J’ai poursuivi la lecture des livres pour la voix des lecteurs, voir les titres déjà lus, Petites scènes capitales, de Sylvie Germain, Profanes, de Jeanne Benameur, et N’entre pas dans mon âme avec tes chaussures, de Paola Pigani. Je vous ai déjà parlé de Anaïs ou les gravières de Lionel-Edouard Martin.
Merci à Grégory qui a organisé ce groupe de lecteurs avec Florence, Jenny, Michèle.
Le livre: Nativité cinquante et quelques de Lionel-Edouard Martin, éditions du Vampire Actif, 2013, 221 pages, ISBN 9782917094105.
L’histoire: quelque part à l’est de la Vienne, dans les années cinquante, un soir de noël. Isolé dans sa ferme de Villemort, près de La Trémouille, Maît’Louis le rebouteux attend des visiteurs qu’il ne connaît pas encore. Jean-Dieu le boulanger lui a apporté le pain et a installé avec lui les guirlandes reliées à l’éolienne, pour guider ceux qui arriveront. De son côté, MaTante est malade, comme le nourrisson, brûlant de fièvre. Le tilleul au biberon n’ayant pas eu d’effet, la famille part à la recherche du médecin de garde, à bord de l’Ariane, malgré le mauvais temps…
Mon avis: On aime ou pas le style, je suis sûre qu’une phrase comme « C’est un jour mou comme de la mie de pain saucée dans du civet » (page 39) a prodigieusement agacé Grégory notre « chef de groupe » pour le prix des lecteurs (il m’a cité d’autres passages, quand nous en avons discuté après ma lecture et la rédaction de l’essentiel de cet article). Un « récit du terroir » formaté pour un certain public, comme il le pense? Moi qui ai lu quelques livres « de terroir », justement, ces derniers mois (l’offre en large vision n’est pas terrible à la médiathèque, je vous ai épargné mes avis jusqu’à présent, j’en écrirai sans doute un quand même), je peux vous certifier que l’écriture est bien meilleure pour Nativité cinquante et quelques. Un roman ancré dans le territoire du Montmorillonais, comme Anaïs ou les gravières, avec les communes de Journet, La Trimouille (La Trémouille dans le livre), Haims, des écarts comme Villemort. Un roman ancré dans les images de la Nativité, le marronnier illuminé brille comme l’étoile du Berger. La fin est prévisible, certes, mais j’ai bien aimé l’écriture, le passage d’un point de vue à l’autre, de la famille à la maison isolée. Quant au portrait du médecin de garde alcoolique, il me rappelle celui qui, dans une autre campagne (dans le Nord), n’avait pas pu venir pour la crise d’appendicite de ma soeur, trop imbibé, il avait fallu aller chez lui (mais il avait posé le bon diagnostic et non renvoyé la famille dans la nuit neigeuse!).
Sinon, spontanément, j’ai tiqué sur « [je] bayerais aux corneilles » page 137, tout en ayant un doute… toujours les incertitudes de mon cerveau. Vérification faite, la bonne orthographe est bien Bayer (aux corneilles, aux grues)…
Quant au classement pour le Prix des lecteurs, je ne sais pas, les quatre livres que j’ai lus pour l’instant sont très différents… les cinq lecteurs de notre groupe aussi! Cela risque d’être difficile de se mettre d’accord pour un seul titre pour le vote de l’ensemble des groupes! Il me reste à lire Composite, de Denis Bourgeois.
Pour aller plus loin : voir le site personnel de Lionel-Edouard Martin.
Suivre mes (nos) lectures de la sélection de la Voix des lecteurs 2014 (liens au fur et mesure des lectures), groupe organisé par Grégory :
Profanes, de Jeanne Benameur, éditions Actes sud
Composite, de Denis Bourgeois, éditions Ego comme X
Petites scènes capitales, de Sylvie Germain, éditions Albin Michel
Nativité cinquante et quelques de Lionel-Edouard Martin, éditions Le Vampire actif
N’entre pas dans mon âme avec tes chaussures, de Paola Pigani, éditions Liana Levi
Cela fait longtemps que je ne vous ai pas emmené en promenade à travers les rues de Poitiers. Direction
J’ai de grosses réserves sur la restauration, qui a gardé (ou plutôt recréé pour la plupart) des fenêtres à meneau et traverses, sans vitrage, les fenêtres modernes étant posées en retrait… Si l’effet est assez réussi au
Même chose pour les lucarnes…
… mais les inscriptions ont été heureusement gardées: « NEC SPE, NEC METU » (à gauche) et « MEDIIS TRANQUILLUS IN MUNDIS » (à droite), soit « sans ambition ni crainte, je me tiens tranquille au milieu des eaux », selon la traduction classique de la devise des Barbarin. Personnellement, je vois plus l’espoir (d’une vie meilleure?) que l’ambition dans le mot SPES.
