

Le film : dans les Alpes suisses, de nos jours. Simon (Kacey Mottet Klein), 12 ans, habite dans un HLM dans la vallée avec sa sœur, Louise (Léa Seydoux), plus ou moins présente entre deux aventures masculines, plus ou moins sans travail… Alors Simon prend régulièrement la télécabine pour se rendre dans la station huppée au-dessus… Là, anorak et sac à dos, chaussures de ski au pied, il profite de la négligence des riches touristes pour voler de quoi déjeuner, des lunettes de soleil, des casques, des skis… Il revend aux gamins de son quartier, aux saisonniers, au bord de la route, et organise un trafic de skis avec l’un des saisonniers du resto d’altitude. Un trafic qui prend de plus en plus d’ampleur, c’est désormais lui qui permet à sa sœur de vivre…

Mon avis : ça serait bien si les saisons étaient respectées dans les films… Apercevoir en début de film des feuilles d’arbre en train de sortir alors qu’on est en début de saison de ski, ça me gène… un détail, me direz-vous, mais cela arrive de plus en plus souvent au cinéma… J’avais eu le même problème il y a quelques mois avec Toutes nos envies de Philippe Lioret. Ceci dit, j’ai bien aimé le film, le rebondissement sur Louise (mais cela, il faudra que vous alliez voir les film pour comprendre), l’excellent jeu de l’adolescent (qui jouait déjà dans Home), le scénario (qui a eu l’Ours d’argent au dernier festival de Berlin), qui rappelle la grande tradition des films sociaux francophones (haro sur les riches, les pauvres font ce qu’ils peuvent pour survivre)…

Défi photo de Bidouillette, des troncs…

Défi photo, février 2012, des troncs, 1, dans la cathédrale de Poitiers Cette semaine, Monique / Bidouillette / Tibilisfil nous propose de mettre nos chaussures et de sortir avec notre appareil photo sur le thème des troncs. Lundi midi (13 février 2012, je mets les dates, les articles restent visibles longtemps), toujours à Poitiers, direction la cathédrale et son Jugement dernier … avec en tête ce « joli » tronc… à offrandes…

Défi photo, février 2012, des troncs, 2, instructions dans les églises Je me dirige ensuite juste à côté, à l’église Sainte-Radegonde, (vous pouvez revoir les chevets de la cathédrale et de Sainte-Radegonde depuis le haut, elles sont proches), mais j’ai une excuse, ça glisse!!! Le dégel avait à peine commencé, et dans les seules parties ensoleillées… Je n’ai pas repris le « tronc unique » (comme dit l’étiquette à côté, à droite sur ce montage), c’est exactement le même modèle, mais les instructions sont un peu différentes… A la cathédrale (en haut à gauche), il est aussi précisé « tronc money box », mais des deux côtés, attention, prière de mettre des euros (dommage pour les livres de nos amis anglais) et de glisser les pièces une à une pour qu’elles ne se bloquent pas…

Défi photo, février 2012, des troncs, 3, tronc à prières à Sainte-Radegonde de Poitiers

Mais le tronc que je visais se trouve tout près du tombeau de sainte Radegonde, c’est le tronc à prières, vous avez même à disposition les petits papiers, et les sœurs du monastère Sainte-Croix (descendant du monastère créé par sainte Radegonde et déménagé à la Cossonière, en périphérie de la ville, sur la commune de Saint-Benoît, depuis les années 1960)…

Défi photo, février 2012, des troncs, 4, bonhomme de neige-tronc En sortant, le bonhomme de neige qui se trouvait depuis une grosse semaine près du parvis de justice du 15e siècle était devenu un bonhomme-tronc, il a perdu la tête et est tombé… Avec le dégel d’hier, il a dû bien fondre depuis…

Défi photo, février 2012, des troncs, 5, un tronc d'arbre Bon, allez, sur le chemin du retour vers le bureau après cette courte promenade, je repasse près du portail nord dit de Saint-Michel de la cathédrale, et vous ai pris un tronc plus… attendu! Un arbre que vous avez déjà pu apercevoir, avec des feuilles, sur la dernière photographie du défi des haies.

Défi photo : Poitiers en blanc et noir ou blanc et blanc?

