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L’atelier de Man Ray

Merci à la communauté France Art-culture de m’avoir accueillie dans ses rangs !

Actuellement, la Pinacothèque de Paris, place de la Madeleine, accueille deux expositions.

Je ne suis pas retournée voir la première (qui se tient jusqu’au 14 septembre 2008), sur les soldats de l’éternité (pas de dossier en ligne sur le site de la Pinacothèque), ces soldats d’argile chinois. J’avais vu cette exposition en octobre à Londres, au British museum, et avais été très déçue. Heureusement qu’en tant que membre de l’Icomos (International Council on Monuments and Sites), je n’avais pas fait la queue pour ne voir qu’une trentaine de statues (sur plusieurs milliers). Enfin, vous pouvez quand même aller voir l’exposition à Paris, mon jugement d’archéologue déçue est sans doute exagéré. Mais pensez à réserver par ce lien car il y a la queue.

Je suis en revanche allée voir l’exposition consacrée à l’Atelier Man Ray, qui se termine très bientôt (le 1er juin 2008). La plupart des œuvres présentées ici sont inédites, surtout des photographies et quelques dessins appartenant pour leur grande majorité au Man Ray Trust. Ne ratez pas les photogrammes ou rayogrammes, réalisés grâce une technique particulière dont vous trouverez une explication sur ce site destiné aux lycéens et très bien fait (à mon avis).

Cette exposition m’a beaucoup plu, n’hésitez pas à aller la voir pour vous rendre compte par vous-même ! Dommage, le catalogue n’était plus disponible à la boutique.

Exposition L’art du sacré

La façade du centre Pompidou le 17 août 2008 Comme je vous l’ai dit mercredi dernier, j’ai vu dans la galerie 1, au sixième étage de Beaubourg / Centre Georges-Pompidou, l’exposition Traces du sacré, qui dure jusqu’au 11 août 2008.

J’ai rédigé cet article hier, avant de partir à mon stage de couture.

Je n’ai pas beaucoup apprécié cette exposition. D’abord, je n’aime pas cette galerie 1, aménagée depuis quelques années. La grande cloison courbe délimite des espaces bizarres, rarement bien exploités par les différents scénographes et commissaires d’exposition. J’ai trouvé que cette exposition était un fourre-tout, un ramassis d’œuvres dont certaines sont certes très intéressantes, mais dont le lien entre elles n’est pas toujours clair, ni même le lien avec le sujet. Ainsi, je n’ai pas vu le lien des dessins de Pablo Picasso sur le thème de la tauromachie (très beau certes) avec le sacré. La pièce où est prononcé le texte d’Antonin Artaud  » Pour en finir avec le jugement de dieu  » (1947) censuré par la radio est certes impressionnante, mais chacun peut écouter ce texte sur Ubu-web. Certaines vidéos et certaines autres œuvres sont au-delà de la limite du supportable et du blasphématoire. D’après les communiqués de presse, cette exposition explore les liens entre retrait du religieux et art moderne. Je n’ai absolument pas ressenti cela dans cet immense fouillis. Ah si, ne ratez pas dans le forum de grand moulin à prières de Huang Yong Ping.

Cependant, chacun doit se faire sa propre idée, je ne voudrais pas trop vous influencer. Pour un petit aperçu préalable à votre visite ou si vous ne pouvez y aller mais souhaitez quand même avoir une idée de cette exposition, voici le lien vers le dossier pédagogique.

Exposition Louise Bourgeois

La façade du centre Pompidou le 17 août 2008 De passage à Paris, je suis retournée voir l’exposition Louise Bourgeois à Beaubourg / Centre Georges-Pompidou à Paris. J’avais vu cette exposition à Londres en octobre dernier, et acheté le catalogue en anglais. le catalogue français semble être la traduction pure et simple de cette exposition co-organisée par le Centre Georges-Pompidou à Paris et la Tate Modern à Londres. Je n’ai pas racheté le catalogue, que j’ai donc en anglais (il est actuellement chez mon père qui l’a lu, et a visité avec moi l’expo de Paris). Cependant, il me semble que l’exposition de Londres avait un peu plus d’œuvres, surtout, la présentation était différente. Avoir séparé les œuvres avec une partie au sixième étage et l’autre partie dans la galerie d’art graphique au quatrième étage est un peu bizarre de même, les  » cellules « , présentées ensembles à Londres, sont ici dispersées.

