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VDB 40 / Quarante!

Vie de brodeuse (VDB) 40, 40 plaques de numéros de rue et places de parking Pour la VDB (vie de brodeuse n° 40), Petite fée Nougat nous a proposé le thème 40… qui m’a amené peut-être à marcher pas loin de 40 km cette dernière semaine à Poitiers… Je voulais trouver 40 plaques de n° de rue au n°40. Mais en ville à Poitiers, beaucoup de rue s’arrêtent à… 36 ou 38, grrr! Ou bien, pas de n° 40 : présence d’une administration, d’un magasin au rez-de-chaussée dans les rues piétonnes, et hop, pas de numéro 40. Il y a même une résidence qui fait fort, son voisin a le n° 38, et elle propose deux entrées au numéro… 42! Si on s’éloigne du centre-ville, ce n’est pas mieux, le 40 est parfois attribué au jardin ou au garage… et donc pas marqué en façade. Malgré mes efforts, je n’en ai trouvé que 34. J’ai complété avec des numéros peints dans les parkings publics… quand je les ai trouvées, je n’ai absolument pas compris l’ordre de numérotation des places dans le parking Notre-Dame! Au parking Toumaï, il n’y a du 40 qu’aux niveaux 3, 4 et 5… Je ne sais pas ce qu’ont pensé les vigiles derrière les écrans de vidéo-surveillance en me voyant photographier le sol ou les piliers… Bon, voici quand même un montage avec 40 numéros 40… Le tout orange est le 40 de la rue Carnot, qui est un resto et le n° sur l’enseigne.

PS: grâce à cette photographie, j’ai gagné cette Vie de brodeuse et Petite fée Nougat m’a envoyé ce fil.

Poitiers, 40 rue des Feuillants Au 40 de la rue des Feuillants, j’en profite pour prendre en photographie la date 1790 inscrite sur la porte… petit clin d’œil au défi de Monique / Bidouillette / Tibilisfil (revoir ici les dates à Cahors et là celles en Poitou-Charentes, et j’ai aussi ouvert un article qui regroupe toutes les dates portées publiées sur ce blog).

Poitiers, date de 1785 sur un porche rue des Carmes Dans la rue voisine (rue des Carmes, au n° 25 bis), un porche de même type porte la date de 1785.

Mettez vos chaussures, sortez votre APN, ponts

Poitiers, 2 avril 2011, 1, bouche d'égoût Des ponts? Bon, j’ai prévu de vous montrer en détail dans les prochains mois ceux de Poitiers (je vous ai déjà parlé de cette passerelle aux abords du moulin de Chasseigne), de Confolens et de Cahors, je ne souhaitais pas vous dévoiler ceci dès maintenant… Alors, que faire ? J’ai à peine mis le pied dehors que je tombe sur ce pont… -à-Mousson ou PAM. Grand fournisseur de fonte rbaine, plaques d’égoût et grille d’avaloir notamment.

Poitiers, 2 avril 2011, 2, montage de bouches d'égoût Comment ça, pas un pont ? Il y en a tous les mètres ou presque, de tous les modèles, LOL!

Poitiers, 2 avril 2011, 3, ponts en béton à Blossac Pas sûre que la cheffe Monique / Bidouillette / Tibilisfil soit tout à fait d’accord avec mon point de vue… Alors, direction à nouveau le parc de Blossac et son jardin anglais, avec le petit pont en béton imitation bois. Les photographies datent de samedi, il faisait chaud, limite lourd, même, les feuilles des arbres sortaient à vue d’oeil…

Poitiers, 2 avril 2011, 4, pont végétal à Blossac Un arbre qui fait presque pont et un mini pont au fond…

Poitiers, 2 avril 2011, 5, petit pont Blossac Le voici de plus près…

Poitiers, 2 avril 2011, 6, petit pont à Blossac …et de dessus.

Poitiers, 2 avril 2011, 7, pont végétal avec feuilles mortes Et je vous emmène à nouveau dans le rond de charmille… ça forme bien des petits ponts pour aller voir le Faune soufflant dans une corne, de Durenne.

Poitiers, 2 avril 2011, 8, pont végétal à Blossac, avec nouvelles feuilles Côté ombre, les feuilles ne sont pas sorties, et les anciennes pas encore tombées, alors que côté soleil, voici ce que ça donne…

Poitiers, 2 avril 2011, coeur d'agglomération, pavage près de l'hôtel de ville Ah, vous vous souvenez des pavés ? En voici de nouveau, tout frais posés, il y a un mois, cela ressemblait à ce chantier

Poitiers, 2 avril 2011, coeur d'agglomération, pavage près de l'hôtel de ville devant les bistrots C’est assez spectaculaire surtout de ce côté… Tient, de nouveaux arbres riquiquis ont été aussi plantés depuis et sortent déjà leurs feuilles…

Mettez vos chaussures, sortez votre APN, dates (suite)

Poitiers, date de 1516 sur une porte Comme promis hier et pour terminer le défi de la semaine proposé par Monique / Bidouillette / Tibilisfil, voici un petit complément sur Poitiers, Confolens et Lessac, dans le Confolentais. J’ai aussi ouvert un article qui regroupe toutes les dates portées publiées sur ce blog.

Comme je n’ai pas trouvé de 16e siècle à Cahors, je commence à Poitiers avec une date portée sur la partie centrale d’une porte près du palais de justice de Poitiers. 1516… juste après Marignan pour cet hôtel particulier…

Poitiers, date de 1580 sur un portail Je vous en montre une seconde dans ce qui est aujourd’hui une cour à l’arrière de la rue de la Regratterie, probablement une rue au Moyen Âge, fermée avant 1580, si l’on en croit cette date sur un portail qui barre cette ancienne rue.

Poitiers, date de 1626 sur un linteau Dans la même cour, il y a deux restaurants… et une autre date, 1626.

