Archives par étiquette : insecte

Un nouveau « Zétégami »!

Envoi de Zazimuth en février 2014: cartonnettes et étégamiJ’ai reçu un bel envoi de la part de Zazimuth. Voyant arriver le printemps sans doute, elle a décidé d’inciter les copines au rangement de printemps en fournissant des cartonnettes (découpées et récupérées de cartes à publicité) pour le rangement des rubans ou des fils.

Un étégami de Zazimuth, toile d'araignée, février 2014Elle a aussi réalisé un joli « Zétégami », un étégami à la sauce (Z)azimuth! Les insectes qui voltigent déjà (j’ai même vu un moustique l’autre jour!) n’ont qu’à bien se tenir pour ne pas être pris dans cette toile d’araignée! Un grand merci à toi! Cher(e)s ami(e)s, n’hésitez pas à aller lui faire un petit coucou sur son blog!

Gendarmes sur des feuilles de lierre, mars 2014Ah, si, avec le soleil, attention, les « gendarmes » (punaises rouges ou Pyrrhocoris apterus) aussi sont de sortie! Photo prise hier après-midi à Lusignan… Et oui, le soleil à aussi fait sortir Véronique… en train donc à l’abri des gendarmes à képi!

Les insectes en moi de Akino Kondoh

Couverture de Les insectes en moi de Akino Kondohpioche-en-bib.jpgLogo BD for WomenUne bande dessinée trouvée dans les bacs de la médiathèque.

Le livre : Les insectes en moi de Akino Kondoh (scénario et dessin), traduit du japonais par Miyako Slocombe, éditions Le Lezard Noir, 2009, 127 pages, ISBN 978-2353480036.

L’histoire : l’album regroupe huit histoires avec une adolescente ou une jeune adulte, Eiko. Entre rêve et réalité, elle fuit les situations qui l’inquiètent et se réfugie dans un monde onirique peuplé d’insectes. Elle semble hantée par les coccinelles (elle en trouve une morte dans son micro-ondes, les pois sur un chemisier deviennent coccinelles, etc.) et le fait de manger des insectes.

Mon avis : Eiko est le double de l’auteure, mais franchement, je ne suis pas rentrée dans son univers fait de fuite permanente de la réalité. Quelques pages d’introduction (en début d’ouvrage… en fin si on suit le livre dans le sens de lecture des mangas) sont censées expliquer l’univers de l’auteure, mais cela ne m’a pas convaincue davantage.

Ouille! la trousse…

Ouille, la trousse en skaï avec poche brodéePour l’anniversaire de Flo, j’ai à peu près choisi la finition proposée par Sophie Delaborde pour son Ouille! dans son livre Un été à la mer (paru chez Mango pratique en 2007) , dans lequel j’ai déjà réalisé un crabe terminé en pochette, et un marque-page marin. J’ai doublé la broderie avec un tissu jaune que vous avez déjà beaucoup vu ces derniers mois (voir liste ci-dessous), et l’ai fait déborder un peu pour faire une petite fantaisie en haut de la poche. Au lieu de la toile cirée, j’ai choisi le reste d’un coupon en skaÏ… acheté et utilisé avant même l’ouverture de ce blog, et oublié au fond du placard, mais je vous ai montré il y a longtemps avec celui-ci une boîte chinoise, un emboîtage pour ranger les CD, j’ai aussi réalisé un lutrin en cartonnage mais je n’en ai pas de photographie. Et pour terminer, un petit bout de croquet rouge pour mettre un peu de couleur, accroché à la tirette de la fermeture éclair et maintenu par un petit bouton.

Elle mesure 32 sur 21 cm, de quoi ranger la crème solaire, les pansements et autres médicaments pour des vacances… ou autre!

Un lion jaune et rose, 1, début de l'assemblageAvec le tissu jaune

Ouille ! La broderie…

Ouille, crabe, insecte et soleilPour l’anniversaire de Flo, j’ai choisi une grille tirée du livre Un été à la mer de Sophie Delaborde (paru chez Mango pratique en 2007), dans lequel j’ai déjà réalisé un crabe terminé en pochette, et un marque-page marin.