Les armoiries de la famille Barbarin ont été ajoutées dans la cour, avec trois poissons, des barbeaux dont dériverait le nom Barbarin, en langage héraldique « d’azur à trois barbeaux d’argent en fasce, celui du milieu regardant à sénestre et les deux autres à dextre ». Il s’agit d’une version moderne, puisque la « couleur » (azur = bleue) est indiquée par des lignes horizontales, les fonds ne sont pas indiqués dans les versions sculptées dans l’Ancien Régime. Une version encore plus fantaisiste a été interprétée au-dessus du porche d’entrée.
Heureusement, la porte en bois est conservée, avec un petit décor gravé sur le champ avant du vantail.
Après l’article sur la
Pour celui qui arrive par la rue Victor-Hugo, pas de problème, le premier sens interdit était bien visible, le second moins mais ne lui est pas destiné.
Si donc il a raté ces avertissements, arrivé au bout de la rue Victor-Hugo (photo de droite), il a un tout nouveau interdit de tourner à droite. Le sens interdit (la flèche) reste peu visible, il pourrait aussi être un peu tourné.
En tout cas, ce dimanche (10 août 2014), vers 10h30, trois voitures en quelques minutes se sont engouffrées en connaissance de cause rue Victor-Hugo sans avoir les autorisations requises: le premier au fond, en train de faire demi-tour, m’a demandé sa route. Je lui ai demandé pourquoi il s’était engagé en sens interdit, il pensait qu’il pourrait passer quand même (« sauf ayant-droits »), qu’il n’y aurait pas la police un dimanche… Oui, pas la police, mais des bornes. En tout cas, il n’a pas pris le sens interdit, ni les suivants. Et je l’ai accompagné en voiture dans le bon sens jusqu’au parking Carnot / hôtel de ville, pour 50 centimes, il est garé correctement pour rejoindre la banque sur la place… traversée un peu plus tôt en travers par un anglais avec une voiture et une remorque!!! Il sortait de l’hôtel voisin, ils auraient pu lui indiquer le chemin à suivre sans traverser la place piétonne, mais l’hôtelier ne parlait sans doute pas anglais…
En tout cas, il devrait y en avoir moins à la sortie en sens interdit de la rue Charles-Gide, entre les bornes de la rue Carnot et de la rue Saint-Nicolas.
Les services de Grand-Poitiers ont aussi repositionné les collecteurs d’eau de pluie de la place d’Armes (revoir
Il y a aussi eu une nouvelle campagne de remplacement des pavés qui explosent (revoir
Le choix d’urbanisme, très bien pour les piétons, qui n’ont plus de dénivelé entre le trottoir et la chaussée, nécessite un peu de sévérité de la part de la police! Comme chaque dimanche, le 3 août 2014, les trottoirs de la rue du Petit-Bonneveau sont envahis de voitures, revoir le même endroit en
Et oui, le
Juste à côté, sur l’immeuble de Centre-Presse justement (ils ont déménagé, je ne sais pas s’ils ont mis en vente ou en location leurs locaux, inoccupés pour l’instant), l’accrochage des câbles électriques pourrait être plus discret.
Côté câbles, déplaçons-nous de quelques dizaines de mètres. Sur le côté à l’arrière de l’hôtel de ville, voilà l’
Si on retourne au rayon « travaux », passons un peu plus loin, boulevard Pont-Achard, je ne sais pas ce qui peut être fait.
A chaque fois, il faut un certain temps pour que les égouts finissent par évacuer cette eau.

Elle est inhumée, comme il est d’usage à l’époque, hors les murs, dans ou près de l’église Sainte-Marie-hors-les-Murs qu’elle avait fait construire. Voici une autre photographie du tombeau, un peu plus sombre certes… Les miracles s’y multiplient… Après plusieurs péripéties, reconstructions suite à des incendies, l’église est consacrée en 1099. Son tombeau fut ouvert en 1412 sur ordre du duc de Berry, puis profané lors des guerres de religion en 1562, les restes brûlés dans la nef, puis remis dans le tombeau… qui attire toujours des pèlerins.