Poitiers, façade de la chambre régionale des comptes Voici un autre exemple original à Poitiers, sur un hôtel particulier qui est devenu la chambre régionale des comptes (un bâtiment qu’il faudrait que je vous montre plus en détail…), rue Scheurer-Kestner, juste dans l’axe de la rue d’Alsace-Lorraine. Un chiffre est porté sur la clef de chaque fenêtre du deuxième étage (sauf sur la travée centrale), pour former la date 1859.

Lessac, date de 1779 portée sur un linteau de porte du bourg avec des outils de forgeron Je vous emmène maintenant à Lessac, près de Confolens, pour cette maison du bourg qui présente en remploi un linteau portant des outils de forgeron et la date 1779. J’avais pris cette photographie et les suivantes il y a juste un an, au retour d’un colloque à Confolens (je vous présente un article de cette série tous les mois)… Au fait, j’ai oublié de vous le signaler hier, au 18e siècle, le 7 n’a pas de barre comme quand on écrit aujourd’hui un 7 manuscrit (un peu comme le 7 des machines à écrire et des ordinateurs… et surtout celui des anglo-saxons). Non loin de là, à Montrollet une autre forge, plus vielle d’un siècle (elle porte la date de 1661) a un linteau avec les mêmes outils, à voir dans ce dossier documentaire.

Confolens, date de 1835 sur une grille en ferronnerie rue des Portes d'Ansac Partons à Confolens, justement, avec cette date portée (1835) sur une ferronnerie d’une maison de la rue des Portes d’Ansac

Lessac, date de 1908 portée sur l'acrotère du toit d'une grange Retour à Lessac, mais cette fois, c’est sur l’acrotère (la tuile décorée au bout de la rangée de tuiles faîtières) d’une grange qu’est portée la date 1908 sur une grange aux Roufferies (désolée, la photo était à contre-jour, j’ai retravaillé le contraste, je ne suis pas sûre que ça sorte bien).

Je pensais avoir pris en photographie les vieilles croix de chemin, je ne les ai pas trouvées sur mon ordinateur, mais vous pouvez aller les voir sur les dossiers établis dans le cadre de l’inventaire du patrimoine, ici et toutes deux datées de 1778 à Ansac-sur-Vienne (clic sur les vignettes pour voir les images en grand quand vous suivez ces liens, la plupart de ces photographies sont les miennes… mais réalisées dans le cadre du boulot, soumises au droit d’auteur donc). Il y en a une encore plus vieille, datée 1631, à Saint-Christophe (celle-ci, je l’ai vue il y a quelques années, mais n’y suis pas retournée l’année dernière). Et voilà, vous avez ainsi un meilleur aperçu des possibilités de dates et d’emplacement…

Et pour aller plus loin, je vous invite à revoir plein de dates que je vous ai déjà montrées!

Mettez vos chaussures, sortez votre APN, dates

Cahors, dates du 17e siècle Grand week-end de quatre jours à Cahors, j’y ai donc cherché les dates pour le défi de la semaine proposé par Monique / Bidouillette / Tibilisfil. La chasse aux dates portées (chronogrammes dans le jargon de l’inventaire général du patrimoine culturel) est une activité habituelle dans mon travail… Munie de mon APN, aussi à la découverte de Cahors, je suis donc partie en quête de ces fameuses dates. Je vais faire une petite synthèse sur plusieurs thèmes, je vous montrerai les édifices et statues concernés dans les prochaines semaines et mois (et essayerai de penser à ajouter ici les liens). J’aurais aimé vous montrer autre chose que des clefs des linteaux ou arcs de porte ou de fenêtre, par exemple des serrures, des ferronneries, des poutres de pan de bois ou des tuiles faîtières, mais je n’en ai pas trouvé (je vais fouiller ce soir dans mon stock de photographies de Poitiers et Confolens pour vous préparer un autre article demain). Pas plus que de date pour le 16e siècle, je commence donc avec le 17e… et les dates portées sur des portails. J’ai aussi ouvert un article qui regroupe toutes les dates portées publiées sur ce blog. Beaucoup de portails de ce type, mais peu de dates portées. Je ne suis cependant pas rentrée dans les cours ni voir les cheminées, qui sont des mines de dates…

  1. 1642 au 64, place de la Libération
  2. 1643 au 194, rue Fondue Haute
  3. 16[60?] au 27 rue Nationale

Cahors, date 1769 sur une prote rue Nationale Pour le 18e siècle, je n’ai trouvé que cet exemple… 1769 au n° 344 de la rue Nationale

Cahors, dates du 19e siècle Le 19e siècle est beaucoup plus riche, je vous les ai classées par année, voici ce à quoi elles correspondent…

  1. 1833, la rue de la Barre est frappée d’un plan d’alignement du côté pair (à droite en descendant la rue), j’ai repéré trois dates sur des baies en plein cintre qui relèvent visiblement d’un plan concerté : aux n° 8, 30 et 118
  2. 1837 au 102, rue du Château du Roi
  3. 1863 au 28, rue Bergounioux
  4. 1863 au 255, rue Nationale
  5. 1865 sur la halle aux grains (par l’architecte Pinochet…)
  6. 1876 au 44, rue Gambetta
  7. 1878 au 2, boulevard Gambetta (probablement l’ancien temple maçonnique, vus les symboles…)
  8. 1881 au 23, rue Bergounioux
  9. 1881-1882 sur le pont de chemin de fer
  10. 1884 et 1886 respectivement aux n° 67 et 89 de la rue des Capucins (dont le tracé toujours en baïonnette a néanmoins été revu en 1870)

Cahors, date 1901 sur l'hôpital Pour le 20e siècle, je n’ai pris que cet exemple de l’hôpital daté de 1901.

