Allez, c’est reparti pour le VAN / Voyage à Nantes (site officiel), pour revoir les autres épisodes, voir les liens en fin d’article ou chez Mamazerty… N’hésitez pas non plus à suivre les liens vers les sites des artistes ou autres… J’y étais par un week-end pluvieux, du 6 au 8 juillet 2012, et ai déjà participé à la manifestation Estuaire 2007 (je n’avais pas pu y aller en 2009).
Aujourd’hui, nous poursuivons le fil rose en ville… (suivre le lien pour revoir le début du parcours en ville)
Dans le passage Pommeray, dont je vous reparlerai sans doute un jour, avec Des chambres en ville, Agnès Varda (revoir Les plages d’Agnès, où elle avait fait une un film très original, synthèse de ses films précédents) a reconstitué l’ancien magasin de télévisions de Michel Piccoli dans Une chambre en ville de Jacques Demy (son compagnon aujourd’hui décédé), dont certaines scènes se passent dans ce passage (comme des scènes de Lola) et dont des extraits sont projetés dans la deuxième pièce. Dans la première salle, elle propose des petits films sur les visiteurs du passage. Vous pouvez aussi voir d’autres commentaires et photographies du passage Pommeray par ce lien direct chez Mamazerty…Et pour en savoir lus sur ce passage, y compris avec des images du tournage de Lola et de une chambre en ville, voir l’article de Pascale Wester, Le passage Pommeraye, une rue tout droit sortie du XIXe, Nantes au quotidien, n° 158, octobre 2005, p. 29-31.
En sortant du passage Pommeray par le haut, l’hôtel Pommeray propose une sorte de gros ectoplasme en matière expansée… Ça me rappelle un peu la « mousse à blaireaux », pour les non-initiés, de la mousse d’isolation pour les maisons que l’archéologue que je suis a utilisé (comme beaucoup d’autres archéologues) pour remplir des terriers dans les grottes et pouvoir fouiller la partie non détruite par les fouisseurs sans effondrement des couches archéologiques dans les terriers sous-jacents.Bon, revenons à nos moutons ou plutôt à l’œuvre, Kiss of the paraghost de Danny Steve. J’ai eu la flemme de ressortir le soir (averses, bises glaciale) pour le voir éclairé… Quatre artistes ont également redécoré des chambres, à voir sur place ou sur le site de l’hôtel. Vous pouvez même y faire juste la sieste pendant le voyage à Nantes (vite, il ne reste que deux jours!). Vous pouvez aussi voir d’autres commentaires et photographies par ce lien direct chez Mamazerty… Sur la vue plus éloignée, à gauche, vous apercevez une paire de chaussures, nouveau rituel urbain dont je vous ai parlé pour Poitiers et vous reparlerai pour Nantes…
L’opéra est actuellement en travaux et une station de légumes a pris place au milieu de la place Graslin… à voir par ce lien direct sur le blog de Mamazerty lors de son installation. La photographie du programme pouvait laisser croire à la présence d’une girafe sur scène, mais en fait, il n’y avait « que » de la diffusion sonore et une découverte du magnifique plafond peint par Hippolyte Berteaux et inauguré en 1881, dont je vous reparlerai à l’occasion d’un article sur le patrimoine (pour les impatients, vous pouvez toujours aller voir l’article de Laure Nemski, Le théâtre Graslin, Nantes au Quotidien, supplément au n° 143, mars 2004, p. 26-29)… Sur la vue du bas, vous apercevez la brasserie La Cigale, avec ses célèbres mosaïques…
La Danseuse échevelée (réalisée dans une série de 1934-1936) de Julio Gonzalez a pris place, minuscule, sous la grand coupole en verre coloré de style art déco du siège de la Compagnie Générale des Accidents, construit de 1928 à 1933 par l’architecte Henri Vié et l’entrepreneur Jean Le Guillou et donc quasiment contemporain de l’œuvre qui y est présentée.