La toile est une toile de lin d’ameublement qui ressemble un peu à un canevas, la zone brodée mesure avec les marges 10 sur 20 cm. Pour les fils, j’ai choisi des fils DMC : 606 pour le texte, 3857, 3830 et 3853 pour les motifs et 415 pour les cadres.

PS: voir la finition en trousse…

Combattre la grisaille de l’hiver…

Chaumont-sur-Loire, festival 2011, le jardin 2, quatre vues au début de l'automne (30 septembre)

Marre de la grisaille hivernale? Il va encore falloir attendre un peu pour aller mettre le jardin en état après l’hiver et ses crues… En attendant, voici un peu de couleur avec les aménagements de jardins très originaux proposés il y a deux ans au festival des jardins de Chaumon-sur-Loire par par Corinne Julhiet-Detroyat et Claude Pasquer, réalisé avec le concours d’Étienne Engramer. Dès l’entrée, le visiteur est accueilli par ces champignons géants, qui sont des Champicomposteurs (marque déposée), des composteurs grillagés en forme de champignons. De l’utilisation du grillage à poules pour créer un composteur esthétique… Le grillage coloré a aussi été utilisé pour un « hôtel aux insectes » original (en bas à gauche) ou des dispositifs pour retenir l’eau et abreuver les insectes…

N’hésitez pas à aller revoir mes photographies du jardin n° 2/ 2010 Sculptillonnages, conçu par Corinne Julhiet-Detroyat et Claude Pasquer!

Thomas et le voyageur de Gilles Clément

Couverture de Thomas et le voyageur de Gilles Clément

pioche-en-bib.jpgJ’ai pu apprécier par le passé un certain nombre de réalisations de Gilles Clément (à retrouver sur son site officiel), le jardin des Sens à Poitiers, le jardin des orties à Melle (il y a d’ailleurs eu le week-end dernier la fête de l’ortie, au départ, il s’agissait de protester contre l’interdiction à la vente du purin d’orties), le parc André Citroën et le jardin du musée du quai Branly à Paris (un musée à revoir ici). Il a aussi réalisé une installation sur le toit de la base sous-marine de Saint-Nazaire. J’ai aussi participé au grand week-end (pluvieux) de replantation en 2002 d’une parcelle à côté du centre d’art de Vassivière en Limousin, dévastée par la tempête de 1999, plantation guidée par Gilles Clément… Je n’ai bien sûr pas raté son dernier passage en avril 2012 à la librairie La Belle Aventure à Poitiers, pour une entrevue guidée par la libraire et Dominique Truco (commissaire, entre autre, de la biennale de Melle), et ai eu envie de relire certains de ses livres, dont je n’avais pas parlé même pour ceux parus depuis la création du blog (et oui, je parle de deux livres par semaine, mais en lis le double à peu près…). Je commence par « son » roman, trouvé à la médiathèque, j’en avais parlé avec Mamazerty, qui était curieuse de lire mon avis sur ce livre… avant de poursuivre avec Le salon des berces.

Le livre : Thomas et le voyageur de Gilles Clément, éditions Albin Michel, 2011 (première édition 1999), 277 pages (avec les annexes), ISBN 978-2226218650.

L’histoire : à Saint-Sauveur-de-Givre-en-Mai (commune associée de Bressuire, dans les Deux-Sèvres) et à travers le monde de nos jours. Dans les Deux-Sèvres, Thomas le peintre habite dans la maison de son oncle décécé, Auguste Piépol, qui était entomologiste et a tapissé les murs de boîtes de petites bêtes. Il a pour projet de peindre le jardin planétaire selon les observations à travers le monde de son ami le voyageur, chargé de lui parler des plantes, des animaux, mais aussi de l’horizon, de la ville, etc… Pendant que le voyageur … voyage et décrit son environnement, Thomas est en prise avec la maison, dévorée par les termites qu’avait élevés Auguste Piépol….