Cahors, dates sur des statues Si l’on va plus loin, il y a aussi les dates portées sur les ponts et la statuaire publique, souvent à côté de la signature…

  1. 1844 (statue de Murat par Dominique Molchnecht)
  2. 1844 (statue de Bessières par Dominique Molchnecht), je sais, ce n’est pas très lisible sur ces deux premières photographies, très peu visible même sur place
  3. 1879 (monument aux mobiles ou monument aux morts de 1870 par C.A. Calmon)
  4. 1888 sur le buste en bronze de Clément Marot par J. Turcan, mais 1892 pour le monument
  5. 1935 (MCMXXV) sur le monument aux morts de 1914-1918
  6. 1987 sur le socle de l’Œdipe de Jean Cattan devant le palais de justice

Cahors, dates sur des socles et des plaques Enfin, si je n’ai pas pris de photographie au cimetière, il y a toutes les plaques commémoratives et autres sur les socles de statues. Soit ici de gauche à droite, en haut puis en bas,

  1. Olivier de Magny (1529-1561), plaque posée au 12, rue Clément-Marot
  2. Marc Antoine Dominici (1605-1650)
  3. Léon Gambetta (1838-1882)
  4. Joachim Murat (1767-1815)
  5. Jean-Baptiste Bessières (1768-1813), toujours pas très visible pour ces deux derniers
  6. Jean Gabriel Perboyre (1802-1840, béatifié en 1889)
  7. Jean-Jacques Chapou, capitaine Philippe, commandant Kleber (1909-1944)

Cahors, dates de fondation Quelques dates de fondation de maisons…

  1. la librairie imprimerie Edelsaud et fils fondée en 1684
  2. la maison Pygmalion fondée en 1840
  3. … et une congrégation fondée en 1619

Cahors, crue de 2003 Et pour terminer, une marque de crue… en 2003 au pont de Cabessut.

Bon, au total, une petite récolte intéressante quand même en quatre jours (et presque 75 km à pied dans les rues de Cahors, si j’en crois mon podomètre à presque 100.000 pas…). Une dernière chose, si vous allez à Cahors, je vous conseille la chambre d’hôte de M. et Mme Hérail, en plein centre ville (10 minutes à pied de la gare, 5 minutes du centre de congrès Clément Marot, 15 du pont Valentré).

Mettez vos chaussures, sortez votre APN, bancs publics

19 mars 2011, Poitiers, défi des bancs, 01, gare Cette semaine, Monique / Bidouillette / Tibilisfil a pensé que l’on pouvait se reposer sur les bancs publics en allant se promener… 16000 pas plus tard (12/13 km), me voici avec une énorme variété de mobilier public, en bois, en métal (fonte le plus souvent mais pas que), en pierre, en béton… ou bien par couleur (blanc, vert, marron, pierre), il y a l’embarras du choix et presque aucun blanc semblable. Bon, après avoir hésité, je vous emmène dans le sens de ma promenade, à travers Poitiers ce qui permet de mettre un plan à la fin. La semaine prochaine, ça sera sans doute à Cahors que ferai le défi, j’y pars de vendredi à lundi (réunion de préhistoriens le samedi., visite le reste du temps). Les liens renvoient à mes articles précédents sur les édifices auprès desquels je suis passée… C’est parti pour un grand tour à travers Poitiers. Allez, cette fois, je pars de chez moi par le boulevard, direction la gare. Avant les travaux de rénovation, ici, c’était plein de voitures, dans tous les sens sur ce qui était sensé être l’arrêt minute et la desserte des taxis. maintenant, il y a des sièges sur le parvis, deux formats, genre chaise large et banc bombé (1), que l’on retrouve aussi le long de la gare routière et du parking Toumaï (2). Je monte par l’ascenseur au bout sur la grande passerelle (depuis laquelle je vous ai montré des lampadaires et des motos (en allant prendre les toits).

19 mars 2011, Poitiers, défi des bancs, 02, vers la médiathèque En haut de la côte de la rue Boncenne, sur la place Lepetit devant le palais de justice (3). Pas très confortables, mais il y a souvent du monde qui s’y repose après la montée… Place Charles VII, une fontaine (que je n’ai jamais vue fonctionner, je pense) est entourée d’un banc semi-circulaire (5). La caravane de Médecin du Monde n’est pas bien jolie, mais très utile pour tous ceux qui sont exclus du système de santé. On se retourne, on contourne la Grande Muraille (une restaurant, avec une pensée pour leur famille au Japon), et on trouve ce banc très dur, dans les gaz d’échappement des bus, coïncé à côté des places pour vélo. Hop, traversée de la médiathèque (au passage, je rends un livre…), je ressors de l’autre côté (6), entouré d’un banc tout le long du bâtiment, en semaine, c’est plein de fumeurs ou de lecteurs qui sortent prendre l’air.

19 mars 2011, Poitiers, défi des bancs, 03, autour du marché On prend le petit passage sous l’ancienne bibliothèque de l’université (qui abrite maintenant l’office de tourisme). Devant, les deux bancs installés récemment, je vous les ai déjà montrés… Dangereux pour les personnes au champ visuel restreint, comme je vous avais dit, mais aussi pour les camionnettes du marché, et voilà, ces bancs étaient censé résister aux agressions urbaines, l’un est déjà cassé (7) ! Petite traversée des halles et de l’autre côté, des lattes de bois qui supportent mal le temps accueillent le visiteur ou le salarié qui mange sur le pouce le midi, quand il n’y a pas le marché ou les brocanteurs (8-9).

19 mars 2011, Poitiers, défi des bancs, 04, place de la Liberté et rue Saint-Opportune Allez, direction la rue de la Tête Noire pour rejoindre la place de la Liberté. La copie de la statue de la Liberté est entourée de bancs où l’on peut causer dos à dos, une assise de chaque côté du dossier (10)… Je reprends la rue des Gaillards et la rue Saint-Opportune pour ce mini square que peu de Poitevins même doivent connaître, juste après le passage au-dessus de la pénétrante. Là (11), arrghh! Les Poitevins ne connaissent pas, mais leurs chiens, si! burk!

