Oups, mon article est paru à l’état de brouillon non rédigé ce matin… j’avais préparé les photographies mais pas le texte pour cet article. Il part du relai dans la presse locale (papier et France 3) du non-renouvellement début janvier des cartes d’accès à la zone piétonne pour le cabinet d’infirmiers du centre-ville, en attente de la remise à plat du système et de l’anarchie qui règne dans les rues piétonnes. Mais cela n’est pas neuf et mon mot-clef incivilité est bien rempli… ainsi que les articles sur le sujet… stationnement anarchique, ou encore là (avec un bilan sur plusieurs autres points), des voitures à la place des piétons, mégots, chewing-gums et autres incivilités, ras-le-bol, exemples à Poitiers et Niort (été 2013). La fontaine-lave-voitures (première photographie de cet article) reste une valeur sûre!
Soyons honnête, les PV à 135 € ont à peu près résolu le point noir de la rue du Petit-Bonneveau (ici un dimanche de 2014).
Le 30 août 2015, il y avait encore des voitures à cet endroit, mais ces dernières semaines, le problème semble vraiment être juste un mauvais souvenir…
Au fil des mois, j’ai cependant continué à prendre des photographies, même si je ne les ai pas mises en ligne. Ici, le 6 septembre 2015 devant la préfecture… C’était un dimanche matin et les voitures sont probablement celles de personnes qui allaient assister au culte au temple protestant rue des Écossais voisine, charité chrétienne : protestants et catholiques dans le même sac, faites ce que je dis, pas ce que je fais!
En revanche, le problème ne se limite pas aux rues piétonnes. Avant de pénaliser les infirmiers, il faudrait s’interroger sur quelques livreurs, toujours les m^mes souvent, qui mettent les autres usagers de la route en danger. Un exemple, ce chauffeur de la société Warning, que je n’arrête pas de croiser dans des circonstances dangereuses. Un exemple ici le 4 janvier 2017, à 13h30, garé carrément devant l’arrêt de bus Pont Achard, alors qu’il y avait une place libre 10 m devant sur une vraie place devant le n° 45 et 3 m derrière l’abribus, certes sur le trottoir mais sans gêner personne. Je lui ai fait la remarque, il m’a vertement rembarrée, disant que je n’avais qu’à faire le tout de l’abribus, et que le bus avait la place pour le contourner… Quand celui-ci est arrivé (matricule 252), il a commencé à déboîter, une voiture qui venait derrière a failli rentrer dans le bus, qui a fait un freinage d’urgence… guère apprécié par mon cerveau quand il a bougé un peu trop vite dans mon crâne! Le même chauffeur est un vrai danger public, il slalome en permanence dans les rues piétonnes, entre les autres livreurs et les piétons sans faire attention à personne, se gare en permanence sur les trottoirs, etc.
Au rayon des manœuvres dangereuses près de chez moi, toujours boulevard Pont-Achard, il y a aussi les scooters de ce fast-food asiatique, garés sur le trottoir, laissant en général le passage, mais lorsqu’ils arrivent pour se stationner, point de salut pour le piéton qui circule sur le trottoir en se croyant en sécurité! (Ici le 15 janvier 2017).
Autre exemple, sur le boulevard Solférino, depuis des mois, deux voitures se garent perpendiculairement au boulevard, occupant tout le trottoir. Le piéton est obligé (s’il est valide…) de s’engager sur la chaussée, avec les voitures qui descendent très vite (oui, souvenez-vous, c’est juste en contrebas de notre « couloir d’avalanches »), ici le 18 décembre 2016 de nuit…
ou le 15 janvier 2017 sous la pluie qui n’arrange rien si une voiture doit freiner pour laisser passer un piéton. Je ne leur ai jamais un seul procès-verbal sur le pare-brise!!!
