Homme cherche femme de Simon Rich

livres, critiques citations et bibliothèques en ligne sur Babelio.comCouverture de Homme cherche femme de Simon RichJ’ai reçu ce livre par Babelio, merci à eux et aux éditions du Seuil. Il m’a fallu presque 3 semaines pour en venir à bout, même si ce sont des nouvelles et q’uil est donc facile de s’interrompre, il m’est toujours impossible de lire plus d’un quart d’heure sur de l’écriture normale (plus du double en basse vision).

Le livre : Homme cherche femme et autres histoires d’amour, de Simon Rich, traduit de l’anglais (Etats-Unis) par Thierry Beauchamp, éditions du Seuil, 2014, 218 pages, ISBN 9782021140279.

La présentation de l’éditeur:

Que vous soyez un martien, un homme préhistorique, Zeus ou même un chien il y aura toujours une fille pour vous briser le cœur.

Simon Rich, dans une succession de vignettes construites comme des sketchs, traite de l’amour sous des formes pour le moins inattendues. On y côtoie Sherlock Holmes, qui détecte le moindre indice mais ne voit pas que sa fiancée le trompe, Cupidon en ado flemmard qui ne décoche ses flèches qu’aux gens cool, des martiens qui proposent des parties fines, un homme des cavernes amoureux ou même des chiens qui se parlent par petites annonces. A chaque page, on est surpris et on hurle de rire.

Mon avis: un recueil de 29 nouvelles, de une à une dizaine de pages, regroupées en trois parties, la rencontre, le couple et la rupture. Elles alternent des textes qui se passent dans le présent, dans le futur (en reprenant des classiques de la science fiction, l’homme invisible, les Martiens, etc.) et dans un temps plus ou moins lointain (l’homme préhistorique, Sherlock Holmes) ou mythologique (Zeus, Cupidon, Dieu, etc.). Certaines -rares- sont plutôt drôles, d’autres beaucoup moins, avec des relents carrément sexistes et machistes. J’ai beaucoup aimé celle qui ouvre le livre, Non protégé, l’histoire d’un préservatif de sa naissance en usine au long séjour dans un portefeuille puis à sa relégation dans une boîte à souvenirs… Ça se dégrade ensuite. Dans une des dernières nouvelles, Enfants de la poussière, je ne sais pas pourquoi il attribue à Aristophane ce qui revient à Platon dans Le banquet, enfin, si, je sais, Aristophane apparaît dans le banquet aux côtés de Socrate et beaucoup d’autres, et c’est dans sa bouche que Platon place la partie sur les androgynes. A côté des hommes, des femmes et des androgynes, Simon Rich propose dans la nouvelle des demi-hommes et des demi-femmes. Bref, le genre de livre vite lu (euh, tronçonné pour moi, nouvelle après nouvelle, mais pour des raisons « techniques ») et vite oublié, qui ne laissera pas de souvenir à court terme.

 

Des nouvelles des gravures de mon père…

La gravure pour la carte de voeux 2014 de Lucien DujardinChaque année, mon père, Lucien Dujardin, réalise une gravure pour sa carte de vœux. Voici sa version 2014…

La gravure pour la carte de voeux 2013 de Lucien DujardinEn cherchant mes précédents articles, je m’aperçois que je ne vous ai mas montré sa carte de vœux de 2013. Voici l’oubli réparé… Pour les autres versions, suivre les liens… je n’ai pas tout retrouvé, problème des mots clefs lors du transfert de mon blog… Voir celles de 2011 (avec une autre gravure de la même année), 2010, 2009, le stage pour encadrer celle reçue pour mon anniversaire en 2008.

Flyer de l'exposition Empreintes à Comine, février, mars 2014Il participe également en ce moment à une exposition à la MJC de Comine-Warneton (côté belge). il s’agit d’une exposition collective, Empreintes, du 12 février au mars 2014, vernissage vendredi 21 février (clic sur la vignette pour voir l’affiche en grand chez mon père). Vous pouvez aussi suivre son actualité et en savoir plus sur les techniques qu’il utilise sur son blog. Et vous pourrez agrandir chez lui toutes les images…

 