19 mars 2011, Poitiers, défi des bancs, 05, au jardin des plantes Un petit bout de rue Riffault et on descend la pénétrante pour retourner au jardin des plantes. Les corneilles semblent encore plus bruyantes que la semaine dernière. Ici, pas un banc semblable, le premier (12) est juste sous les fourches de l’érable sycomore. Vous remarquerez que les autres ont un dossier à une planche, deux ou beaucoup plus, j’adore le dernier caché dans son coin de verdure… (13 à 15).

19 mars 2011, Poitiers, défi des bancs, 06, autour de Saint-Jean-de-Montierneuf Quelques dizaines de mètres et voici les bancs au le chevet de l’église Saint-Jean-de-Montierneuf (16, au bout des flèches derrière les jeux). Faire le tour par l’étroit passage et voici les bancs devant le portail (17). Vous pouvez remarquer à l’arrière les bâtiments de l’abbaye (devenus ceux de l’Ensma, abandonnés depuis des années) en cours de rénovation et de l’autre côté, ceux qui ont été restaurés et abritent le rectorat depuis la rentrée de septembre.

19 mars 2011, Poitiers, défi des bancs, 07, le long du Clain Traverser prudemment le boulevard Chasseigne, prendre le chemin le long de l’eau, arriver au moulin de Chasseigne, traverser Clain et la la passerelle des quatre roues pour voir ces bancs (18), dans une zone en cours d’aménagement… Retraverser la passerelle et longer la rivière sur sa rive gauche (celle du côté du centre-ville), vous y croiserez des bancs différents, isolés ou par petits groupes (19 et 20). Au passage de la pénétrante (21), jeter un coup d’œil aux graphes (tags officiels, régulièrement refaits).

19 mars 2011, Poitiers, défi des bancs, 08, près du pont Joubert On emprunte le boulevard Bajon et au début de la rue Joubert, ce banc massif, gros bloc de calcaire posé il y a une grosse année (22)… Dur aux fesses, et on se demande pourquoi il comporte deux assises polies, une qui regarde dans chaque sens…

19 mars 2011, Poitiers, défi des bancs, 09, square des Cordeliers Courage, maintenant, il faut remonter la grand’rue et rejoindre le square des Cordeliers… Les murets le long du palais de justice servent souvent de siège… Vous reconnaissez sans doute la statue et la plaque en bronze (1929) de Maxime Réal del Sarte, et tout au fond, dans les déjections canines se cache un banc (23, au bout de la flèche rouge. À gauche de la flèche, vous voyez les restes du rempart romain.

19 mars 2011, Poitiers, défi des bancs, 10, place d'Armes Là, il y a plusieurs options pour rejoindre l’hôtel de ville. Après les sophoras et les pavés, les nouveaux bancs (en calcaire avec piètement métallique, 24) commencent à être installés. Leur confort n’a pas l’air formidable, et dès qu’il y a du soleil, comme dimanche, la place éblouit énormément, même avec des lunettes de soleil, c’est à la limite du supportable. Espérons que ça sera mieux quand le dallage aura été sali!

19 mars 2011, Poitiers, défi des bancs, 11, au parc de Blossac Nous voici maintenant, après quelques centaines de mètres, au parc de Blossac, avec plein de bancs différents. Sur la première photographie (25), au fond à droite, vous reconnaissez mon abri lors des giboulées d’un précédent défi. Tout le long du boulevard sous Blossac, il y a de vieux bancs en pierre (26). Dans le jardin de verdure, des bancs… enherbés (27), tandis que sous la pergola du jardin contemporain ont pris place beaucoup de bancs marrons (28).

19 mars 2011, Poitiers, défi des bancs, 12, près de l'église Saint-Hilaire Allez, on rentre à la maison en passant par l’église Saint-Hilaire, d’abord par le square à gauche quand on regarde le chevet, là où se trouve le tombeau de Constantin de Melle (29). Un petit coup d’œil dans la nef, il aurait été dommage de ne vous montrer aucun banc d’église (30). On ressort de l’autre côté, ça s’appelle maintenant l’allée Clovis, des bancs à structure en fonte qui portent la marque du fondeur (j’en ai vu d’autres au passage…): Le Centaure / Graff 67 Kogenheim (31-32).

19 mars 2011, Poitiers, défi des bancs, 11, abris bus Pour être complète, voici quelques bancs dans les abris-bus… Là aussi, une grande variété… Il reste quelques bancs en plastique, et pour les bancs en métal, il y a le choix entre plein en bombé, plein et plat, plat et à trous. Les systèmes de fixation aussi sont variables, au sol ou suspendus sur une barre fixée à la structure d el’abri…

Poitiers, banc sous la neige chemin des Crêtes en 2009 Et je ne résiste pas à l’envie de vous remettre ce banc pris en hiver (2009) vers le chemin des Crêtes!

19 mars 2011, Poitiers, défi des bancs, 14, plan de la promenade N’oublions pas le plan… Au passage, vous avez peut-être remarqué que ce défi aurait aussi pu être celui des poubelles! Chaque banc ou presque en est équipé à proximité!

Mettez vos chaussures et sortez votre APN, en avant les fourches!

Poitiers, 12-15 mars, 1, fourche de vélo Cette semaine, le thème choisi par Monique / Bidouillette / Tibilisfil pour la promenade, c’était d’enfourcher nos appareils photographiques… Non, juste de trouver des fourches…

Bon, vais-je enfourcher cette bicyclette ? En plus, elle pose juste comme il faut pour montrer sa fourche… C’est un vélo du service de location proposé par la ville, et qui était garé samedi dernier juste à côté de la médiathèque… de Poitiers, bien sûr (le point 1 sur le plan).