L’autre question que je souhaiterais aborder, ce sont les autorisations de terrasses par la ville, depuis plusieurs années et en particulier Poitiers cœur d’agglomération, cœur de pagaille…, et la fin des travaux en 2001/2012 selon les secteurs, cela peut rester une belle pagaille. Ici une photographie prise le 7 mai 2016 rue Carnot : d’un côté, une invasion de voitures garées en toute impunité sur le trottoir, de l’autre, des terrasses installées sans coordination, qui ne laissent pas toujours le passage de 1,20 / 1,40 m prévues pour permettre la circulation en toute aisance aux personnes à mobilité réduite mais aussi les poussettes et autres,…

Ici, il faut vraiment slalomer, entre le mobilier urbain, la forêt de piquets, de bornes, et les terrasses qui laissent la place tantôt vers la rue, tantôt vers les façades…
C’est la même chose juste à côté, rue Saint-Nicolas.
C’est pire rue Magenta (à côté du monument aux morts de 1870-1871,et du square de la République complètement raté. Un restaurant a durablement annexé le trottoir!

Sur les trottoirs qui bordent la place du Général-de-Gaulle, au chevet de l’église Notre-Dame-la-Grande, point de salut non plus pour le piéton, et en plus, le trottoir est haut, il y a pas mal de voitures et beaucoup de bus qui circulent sur la chaussée (ici le 12 juin 2015, mais avec le soleil, c’était à peu près la même chose ces derniers jours).
ce n’est guère mieux du côté , dans le prolongement de la grand’rue. Toujours le 15 juin 2015, mais c’était pareil cet été 2016… Le congélateur de la boulangerie empêche tout accès au petit passage laissé le long de la façade par le restaurant, avec en plus un gros dévers devant la porte!
Et que dire du manège qui privatise complètement l’arrière de l’église depuis deux ans pendant presque deux mois pour les fêtes de fin d’année (ici le décembre 2016 à 8h30). Il pose des barrières, le piéton qui vient de l’arrêt de bus très fréquenté à l’opposé de la place est coincé entre ces barrières et la terrasse du bistrot qui reste en place l’hiver. Là encore, un très haut trottoir empêche toute personne qui a un peu de difficulté de circuler, et ce blocage complique la vie de tous!
La question ne se pose pas qu’en été!!! Voici une photographie prise rue du Marché le 19 janvier 2017 (la colonne au premier plan de l’image est celle de l’ancienne chambre de commerce, avec des sculptures de Raymond Émile Couvègnes (1935) et des peintures de Henri-Pierre Lejeune). Les bacs, les tables et les chaises obstruent complètement le trottoir!!!
La réflexion en cours par la ville sur les cartes d’accès aux rues piétonnes ne pourrait-elle pas être élargie à la libre circulation du piéton sur les trottoirs et aux terrasses avant la sortie des « terrasses d’été » (dès le 1er avril?)???

Si donc vous allez dans la majorité des autres services, vous pensez que pour la « Tour Jean Bernard », d’un côté ou de l’autre de la haie, cela ne fait pas une grande différence. Alors que le changement est programmé depuis des mois, les travaux ont été réalisé dans l’urgence fin août. Il y a une rampe d’accès, un quai (mais le bus que j’ai pris ne s’est pas positionné comme il convient donc descente sur la chaussée et remontée sur le quai), pas d’abribus dans le sens vers Mignaloux-Beauvoir (il n’y en avait pas non plus avant, mais il était possible de s’abriter en face sans risquer sa vie). Sur cette première vue, vous voyez déjà le trafic sur la Nationale 147, limitée en principe ici à 50km/h, mais en réalité les voitures y passent à 80 / 90 km/h (c’est d’ailleurs un point qui pourrait faire l’objet de plus de contrôles radar).
Maintenant, vous voulez rentrer en ville, il va falloir traverser! Il y a une bande podotactile pour les aveugles et malvoyants, mais il va falloir courir, que vous ayez une canne blanche, un fauteuil roulant (ben quoi, miracle, vous sortez du CHU donc vous êtes guéri) ou juste pas le temps de traverser entre les voitures. Parce que celles-ci ne vont sûrement pas s’arrêter, le passage protégé n’est pas (encore) tracé [voir plus bas pourquoi je mets « encore »], et le refuge central est de la largeur de deux bordures en ciment, et ne peut donc pas faire office de refuge! Ce dispositif est obligatoire dans le cadre de l’accessibilité des personnes en situation de handicap, et ici indispensable pour tous car avec la circulation dense dans les deux sens, il est impossible de traverser les deux voies sans s’arrêter au milieu.