Défi photo, Poitiers en blanc, février 2012, 1, la Grand'Rue le 6 février Cette semaine, Monique / Bidouillette / Tibilisfil nous propose de mettre nos chaussures et de sortir avec notre appareil photo sur le thème en blanc et noir… redéfini en « La vie en blanc, avant le printemps? » suite aux chutes de neige en France et en Belgique notamment (pour ceux qui ne le savent pas, Monique / Bidouillette / Tibilisfil habite à Bruxelles…). Alors, voici quelques photographies prises à Poitiers dimanche et lundi (5 et 6 février 2012). Je commence par ce matin en noir et blanc… Bonne surprise dans la Grand’Rue, où je travaille… Contrairement aux années précédentes, où il fallait attendre que tout regel et qu’une couche de sable la recouvre, revoir par exemple en janvier 2009, cette année, la ville a équipé une balayeuse municipale d’une lame chasse-neige et d’une saleuse à la place des rouleaux de balayage à l’arrière… Cette machine a aussi permis de dégager des passages dans les rues piétonnes et sur la place d’Armes (place Leclerc). Ce matin, la chaussée de la Grand’Rue était donc « au noir ». Mais il ne faut pas rêver, les trottoirs restent bien enneigés, et glacés là où de la neige du toit a fondu et regelé en arrivant au sol…

Défi photo, Poitiers en blanc, février 2012, 2, en blanc et vert de ma fenêtre Hier matin, à l’ouverture des volets, depuis ma chambre, c’était plutôt en blanc et vert… Et oui, j’habite en ville, mais je donne sur la colline boisée…

Défi photo, Poitiers en blanc, février 2012, 3, rue Renaudot, ele 5, en haut au matin, en bas PM J’avais raté la neige du lundi précédent, je ne l’avais vue qu’en rentrant en train le soir tard, et la grande pagaille urbaine de la fin d’après-midi du 30 janvier… tout le monde s’étant rué en même temps sur les voitures pour sortir de la ville. Hier, en revanche, c’était le grand désert blanc, pas de voiture ou presque… Voici le bout de la rue Renaudot, à l’angle avec la rue Saint-Hilaire, en haut le matin, en bas dans l’autre sens en fin d’après-midi, après le passage des engins de déneigement…

Défi photo, Poitiers en blanc, février 2012, 4, l'enseigne au mouton Rue Carnot, même le mouton a revêtu un blanc manteau… (voir ici pour en savoir plus sur l’enseigne au Mouton).

Défi photo, Poitiers en blanc, février 2012, 5, l'hôtel de ville le 5 au matin Arrivée devant l’hôtel de ville, avant le passage de la machine, comme un air de place géante… En revanche, très mauvaise surprise, si la neige tient bien sur le bitume, sur les petits pavés et les dalles de la place, ça glisse, la neige n’adhérant pas au revêtement. Cette place est une grande réussite, de petits arbres exotiques (plantation des Sophoras et de poiriers du Japon) à la place des essences locales massacrées, ça glisse en hiver, ça éblouit en été.

Défi photo, Poitiers en blanc, février 2012, 6, Notre-Dame la Grande le 5 au matin Enfin, pour comparer avec 2009, voici la façade de Notre-Dame-la-Grande. Les éléphants affrontés devaient avoir bien froid! Pas facile non plus de lire les panneaux explicatifs!

Un abécédaire miniature… et une chute

Abécédaire miniature mon jardin, vue de loin Je vous l’avais montré lors du dernier épisode neigeux à Poitiers, le garage Renault du boulevard Pont-Achard ne dégèle jamais son trottoir, en tout cas, celui devant son parking… Gros épisode de verglas hier matin, bien dégelé par le gardien devant chez moi, patinoire intégrale devant chez Renault, le coccyx mort le trottoir… un gros bleu et une petite douleur toute la journée, merci Monsieur Renault! Et encore, j’avais les chaussures de marche et je me méfiais! Il y a eu des centaines de chutes et plus de 150 fractures reçues au CHU hier, d’après les informations régionales… mais si les riverains salaient leurs trottoirs, ça serait mieux! Pour une fois, la ville avait fait son travail en ville et notamment dans la Grand’Rue, pas comme il y a deux ans

Il y a quelques mois, en août en fait, lors de notre rencontre à Tours, Véro bis m’avait offert un kit avec un alphabet miniature à broder en un fil de soie sur un fil, Mon jardin de chez Alphabets à Toulouse. Je l’ai brodé il y a quelque temps (j’ai encore plein de choses à vous monter à propos de noël, des cartes, des cadeaux…), le résultat est très très beau! La piécette de deux centimes donne l’échelle…

Abécédaire miniature mon jardin, vue de près … mais voici de plus près la broderie… Il me reste à faire la finition… j’ai plusieurs idées en tête! Un grand merci à toi pour ce cadeau, Véro (bis)!