Poitiers, 12-15 mars, 2, carrefour des Trois-Bourdons Bon, fourchons, fourchons… et retour au carrefour des Trois-Bourdons, qui est le point où, la semaine dernière en rentrant de Ligugé (je ne remets pas la carte, c’est le point où le trait rouge rejoint le trait mauve sur l’article en lien, c’est dans la direction de la flèche 2 sur le plan d’aujourd’hui, c’est aussi la bonne direction pour aller acheter un scofa)… C’est bien une fourche, non, ce genre de carrefour ? Bon, dangereux de prendre la photographie à l’heure de débauche des bureaux, en profitant d’un passage du feu au rouge… Vous pouvez aussi voir des lampadaires un peu différents de ceux du centre-ville.

Alors, rentrons en ville, d’autant que le ciel menace (c’était hier soir), aller en bus, mais retour à pied (quand même!).

Poitiers, 12-15 mars, 3, jardin des plantes, fourche d'un érable On repart du marché Notre-Dame, on descend la pénétrante pour aller au jardin des plantes (le point 3 sur le plan), je n’y étais pas allée depuis un moment… Voici une première fourche, un érable sycomore…

Poitiers, 12-15 mars, 4, jardin des plantes, nids de corneilles, étiquette d'un érable … et l’occasion de vous montrer la nouvelle signalétique à hauteur d’enfants et de fauteuils roulants, avec le nom des espèces en braille (mais beaucoup de reflets pour les gens qui voient bien… pas facile, l’accessibilité pour tous).

Poitiers, 12-15 mars, 5, jardin des plantes, arbre fourchu Quelques mètres plus loin, en voici une autre…

Poitiers, 12-15 mars, 6, jardin des plantes, nids de corneilles Mais ça hurle dans les airs… Une vraie invasion de corneilles, de chaque côté du boulevard (au bout des flèches)…

Poitiers, 12-15 mars, 7, jardin des plantes, nids de corneilles …et aussi juste à côté de la voie d’accès à la pénétrante. Cette fois, ce ne sont plus des nids douillets ni même un HLM de corneilles, mais carrément une cité dortoir!

Poitiers, 12-15 mars, 8, face au jardin des plantes, nids Surtout qu’il y a une banlieue… juste de l’autre côté du parking, de l’autre côté de la bretelle… (point 4 sur le plan).

Champniers, peinture murale du 15e siècle, un diable Ah, j’ai eu la flemme d’aller photographier une fourche-bêche au jardin (le chemin glisse avec l’humidité de ces derniers jours), mais je me suis souvenue de cette photographie prise il y a quelques mois au retour de chez Jardin zen… et que je ne vous ai pas encore montrée… Elle n’est pas belle, la fourche de ce petit diable peint à la fin du 15e siècle (une inscription de 1491 témoigne d’une grande campagne de travaux) dans l’église de Champniers??? Bon, ce n’est pas très visible sur ma photo, désolée…

Poitiers, 12-15 mars, plan de situation des photographies Et pour terminer, voici le plan…

Mettez vos chaussures… et photographiez des toits

5 mars 2011, 1, rencontres de motards sur le boulevard à Poitiers D’abord, en cette journée internationale de la femme, je voulais remercier toutes les lectrices de ce blog… en constatant que l’écrasante majorité de ceux qui laissent des commentaires sont… des femmes ! Je reviens ce soir avec un article sur ce thème! Pour ce nouveau défi photo, je suis sortie deux fois… D’abord samedi… et non, pas en allant au marché, Monique / Bidouillette / Tibilisfil nous a donné le thème de la semaine à midi… Par ce beau soleil de l’après-midi, donc, je réfléchis un peu… Ces défis sont aussi l’occasion de redécouvrir mes précédents articles, Comme vous avez pu le constater, à Poitiers, on monte, on descend… par les escaliers de la Madeleine ou le chemin de la Cagouillère, les escaliers du diable, encore plus depuis que je sais qu’ils sont mentionnés pour la première fois en 1047, en empruntant la cueille aigüe ou encore les escaliers des Dunes, en montant voir la ville depuis le chemin des Crêtes, en glissant dans la grand’rue ou en essayant le chemin de Traine-Bot. Nous avons donc toutes les chances de voir des toits en contrebas… aussi depuis la grande passerelle de la gare, peut-être… Je commence par là, voici la vue depuis cette passerelle, dans le sens opposé des lampadaires… Pas de toit, mais l’explication au bruit incessant des motos depuis le matin… Grand rassemblement au bout du boulevard, vers la porte de Paris, gros bouchon et grosse insécurité un peu plus loin, motos sur les trottoirs, très difficile d’atteindre un magasin de tissu où je voulais passer… Pour information, ça fut pareil dimanche, avec un bruit infernal (les motos s’amusant à vrombir dans le tunnel sous le boulevard devant la gare. Sans compter les odeurs de pétrole mal brûlé…
5 mars 2011, 2, depuis le parking Carnot Bon, je réfléchis vite pour mes toits, 30 minutes et je suis encore bredouille (enfin, avec du fil et du tissu quand même), décide de tricher et de prendre le bus pour monter en ville et éviter de me faire écraser en marchant sur la chaussée… Direction le toit du parking Carnot, par l’ascenseur (vous avez déjà essayé les escaliers de ces parkings???). Je me souviens d’une inauguration sur ce toit et de la belle vue… Comme vous le voyez, en ville, nous avons surtout de l’ardoise, dont l’importation (à l’époque depuis les ardoisières d’Anjou) a été facilité depuis l’arrivée du chemin de fer au 19e siècle…

5 mars 2011, 3, depuis le parking Carnot avec flèches Bon, reconnaissez-vous quelque chose? Je vous aide… La flèche jaune indique le toit de l’église Saint-Porchaire (tuiles plates sur le clocher, tuiles creuses sur la nef). La flèche rouge est pour l’hôtel de ville.

5 mars 2011, 4, depuis le parking Carnot, le lycée Victor Hugo On tourne un peu et voici le lycée Victor Hugo, toit plat, toit en métal et pour le corps de bâtiment plus ancien, toit en ardoise (je vous reparlerai un jour de ce lycée…).