La précipitation du changement de l’arrêt (annoncée déjà lors de la foire-exposition en mai dernier) n’a pas permis d’installer l’abribus mais rassurez-vous, la structure a été prévue dans le sens CHU vers le centre-ville [voir plus bas, PS 3]. Je propose d’inviter la chargée des transports à l’agglomération de Poitiers à traverser à l’arrêt de bus Tour Jean Bernard toutes les 5 minutes pendant 1 heure en semaine (dès ce vendredi, en plus, la pluie est annoncée, l’expérience sera plus intéressante), si elle survit, alors peut-être que la traversée n’est pas si dangereuse, si elle est juste blessée, le CHU n’est pas loin 😉 Il est urgent de tracer le passage protégé, de le signaler sur la nationale (les travaux relèvent de l’agglomération de Poitiers et non de l’État) avec au minimum une zone 30 et des contrôles de vitesse, et si possible un feu tricolore pour permettre la traversée des piétons! Comment voulez-vous limiter les voitures sur les parkings du CHU, avec un trajet en bus aussi périlleux, le bus est plus que dissuasif.
Voici pourquoi j’ai aussi des réserves sur le traçage du passage protégé… Nous sommes ici à l’arrêt Marie-Curie, devant l’une des cités universitaires. Un quai a été aménagé depuis des mois, je ne sais plus, en mars ou avril. J’ai pris cette photographie le 17 juillet mais j’y suis repassée il y a peu, et il n’était toujours pas tracé! Il faut le déplacer de quelques mètres, mais cela fait la différence, les automobilistes, qui ne respectent pas les limitations de vitesses, ne s’arrêtent pas si vous attendez à côté du passage tracé… A certaines heures, cette rue est déserte, mais ce n’est pas le cas aux heures d’entrée du collège voisin.
PS 1: je suis allée vérifier le 11 septembre, toujours pas de passage protégé tracé au nouvel emplacement de l’arrêt Marie Curie, je déposerai une autre réclamation lundi 14… Désolée pour la qualité de la photographie, prise en passant devant depuis le bus (je m’arrêtais un peu plus loin).
PS 3: je suis repassée au CHU le 18 septembre. Vers 13h, une entreprise était en train de déposer l’abribus, ce qui est plutôt une bonne nouvelle. Cependant, le chantier était aménagé n’importe comment. Le camion-grue était stationné devant le quai des voyageurs (à droite, on l’aperçoit à peine sur la photo), des feux géraient une circulation alternée sur la nationale, sur la voie allant vers Limoges. Mais ils n’avaient prévu aucun passage sécurisé pour les piétons (quelques cônes auraient été les bienvenus) et l’arrêt provisoire était mis en amont, ce qui obligeait à longer le chantier en étant frôlé par les voitures puis à circuler dans l’herbe détrempée. Je n’ai pas réussi à traverser. Comme il y avait un stand devant le CHU pour la journée de la mobilité, je suis allée chercher de l’aide… La dame de Vitalis ne voulait rien savoir (et maintenait que le changement d’arrêt était à la demande de Vitalis, quelqu’un d’autre disant que c’était un changement concerté…). Finalement, le responsable de l’accessibilité du CHU m’a accompagnée, a interrompu le flux de voiture pour traverser et les ouvriers pour rejoindre l’arrêt provisoire via le quai. Il a pu constater la façon dont le chantier était mis en place. J’ai fait une nouvelle réclamation écrite à Vitalis (même si je n’ai pas de réponse aux demandes précédentes)… A suivre! J’ai rendez-vous le 1er octobre au centre anti-douleur, le passage protégé sera peut-être tracé?