Saint Michel terrassant le dragon par Marie Baranger à Poitiers

Poitiers, impasse Saint-Michel, entrée sur la Grand-rue et peinture de Marie Baranger au fondJe vous ai montré il y a quelques mois des œuvres de l’artiste catholique engagée Marie Baranger, dans l’église Sainte-Thérèse à Poitiers (chemin de croix, peintures des murs nord et sud du transept, autels secondaires et anges et saint Hilaire) et dans la mairie de Montreuil-Bonnin. Aujourd’hui, je vous emmène à Poitiers à nouveau, dans une ruelle ou plutôt une impasse que peu de Poitevins doivent connaître, l’impasse Saint-Michel. Il faut descendre la grand’rue, faire attention après la rue des Carmes, elle est juste après sur la gauche, si vous arrivez rue des Feuillants, vous l’avez ratée!

La peinture se trouve tout au fond, elle a été peinte en 1986 (c’est l’une des dernières de Marie Baranger, elle avait alors 84 ans), il s’agit de saint Michel terrassant le dragon…

Enfin, le dragon, il faut bien le chercher, il est presque effacé au bout de la lance.

Poitiers, impasse Saint-Michel, saint Michel terrassant le dragon par Marie Baranger,saint Michel sur son chevalL’archange saint Michel est sur un cheval ailé comme lui, il porte dans la main gauche le Livre (la Bible) avec l’alpha et l’omega et tient sa lance dans la main droite. Il est surmonté d’une sorte d’arc-en-ciel.

Poitiers, impasse Saint-Michel, saint Michel terrassant le dragon par Marie Baranger, graffitti avec Alexandre gravéQui est cet imbécile d’Alexandre qui a gravé son nom sur la peinture??? Après le refus de la commission des monuments historiques de la protéger il y a quelques mois, cette fresque est probablement vouée à la destruction à moyen terme.

Photographies d’avril 2013. Dès qu’il fait beau, il faut que je retourne faire des photographies dans l’église de Migné-Auxances (mes précédentes ne sont pas terribles), réalisées 50 ans plus tôt, en 1933, pour poursuivre le partage de l’œuvre de cette artiste.

Une poule brodée rouge (4), la recette des oeufs

Une poule brodée rouge, le texte sur la cuisson des oeufsAprès la poule, les œufs et le texte en haut, j’ai terminé par le texte sur la cuisson des œufs, toujours en brodant doucement la broderie à raison de dix minutes au lever de la sieste (ma vue est meilleure après le repos), avec une grille photocopiée et agrandie (tirée du livre de Martine Rigeade, Péché de gourmandises à broder, sur une toile de lin jaune façon toile à canevas, facile à suivre, avec un fil très contrasté, un fil de soie d’Alger rouge acheté à la brocante et déjà utilisé pour un coussin magique. il me reste à réfléchir à la finition…

Une poule brodée rouge, l'ensemble terminéMerci à Luna, qui réalise un projet de broderie avec 15 points par jour, dont je me suis inspirée pour cette reprise en douceur de la broderie.Format à peu près A4.

Couverture du livre de M. Rigeade, péché de gourmandise à broderDans ce livre, j’ai déjà réalisé:

La défense de la famille… par Emile André Boisseau

La défense de la famille par Boisseau à Paris, dans le square d'AjaccioD’aucuns défendent ces dernières semaines une vision très rétrograde de la famille. J’en ai retrouvé une qui doit bien leur plaire dans mes photographies (prises en février 2012): elle se trouve dans le square d’Ajaccio, dans le 7e arrondissement de Paris, un square créé en 1865 par Jean-Charles Alphand (Grenoble, 1817 – Paris, 1891, enterré au cimetière du Père-Lachaise avec sur sa tombe un buste de Jules Coutan) et qui longe le côté nord-est de l’hôtel des Invalides.

La défense de la famille par Boisseau à Paris, signature de Emile André BoisseauCe groupe sculpté en marbre a pour titre « La défense du foyer » et porte la signature « É[mile André] Boisseau » (Varzy, 1842 – Paris, 1923). Cette allégorie de la famille a été sculptée en 1887 et il en existe des versions en bronze et des réductions. Il semble avoir été présenté au salon des artistes français de 1881, mais c’est l’année qui manque dans les catalogues numérisés par la Bibliothèque nationale de France (base Gallica).