Mon avis : le roman alterne des parties de chapitres de Thomas et d’autres du voyageur, mais aucun risque de se perdre, en haut des pages impair est reporté soit ‘Thomas », soit « le voyageur ». A la fin également, la plupart des documents dont il est question dans le texte, dont la fameuse carte du voyageur, un planisphère australien, centré sur l’Australie et avec le sud au nord et vice-versa… le monde d’un autre point de vue. Très vite (page 37), il est question de plantes invasives, la berce du Caucase et la renouée du Japon, notamment (deux plantes dont je vous ai déjà parlé à propos de plantes invasives). Un livre dans lequel il faut entrer puis se laisser porter par le récit… Les insectes voyagent, les plantes voyagent, le monde est un immense espace, comme un jardin planétaire… le grand projet de Thomas!

Quant à Saint-Sauveur-de-Givre-en-Mai, pour moi, c’est un hameau gris que l’on traverse pour aller à Bressuire, et où effectivement j’ai vu une fois une belle gelée blanche en mai, mais il avait aussi gelé aux alentours… En s’éloignant de la « grande route » (Poitiers-Nantes), il y a quand même à voir une église très partiellement romane, et de belles promenades à faire dans le bocage.

Deuils de miel de Franck Thilliez

Couverture de Deuils de miel de Franck Thilliez

pioche-en-bib.jpgJe poursuis ma lecture des thrillers de Franck Thilliez en les empruntant à la médiathèque…. pas exactement dans l’ordre de parution, en fonction des disponibilités.

Le livre : Deuils de miel de Franck Thilliez, Collection Rail noir, éditions la Vie du rail, 2006, 330 pages, ISBN 978-2915034424.

L’histoire : vers 2005, en Normandie. Le commissaire Sharko, en congé, croise par hasard le chauffard qui a tué sa femme et sa fille il y a un an, il ne peut pas se maîtriser et le tabasse. Retour chez lui à L’Haÿe-les-Roses. Tout près, à Issy-les-Moulineaux, dans une église, une femme est retrouvée morte par le curé dans le confessionnal, elle est nue, a été rasée, sans blessure apparente, avec sept papillons de nuit. En fait, son corps a comme explosé de l’intérieur. Elle est morte d’une crise de paludisme, avait disparu depuis un moment… En arrivant chez elle, il apparaît que son mari et sa fille ont aussi disparu. Que leur est-il arrivé? Pourquoi?

Mon avis : ces thrillers de Franck Thilliez sont construits de telle sorte que l’on devient addict au fil des livres et des pages! Dans ce tome, on plonge dans l’entomologie (l’étude des insectes) et le cycle du paludisme utilisé comme arme mortelle via les moustiques. Sur fond de folie, celle du meurtrier, dont la cause est révélée à la fin, celle du commissaire Sharko, qui voit à ses côtés une petite fille, sa fillette revenue de chez les morts, le début de sa schizophrénie dont il sera à nouveau question dans Le syndrome [E].

Pour aller plus loin : le site officiel de Franck Thilliez

Les titres dans l’ordre de parution :

Chaumont-sur-Loire, festival 2011 (17): des petites bêtes…

Chaumont-sur-Loire, festival 2011, le jardin 4, 1, l'entrée du jardin Cette année, je suis allée visiter le festival des jardins de Chaumont-sur-Loire (sur le thème Jardins d’avenir ou l’art de la biodiversité heureuse) le 10 juin 2011, en train comme d’habitude (jusqu’à Onzain), avec Dalinele. Vous retrouverez les liens vers les articles de cette année avec ceux des années précédentes, sur cette page, et au fur et à mesure de leur publication en bas de chaque article. En attendant la suite, vous pouvez aussi faire la visite sur le site du domaine de Chaumont-sur-Loire). J’essayerai de mettre des liens vers les sites des concepteurs ou les sites créés pour ce festival, n’hésitez pas à suivre les liens…

Aujourd’hui, visite de deux jardins en commençant par le jardin n° 4, La transparence du ver, conçu par Anne Blouin et Alessandra Blotto, qui était en cours de maintenance par un électricien… qui transporte ses outils aussi en brouette!