PS 5 : Communiqué de l’association Touche pas à mon bus (20 septembre 2015)
PS 6: 25 septembre 2015. L’abribus dans le sens Limoges-Poitiers est en place, à quelques détails près (il manque les horaires, toujours sur un panneau provisoire). Il n’y en aura pas dans l’autre sens. Le passage protégé est enfin tracé, même s’il n’est toujours pas signalé correctement sur la Nationale, bien sûr il n’y a ni zone 30, ni réel refuge central ni feu tricolore pour permettre une traversée en toute sécurité des piétons. Le bus 11 avec lequel je suis arrivée au CHU s’est arrêté à 30 ou 40 cm du quai, ce qui ne permet pas de descendre facilement du bus! Rappelons que ces quais sont prévus pour un espace maximal de 5 cm entre le bus et le quai, il y a des bandes d’alerte podotactiles pour prévenir de l’approche dans le sens quai/bus, mais pas de contraste en bord de trottoir puisqu’il ne doit pas y avoir de repère à prendre. A 30 cm, avec mon champ de vision restreint, je ne vois ni la marche de la descente du bus ni le rebord du trottoir! Un petit effort, messieurs les chauffeurs, pour vous mettre correctement à quai pour tous, pas seulement quand vous avez repéré un handicap! Et encore plus à l’arrêt du CHU!
Comme partout en France, il faisait très beau en ce début de semaine à Poitiers. Mardi, il y avait beaucoup de monde dans les rues, dans les parcs et jardins de la ville. Mais si quelqu’un voulait se poser dans le square de la République, ce n’était pas possible, il avait été privatisé par une marque de voiture, pas question d’atteindre les bancs ou les gradins, une marque de voiture avait privatisé l’espace et y donnait une sauterie pour quelques clients. Petite question: la ville a-t-elle bien facturé cet usage qui me semble pour le moins troublant???
Quand il s’y tient le marché bio le vendredi après-midi, déplacé de son ancien emplacement, les espaces de repos restent accessibles, là, impossible de s’approcher.
Petit rappel, la ville a détruit il y a quelque temps l’ancien square, et y avait affiché un arrêté municipal qui interdit le square aux… chiens (article 1: « interdiction de circulation des chiens ») pour « empêcher les anciennes pratiques » (commentaires à relire dans cet article de 
revoir le
Il a ensuite perdu
… puis 
de
Il a reçu une
Voir enfin le
PS : Récidive le 10 septembre 2015, privatisation par une autre marque de voiture, sono hurlante, allez donc faire respecter le calme en ville aux étudiants après ça!
Après l’article sur la
Pour celui qui arrive par la rue Victor-Hugo, pas de problème, le premier sens interdit était bien visible, le second moins mais ne lui est pas destiné.
Si donc il a raté ces avertissements, arrivé au bout de la rue Victor-Hugo (photo de droite), il a un tout nouveau interdit de tourner à droite. Le sens interdit (la flèche) reste peu visible, il pourrait aussi être un peu tourné.
En tout cas, ce dimanche (10 août 2014), vers 10h30, trois voitures en quelques minutes se sont engouffrées en connaissance de cause rue Victor-Hugo sans avoir les autorisations requises: le premier au fond, en train de faire demi-tour, m’a demandé sa route. Je lui ai demandé pourquoi il s’était engagé en sens interdit, il pensait qu’il pourrait passer quand même (« sauf ayant-droits »), qu’il n’y aurait pas la police un dimanche… Oui, pas la police, mais des bornes. En tout cas, il n’a pas pris le sens interdit, ni les suivants. Et je l’ai accompagné en voiture dans le bon sens jusqu’au parking Carnot / hôtel de ville, pour 50 centimes, il est garé correctement pour rejoindre la banque sur la place… traversée un peu plus tôt en travers par un anglais avec une voiture et une remorque!!! Il sortait de l’hôtel voisin, ils auraient pu lui indiquer le chemin à suivre sans traverser la place piétonne, mais l’hôtelier ne parlait sans doute pas anglais…
En tout cas, il devrait y en avoir moins à la sortie en sens interdit de la rue Charles-Gide, entre les bornes de la rue Carnot et de la rue Saint-Nicolas.