Je n’ai pas résisté à prendre une vue de la belle coupole…
Je vous montrerai aussi plus tard le très beau fronton du muséum d’histoire naturelle, mais n’hésitez pas à voir Estuaire, une histoire naturelle ?, avec une passerelle dehors dans le square Louis-Bureau, sur les milieux humides, et à l’intérieur, de nouveaux espaces consacrés à l’estuaire, dont une mise en scène très sympathique des différents milieux de l’estuaire accompagnés d’animaux empaillés. Dans le cadre de Sans cimaise et sans pantalon du musée des beaux-arts, des paysages de l’estuaire réalisés par des peintres des 19e et 20e siècles sont présentés à l’étage, ainsi que l’autruche naturalisée de Maurizio Cattelan. J’ai été moins séduite par les aquarelles de Denis Clavreul.
Direction maintenant, juste à côté, le musée Dobrée, fermé pour travaux. En attendant, on peut visiter la tour construite à partir de 1864 que Thomas Dobrée, descendant d’une famille d’armateurs nantais et grand passionné d’art, par petits groupes (14 personnes, la jauge imposée dans les lieux qui accueillent du public sans issue de secours) pour une visite de trois quarts d’heure qui nous emmène jusqu’au sommet de la tour carrée au deuxième plan sur la photographie…
Dans le nouvel UFR des sciences pharmaceutiques et biologiques, rue Bias, tout juste rénové par l’architecte Jean-Pierre Lott en 2011…

… ORLAN (pseudonyme de Mireille Suzanne Francette Porte) a installé dans le cadre du 1% artistique son œuvre Radiographie des temps, au sol et au plafond.
Juste à côté, l’amphithéâtre Kerneis n’était pas accessible à l’heure où je suis passée, mais les installations sur les parois sont visibles de l’extérieur… L’université avait invité en résidence les artistes Interim (Marie Bouts, Julien Celdran, Lou Galopa, Séverine Hubard, Ramona Poenaru, Alice Retorré et Till Roeskens), qui ont réalisé des portraits des usagers de l’université.
Voici l’autre côté de la façade… certains ont choisi de montrer leurs carnets de notes de laboratoire pour se faire représenter…
Mon voyage à Nantes en 2012:
– un premier aperçu,
– croisière de Nantes à Saint-Nazaire : le début et la fin du trajet
– à Saint-Nazaire
– ça grimpe : trois plates-formes et le mont Gerbier de Jonc
– au jardin des plantes : avec des plantes et des œuvres contemporaines
– sur l’île de Nantes : à l’ouest et au centre
– en ville : le début et la suite du parcours, de l’art dans la rue
Je commence avec cet arbre complètement plâtré par
Juste devant, il y a toujours dans le bassin Réflexion, installation II/10, qui était déjà là l’année dernière et que j’avais oublié de photographier de
Dans la bibliothèque (ancienne asinerie),
Il y a aussi un artiste mystère dans la grange aux abeilles… Je n’ai pas pris de note sur place, et impossible de trouver la moindre information sur le
Quand on arrive par la grande rampe depuis le bas (pour les piétons, ceux qui arrivent en voiture se garent en haut…), impossible de rater ces grandes meules… ou plutôt, quand on s’approche, on s’aperçoit que ça ressemble plutôt à des cabanes, œuvre sans titre de
Les voici sous deux autres angles… Ce sont des branches de saule tressées…
Dans la prairie entre la château et les écuries, Jean-Philippe Poirée-Ville a installé Sylphes, tour d’Amboise, une structure avec des plantes nourries par hydropénie (un mélange nutritif leur ai donné, sans terre). Je n’ai pas reconnu la tour d’Amboise, mais l’ensemble est surprenant…
Je termine avec le siège de
Allez, c’est reparti pour le VAN /
Puis reprise en photo depuis la berge le long du lieu unique le dimanche, cette fois par temps sec!