Chaumont-sur-Loire, festival 2011, le jardin 4, 2, le tunnel en osier vivant Un couloir fait d’osier vivant permet de découvrir des tas de petites bêtes, des vers de toutes sortes et leurs cocons…

Chaumont-sur-Loire, festival 2011, le jardin 4, 3, un terrarium avec des petites bêtes Certains ont élu domicile dans des vivariums. Une petite explication sur l’hôte présent dans chacun de ces dispositifs aurait été la bienvenue.

Chaumont-sur-Loire, festival 2011, le jardin 4, 4, nid d'insecte D’autres ont construit des sortes de nid…

Chaumont-sur-Loire, festival 2011, le jardin 4, 5, cocon et vivarium Ou encore ceci… Si vous souhaitez les reconnaître ou voir plus de photographie, allez visiter le site du jardin La transparence du ver.

Chaumont-sur-Loire, festival 2011, le jardin 4, 5, les fleurs à l'extérieur Dehors, une prairie fleurie qui attire plein d’insectes et autres petites bêtes… qui ont aussi un refuge genre hôtel des insectes sous le plancher du tunnel.

Chaumont-sur-Loire, festival des jardins 2011, le jardin 4 en automne (30 septembre)J’y suis retournée le 30 septembre 2011, en voici une petite vue…

Chaumont-sur-Loire, festival 2011, le jardin 10, 1, l'entrée du jardin Les petites bêtes pullulent aussi dans le jardin n° 10, Le jardin méditerranéen conçu par les équipes du festival en liaison avec les étudiants de l’Institut national d’horticulture d’Angers. Un jardin estival en plein automne…

Chaumont-sur-Loire, festival 2011, le jardin 10, 2, les bougainvilliers Les bougainvilliers donnent une touche de couleur à ce jardin.

Chaumont-sur-Loire, festival 2011, le jardin 10, 3, cactus Mais attention, qui s’y frotte s’y pique, il y a plein de cactus (et autres plantes grasses, peu gourmandes en eau) dans les parterres.

Chaumont-sur-Loire, festival 2011, le jardin 10, 4, agrumes Les agrumes embaument et font le bonheur des butineurs divers et variés.

Chaumont-sur-Loire, festival 2011, le jardin 10, 5, plantes en pot et en pareterre Une petite vue sur le côté, plantes en pleine terre et en pots…

Chaumont-sur-Loire, festival 2011, le jardin 10, des bourdons sur les fleurs Et une dernière vue sur les bourdons…

Chaumont-sur-Loire, festival des jardins 2011, deux vues du jardin 10 en automne (30 septembre) Et voici deux vues prises fin septembre…

Pour retrouver les articles de 2011 / Jardins d’avenir ou l’art de la biodiversité :