Les services de Grand-Poitiers ont aussi repositionné les collecteurs d’eau de pluie de la place d’Armes (revoir
Il y a aussi eu une nouvelle campagne de remplacement des pavés qui explosent (revoir
Et oui, le
Juste à côté, sur l’immeuble de Centre-Presse justement (ils ont déménagé, je ne sais pas s’ils ont mis en vente ou en location leurs locaux, inoccupés pour l’instant), l’accrochage des câbles électriques pourrait être plus discret.
Côté câbles, déplaçons-nous de quelques dizaines de mètres. Sur le côté à l’arrière de l’hôtel de ville, voilà l’
Si on retourne au rayon « travaux », passons un peu plus loin, boulevard Pont-Achard, je ne sais pas ce qui peut être fait.
A chaque fois, il faut un certain temps pour que les égouts finissent par évacuer cette eau.
Il y a trois semaines, je vous présentais la campagne
Quand le touriste arrive à trouver l’office de tourisme, il en a deux!!! Devant
Pour celui de l’agglomération, il y a parfois du relâchement et leur publicité empêche de passer sur la bande de roulement qui permet de circuler en fauteuil roulant, avec une charriot de marché, une poussette ou des talons hauts (à côté, les pavés sont irréguliers et inconfortables, inaccessibles en fauteuil roulant). En tout cas, ce n’est pas mieux que les voitures que vous pouvez voir à la fin de cet article de 2011 (
La vitrine aussi pose quelques problèmes de lecture… Lettres blanches collées sur la vitre et affiche avec d’autres informations derrière… Qui arrive à lire quelque chose???
– la poste, celle de Notre-Dame est fermée, la centrale a des horaires très restreints…
– la
– les bus, il faut d’ailleurs, suite à une polémique dans le journal, que j’envoie vite une lettre à
Côté privé, ce n’est guère mieux… Comme chaque année, surtout entre le 1er et le 15 août, il est difficile de trouver une boulangerie ouverte « sur le plateau » (celle, toute petite et familiale, de la rue de la Cathédrale, pour information, ne fermera pas cet été). Les commerçants aussi devraient faire attention. Quelques exemples ces dernières semaines. Huit à 8, rue Magenta, un touriste étranger avec une carte visa sans puce devant moi, en fait, sa carte ne passait pas dans la fente pour lecture avec puce. La patronne: « Pas possible, je ne prends pas les cartes sans code », ça sert à quoi, alors, une carte visa? Et si le commerçant ne les prend pas toutes, il ne devrait pas mettre un avertissement comme pour le refus des chèques (à voir avec la répression des fraudes). Carrefour Market, rue Carnot: « Hep, à la caisse, votre sac » – « il y a mon appareil photo et mes papiers dedans » – « A la caisse, j’ai dit », « Au revoir! Je vais aller ailleurs ». Je vous rassure, il y a plein d’autres endroits où vous serez bien reçus (avec les noms usuels et les noms officiels des places)! Place d’Armes, café du Théâtre, rembarrés en terrasse par un serveur mal-aimable quand, après 15 minutes, nous lui demandons s’il peut prendre la commande, nous avons prévu une séance de cinéma. Pour boire un coup, je vous conseille Côté place (place d’Armes/Leclerc), à accompagner de quelques douceurs maison ou de pain, le café des Arts (place Notre-Dame/de Gaule), le Gambetta (place du Palais/Lepetit), etc.
Heureusement, certains ont décidé d’égayer notre été avec des couleurs…
…comme la maison de retraite
Et même les topographes ont choisi de mettre plein de couleurs! Partout apparaissent des traits à la bombe sur les trottoirs et chaussées, il s’agit de mettre à jour les plans des réseaux de la ville et, dans certains cas, de remplacer les canalisations.
S’ils n’ont pas prévu de les effacer, ils risquent de rester longtemps, comme les « fils » jaune, rouge et bleu qui il y a des années envoyaient les touristes visiter le patrimoine de la ville, une couleur par circuit, fils repeints avant chaque été, un système simple et efficace à défaut d’être très esthétique, et qui permet toujours, quand quelqu’un demande son chemin, de lui dire de suivre le trait dans tel sens… impossible de se perdre (enfin, pas repeint, il est en pointillé maintenant, et complètement effacé dans la zone touchée par
Après le problème de la
Depuis son
Malgré la vigilance des chauffeurs de bus, il risque d’y avoir une collision, et en tout cas, cela vaut force coups de klaxon!