La défense de la famille par Boisseau à Paris, vue de face et de profilUn homme debout (un valeureux gaulois), une femme assise (toute menue et apeurée), un bébé… L’homme tenait un glaive brisé (comme le soldat du Gloria Victis d’Antonin Mercié) dans la main droite mais il n’en reste que le pommeau. Vous pouvez le voir dans son état d’origine sur le plâtre patiné attribué musée d’Orsay (et mis en dépôt au musée de Clamecy), il figure dans le catalogue des sculptures du musée d’Orsay, dirigé par une certaine… Anne Pingeot, et Antoinette Le Normand-Romain et Laure de Margerie.

La défense de la famille par Boisseau à Paris, le pagne en peau de fauve, la mère et le bébéUn père, une mère, un bébé. Le père est nu, vêtu d’une peau de fauve (tigre?) comme d’un pagne retenu par son baudrier. Il domine la scène et « protège » sa femme et le bébé qu’il ne porte pas (ça serait attenter à sa virilité?) mais qui repose sur les genoux de la mère.

La défense de la famille par Boisseau à Paris, les pieds du père et de la mèreLe père est chaussé, mais la mère pieds-nus…

La défense de la famille par Boisseau à Paris, le bébé tout nu… et le bébé tout nu, même s’il a perdu sa main droite et son pénis. Il semble pleurer, grimaçant bouche ouverte et yeux fermés.

Extrait de centre Presse avec une coquille autour de Copé et Tous à poilA poil, ça doit plaire à M. Copé, LOL! (si, si, j’ai lu ça dans Centre presse du 13 février 2014: « L’UMP a pris mercredi la défense de son président Jean-François Copé, objet de vives critiques après sa dénonciation du livre Tous à poil, qu’il a recommandé [sic] pour les classes primaires ». Pour ceux qui veulent ce livre « recommandé pour les classes primaires », c’est Tous à poils, de Claire Franek et Marc Daniau, aux éditions du Rouergue).

La défense de la famille par Boisseau à Paris, le bébé tout nu, détail du sexe coupé(PS: pour répondre à Marlie, voici un détail, il y a bien le scrotum, mais le zizi est cassé presque au ras, pauvre bébé! Euh, j’ai retaillé dans ma photo pas très lourde, si un(e) ami(e) parisien(ne) a l’occasion de passer par là, de faire une photo rapprochée et de me l’envoyer, je remplacerai)

La défense de la famille par Boisseau à Paris,  coiffure du pèreDans le même esprit, vous croyez que des cheveux longs, c’est en accord avec « un homme »??? Bon, ça doit aller avec « Notre ancêtre le Gaulois bien fort ». Ah les stéréotypes… Belle sculpture mais vision pour le moins rétrograde de la famille et du Gaulois!

Dans le même square se trouvent un monument à Hippolyte Taine et une statue du Général Gouraud, mais je vous les montrerai une autre fois…

Vous pouvez aussi revoir d’autres « familles » sur mon blog… Clic sur les vignettes et sur les liens pour en savoir plus. Petite sélection:

Mairie de Montreuil-Bonnin, mur 1, partie droite, repas familialla famille représentée par l’artiste catholique engagée Marie Baranger dans la mairie de Montreuil-Bonnin

Pons, monument à Emile Combe par Paul Landowski, 1, vue généralele monument à Émile Combes par Paul Landowski à Pons (allégorie de l’éducation)

Cahors, monument aux morts de 1914-1918, 7, vue de côtéLe soldat, sa femme et le bébé sur le monument aux morts 1914-1918 par François Sicard à Cahors

Tours, les mystères douloureux de C. Alaphilippe, 1, vue généraleles mystères douloureux de Camille Alaphilippe dans le parc Mirebeau à Tours.

Home sweet home, 1, l’assemblage

Patchwork Home sweet Home, étape 1, l'assemblageComme annoncé vendredi, j’ai ressorti un kit acheté il y a fort longtemps, à Moncoutant en 2010, un coussin de porte « Home sweet home » des Boutis de Lucie. J’ai commencé, logiquement, en assemblant (à la main) les différents carrés du patchwork. J’ai respecté le modèle, pourtant, les dimensions données pour le grand « presque carré » (20 sur 21 cm) ne semblent pas correctes, ou alors les patrons des petits carrés sont un tout petit peu trop grands, mais ce n’est pas grave… Pour les petits carrés, j’ai choisi l’ordre des tissus de la photographie du kit et pas de la feuille de mode d’emploi.