Chaque année apparaissent de nouveaux ex-votos… tout autour du tombeau à l’extérieur de la crypte et dans l’escalier, ce sont des ex-votos plus anciens, ceux de la nef sont plus récents. Désormais, la taille des plaques est plus ou moins normalisée, et il ne faut pas oublier de passer à la caisse pour en poser une, tarif genre concession d’un bout de mur, plusieurs surfaces et durées au choix…



Il y a trois semaines, je vous présentais la campagne
Quand le touriste arrive à trouver l’office de tourisme, il en a deux!!! Devant
Pour celui de l’agglomération, il y a parfois du relâchement et leur publicité empêche de passer sur la bande de roulement qui permet de circuler en fauteuil roulant, avec une charriot de marché, une poussette ou des talons hauts (à côté, les pavés sont irréguliers et inconfortables, inaccessibles en fauteuil roulant). En tout cas, ce n’est pas mieux que les voitures que vous pouvez voir à la fin de cet article de 2011 (
La vitrine aussi pose quelques problèmes de lecture… Lettres blanches collées sur la vitre et affiche avec d’autres informations derrière… Qui arrive à lire quelque chose???
– la poste, celle de Notre-Dame est fermée, la centrale a des horaires très restreints…
– la
– les bus, il faut d’ailleurs, suite à une polémique dans le journal, que j’envoie vite une lettre à
Côté privé, ce n’est guère mieux… Comme chaque année, surtout entre le 1er et le 15 août, il est difficile de trouver une boulangerie ouverte « sur le plateau » (celle, toute petite et familiale, de la rue de la Cathédrale, pour information, ne fermera pas cet été). Les commerçants aussi devraient faire attention. Quelques exemples ces dernières semaines. Huit à 8, rue Magenta, un touriste étranger avec une carte visa sans puce devant moi, en fait, sa carte ne passait pas dans la fente pour lecture avec puce. La patronne: « Pas possible, je ne prends pas les cartes sans code », ça sert à quoi, alors, une carte visa? Et si le commerçant ne les prend pas toutes, il ne devrait pas mettre un avertissement comme pour le refus des chèques (à voir avec la répression des fraudes). Carrefour Market, rue Carnot: « Hep, à la caisse, votre sac » – « il y a mon appareil photo et mes papiers dedans » – « A la caisse, j’ai dit », « Au revoir! Je vais aller ailleurs ». Je vous rassure, il y a plein d’autres endroits où vous serez bien reçus (avec les noms usuels et les noms officiels des places)! Place d’Armes, café du Théâtre, rembarrés en terrasse par un serveur mal-aimable quand, après 15 minutes, nous lui demandons s’il peut prendre la commande, nous avons prévu une séance de cinéma. Pour boire un coup, je vous conseille Côté place (place d’Armes/Leclerc), à accompagner de quelques douceurs maison ou de pain, le café des Arts (place Notre-Dame/de Gaule), le Gambetta (place du Palais/Lepetit), etc.
Heureusement, certains ont décidé d’égayer notre été avec des couleurs…
…comme la maison de retraite
Et même les topographes ont choisi de mettre plein de couleurs! Partout apparaissent des traits à la bombe sur les trottoirs et chaussées, il s’agit de mettre à jour les plans des réseaux de la ville et, dans certains cas, de remplacer les canalisations.
S’ils n’ont pas prévu de les effacer, ils risquent de rester longtemps, comme les « fils » jaune, rouge et bleu qui il y a des années envoyaient les touristes visiter le patrimoine de la ville, une couleur par circuit, fils repeints avant chaque été, un système simple et efficace à défaut d’être très esthétique, et qui permet toujours, quand quelqu’un demande son chemin, de lui dire de suivre le trait dans tel sens… impossible de se perdre (enfin, pas repeint, il est en pointillé maintenant, et complètement effacé dans la zone touchée par 








M. Mouton envoie de ses nouvelles en ballon avec d’autres références historiques ou cinématographiques…












… ou sagement à la bergerie













































Lors de l’avant-première du documentaire «
… la
Le petit espace d’exposition au niveau « bas » de la médiathèque a été aménagé en deux « pièces », avec des fenêtres sur l’accès bas et une large ouverture qui permet de l’apercevoir sur la rampe qui monte au niveau de l’accueil principal, une invitation à entrer pour en savoir plus. Jean-Richard Bloch (Paris, 1884 – Paris, 1947), intellectuel, avait été nommé professeur au lycée de ![Portrait Jean-Richard Bloch [avec ses chats] portrait par Dora Horowitz et Trude Geiringer, fonds J.-R. Bloch, Médiathèque de Poitiers](http://vdujardin.com/blog/wp-content/uploads/2014/07/09_JR_Bloch_Geiringer-Horovitz_ret.jpg)
… les relations avec les écrivains et artistes de son temps, notamment le monde du parti communiste, à travers les portraits, la correspondance,les dédicaces.