  • en préalable, le puits avec des archers et les gargouilles du château
  • le jardin n° 1, Le laboratoire, conçu par Méryl Fanien, Philippe Guillemet et Cyrille Parlot
  • le jardin n° 2, Sculptillonnages, conçu par Corinne Julhiet-Detroyat et Claude Pasquer
  • le jardin n° 3, Tu me manques, conçu par Jacob Vilato et Marc Cunat
  • le jardin n° 4, La transparence du ver, conçu par Anne Blouin et Alessandra Blotto
  • le jardin n° 4bis, La bibliothèque du souvenir, conçu par Gaétan Macquet, Oreline Tixier et Pierre-Albert Labarrière
  • le jardin n° 5, L’envers du décor, conçu par Cathy Viviès et Vanessa Farbos
  • le jardin n° 6, Le jardin bijou, conçu par Loulou de La Falaise avec le concours de Paul-Antoine Penneau
  • le jardin n° 7, la sève à la croisée des chemins, conçu par Ernesto Neto et Daisy Cabral Nogueira
  • le jardin n° 8, La biodiversité en question, conçu par Olivier Chardin, Anaïs Brochiero, Philippe Verigno et Anaïs Brochiero,
  • le jardin n° 9, Le jardin pixélisé conçu par Mattéo Pernigo et Claudio Benna
  • le jardin n° 10, Le jardin méditerranéen conçu par les équipes du festival en liaison avec les étudiants de l’Institut national d’horticulture d’Angers
  • le jardin n° 11, Manier avec précaution, conçu par Jeroen et Maarten Jacobs
  • le jardin n° 12, Le jardin des plantes disparues, conçu par Olivier Barthélémy et Denis Valette
  • le jardin n° 13, La nature des choses, conçu par Soline Portmann, Aurélie Zita et Mioko Tanaka.
  • le jardin n° 14, Célébrons et tissons la [bio]diversité, conçu par Manon Bordet-Chavanes
  • le jardin n° 15, Entre ciel et terre, conçu par Wang Xiangrong
  • le jardin n° 16, Lucy in the sky, conçu par Chilpéric de Boiscuillé, Raphaëlle Chéré, Pauline Szwed et Benjamin Haupais,
  • le jardin n° 17, Les bulbes fertiles, conçu par Xavier Bonnaud, Stéphane Berthier, Clément Bouchet, Fabien Gantois, Etienne Panien, Olivier Duraysseix et Guillaume Pezet
  • le jardin n° 18, Le jardin à la rue, conçu par Julien Maieli et Germain Bourré
  • le jardin n° 19, le jardin de Madame Irma, conçu par Gladys Griffault, Clara Juncker, Emmie Nyk et Pascale Trouillet
  • le jardin n° 19bis, La biodiversité bleue, sans concepteur identifié
  • le jardin n° 20, Le jardin à emporter, conçu par Steve Papps, Jo Chapman et Jackie Bennett
  • le jardin n° 21, Le jardin des marées, conçu par Sarah Foque, Roland Horne, Jeremy Clark, Jos Gibson, Olly Hurst et Stan Van Der Laan…
  • le jardin n° 22, Graines d’espoir ou le jardin d’un regard partagé, conçu par des étudiants de l’école Du Breuil et de l’école Boulle
  • le jardin n° 23, Le pollen exubérant, conçu par Yekaterina Yushmanova et Ruth Currey
  • le jardin n° 24, La salle à manger, conçu par un groupe d’étudiantes japonaises
  • les « http://vdujardin.over-blog.com/article-chaumont-sur-loire-festival-2011-3-zen-78397795.html » target= »_blank »>jardins zen : le jardin de méditation d’Erik Borja et Simon Crouzet et le jardin 7
  • les murs végétaux : le jardin 8 et les murs de Patrick Blanc
  • des oeuvres dans le château : La soupe verte de Gerda Steiner et Jörg Lenzlinger, Jardins engloutis et Carnivores de Helene Schmitz, Atmosphère de Shin-Ichi Kubota
  • les oeuvres de Dominique Bailly dans le parc et les écuries et celles de Bob Verschueren (Dominique Perrault, Herman de Vries, Manfred Menz)
  • Colorès dans le vallon des brumes
  • les oeuvres de Tadashi Kawamata, de Dominique Perrault (avec de nouvelles photographies des oeuvres de Anne et Patrick Poirier, François Méchain, Victoria Klotz et Rainer Gross), dans le parc

Deux libellules, un lapinou et une broche, merci Emmanuelle!

Mon anniversaire 2011 par Emmanuelle, 1, le colis

Emmanuelle / le Marquoir d’Élise m’a envoyé un gros paquet… Qu’est-ce qui se cache dans tous ces paquets???

Mon anniversaire 2011 par Emmanuelle, 2, deux libellules dans mon ficus D’abord des petites bêtes qui se sont envolées directement dans mon ficus à peine le paquet ouvert… deux libellules très mignonnes!

Mon anniversaire 2011 par Emmanuelle, 3, monsieur Lapinou dans mon ficus Le temps de faire la photographie et un autre animal se fait la malle… Monsieur lapinou a trouvé refuge à cheval sur une branche, en tenant bien serrée sa carotte! Il a raison, je risquerais de la lui voler pour en faire… ceci!