Dans les premières semaines, un panneau indiquait ce nouveau signal et sa fonction…
… mais il a disparu depuis.
Un couloir d’avalanches à Poitiers?
Même s’il y a eu cette année une piste de luge à noël 2013…
… ou d’autres années des difficultés avec la neige…
Il n’est pas sûr que ce signal soit clair!
Toutes les villes qui ont des tramways ont des problèmes avec ces signaux de stop avec deux feux rouges superposés clignotants. L’agglomération de Toulouse a
Les feux clignotants sont associés aux feux oranges clignotants, qui signifient « avancer prudemment », que l’on connaît ici par exemple sur les bornes d’accès réglementées, quand la borne est baissée.
Sinon, quand le signal est rouge, les voitures s’arrêtent plutôt à cause de la borne levée, quand elles ne décident pas de les contourner comme ici
Des feux rouges clignotants ne sont pas utilisés pour les sorties pompier, devant chez moi, ils déclenchent en cas de sortie un feu tricolore classique, vert, orange, rouge. En revanche, j’en ai trouvé un juste à côté de la zone concernée, avec un panonceau d’avertissement « sortie de véhicules ». Je ne l’ai jamais vu fonctionner, il doit servir (ou pas?) lors de livraison de fonds à la banque de France.
Que faire alors? La ville pourrait mettre un panneau d’avertissement un peu en amont, par exemple à la place du panneau publicitaire Decaux. Je n’ai pas trouvé de panneau attention bus, j’ai donc mis un « avertissement tramway »…
… retour au trolleybus qui passaient par là au début du 20e siècle (le monument aux coloniaux a été détruit dans le
Dans le sens descente…
… comme dans le sens montée, (et à l’autre extrémité du viaduc),
Il faudrait également « pré-avertir » ceux qui sortent du parking du TAP, boulevard de Verdun, ils ont déjà du mal à s’arrêter au rond-point à l’intersection du boulevard, alors quand ils déboulent juste ensuite au feu du viaduc, ils ne le voient pas ou ne le comprennent pas…
PS: sinon, tant qu’on est dans ce secteur, j’ai aussi une demande de piéton qui a des problèmes visuels, comme la quasi totalité des personnes âgées et pas mal d’autres personnes même de mon âge…
Quand on descend ce boulevard à pied, dans le sens de la flèche verte, on a de fortes chances de se trouver dans l’axe des dénivelés pour les mini-rampes pour les personnes à mobilité réduite (pour la traversée vers l’îlot central). Je sais bien que les architectes et urbanistes détestent les bandes de contraste, mais elles sont indispensables pour que nous, nous ne tombions pas! Quand on trébuche, même sur 5cm, on peut tomber. Alors, un petit effort que l’on puisse deviner ces ruptures de niveaux???
Et si possible pas avec du goudron qui ne tient pas dans les rainures comme place d’Armes, on ne les vois pas mieux que quand il n’y en avait pas! Je l’avais signalé (voir toujours des
Désolée pour les lecteurs de mon blog, mais je vais encore vous parler d’un problème strictement poitevin, débattu entre amis ces derniers jours. Pour vous situer, j’ai pris une carte
Donc, régulièrement, plusieurs fois par jour selon les riverains immédiats (dont les commerces), des voitures de touristes « et même des Poitevins », selon
D’où viennent ces voitures? Première option (cercle vert n° 2), de la rue Victor-Hugo en tournant le dos à la préfecture. Dans ce cas, il arrive par la flèche noire, se heurte à un panneau sens interdit, « sauf ayants droit » (sic), mais une autorisation pour l’hôtel, les autres doivent tourner à droite dans la
Première option, bis, toujours dans le cercle vert n° 2 du plan. Il vient du début de la rue Théophraste-Renaudot, depuis la rue de la Marne, où il s’est peut-être heurté à un autre accès réglementé. Il a continué dans une rue à la chaussée très dégradée.