N’oublions pas qu’en 1941, il a fui vers Moscou et l’URSS après l’arrestation de son beau-fils Frédo (Frédéric) Sérazin en janvier 1940 (il mourra en 1944) et alors qu’il sait que sa fille France-Bloch Sérazin est recherchée (elle sera arrêtée le 16 mai 1942 par la police française et décapitée le 12 février 1943 à Hambourg,
Le fond gris et les vitrines sobres, avec des socles très simples sous les documents, mettent bien en valeur les livres, manuscrits et autres documents présentés.
Le bureau de Jean-Richard Bloch trône au milieu de l’une des « pièces » reconstituées. Mmm… les quelques traces de vers fraîches et les écailles dues à des manipulations peut-être pas idéales suggèrent un petit passage nécessaire chez un restaurateur.
Il y a peu, la ville de Poitiers a lancé une campagne « Bienvenue aux touristes »,
Pour cette dernière, bienvenue aux touristes! Elle est régulièrement coincée par les poubelles de la
Alors, personnellement, je préfère les affichettes et les grandes affiches de M. Mouton. Il a renouvelé son affichage de départ en vacances en caravane! (revoir
… à moins que ce ne soit en prison?
En tout cas, c’est un assemblage compliqué de machines sur fond noir…
… avec un charriot plein de moutons qui vont passer dans la broyeuse!
J’adhère aux ??? que M. Mouton a mis en marge, cela m’avait aussi interrogée quand j’avais lu l’article! J’avais aussi repéré cette affichette (A4 cette fois) rue des Vieilles-Boucheries (la photo).
Après le problème de la
Depuis son
Malgré la vigilance des chauffeurs de bus, il risque d’y avoir une collision, et en tout cas, cela vaut force coups de klaxon!
Dans les premières semaines, un panneau indiquait ce nouveau signal et sa fonction…
… mais il a disparu depuis.
Un couloir d’avalanches à Poitiers?
Même s’il y a eu cette année une piste de luge à noël 2013…
… ou d’autres années des difficultés avec la neige…
Il n’est pas sûr que ce signal soit clair!
Toutes les villes qui ont des tramways ont des problèmes avec ces signaux de stop avec deux feux rouges superposés clignotants. L’agglomération de Toulouse a
Les feux clignotants sont associés aux feux oranges clignotants, qui signifient « avancer prudemment », que l’on connaît ici par exemple sur les bornes d’accès réglementées, quand la borne est baissée.
Sinon, quand le signal est rouge, les voitures s’arrêtent plutôt à cause de la borne levée, quand elles ne décident pas de les contourner comme ici
Des feux rouges clignotants ne sont pas utilisés pour les sorties pompier, devant chez moi, ils déclenchent en cas de sortie un feu tricolore classique, vert, orange, rouge. En revanche, j’en ai trouvé un juste à côté de la zone concernée, avec un panonceau d’avertissement « sortie de véhicules ». Je ne l’ai jamais vu fonctionner, il doit servir (ou pas?) lors de livraison de fonds à la banque de France.
Que faire alors? La ville pourrait mettre un panneau d’avertissement un peu en amont, par exemple à la place du panneau publicitaire Decaux. Je n’ai pas trouvé de panneau attention bus, j’ai donc mis un « avertissement tramway »…
… retour au trolleybus qui passaient par là au début du 20e siècle (le monument aux coloniaux a été détruit dans le
Dans le sens descente…
… comme dans le sens montée, (et à l’autre extrémité du viaduc),
Il faudrait également « pré-avertir » ceux qui sortent du parking du TAP, boulevard de Verdun, ils ont déjà du mal à s’arrêter au rond-point à l’intersection du boulevard, alors quand ils déboulent juste ensuite au feu du viaduc, ils ne le voient pas ou ne le comprennent pas…
PS: sinon, tant qu’on est dans ce secteur, j’ai aussi une demande de piéton qui a des problèmes visuels, comme la quasi totalité des personnes âgées et pas mal d’autres personnes même de mon âge…
Quand on descend ce boulevard à pied, dans le sens de la flèche verte, on a de fortes chances de se trouver dans l’axe des dénivelés pour les mini-rampes pour les personnes à mobilité réduite (pour la traversée vers l’îlot central). Je sais bien que les architectes et urbanistes détestent les bandes de contraste, mais elles sont indispensables pour que nous, nous ne tombions pas! Quand on trébuche, même sur 5cm, on peut tomber. Alors, un petit effort que l’on puisse deviner ces ruptures de niveaux???