5 mars 2011, 5, depuis le parking Carnot vers le collège Du côté opposé, que voit-on?

5 mars 2011, 6, depuis le parking Carnot vers le collège, avec flèches La flèche jaune marque l’ancienne chapelle des Jésuites (collège Henri IV aujourd’hui, encore un article en perspective), l’arbre au bout de la flèche verte est un survivant du square de la République avec le monument aux morts de 1870-1871. Tiens, au bout de la flèche verte, que fait un toit en tôle ondulée en plein secteur sauvegardé?

5 mars 2011, 7, depuis le parking Carnot vers les Trois-Cités En tournant le regard plus vers la rue Carnot, au fond, sur l’autre colline dans la brume, les immeubles à toit plat des Trois-Cités…

5 mars 2011, 8, depuis le parking Carnot vers le bas Je vous prouve que je suis tout en haut? même pas le vertige! Au bout de la flèche jaune, toujours l’hôtel de ville dont on distingue presque les tigres chimères d’Auguste Cain, et au bout de la flèche rouge, une statue de saint Nicolas.

6 mars 2011, 1, la gare de Ligugé Nous arrivons à dimanche… 13h03, départ de Poitiers… en TER. 13h08 (enfin, un peu plus, il y avait un peu de retard…), arrivée à Ligugé (pour un article que je souhaite préparer pour jeudi prochain, dans le cadre de la semaine hongroise…). Aïe, la gare… fermée, archi-fermée, même pas un distributeur de billets (à prendre dans un des deux ou 3 TER qui s’arrêtent encore ici dans chaque sens chaque jour).

6 mars 2011, 2, toits à Ligugé depuis la passerelle Du haut de la passerelle qui domine les voies, une petite vue des villas du début du 20e siècle et des lotissements qui fleurissent ces dernières années… Tuiles creuses et tuiles mécaniques pour les toits. Si j’étais allée plus au nord, à Angles-sur-l’Anglin par exemple, vous auriez vu des toits de tuile plate (vous pouvez un peu les apercevoir sur cet ancien article consacré au monument aux morts de 1914-1918 créé par Aymé Octobre).

6 mars 2011, 3, violettes à Ligugé Je fais mes petites photographies pour jeudi… pense à vous avec ces violettes qui annoncent le printemps…

6 mars 2011, 4, chemin de Ligugé à Poitiers Et hop, chemin du retour, ben oui, bande de fainéant(e)s, une, deux, une, deux, et 9,5 km dont une bonne grosse moitié à travers bois et le long de la rivière!

6 mars 2011, 5, viaduc de chemin de fer et usine sur Saint-Benoît Peu de toits donc pour cette promenade de retour (1h45), mais je n’ai pas résisté, en passant sous le viaduc de chemin de fer (pas la ligne que j’ai prise à l’aller, mais celle vers La Rochelle)… avec une cheminée d’usine à l’arrière…

Trajet de Ligugé à Poitiers Pour les piétons, Mappy (le trait en bleu) ne connaît que les routes! J’ai tracé mon trajet à peu près en rouge… J’ai évité au maximum les routes, en traversant le domaine de Givray, passant le long du Clain, un tout petit bout de route au sud de Poitiers, puis j’ai rejoint le cimetière de Chilvert, l’ancien chemin du tram pour rejoindre le rempart sud… Mappy disait 8,2 km en 2h, mon podomètre 9,5 km (en 1h45).

Donc, à Poitiers, en ville, plutôt de l’ardoise, vers le nord, des tuiles plates (et la langue d’oïl), vers le sud, les tuiles creuses (et la langue d’oc). La Fontaine disait, en descendant de Paris, qu’à partir de Châtellerault Chauvigny (à une vingtaine de kilomètres à l’est de Poitiers), on ne parlait plus français, il entrait en langue d’oc… Depuis, la limite a glissé un peu vers le sud, mais pas beaucoup…

Pour la Fontaine, voici le texte « Passé Chauvigny, l’on ne parle quasi plus français; cependant cette personne m’entendit sans beaucoup de peine: les fleurettes s’entendent par tout pays, et ont cela de commode qu’elles portent avec elles leur truchement », dans Relation d’un voyage de Paris en Limousin. Sixième lettre, écrite à Limoges, datée du 19 Septembre 1663, à lire en entier ici. Dans cette lettre, il rend compte de son parcours par Châtellerault, Chauvigny, Bellac. Il accompagne son oncle, ami de Fouché, qui a été limogé au sens propre, et relate dans ces lettres son trajet de Paris à Limoges… Le plus surprenant est qu’il écrit à sa femme… en ne parlant presque que d’aventures galantes tout au long du trajet.

Mettez-vos chaussures, un HLM à corneilles

Poitiers, 3 mars 2011, corneilles en activité devant le TAP En rentrant chez moi hier soir par le boulevard, j’entends un grand raffut dans les arbres près du monument aux coloniaux, juste à côté du TAP/théâtre auditorium de Poitiers. Je lève les yeux, et une nuée de corneilles sont en train de bâtir leur nouveau logis… Samedi dernier, j’avais cherché là en vain des nids au retour du marché, mais il n’y en avait pas, ils ont été enlevés à l’automne pour limiter la population de corneille en ville… Stratégie inadaptée, on dirait bien. Je n’avais pas mon APN avec moi, mais ce matin, je suis passée par là, une première vue depuis le parking Toumaï…

Poitiers, 3 mars 2011, corneilles en activité devant le TAP, vues de près Et une deuxième de plus près et moins en contre-jour… Alors Monique / Bidouillette / Tibilisfil, il te plaît, mon HLM à construction express?