Capucine O a utilisé cette photographie pour me confectionner un calendrier 2012 très personnalisé.

Poitiers, encore!

Poitiers, 18 décembre 2010, honte au garage Renault, ça glisse, ils oublient de déneiger... Oui, je vous entends, overdose de Poitiers cette semaine, de la sculpture sur Notre-Dame-la-Grande dimanche dernier (et la suite demain à midi), un peu de neige mardi (voir l’article de mercredi) et depuis? Pas grand-chose côté météo. Une alerte orange à la neige ce matin, mais il a à peine neiger pendant la nuit, et à part le trottoir de chez Renault juste à côté de chez moi, qui décrochent comme d’habitude la palme de l’incivisme en ne nettoyant jamais leur trottoir (ils déneigent devant la vitrine, pas devant leur parking, alors qu’ils en ont l’obligation, comme tous, honte à Renault!).

Sinon, cet après-midi, j’ai testé la navette cœur d’agglo. Pour palier au manque de bus dans le sud du centre-ville, une navette a été mise en place par Vitalis (qui a repris le travail jeudi, après que les chauffeurs ont exercé un droit de retrait mardi et mercredi). Bon, côté utilité, le trajet en navette 9 places est aussi long que le trajet à pied, et pour cause, je l’ai pris (seule, archi seule) à Magenta pour aller à Blossac (avec la pluie froide, une bonne occasion de tester), le chauffeur doit se lever à chaque passager pour ouvrir la porte, qui n’est pas automatique, et il doit surtout se faufiler entre les cabanes de noël rue Paul Guillon, les piétons, les voitures en sens interdit devant les Cordeliers, puis les voitures garées sur le trottoir et qui ne permettent plus aux voitures de croiser rue Louis-Renard. Bon, vue la lenteur, les horaires (une navette toutes les demi-heures), il est peu probable que je la reprenne, même si elle est comprise dans l’abonnement de bus.

Poitiers, 17 décembre 2010, sophoras plantés place Leclerc Côté Poitiers cœur d’agglomération, cœur de pagaille…, les Sophoras ont été plantés cette semaine sur la place d’Armes (place Leclerc), voici la photo que j’ai prise vendredi midi, sous un grand soleil, si, si, il existe encore, mais vous pouvez voir des photographies pendant les plantations chez Daninele (lien direct sur les plantations, elle a aussi pris des photos mercredi des animations ouvertes à Blossac) ou chez Ludovic Bonneaud /Pourquoi pas Poitiers avec même l’élévateur en pleine action…

Poitiers, 18 décembre 2010, 14h, incivilité rue Saint-Hilaire Une dernière photographie d’incivilité ordinaire, quoiqu’en dise les services municipaux, les petits plots noirs casse-gu..le pour les piétons qui ne les voient pas n’empêchent absolument pas le stationnement, la preuve ce midi encore en rentrant du marché, rue Saint-Hilaire. Et le piéton, il passe comment???

Mais que s’est-il passé hier à Poitiers???

Météo France, carte Poitou-Charentes du 14 décembre 2010 à 13h15 Petit changement dans mes publications d’articles… Hier, à 13h15, alors que je m’apprête à repartir au boulot, que vois-je? Quelques flocons voltigent… Je file voir chez Météo France, justement, carte mise à jour à 13h15, la preuve en image… 1° à Poitiers, couvert, mais rien d’autre, et même des éclaircies tout autour… Là où vous voyez le grand soleil, il neigeait aussi… Je décide de me couvrir chaudement, avec la belle écharpe offerte l’année dernière par Cocoperlette, ma casquette-bonnet, plutôt que mon bonnet-écharpe, joli mais qui a tendance à laisser le haut du cou découvert. Je décide (à tort…) que les bottines suffiront, les chaussures de marche auraient été plus adaptées. Direction le bureau à pied… Quand il neige, je préfère habituellement prendre le bus, car passé l’obstacle majeur de l’arrêt de bus (jamais déneigé ni déglacé par la société Vitalis, allez savoir pourquoi), c’est moins dangereux en bus qu’à pied (rappelez-vous ceci). Hier (et sans doute aujourd’hui), aucun bus ne circule, un chauffeur ayant été agressé lundi soir, les autres chauffeurs ont fait valoir leur droit de retrait. Donc, direction marche à pied par la gare, la grande passerelle, le palais de justice, le parvis de Notre-Dame-la-Grande (pas de petit coucou aux éléphants…) et la Grand’Rue. Ah, et j’emporte mon appareil photo numérique (APN), on ne sait jamais…