Les œuvres de Louise Bourgeois, aujourd’hui âgée de 96 ans mais toujours active [PS: elle est décédée presque centenaire le le 31 mai 2010], sont très particulières et très variées, parfois très originales avec les sculptures suspendues (et non posées sur un socle) : allez voir le dossier en ligne pour vous en rendre compte par vous-même !

J’aime beaucoup ces œuvres, mais peut-être vous choqueront-elles. Mais allez voir l’exposition, elle se termine le 2 juin 2008.

J’ai aussi vu dans la galerie 1, toujours au sixième étage de Beaubourg, l’exposition Traces du sacré, mais elle vient d’ouvrir et dure jusqu’au 11 août 2008, alors, je vous en parlerai une prochaine fois. Pour un petit aperçu préalable, voici le lien vers le dossier pédagogique.

Exposition Richard Rogers + architectes, au centre Pompidou

La façade du centre Pompidou le 17 août 2008 Samedi dernier, j’ai visité l’exposition Richard Rogers + architectes, présentée au centre Pompidou [lien actualisé 10 octobre 2012] à Paris jusqu’au 3 mars 2008.
Présentée dans la galerie sud du centre, l’exposition est visible de l’extérieur, les vitres ayant été, pour une fois, laissées libres de tout store. Cette exposition montre les travaux de l’agence de l’architecte Richard Rogers, dont le centre Pompidou qu’il a conçu en association avec Renzo Piano. Elle présente aussi bien les maquettes des projets, réalisés ou non, que des photographies, des vidéos etc. Parmi les bâtiments présentés, le palais de justice de Bordeaux, le terminal de l’aéroport de Madrid, le dôme du Millenium à Londres ou des réflexions plus larges d’urbanisme.

Dijon, exposition sur les dessins français de la collection Magnin

Le musée national Magnin, à Dijon, est un de ces petits musées nationaux qui manquent de moyens… et qui viennent de se voir imposer le test sur la gratuité des musées entre le 1er janvier et le 30 juin 2008. La réunion des musées nationaux aimerait probablement se débarrasser auprès des collectivités territoriales de ces musées, parmi lesquels on peut sans doute compter le musée napoléon sur l’île d’Aix en Charente-Maritime ou le musée Adrien Dubouché à Limoges.
J’ai visité le musée Magnin le dimanche 27 janvier, en fin de matinée. Il y avait pas mal de visiteurs pour ce musée je pense, et une enquête sur la gratuité dans les musées (nationaux). Le musée est installé dans un ancien hôtel particulier et présente actuellement une exposition de dessins français. Ces derniers viennent tous d’être numérisés et sont disponibles en ligne. Sur ce site, il faut utiliser les onglets de navigation sous le titre, ce qui est limite par rapport aux normes d’accessibilité (voir ma note sur le W3C). Si vous passez dans le secteur, n’hésitez pas à entrer dans ce musée.

Une dernière petite remarque : la réunion des musées nationaux n’investit vraiment pas dans ces « petits » musées, surtout pas assez en communication. Quelques minutes après ma sortie, je suis allée au musée des Beaux-Arts de la ville de Dijon, qui reste ouvert pendant l’heure du déjeuner. À l’accueil, un charmant jeune homme explique au couple qui me précède que les musées de la ville de Dijon sont tous gratuits, « contrairement au musée privé qui se trouve à côté ». Quand je lui demande quel musée, il me répond le musée Magnin… à 100 m de là, dans un milieu sensibilisé, l’agent d’accueil ne sait même pas que ce musée est un musée national et encore moins qu’il expérimente la gratuité. Où est l’erreur ?