Mettez vos chaussures et sortez votre APN, des nids douillets…

Poitiers, 26 février 2011, défi APN, des nids, 01, pigeaons de l'amphithéâtre Après avoir scruté les trottoirs, Monique / Bidouillette / Tibilisfil nous a proposé cette semaine de mettre nos chaussures et de sortir avec notre APN pour photographier des nids… Oui, des nids d’oiseaux tant qu’ils ne sont pas cachés par les feuilles des arbres… Bon, sympa, mais nous avons eu un grand week-end de giboulées, averses de pluie et de grêle et quelques éclaircies… Je vous mets au fil de l’article des liens vers des articles antérieurs qui vous montreront autrement les éléments dont je vous parle aujourd’hui. Au cas où je ne pourrais pas ressortir, j’emporte mon APN pour aller au marché samedi, première pause dans amphithéâtre romain, qui est aussi un vaste pigeonnier, pas tout à fait un nid, mais on se rapproche du sujet… Désolée, j’ai été obligée de mettre le flash, la photographie n’est pas bonne du tout… mais je me suis rattrapée avec les autres, LOL!

Poitiers, 26 février 2011, défi APN, des nids, 02, corneilles au marché Au passage, je scrute les arbres du square de la République, mais aucun nid… Cet automne, la ville a enlevé tous les nids de corbeaux et corneilles pour que ces oiseaux aillent s’installer en dehors de la ville… Peine perdue, sur la place du Marché (qui s’appelle en fait place du Général-de-Gaulle), voici un couple de corneilles qui reconstruisent un nid… [PS: vous pouvez trouver ici plein d’autres nids de corneilles en cours de construction).

Poitiers, 26 février 2011, défi APN, des nids, 03, cigognes à Blossac L’après-midi, je pensais descendre dan mon jardin, mais il y a décidément trop d’averses et je me rabat sur le parc de Blossac, direction le jardin anglais, où je pensais trouver un nid de cigogne… Et bien non, le couple de cigognes est bien là, mais point de nid…

Poitiers, 26 février 2011, défi APN, des nids, 04, cabane à oiseaux à Blossac Cette vieille maison des oiseaux compte-t-elle pour le défi?

Poitiers, 26 février 2011, défi APN, des nids, 05, perruches à Blossac Ou bien la maison des perruches, avec à côté le lion amoureux par Étienne Hippolyte Maindron, qui a été nettoyé depuis l’article… Au passage, vous pouvez voir le rayon de soleil et le ciel noir derrière…

Poitiers, 26 février 2011, défi APN, des nids, 06, aras à Blossac Vous avez aussi le nid dans le tronc des aras…

Poitiers, 26 février 2011, défi APN, des nids, 07, abri à Blossac Et le « nid » des visiteurs du parc, vite, à l’abri… Nous nous retrouvons vite à 8 dans ce minuscule espace…

Poitiers, 26 février 2011, défi APN, des nids, 08, abri inondé à Blossac …pas complètement à l’abri de la pluie. Vu l’entassement, je n’ai pas fait de photo pendant l’averse (un gros quart d’heure)… ceux qui étaient du mauvais côté ont pris les embruns!

Poitiers, 26 février 2011, défi APN, des nids, 09, pies à Blossac Après l’averse, le ciel se dégage très vite (et oui, en quelques minutes…). Tout au bout du parc, j’aperçois un beau et vrai nid…

Poitiers, 26 février 2011, défi APN, des nids, 10, pies à Blossac Un petit coup de zoom… Voici les locataires, les pies…

Poitiers, 26 février 2011, défi APN, des nids, 11, pies à Blossac …en pleine construction (je ne sais pas si on voit bien la brindille dans le bec de la belle). En dix minutes d’observation, les nuages sont de retour…

Poitiers, 26 février 2011, défi APN, des nids, 12, le kiosque de Blossac en travaux Je traverse vers le bord du plateau, au passage (enfin, non, impossible de passer entre les barrières et les flaques), le kiosque en cours de reconstruction…

Poitiers, 26 février 2011, défi APN, des nids, 13, le refuge des oiseaux à Blossac Tout au bout, vers la tour à l’oiseau (si, de là où les archers s’entraînaient), au-dessus du boulevard se trouve un refuge de la LPO pour les oiseaux, l’herbe n’y est pas coupée en été…

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rs, 26 février 2011, défi APN, des nids, 14, un tronc creux à Blossac Un tronc creux… mais apparemment pas de locataire, en tout cas, pas de boulette de réjection au pied…

Poitiers, 26 février 2011, défi APN, des nids, 15, un petit nid à Blossac Ah, avant de sortir, dans les arbres taillés en cordon, un petit nid qui semble abandonné…

Poitiers, 26 février 2011, défi APN, des nids, le printemps à Blossac Les mésanges refusent de se faire prendre en photographie, mais voici au passage M. le Merle qui prend la pose, une compagnie de gendarmes (Virjaja en a aussi vu plein l’autre jour), des crocus, des pervenches, des violettes… Pas de doute, le printemps arrive! Pas une grande promenade (sauf le trajet pour le marché, un gros km dans chaque sens, peut-être aussi 1 km pour le bout du parc), mais une grosse heure dehors! Et photographier la nature au printemps n’a pas paru suspect aux gardiens du parc, LOL!

Mettez vos chaussures et sortez votre APN, et pavage!

Poitiers, 18 février 2011, trottoir, 01, rue Piorry Cette semaine, Monique / Bidouillette / Tibilisfil nous demande de regarder le pavage des trottoirs… J’ai vu sa proposition vendredi midi, emporté mon APN pour le retour du bureau… par un chemin un peu détourné… Je sors du bureau (dans la grand’rue) en prenant la rue Émile Faguet, et première photographie Rue Piorry, un trottoir refait en pavés tout neufs et bien lisses il y a un an ou deux…

Poitiers, 18 février 2011, trottoir, 02, place de la cathédrale Vous voyez le contraste avec les anciens, juste à côté, sur le bord ouest de la place de la cathédrale (de son vrai nom place du cardinal Pie)… Au fond, vous apercevez un sac poubelle, ça sera pire à la fin du trajet (ramassage des poubelles le soir, et en ville, peu d’immeubles ont de la place pour des containers).