Mon anniversaire 2011 par Emmanuelle, 4, broche Il n’y a que la broche qui a gentiment patienté… Elle va être bien mise en valeur sur les pullovers qu’il faut ressortir, il fait frisquet ces derniers jours…

Un grand merci à toi, Emmanuelle / le Marquoir d’Élise !!! Du bleu partout, en plus, vous avez remarqué?

Chaumont-sur-Loire, festival 2011 (1) : sculptillonnages

Chaumont-sur-Loire, festival 2011, le jardin 2, 1, l'entrée

Cette année, je suis allée visiter le festival des jardins de Chaumont-sur-Loire (sur le thème Jardins d’avenir ou l’art de la biodiversité heureuse) le 10 juin 2011, en train comme d’habitude (jusqu’à Onzain), avec Dalinele. Vous retrouverez les liens vers les articles de cette année avec ceux des années précédentes, sur cette page, et au fur et à mesure de leur publication en bas de chaque article. En attendant la suite, vous pouvez aussi faire la visite sur le site du domaine de Chaumont-sur-Loire). J’essayerai de mettre des liens vers les sites des concepteurs ou les sites créés pour ce festival, n’hésitez pas à suivre les liens…

Chaumont-sur-Loire, festival 2011, le jardin 2, 2, les champicomposteurs Je commence aujourd’hui avec le jardin n° 2, Sculptillonnages (nom en écho aux hortillonnages), conçu par Corinne Julhiet-Detroyat et Claude Pasquer, réalisé avec le concours d’Étienne Engramer. Dès l’entrée, le visiteur est accueilli par ces champignons géants, qui sont des Champicomposteurs (marque déposée), des composteurs grillagés en forme de champignons. De l’utilisation du grillage à poules pour créer un composteur esthétique… Tout sur son fonctionnement par le lien précédent…

Chaumont-sur-Loire, festival 2011, le jardin 2, 3, de l'ail métallique Le grillage est aussi mis à l’honneur en décoration au milieu des fleurs, comme ces têtes d’ail et ces fleurs…

Chaumont-sur-Loire, festival 2011, le jardin 2, 4, fleurs en métal et fleurs naturelles …les voici de plus près… Les fleurs jaunes au fond, « Papiliolilium », sont des abreuvoirs à papillons…

Chaumont-sur-Loire, festival 2011, le jardin 2, 5, des tournesols en métal …ou avec des fleurs de tournesol… dont le centre devrait vous rappeler un hôtel aux insectes… Ce « Soliculusinsectus » est conçu comme un abri pour abeilles solitaires.

Chaumont-sur-Loire, festival 2011, le jardin 2, 6, pelouse aux sauterelles Ou cette pelouse « réservée aux sauterelles » qui mène à un autre champignon…

Chaumont-sur-Loire, festival 2011, le jardin 2, 7, d'autres fleurs Une autre vue, fleurs en fil de fer, fleurs naturelles, arrosoirs… Et si vous cherchez bien, sur chaque photographie, vous devriez apercevoir des coccinelles… en fil de fer aussi. Mais ces structures métalliques et les fleurs autour attirent aussi de vraies insectes et autres petites bêtes…Ce sont aussi des réservoirs à nourriture pour oiseaux, si on veut mettre des graines au centre.

Chaumont-sur-Loire, festival 2011, le jardin 2, quatre vues au début de l'automne (30 septembre)

J’y suis retournée le 30 septembre 2011, en voici un assemblage de quatre vues, avec les pieds de champignon où le compost se développe, des corolles de fleurs, en bas un hôtel à oiseau et à abreuvoir à papillons…

Pour retrouver les articles de 2011 / Jardins d’avenir ou l’art de la biodiversité :