Poitiers, averse de neige du 14 décembre 2010, 1, de mon bureau à 13h45 Vingt minutes plus tard, me voici arrivée au bureau, toute blanche… Voici ce que ça donne de la fenêtre… Mais bon, cela s’arrête vite. La neige en hiver, c’est normal, savoir quand elle tombera pour mieux s’équiper, c’est mieux quand même… et si les riverains dégageaient les trottoirs devant chez eux, cela irait encore mieux…

Poitiers, averse de neige du 14 décembre 2010, 2, l'entrée du parc de Blossac Le soir, je décide de rentrer assez tôt, avant que cela ne regèle sur les trottoirs. Mais comme le parc de Blossac n’est pas loin et que je ne suis pas encore allée voir la grande roue et les attractions payées par la ville à la place de la patinoire des commerçants qui n’a pas pu être montée sur la place d’armes ( Poitiers cœur d’agglomération, cœur de pagaille… oblige, je vous mets quelques photographies de samedi dernier en fin d’article), je fais un petit crochet…

L’entrée est bien illuminée en bleu et blanc…

Poitiers, averse de neige du 14 décembre 2010, 3, parc de Blossac et statue Une fine couche de neige recouvre le sol et les statues (tiens, celle-ci, je ne vous l’ai pas encore montrée en détail)…

Poitiers, averse de neige du 14 décembre 2010, 4, parc de Blossac grande roue Mais grosse déception plus loin… La grande roue est à l’arrêt…

Poitiers, averse de neige du 14 décembre 2010, 5, parc de Blossac , stands fermés …le stand de tir est fermé…

Poitiers, averse de neige du 14 décembre 2010, 6, parc de Blossac , stands fermés … et les autres attrcations aussi. J’interroge un garde du parc… Non, ce n’est pas à cause de la neige ou du gel, juste qu’il n’y avait pas assez de visiteurs, les forains n’ont pas ouvert alors que partout en ville, il est annoncé que c’est ouvert tous les jours de 14h30 à 21h jusqu’à noël (et avec NOS IMPÔTS).

Poitiers, coeur d'agglo, 11 décembre 2010, place d'armes, 1, l'hôtel de ville J’arrête de râler… quoique . Voici les photographies promises de coeur d’agglomération sur la place d’armes samedi dernier, grand soleil et frisquet à 9h30…

Poitiers, coeur d'agglo, 11 décembre 2010, place d'armes, 2, ça givre Aïe, je pense que ces beaux pavés seront aussi une belle patinoire l’année prochaine… Regardez la partie givrée…

Poitiers, coeur d'agglo, 11 décembre 2010, place d'armes, 3, l'ancien tunnel À l’autre bout de la place, l’ancien tunnel piéton finit d’être bouché, les sépultures médiévales ont été détruites (tiens, il y avait une conférence prévue hier soir, mais je ne sais pas si elle a eu lieu, j’ai eu la flemme de ressortir en risquant à nouveau de me casser le nez).

Poitiers, coeur d'agglo, 11 décembre 2010, place d'armes, 4, départ de calèche Juste à côté, une des mini-forêts de sapins qui ont fleuri en ville, avec l’arrêt de bus… oups de calèche gratuite le mercredi, le samedi et le dimanche pour aller aux attractions
… du parc de Blossac (ah bon, elles ouvrent donc parfois???). Les premiers arbres ont été plantés sur la place hier malgré la météo, mais de nuit à 17h45, j’ai préféré m’abstenir de photographier ces ridicules petits arbres congelés…