Poitiers, 18 février 2011, trottoir, 03, en herbe eau bout de la place de la cathédrale Je longe ce trottoir jusqu’au sud de la place… Plus de désherbants en ville, ça verdit!!!

Poitiers, 18 février 2011, trottoir, 04, fil bleu devant l'espace Mendès-France J’emprunte l’esplanade entre l’ancien évêché (aujourd’hui il abrite les bureaux de la conservation du musée Sainte-Croix) et l’espace Mendès-France… Vous voyez ce trait bleu? C’est l’un des circuits (« fils ») de visite à pied en ville, chez nous, les automobilistes tournent en ville, GPS toujours pas à jour, mais les piétons n’ont aucun risque de se perdre!!!

Poitiers, 18 février 2011, trottoir, 05, rue Jean-Jaurès devant le planétarium Je longe le planétarium (qui n’a plus de tag en ce moment), là, les pavés sont posés pour former des figures…

Poitiers, 18 février 2011, trottoir, 06, parvis de Sainte-Radegonde Je passe par le chevet de la cathédrale et direction le parvis de Sainte-Radegonde… Je vous en ai parlé dimanche dernier, mais je n’avais pas fait de vue spécifique du pavage. Alors voilà, oubli réparé! Ici aussi, l’herbe pousse… et je vais finir par me faire enfermer chez les fous, avec ce défi! Extrait du dialogue avec un charmant touriste: lui-« je vous gêne pour prendre la photographie? » -moi: »non, pas du tout, je prends juste le dallage » -lui: » mais c’est une très belle église ». moi:-« je sais, j’en ai quelques centaines de photographies »; Lui: »vous n’êtes pas en visite alors? ». Moi:-« non, c’est juste un défi d’une copinaute… ». Lui:-« ???…!!! ».

Poitiers, 18 février 2011, trottoir, 07, rue Saint-Vincent-de-Paul Allez, je repars, je repasse le long de la cathédrale, rue Le Coq, rue du Souci, traversée périlleuse de la rue jean-Jaurès (les automobilistes, coincés ailleurs, se lâchent ici en toute impunité, tant pis pour les piétons), et me voici rue Saint-Vincent-de-Paul. Là, ça se corse encore pour le pauvre piéton, entre sacs poubelles et voiture garée sur le trottoir (et je vous épargne les crottes de chien)…

Poitiers, 18 février 2011, trottoir, 08, rue des Balances-d'Or Voici maintenant l’un des objectifs que je visais… La rue des Balances-d’Or… Vous ne voyez pas le trottoir? Normal, ici, on teste les futures zones de rencontre… autorisé aux voitures, mais piétons (puis vélos) prioritaires… Quand il n’y a pas de voiture comme en ce vendredi soir de début de vacances, ça va… Au fond, au bout de la flèche se cache l’enseigne du noyer inversé.

Poitiers, 18 février 2011, trottoir, 09, rue du général Denfert On tourne à gauche, rue du général Denfert, et hop, retour de la distinction chaussée/trottoir par le pavage… mais pas de rebord, j’ai toujours peur en passant ici… Cette fois, la voiture roule à peu près sur la partie qui lui est réservée…

Poitiers, 18 février 2011, trottoir, 10, rue Magenta Je passe sur quelques centaines de mètres, rue Louis Renard, il faut que je me concentre, voitures, poubelles, crottes de chien… Je longe le monument aux morts de 1870-1871, pas de photo, c’est la débauche du chantier, il faut encore se concentrer… Cela devient possible juste après, même si un peu plus loin, il y a le marché du vendredi… Voici quand même le trottoir de la rue Magenta… Il y avait au départ un jeu de briques blanches, rouges plus foncées (si, si, un carré entre les deux blancs…)… Avec la pollution des voitures et le passage des piétons, tout a pris au fil des ans une méchante couleur grisâtre… Au passage, vous apercevez en bordure du trottoir… le fil rouge pour les piétons! (oui, nous en avons un bleu, un jaune et un rouge!).

Poitiers, 18 février 2011, trottoir, 11, rue Bourcani Je tourne à droite, vers l’amphithéâtre romain rue Bourcani… Ce trottoir est assez représentatif de ce que l’on trouve en ville, en fait, un mélange de rapiéçages divers et variés, qui sautent quand ils gèle, parfois sommairement réparés…

Poitiers, 18 février 2011, trottoir, 12, rue de la Tranchée Rue du Petit-Bonneveau, rue Carnot… et voici mon nouvel objectif, le trottoir neuf de la rue de la Tranchée… L’ancienne place pour handicapés devant la résidence service pour personnes âgées a été pavée… puis condamnée par ses boules noires que je vous ai déjà montrées… dissuasives jusqu’à un certain point seulement (voir la troisième photo de cet article par exemple)…

Poitiers, 18 février 2011, trottoir, 13, rue de la tranchée J’avance un peu et me retourne pour la photographie suivante… Message subliminal… Les pavés du trottoir sont posés différemment sur les trottoirs et dans les zones de traversée… marquées sur la route par des clous… Esthétique, mais les voitures ne les voient pas la nuit, je préfère les zébras! Quand même, un petit effort pour les mal-voyants avec des bandes podosensibles devant chaque passage… je dirai non-protégé! (vous pouvez aussi voir à la fin de cet article les nouveaux pavés près de l’hôtel de ville…).

Poitiers, 18 février 2011, trottoir, 14, rue Saint-Hilaire Je tourne à droite, rue du Général-Demarçay, rue Saint-Hilaire… Devant l’école privée, une forêt de piquets empêchent le stationnement des voitures, efficace, cette fois, à défaut d’être esthétique…

Itinéraire des trottoirs à Poitiers Arrivée là, je descend les escaliers du diable et retour chez moi par le boulevard Pont-Achard… Voici ce que tout ça donne sur le plan…