  • en préalable, le puits avec des archers et les gargouilles du château
  • le jardin n° 1, Le laboratoire, conçu par Méryl Fanien, Philippe Guillemet et Cyrille Parlot
  • le jardin n° 2, Sculptillonnages, conçu par Corinne Julhiet-Detroyat et Claude Pasquer
  • le jardin n° 3, Tu me manques, conçu par Jacob Vilato et Marc Cunat
  • le jardin n° 4, La transparence du ver, conçu par Anne Blouin et Alessandra Blotto
  • le jardin n° 4bis, La bibliothèque du souvenir, conçu par Gaétan Macquet, Oreline Tixier et Pierre-Albert Labarrière
  • le jardin n° 5, L’envers du décor, conçu par Cathy Viviès et Vanessa Farbos
  • le jardin n° 6, Le jardin bijou, conçu par Loulou de La Falaise avec le concours de Paul-Antoine Penneau
  • le jardin n° 7, la sève à la croisée des chemins, conçu par Ernesto Neto et Daisy Cabral Nogueira
  • le jardin n° 8, La biodiversité en question, conçu par Olivier Chardin, Anaïs Brochiero, Philippe Verigno et Anaïs Brochiero,
  • le jardin n° 9, Le jardin pixélisé conçu par Mattéo Pernigo et Claudio Benna
  • le jardin n° 10, Le jardin méditerranéen conçu par les équipes du festival en liaison avec les étudiants de l’Institut national d’horticulture d’Angers
  • le jardin n° 11, Manier avec précaution, conçu par Jeroen et Maarten Jacobs
  • le jardin n° 12, Le jardin des plantes disparues, conçu par Olivier Barthélémy et Denis Valette
  • le jardin n° 13, La nature des choses, conçu par Soline Portmann, Aurélie Zita et Mioko Tanaka.
  • le jardin n° 14, Célébrons et tissons la [bio]diversité, conçu par Manon Bordet-Chavanes
  • le jardin n° 15, Entre ciel et terre, conçu par Wang Xiangrong
  • le jardin n° 16, Lucy in the sky, conçu par Chilpéric de Boiscuillé, Raphaëlle Chéré, Pauline Szwed et Benjamin Haupais,
  • le jardin n° 17, Les bulbes fertiles, conçu par Xavier Bonnaud, Stéphane Berthier, Clément Bouchet, Fabien Gantois, Etienne Panien, Olivier Duraysseix et Guillaume Pezet
  • le jardin n° 18, Le jardin à la rue, conçu par Julien Maieli et Germain Bourré
  • le jardin n° 19, le jardin de Madame Irma, conçu par Gladys Griffault, Clara Juncker, Emmie Nyk et Pascale Trouillet
  • le jardin n° 19bis, La biodiversité bleue, sans concepteur identifié
  • le jardin n° 20, Le jardin à emporter, conçu par Steve Papps, Jo Chapman et Jackie Bennett
  • le jardin n° 21, Le jardin des marées, conçu par Sarah Foque, Roland Horne, Jeremy Clark, Jos Gibson, Olly Hurst et Stan Van Der Laan…
  • le jardin n° 22, Graines d’espoir ou le jardin d’un regard partagé, conçu par des étudiants de l’école Du Breuil et de l’école Boulle
  • le jardin n° 23, Le pollen exubérant, conçu par Yekaterina Yushmanova et Ruth Currey
  • le jardin n° 24, La salle à manger, conçu par un groupe d’étudiantes japonaises
  • les jardins zen : le jardin de méditation d’Erik Borja et Simon Crouzet et le jardin 7
  • les murs végétaux : le jardin 8 et les murs de Patrick Blanc
  • des oeuvres dans le château : La soupe verte de Gerda Steiner et Jörg Lenzlinger, Jardins engloutis et Carnivores de Helene Schmitz, Atmosphère de Shin-Ichi Kubota
  • les oeuvres de Dominique Bailly dans le parc et les écuries et celles de Bob Verschueren (Dominique Perrault, Herman de Vries, Manfred Menz)
  • Colorès dans le vallon des brumes
  • les oeuvres de Tadashi Kawamata, de Dominique Perrault (avec de nouvelles photographies des oeuvres de Anne et Patrick Poirier, François Méchain, Victoria Klotz et Rainer Gross), dans le parc