Revenons en 2012 avec un tour au
On poursuit le trajet par le jardin des plantes (voir la partie végétale et la partie installations) – ce n’est pas l’ordre du trajet, mais je l’ai choisi ainsi – avant de rejoindre la chapelle de l’Immaculée où la Cène de Gaston Chaissac a pris place sur l’autel (voir pour cet artiste des liens proposés par
Je ne suis pas retournée au
Il faut y consacrer plusieurs heures, et je préférais profiter des œuvres temporaires plutôt que de revoir le château et son musée d’histoire de la ville de Nantes. J’ai juste traversé la cour…
Je ne vous montre pas maintenant le tombeau dans la cathédrale, je lui consacrerai un article dans mes séries « patrimoine » dans les prochaines semaines…
Direction la Tour Bretagne, une petite queue (il paraît qu’elle peut être très longue mais je n’ai guère attendu…) et hop, montée en ascenseur ultra-rapide au 32e étage… Là, le nid de
Un peu de courage pour sortir dans le grand air frisquet sur la terrasse qui fait le tour de la tour, avec des vues imprenables sur la ville…
… ou encore celles-ci (prises à travers les mailles des grilles anti-suicide)…
La vitrine des Galeries Lafayette devait être refaite le lundi suivant, mais sous la coupole se trouve Suspens de Nantes, de
On continue, pas dans l’ordre du parcours, par la place Bouffay… pour Monte-meubles, l’ultime déménagement de
Au bout du bras d’un monte-meubles de déménageur est suspendue une maison en cours de démolition, les meubles sont sur la plateforme à mi hauteur… clin d’œil à la ville en perpétuel mouvement, déménagements, démolitions, reconstructions…
… juste en face d’un vaste chantier, le Carré Feydeau protégé par ses barrières, que l’on voit ici à l’arrière plan. Vous pouvez aussi voir d’autres images et commentaires par ce
Dans le
Ma chambre d’hôtel donnait sur le jardin installé à l’extérieur.
J’arrive maintenant sur l’île Feydeau, rue Kervégan. Dans un immeuble du 18e siècle en cours de restauration, il faut se faufile rentre les échafaudages, pousser la porte dans le noir pour entrer dans le Temple du goût / Bâtisse karstique par l’
Allez, c’est reparti pour le VAN /
Petite halte au palais de justice réalisé par Jean Nouvel (comme le
… et c’est reparti vers la Maison de l’avocat où
Le bâtiment Manny, signé de l’agence nantaise TETRARC, toujours rue Lanoue Bras de Fer, accueille Air de
Devant le même bâtiment,
La
Une petite pause crêpes salées ou sucrées de CRÊPETOWN, à condition que ce soit après midi, dans la halle Halstom : je n’ai pas assisté aux spectacles programmés le soir par Didier Poiraud et Hervé Guilloteau, et je vous reparlerai de la création de graphes…
Au bout de la rue de la Noue, les différents bâtiments de
Poursuivre par l’ascenseur ou par la rampe extérieure pour gagner le toit et son jeu
D’en haut, on voit aussi très bien au bout du dernier bâtiment ce gros truc bleu sur le parvis qui est un bar… L’Absence a été créée par l’
A côté se trouve l’un des espaces de pique-nique des 1000 plateaux (à revoir dans mon premier
Dans le dernier bâtiment de l’école, la galerie Loire tout en verre le long du quai, le
Allez, c’est reparti pour le VAN /
Sur la grande esplanade, devant les
Toujours sur l’esplanade, un étrange arbre à basket a été créé par l’
La voici d’ailleurs un peu plus loin. La Station Prouvé accueille les visiteurs, distribue les horaires, les programmes, les port-folios gratuits, vend des billets, etc. Cette station est une réplique de la station créée par l’architecte Jean Prouvé (1901-1984) pour le groupe Total à la fin des années 1960, elle pouvait facilement se monter et se démonter en fonction des besoins et de l’évolution du trafic routier (un peu comme le refuge de montagne de Charlotte Perriand, à revoir dans
On traverse le grand hangar des machines et l’on trouve au bout
… avec ce bus (l’ancien bus de Musique Assistée par Ordinateur ou MAO de Trempolino) inséré dans la façade au-dessus du blockhaus… Une belle réalisation de Michel Bertreux, de l’Agence Tetrarc Architectes. Sur l’un des murs se trouve aussi l’un des grands graphes artistiques que je vous montrerai de plus près (voir l’
Et justement, en dehors des concerts auxquels je n’ai pas assisté, je suis allée voir dimanche dans la salle Maxi avec
Derrière le bâtiment se trouve l’un des jardins potagers… avec un curieux « composteur à films »…des pellicules mises au milieu des déchets de végétaux… Bon, il y a bien de la cellulose dans les vieilles pellicules, mais le reste n’est-il pas toxique?