Exposition : l’atelier d’Alberto Giacometti au centre Pompidou

La façade du centre Pompidou le 17 août 2008 Samedi, je suis allée voir l’exposition L’atelier d’Alberto Giacometti, collection de la fondation Alberto et Annette Giacometti, au centre Pompidou à Paris. Il était temps, elle se termine le 11 février. Elle est présentée au dernier étage du centre et couvre un assez grand espace subdivisé en 18 salles. Les œuvres sont nombreuses, avec beaucoup de pièces venant de l’atelier de l’artiste, de nombreux plâtres enduits de la matière grasse qui permet la fabrication du contre-moule pour les tirages en bronze. Une toute petite figurine féminine, de deux cm de haut environ, est impressionnante, isolée seule au milieu d’une grande vitrine. Un regret cependant : pourquoi au centre Pompidou, les groupes n’utilisent-ils pas comme dans de nombreux musées et expositions les émetteurs-récepteurs ? Cela permet d’éviter la concurrence de niveau sonore entre les groupes, et empêche aussi l’agglutination autour de ceux-ci d’autres visiteurs, qui obstruent le passage. Et pourquoi ne pas réfléchir à des horaires réservés aux seuls groupes, pour que les visiteurs individuels puissent profiter tranquillement des expositions ?

Le musée de la vie bourguignonne et le musée d’art sacré à Dijon

Vendredi en huit, au cours d’une réunion professionnelle à Dijon, j’ai eu le bonheur de visiter le musée d’art sacré et le musée de la vie bourguignonne Perrin de Puycousin sous la conduite de Madeleine Blondel, conservatrice des deux musées installés dans l’ancien couvent des bernardines, rue Sainte-Anne.
L’entrée de ces deux musées est gratuite.
Le musée d’art sacré occupe la chapelle de l’ancien couvent. Des visites guidées gratuites permettent de visiter des parties habituellement fermées au public : la partie haute de la chapelle et les réserves où un important programme de conservation préventive a été mis en place pour une bonne conservation des tissus et autres objets en matières fragiles. Même si vous n’avez pas d’attirance pour les calices, chasubles et autres objets  » du culte catholique « , (comme disent les thésaurus des bases de données de l’inventaire général du patrimoine culturel), ce musée ne vous laissera pas indifférent.

Le musée de la vie bourguignonne plaira à un public plus large. Il se compose de plusieurs espaces. Au rez-de-chaussée est présentée la collection d’ethnographie Perin de Puycousin, donnée à la ville dans les années 1930. Cette collection a été remise en scène ici, en gardant les mannequins de la première présentation au public. J’ai adoré la réflexion sur la calligraphie… Au fil des vitrines, des textes courent sur les parois et sur des petits éléments qui expliquent la fonction des objets. Ainsi, le mot  » mort  » adopte la forme d’une flamme au-dessus d’un cierge. On retrouve une forme de lampe à huile et de flamme respectivement pour « l’éclairage » et « domestique », etc.
Au premier étage, diverses boutiques de Dijon, aujourd’hui fermées, ont été remontées : la biscuiterie, la pharmacie, le photographe (où on peut se faire tirer le portrait), le fourreur, le chapelier, le confiseur (avec des bocaux de bonbons !), etc. Un vrai cauchemar pour le conservateur que tous ces matériaux fragiles, mais un bonheur pour le visiteur. Les affiches mises sous film plastique ont vraiment un aspect d’affiche, même si elles sont ainsi protégées et peuvent être changées tous les 2 mois pour éviter qu’elles ne passent à la lumière. On trouvera aussi à cet étage les grands hommes de Dijon (et une évocation d’Eiffel, originaire de la ville, par des produits très kitchs) ou une collection de pots à moutarde, de petits objets fabriqués par les soldats en 1914-1918, etc.
Au second étage, un petit train électrique (un TGV et son paysage, illustré aussi par de vieilles affiches de la SNCF sur Dijon) courre le long du mur du fond… et subjugue les garçons… et leurs papas !!! On trouve aussi des modules sur les matériaux (pierre, terre, bois), une surprenante maquette de cathédrale réalisée en cahiers recyclés réalisés par les enfants de l’école de Molesme, une salle de projection et une très belle salle pédagogique qui permet un accueil dans des conditions idéales des classes en visite.

Un musée à voir absolument si vous passez par Dijon !

Plein de dates portées…

Poitiers, date de 1516 sur une porte Au fil des articles, je vous ai montré plein de dates sur des maisons, des immeubles et des statues! Pensez-vous qu’au fil du temps, toutes les années seront couvertes du 16e siècle aux années 1950 ? Au 1er juin 2012, il n’y a encore que 67 années portées publiées sur ce blog… et une très exceptionnelle date du 11e siècle.