S’il marque une balise et non un stop, il n’est pas sûr qu’il voit ce panneau sans interdit, pas bien dans son axe de vision, mais bon, il y a bien un sens interdit et j’en ai vu faire marche arrière une fois bien engagés. [Au passage, je l’avais déjà signalé au moment des travaux, mais une élue m’a répondu sèchement qu’il n’y avait aucun problème, les « bateaux » pour le passage des fauteuils roulants ou des poussettes sont orientés uniquement dans le sens de la rue Victor-Hugo, pas pour traverse cette rue! En fauteuil, pas le droit de vouloir aller d’une portion de la rue Renaudot à l’autre! Un des nombreux points où l’
Un petit panneau interdit de tourner à gauche dans la rue Renaudot améliorerait la situation…
Si malgré les interdictions il s’est engagé, que se passe-t-il face aux bornes (cercle 3 du plan)? Quand il se heurte aux bornes…
… rien ne lui dit qu’il n’a pas le droit de prendre la rue Charles-Gide!!!
Pas de panneau sens interdit ni interdiction de tourner à droite… Ah si, en fait, il y en a un, mais trop haut, mal tourné et donc invisible sauf pour les piétons!
Nous proposons un panneau sens interdit non pas là où il est (flèche rouge) mais plutôt d’un côté ou de l’autre de la rue…
… et une interdiction de tourner à droite un peu en amont…
Dernier cas (cercle 4 du plan), la voiture sort du parking. Là, il a un panneau interdit de tourner à droite, un panneau zone 30 et un stop.
En revanche, s’il veut quand même s’engager (ou pour celui qui s’est engagé depuis le bout de la rue, cas précédent), il n’y a pas de panneau de sens interdit, on peut suggérer les emplacements ici!
Après cet article, j’ai aussi envoyé des photographies au service Pictavie, qui permet à chacun de signaler (par téléphone ou messagerie) des problèmes, je l’utilise assez souvent pour des trous ou des obstacles dans la chaussée, lampadaires grillés en donnant le numéro, etc. Ils m’ont rappelée et mise en relation avec le responsable de la voirie. Nous avons discuté en même temps d’autres problèmes, et il a vite résolu celui de la rue Charles-Gide, et d’autres (voir cet article), il réfléchit aussi à la question du
En tout cas, ce dimanche (10 août 2014), vers 10h30, trois voitures en quelques minutes se sont engouffrées en connaissance de cause rue Victor-Hugo sans avoir les autorisations requises: le premier au fond, en train de faire demi-tour, m’a demandé sa route. Je lui ai demandé pourquoi il s’était engagé en sens interdit, il pensait qu’il pourrait passer quand même (« sauf ayant-droits »), qu’il n’y aurait pas la police un dimanche… Oui, pas la police, mais des bornes. EN tout cas, il n’a pas pris le sens interdit, ni les suivants. Et je l’ai accompagné en voiture dans le bon sens jusqu’au parking Carnot / hôtel de ville, pour 50 centimes, il est garé correctement pour rejoindre la banque sur la place… traversée un peu plus tôt en travers par un anglais avec une voiture et une remorque!!! Il sortait de l’hôtel voisin, ils auraient pu lui indiquer le chemin à suivre sans traverser la place piétonne, mais l’hôtelier ne parlait sans doute pas anglais…
Après des mois de travaux (voir
Les larges trottoirs, c’est idéal pour étendre les terrasses, sans toujours respecter les 1,40m pour laisser circuler les piétons, les personnes en fauteuil roulant ou avec des poussettes d’enfant. Ou quand elles le respectent « presque », comme ici (1,20m), comment on fait au bout de la terrasse avec le mobilier urbain? Sans parler qu’il faut slalomer d’un restaurant à l’autre, les espaces de circulations étant tantôt d’un côté, tantôt de l’autre. C’est un peu moins criant cette année, avec les faillites, il y a moins de terrasses. Chacun sait que c’est un vrai jeu de changer de direction en fauteuil roulant ;-(
Ce restaurant a de toute façon une interprétation bizarre de la réglementation. Vous voyez cette entrée? Derrière, avec un plafond, trois murs et en façade un mur sur plus des quatre cinquièmes de la longueur, et oui, la porte sans porte derrière la flèche, c’est ce qui fait de cet espace une « terrasse ouverte » aux fumeurs. Les non-fumeurs n’ont plus qu’à traverser en apnée pour atteindre la salle de restauration. Ce restaurant a rouvert depuis plus d’un an et visiblement, personne n’a rien trouvé à y redire, pour ma part, je n’y suis allée qu’une fois, avec une amie, et ne suis pas prête à retourner.