Matisse-Rodin au musée Rodin

Couverture du catalogue de l'exposition Matisse / Rodin Pas d’article sur Poitiers aujourd’hui, il y a urgence si vous passez par Paris comme moi la semaine dernière

L’exposition Matisse-Rodin se poursuit jusqu’au 28 février 2010 au musée Rodin. Pour les photographies, suivez le lien… Auguste Rodin est l’aîné de Henri Matisse d’une trentaine d’années… Les dessins préparatoires et les sculptures des deux hommes, notamment pour ce qui concerne le rendu du mouvement des corps, sont agréablement présentés, sauf en ce qui concerne les cartels (les étiquettes qui donnent des précisions sur l’œuvre), écrits en blanc sur vert et donc manquant de contraste, il y en a marre de cette mode des cartels en blanc sur fond clair, esthétiques mais si peu lisibles… Il y avait pas mal de monde, dont des groupes, heureusement qu’il y a maintenant des casques pour les visites guidées, avec des émetteurs-récepteurs radio, cela évite aux guides (pardon, médiateurs culturels, comme il faut les appeler maintenant) de hurler.

Les œuvres proviennent surtout de la collection du musée Matisse de Nice, du centre Georges Pompidou et du musée Rodin de Paris. je trouve dommage l’absence du musée Matisse au Catteau-Cambrésis, notamment pour les nus de dos de Matisse…

La façade antérieure, sur cour, du musée Rodin à Paris J’ai ensuite fait un tour dans le musée, qui va prochainement fermer pour rénovation (il en a bien besoin), revoir aussi les œuvres de Camille Claudel, pas seulement celles de Rodin (plâtres, terres crues, tirages en bronze, etc.).

La façade postérieure, sur jardin, du musée Rodin à Paris Puis je suis sortie dans le jardin, même si un peu de neige s’était invitée…

La façade postérieure, sur jardin, vue de près, du musée Rodin à Paris Voici de plus près la façade postérieure…

Le Penseur de Rodin, au musée Rodin à Paris … et le célèbre Penseur, pour les autres, vous devrez aller les voir, toujours pour des questions de droit d’auteur, et même si les photographies sans flash étaient autorisées, je trouve cela très limite de mettre d’autres photographies en ligne.

Poitiers, ça glisse à nouveau!

Vue de la fenêtre de ma cuisine, le 10 mars 2010 à 18h La neige est toujours d’actualité à Poitiers. Vers 17h, coup de vent et averse de neige, 2 cm en quelques minutes, bouchon gigantesque, tout le monde s’est rué en même temps pour sortir de la ville, même les trottoirs étaient encombrés. Voici la vue de la fenêtre de ma cuisine au retour… J’espère que les trains n’auront pas de problème demain matin, j’aimerais bien pouvoir profiter de mon long week-end à Paris. Bientôt le retour de grand’rue plage comme en janvier 2009 ?Ou cette vue comme avant noël ?

Petite promenade dominicale à Poitiers

Poitiers sous la neige, le 20 décembre 2009 au matin : le marché de la ZUP Ce matin à 8h, la neige tombait bien. Un peu plus tard, surprise, les bus fonctionnent, je monte au marché de la ZUP, sur la colline de l’autre côté du Clain. Le marché est tout petit, là où vous voyez les voitures, il y a d’habitude de nombreux étals.

Poitiers sous la neige, le 20 décembre 2009 au matin : la ville vue d'en haut Vite, je fais quelques courses, et je redescends à pied. Une fine pluie tombe, j’espère qu’elle ne va pas se transformer en verglas. Mais elle s’arrête vite. Une petite vue sur la ville, le clocher blanc sur fond blanc au centre de la photo, c’est Notre-Dame-la-Grande.

Poitiers sous la neige, le 20 décembre 2009 au matin : le chevet de Saint-Jean-de-Montierneuf Un peu plus loin, voici la vue sur le chevet de Saint-Jean-de-Montierneuf, il faudra que je vous parle de cette église, un de ces jours…

poitiers 2009 12 20 04 banc Au passage, un banc pour admirer la ville…

Poitiers sous la neige, le 20 décembre 2009 au matin : un garde-mager pour les oiseaux … un garde-manger pour les oiseaux…

Poitiers sous la neige, le 20 décembre 2009 au matin : le chemin des crêtes … et je continue sur le chemin des crêtes que j’aime bien car il longe le rebord du plateau.