On poursuit en allant tout au bout de l’île…
Son « petit frère » se trouve à l’entrée de l’exposition qui lui est consacrée dans la galerie du Hangar à bananes (HAB Galerie), où ont pris place plusieurs installations ainsi qu’un grand mur de vidéos qui montrent différentes performances au fil des années… Cet artiste aime bien les parapluies, les fumigènes, les fusées d’artifice, mais chut, je ne vous en dis pas plus, à découvrir sur place ou sur le site de
Sur le quai se trouvent toujours les Anneaux de
Bon, avec le mauvais temps, je ne suis pas retournée les voir le soir, mais je vous ai mis un de mes photographies prises en 2007.
Je ne l’ai donc pas non plus vu éclairé de nuit ni depuis le square, la flemme de monter sur la butte avec la bise glaciale… Ces artistes ont aussi peint l’une des chambres du château du Pé (aperçu au
On revient vers le centre de l’île en faisant une petite pause au Hangar 32, où
On poursuit vers la grue jaune et on trouve un bâtiment, La cale 2, où des créateurs textiles (les petites mains, l’association d’insertion des femmes en fil) présentent leurs créations dans leur boutique ou lors de défilés de mode (je n’en ai pas vu), également à voir une exposition de photographies de
Mireille et Jean-Paul vous accueilleront avec joie dans le prieuré qu’ils restaurent depuis des années (peut-être pas avec les gourmandises comme lors de la rencontre de brodeuses samedi dernier, 28 juillet 2012). Les deux séries de bannières brodées, soit 26 (le double de celles que j’ai vues à
Gigny-sur-Suran, ancienne école
Samedi et dimanche dernier, Chantal Page, de l’association des
Saint-Laurent-en-Grandvaux, ferme Louise Mignot
Bannières brodées pour Gigny, Baume, Cluny
Allez, c’est reparti pour le VAN /
Impossible en revanche de rater la voiture qui a fait le grand plongeon dans le lac… Il s’agit de Midnightswim, de Maxime Lamarche, de l’école supérieure des beaux-arts de Lyon…
A l’autre bout du jardin, un truc en plastique blanc se heurte dans l’arbre auquel il est accroché, il y avait pas mal de vent… Il s’agit d’un pétale de rose, intitulé Mille-points, de Anne Lopez, de l’école supérieure des beaux-arts de Paris.
Johnny Gaitée, de l’école supérieure des Beaux-Arts de Nantes, a créé Incident dans la prairie, qui d’après le
La signature du sculpteur Georges Gardet (Paris, 1863 – Paris, 1939) est bien visible. Je ne sais pas de quand exactement date la sculpture : un vieil article paru dans le n°
Voici le dos du monument, tel qu’il apparaît aujourd’hui, avec le départ des membres du cerf et de la biche, ainsi que la végétation au sol.
Au dos se trouve aussi la signature du fondeur, « J. Malesset fondeur d’art Paris ».