  1. 1086 et 1096 sur l’autel majeur de Saint-Jean-de-Montierneuf
  2. MCLXVII (1167) sur une clef de voûte de la cathédrale de Poitiers
  3. 1516 sur un hôtel particulier place Lepetit à Poitiers
  4. 1547 sur la lucarne d’un hôtel particulier rue de l’Ancienne Comédie à Poitiers
  5. 1557 sur l’hôtel Pélisson à Poitiers
  6. 1579 sur la fontaine du légat près du pont Joubert à Poitiers
  7. 1580 sur un hôtel particulier rue de la Regratterie à Poitiers
  8. 1626 sur un hôtel particulier rue de la Regratterie à Poitiers
  9. 1642 sur une porte place de la Libération à Cahors
  10. 1643 sur une porte rue Fondue Haute à Cahors
  11. 1644 sur la porte de l’église Saint-Jean-de-Montierneuf à Poitiers
  12. 1660 (?) sur une porte rue Nationale à Cahors
  13. 1667 sur l’hôtel du grand prieuré d’Aquitaine dans la Grand’Rue à Poitiers
  14. 1769 sur une porte rue Nationale à Cahors
  15. 1779 sur un linteau de forgeron à Lessac
  16. 1785 sur un porche rue des Carmes à Poitiers
  17. 1790 sur une maison rue des Feuillants à Poitiers, sur une maison de chirurgien à Chauvigny
  18. 1833 sur trois portes rue de la Barre à Cahors
  19. 1835 sur une grille rue des portes-d’Ansac à Confolens
  20. 1837 sur une porte rue du Château du Roi à Cahors
  21. 1839 sur le monument Gütenberg à Strasbourg
  22. 1840 sur la maison qui renfrme la Vierge à l’Enfant de Baptiste Baujault à Niort
  23. 1844 sur la statue de Murat par Dominique Molchnecht à Cahors, sur la statue de Bessières par Dominique Molchnecht à Cahors
  24. 1853 sur la grille du jardin des plantes de Niort
  25. 1859 sur un hôtel particulier rue Scheurer-Kestner à Poitiers
  26. 1861 sur la porte du collège / lycée Fontanes à Niort
  27. 1863 sur deux portes rue Bergounioux à Cahors
  28. 1865 sur la halle aux grains à Cahors
  29. 1867 sur une maison près du carrefour de La Madeleine à Poitiers
  30. 1868 sur la statue de l’Amiral Duperré à La Rochelle
  31. 1869 sur une maison avec des atlantes à Poitiers, sur les plaques du monument de l’Amiral Duperré à La Rochelle
  32. 1871 sur le monument à Marguerite de Valois à Angoulême
  33. 1872 sur le buste de Goethe à Strasbourg
  34. 1875 (MDCCCLXXV) sur l’ l’hôtel de ville de Poitiers
  35. 1876 sur une porte boulevard Gambetta à Cahors, sur une maison à Niort
  36. 1878 sur le rhinocéros de Jacquemart et sur le cheval à la herse de Rouillard à Paris, sur une porte boulevard Gambetta à Cahors
  37. 1879 sur le monument aux mobiles ou monument aux morts de 1870-1871 par C.A. Calmon à Cahors
  38. 1880 sur la statue de François Rabelais par Henri Dumaige à Tours
  39. 1881 sur une porte rue Bergounioux à Cahors
  40. 1881-1882 sur le pont de chemin de fer à Cahors
  41. 1882 sur le plafond de Léon Perrault dans la salle des mariages de l’hôtel de ville de Poitiers
  42. 1883 sur le lion amoureux par Étienne Hippolyte Maindron dans le parc de Blossac à Poitiers et sur le plafond de la salle du blason de l’hôtel de ville de Poitiers par Émile Bin
  43. 1884 sur une porte rue des Capucins à Cahors
  44. 1885 sur le plafond de la salle des fêtes de l’hôtel de ville de Poitiers par Jean Brunet
  45. 1886 sur une porte rue des Capucins à Cahors, sur le pain de Albert-Lefeuvre à Parthenay
  46. 1888 sur le buste en bronze de Clément Marot par J. Turcan à Cahors, sur le monument à André Marie Ampère à Lyon