Et si possible pas avec du goudron qui ne tient pas dans les rainures comme place d’Armes, on ne les vois pas mieux que quand il n’y en avait pas! Je l’avais signalé (voir toujours des
Désolée pour les lecteurs de mon blog, mais je vais encore vous parler d’un problème strictement poitevin, débattu entre amis ces derniers jours. Pour vous situer, j’ai pris une carte
Donc, régulièrement, plusieurs fois par jour selon les riverains immédiats (dont les commerces), des voitures de touristes « et même des Poitevins », selon
D’où viennent ces voitures? Première option (cercle vert n° 2), de la rue Victor-Hugo en tournant le dos à la préfecture. Dans ce cas, il arrive par la flèche noire, se heurte à un panneau sens interdit, « sauf ayants droit » (sic), mais une autorisation pour l’hôtel, les autres doivent tourner à droite dans la
Première option, bis, toujours dans le cercle vert n° 2 du plan. Il vient du début de la rue Théophraste-Renaudot, depuis la rue de la Marne, où il s’est peut-être heurté à un autre accès réglementé. Il a continué dans une rue à la chaussée très dégradée.
S’il marque une balise et non un stop, il n’est pas sûr qu’il voit ce panneau sans interdit, pas bien dans son axe de vision, mais bon, il y a bien un sens interdit et j’en ai vu faire marche arrière une fois bien engagés. [Au passage, je l’avais déjà signalé au moment des travaux, mais une élue m’a répondu sèchement qu’il n’y avait aucun problème, les « bateaux » pour le passage des fauteuils roulants ou des poussettes sont orientés uniquement dans le sens de la rue Victor-Hugo, pas pour traverse cette rue! En fauteuil, pas le droit de vouloir aller d’une portion de la rue Renaudot à l’autre! Un des nombreux points où l’
Un petit panneau interdit de tourner à gauche dans la rue Renaudot améliorerait la situation…
Si malgré les interdictions il s’est engagé, que se passe-t-il face aux bornes (cercle 3 du plan)? Quand il se heurte aux bornes…
… rien ne lui dit qu’il n’a pas le droit de prendre la rue Charles-Gide!!!
Pas de panneau sens interdit ni interdiction de tourner à droite… Ah si, en fait, il y en a un, mais trop haut, mal tourné et donc invisible sauf pour les piétons!
Nous proposons un panneau sens interdit non pas là où il est (flèche rouge) mais plutôt d’un côté ou de l’autre de la rue…
… et une interdiction de tourner à droite un peu en amont…
Dernier cas (cercle 4 du plan), la voiture sort du parking. Là, il a un panneau interdit de tourner à droite, un panneau zone 30 et un stop.
En revanche, s’il veut quand même s’engager (ou pour celui qui s’est engagé depuis le bout de la rue, cas précédent), il n’y a pas de panneau de sens interdit, on peut suggérer les emplacements ici!
Après cet article, j’ai aussi envoyé des photographies au service Pictavie, qui permet à chacun de signaler (par téléphone ou messagerie) des problèmes, je l’utilise assez souvent pour des trous ou des obstacles dans la chaussée, lampadaires grillés en donnant le numéro, etc. Ils m’ont rappelée et mise en relation avec le responsable de la voirie. Nous avons discuté en même temps d’autres problèmes, et il a vite résolu celui de la rue Charles-Gide, et d’autres (voir cet article), il réfléchit aussi à la question du
En tout cas, ce dimanche (10 août 2014), vers 10h30, trois voitures en quelques minutes se sont engouffrées en connaissance de cause rue Victor-Hugo sans avoir les autorisations requises: le premier au fond, en train de faire demi-tour, m’a demandé sa route. Je lui ai demandé pourquoi il s’était engagé en sens interdit, il pensait qu’il pourrait passer quand même (« sauf ayant-droits »), qu’il n’y aurait pas la police un dimanche… Oui, pas la police, mais des bornes. EN tout cas, il n’a pas pris le sens interdit, ni les suivants. Et je l’ai accompagné en voiture dans le bon sens jusqu’au parking Carnot / hôtel de ville, pour 50 centimes, il est garé correctement pour rejoindre la banque sur la place… traversée un peu plus tôt en travers par un anglais avec une voiture et une remorque!!! Il sortait de l’hôtel voisin, ils auraient pu lui indiquer le chemin à suivre sans traverser la place piétonne, mais l’hôtelier ne parlait sans doute pas anglais…