Je ne sais pas ce que sont devenus les autres éléments, le cerf et la biche… Ils seront peut-être restaurés à l’issue du voyage à Nantes? En voici une autre vue sur une carte postale ancienne…
PS : je suis retournée à Nantes fin octobre 2012, voici quatre vues du groupe sculpté sans l’œuvre d’art contemporain… J’ai aussi pu voir 
Il en a aussi implanté une autre sur le lac, allez, on entre, on se faufile dans le labyrinthe qui flotte sur l’eau… Retrouvez d’autres photographies chez
Deux îlots fleuris, avec un toit végétal pour celui de gauche (quand on regarde depuis le haut du jardin), permettent de pique-niquer…déserts le samedi (en haut) mais quelques courageux le dimanche (en bas), il ne pleuvait plus, mais il ne faisait pas vraiment beau non plus… Avec toutes les feuilles sur les bordures, on se croirait en automne… mais nous étions bien les 7 et 8 juillet 2012…
Voici de plus près ces deux îlots…
L’art des jardiniers… Jouer avec les couleurs des feuillages et des fleurs sur ces buttes…
Pas de doute, l’herbe est bien verte cette année, et seuls les canards semblent être à la fête…
Samedi après-midi, le jardin est désert, il n’arrête pas de pleuvoir, dommage pour le travail des jardiniers…
Dommage de ne pas pouvoir profiter du bar, boire un thé en admirant les parterres fleuris qui ont triste mine sous la pluie…
Un banc, créé par je ne sais qui, je n’ai pas vu de cartel…
Et comme tout jardin des plantes qui se respecte, il y a des grottes, un lac, des fontaines… et cette année, vous apercevez l’étiquette blanche, des oeuvres d’art contemporain…
… ce qui ne semble pas perturber les tortues ni les canards et leurs poussins…
C’est en me retournant depuis le mémorial de l’esclavage (dont je vous reparlerai) que je l’ai vue, émergeant, immanquable, au-dessus du quai!
Trois personnes à la fois maximum dans la structure, mais il y avait une toute petite queue, voici donc ce que ça donne depuis le haut…
Dans le quartier Bouffay se trouvent deux autres installations. La première, le Voronoï, rue de la Tremperie, se trouve dans une rue déserte le matin de bonne heure (surtout le dimanche
La troisième installation, Bolduq, a pris place entre des arbres rue de l’Emery. Elle se présente comme un nid de rubans entremêlés, qui se balance au vent et reflète la lumière quand un rayon de soleil arrive à percer.
Mais si vous voulez grimper, il y a aussi le Mont Royal(e), créé par
Et voici mes photos à l’intérieur…
Après un
Après un rapide déjeuner, me voici en route pour le toit de la terrasse panoramique de l’écluse fortifiée, où j’avais déjà vu en 2007 la Suite de triangles de
Retour en 2012… Ces triangles peints sur les toits et sur les bâtiments plus lointain fonctionnent comme des anamorphoses, l’artiste a prévu des points de vue (les dispositifs de visée noirs sur les rambardes) à partir desquels les triangles s’alignent selon ce qu’il a prévu, mais toutes les vues sont intéressantes…
En voici deux, mais à chacun de faire la sienne…
Depuis ce toit, on voit aussi très bien la base sous-marine et les trembles qui en émergent… Allez, hop, on fait le tour du bassin et on grimpe sur l’autre toit (il y a maintenant un ascenseur…).
De là haut, on a une autre vue sur les triangles, et on peut aussi jeter un coup d’œil à cette hémisphère qui abritait un radar de l’OTAN…
Reprenons le circuit sur le toit… Une exposition sur l’histoire de Saint-Nazaire, sa base sous-marine et les chantiers… puis un peu plus loin, une exposition de photographies de
Revenons sur notre toit… En 2009,
Au centre, une sorte de petit canal peu profond avec des prêles… Et tout au bout (photo du bas), le jardin des étiquettes est un Jardin du Tiers-Paysage (l’un de ses concepts à découvrir dans ses écrits). Il a juste mis un substrat vierge et il vient, tous les six mois, étiqueter les plantes qui y poussent à partir des graines apportées par les plumes des oiseaux, le vent ou les semelles des visiteurs…
Allez, il est temps de redescendre avant d’être trempée par la prochaine averse… Je m’engouffre dans la base sous-marine pour y découvrir une œuvre encore plus sombre qu’en 2007: pas de jeu de lumières cette fois-ci, juste une immersion dans le noir d’une grande salle, juste rompu par les lampes des issues de secours…
Direction le