  47. 1889 sur une maison rue de la gare à Niort, sur la Ville de Lyon d’Émile Peynot à Lyon
  48. 1892 pour le monument à Clément Marot par J. Turcan à Cahors
  49. 1892 et 1893 sur la halle couverte de Confolens
  50. 1894 sur la préfecture des Deux-Sèvres à Niort
  51. 1895 sur le monument aux morts de 1870-1871 de Poitiers par Jules Coutan
  52. 1896/1897 sur l’ancien lycée de jeunes filles devenu musée d’Agesci
  53. 1897-1900 sur hôtel de ville de Niort
  54. 1898 sur les allégories de Limoges et Nantes de la gare de Tours par Jean Hugues, sur allégories de Bordeaux et Toulouse de la gare de Tours par Jean Antoine Injalbert, sur un commerce à Niort, sur le monument à Adrien Dubouché à Limoges
  55. 1900 sur les cariatides du fronton central de l’hôtel de ville de Tours par Émile Joseph Carlier, sur les allégories de la force et le courage sur le fronton de l’aile gauche de l’hôtel de ville de Tours
  56. 1901 sur l’hôpital à Cahors
  57. 1902 sur la maison du Dr Letang et son décor à Poitiers, sur le monument du général Meunier dans le jardin des Prébendes-d’Oe à Tours
  58. 1903 sur la sculpture Héro et Léandre à La Rochelle, sur le relief à Sauquet-Javelot à Niort
  59. 1904 sur le monument Goethe à Strasbourg
  60. 1905 sur les mystères douloureux de Alaphilippe à Tours, sur Le Rhône et la Saône de Vermare à Lyon
  61. 1906 sur le magasin A la ménagère et sur un autre commerce à Niort
  62. 1907 sur le buste du poète Racan à Tours
  63. 1908 sur le Grand café à Niort, sur une grange à Lessac
  64. 1909 sur Héraklès archer de Bourdelle à Toulouse
  65. 1910 sur le groupe sculpté Léon Bazile Perrault par Raymond Sudre dans le parc de Blossac à Poitiers, sur le monument à Liniers et sur un commerce à Niort
  66. 1913 sur les allégories de Aimé Octobre sur la grande poste de Poitiers, sur les bains-douches de Niort
  67. 1919 sur la grande poste de Poitiers par Hilaire Guinet, architecte
  68. 1920 sur le monument aux morts de La Rochelle par Joachim Costa
  69. 1921 sur un vitrail pour célébrer les morts pour la France dans l’église Saint-Malo à Dinan
  70. 1925 sur la représentation de Alfred Mayssonnié par Bourdelle à Toulouse
  71. 1926 sur le monument aux morts d’Angles-sur-l’Anglin par Aimé Octobre
  72. 1926 et 1927 sur les allégories à  l’extérieur de la gare de Limoges
  73. 1930 sur la mosaïque de l’église Saint-Étienne du Port à Niort
  74. 1931 sur le patrnnage laïque près du collège / lycée Fontanes à Niort
  75. 1932 sur la fontaine ou monument mémorial américain à Tours
  76. 1933, 1934 et 1936 (MDCCCCXXXIII, MDCCCXXXIV et MCCCCXXXVI) sur la plaque de la cité Gabillet à Poitiers
  77. 1935 (MCMXXXV) sur le monument aux morts de 1914-1918 à Cahors, 1935 et MCMXXXV sur l’ancienne chambre de commerce rue du Marché à Poitiers, avec des sculptures de Raymond Emile Couvègnes
  78. 1937 (MCMXXXVII) sur les médaillons du monument aux pionniers de la Côte-d’Ivoire à La Rochelle, 1937 sur le buste d’Émile Roux par René Pajot à Confolens
  79. 1939 sur le monument à Vieljeux à La Rochelle
  80. 1941 sur le monument à Pierre Doriole à La Rochelle
  81. 1970 sur le monument à Ernest Pérochon à Niort
  82. 1987 sur le socle de l’Œdipe de Jean Cattan devant le palais de justice à Cahors, sur le socle du buste d’Hergé à Angoulême