Côté stationnement, c’est un problème plus que récurrent revoir le
Et ce n’est pas mieux dans les parkings officiels, ici au dernier niveau du parking Toumaï, recherché parce qu’il débouche directement pour les piétons sur le nouveau
La question des bandes podotactiles d’alerte (en haut des escaliers de plus de plus de trois marches), des mains-courantes, des garde-corps pourrait à nouveau (suivre les liens précédents…) être posée pour le square de la République (avec le
Et pourtant, il est possible de bien faire les choses, je vous ai déjà montré
J’ai été aussi agréablement surprise, en mars 2014, lors de la découverte des nouveaux halls de la foire exposition et des cheminements extérieurs. Quand on le veut vraiment, on peut faire les choses bien! Les normes ne sont pas là pour em…er les collectivités et les entrepreneurs, comme on me l’a dit encore il y a quelques jours, mais pour permettre à tous de bien vivre ensemble dans l’espace urbain!
Dans les établissements récents, comme la
Du nouveau mobilier est aussi apparu, sans contraste! Je me suis prise les pieds dans ce présentoir, et j’ai aussi vu une vieille dame faire de même. Couleur bois sur bois, quand on a des problèmes de vision périphérique, c’est invisible!
La loi a donné à nouveau des délais pour la mise aux normes d’accessibilité, parions qu’elle ne sera à nouveau pas appliquée à l’issue de ces délais… La cour du musée de Poitiers, avec ses marches et ses pavés, donne un aperçu du trajet à parcourir… c’est encore pire à l’intérieur du musée!
Quant aux Salons de Blossac, où se tiennent régulièrement des manifestations (concerts, salons…), c’est un cauchemar de marches, Maryse a dû renoncer à y amener sa mère, en fauteuil roulant, pour le salon Frou-frou… Il y a encore plein de marches derrière la porte vitrée!
Je n’avais pas pu aller à l’inauguration de l’exposition en octobre dernier au
J’ai aussi mal compris l’intérêt de la reconstitution du premier cabinet de Chevalier à Amsterdam. Elle est censée permettre au visiteur de se rendre compte du volume, avec des dessins reconstituant les objets et les livres sur les parois, à savoir le mur au fond et des parois très hautes (1,20 ou 1,30 m) côté visiteur. J’ai essayé de vous faire un schéma de mémoire: en noir (et hachures) les murs, le rectangle noir est un pilier (séparé de moins de 20 cm de l’estrade), en bleu les parois très hautes, en orange l’estrade
En attendant de nouveaux travaux de mise aux normes (dommage que cela n’ait pas été bien conçu du premier coup, pas de report -inadmissible- sur l’accessibilité en ce qui concerne des travaux neufs), comme promis la semaine dernière, voici un petit retour en arrière sur les mois de travaux pour la réalisation de ce jardin. Tout a commencé par la destruction des maisons… Seule la dernière au fond sera gardée, les trois autres sont démolies et les matériaux récupérés (ici en mai 2011).
Fin juin 2011, la « déconstruction » est terminée, le terrain nivelé…
… puis les fouilles archéologiques ont commencé. En septembre 2012, grosse foule pour visiter le chantier, les vestiges médiévaux et gallo-romains.
Si vous voulez en savoir plus sur ce chantier,
A côté, l’
Fin août 2013, si le remblaiement est terminé, l’ensemble a un air d’abandon tristounet…
Le bâtiment neuf est quasiment terminé et encore trop blanc…
Noël 2013, « l’obélisque brisé » de Didier Marcel (je n’ai pas trouvé de site personnel, alors je vous ai sélectionné un
En revanche, l’installation des barreaux de prison (la grille « tourne-sol » d’