Graphique de la crue du Clain, 15 février 2014Côté Clain, où se trouve mon jardin (lien en juin 2012), cette fois, le niveau monte et atteint le niveau des crues annuelles habituelles, à 2m75 ce matin à 7h, mais la ville de Poitiers semble pessimiste (et prévoyante), les passerelles pour la circulation dans les rues les plus basses ont été montées hier. Voici le graphique sur les 3 derniers jours proposé par info crue. Le débit continue à monter, à un peu plus de 120m3/s (90 il y a trois jours, 60 la semaine dernière). Le trait bleu est le niveau maximum de la dernière crue de référence, une annuelle normale du 29 décembre 2012 (2m77, il était monté à 2m84 le 13 avril 2012, on est encore loin des 3,31m de décembre 2011 -une petite décennale- ou de la crue centenale de 1982, avec 5,60m le 21 décembre), la limite de débordement officielle est autour de 2m30 (le trait vert), avec le quai dans mon jardin, il déborde plutôt à 2m40 (le trait rouge). S’il ne pleut pas trop dans la journée (euh, pas gagné!), j’essayerai de passer voir.

Lendemains de cendres de Séra

Couverture de Lendemains de cendres de Sérapioche-en-bib.jpgLa suite de L’eau et la terre, Cambodge, 1975-1979, trouvée dans les bacs de la médiathèque.

Le livre : Lendemains de cendres, Cambodge, 1979-1993, de Séra (scénario, dessins et couleurs), collection Mirages, éditions Delcourt, 130 pages, 2007, ISBN 978-2756006239.

L’histoire : 1979 au Cambodge. Suite à l’invasion des troupes vietnamienne, le régime khmer rouge de Pol Pot s’est effondré. Nekh, rescapé des camps de rééducation, cherche à fuir en Thaïlande après l’arrestation de son frère, le militaire révolutionnaire zélé, croise d’anciens déportés en exil comme lui, une jeune femme blessée qu’il tente d’aider, des civils bombardés, l’un des rares bonzes survivants… Le chaos règne, l’occupation vietnamienne permettra–elle de reconstruire le pays après la chute du régime khmer rouge?

Mon avis : un album presque aussi sombre que le premier volume, L’eau et la terre, Cambodge, 1979-1993. Des dessins très noirs (au sens propre), des cartes, des citations pour éclairer le propos, et parfois une planche pleine page, comme une apparition, un relief de temple ancien. La jungle, dans toute sa sauvagerie, en parallèle avec la sauvagerie du régime khmer, de ses atrocités, de la guerre civile, de l’exil.

Sur une histoire plus longue du Cambodge, voir aussi Kampuchéa de Patrick Deville et L’élimination de Rithy Panh.

Logo du top BD des blogueurs 2013   Cette BD sera soumise pour le classement du TOP BD des blogueurs organisé par Yaneck / Les chroniques de l’invisible. Mes chroniques BD sont regroupées dans la catégorie pour les BD et par auteur sur la page BD dans ma bibliothèque.

Le joli coeur d’Emmanuelle…

Envoi d'Emmanuelle en février 2014, cartes à publicité pour Bienvenue à la ferme et coeur en crazy-patchJ’ai reçu une enveloppe dodue de la part d’Emmanuelle / le Marquoir d’Élise (vite, allez lui rendre visite, et aussi sur son deuxième blog Effondrille et abat-faim plein de recettes de cuisine!).

Envoi d'Emmanuelle en février 2014, coeur en crazy-patchVoici de plus près le cœur en crazy-patch, il faudrait que je me lance dans ces patchworks, je vais déjà ressortir un kit acheté il y a fort longtemps (à Moncoutant en 2010), à découvrir bientôt…

Envoi d'Emmanuelle en février 2014, cartes à publicité pour Bienvenue à la fermeElle y a joint une série de cartes à publicité, la plupart pour le réseau Bienvenue à la ferme de Charente. Ces réseaux existent dans toute la France, avec de la vente directe, des fermes-auberges, l’organisation de marchés de producteurs pour Noël ou l’été (revoir Bienvenue à la ferme 2010 à Poitiers).

Les estropiés du chevet de l’église Saint-Nicolas de Civray

Chapiteau du chevet de l'église Saint-Nicolas de Civray, personnage au gros oeil portant une coupe et personnage à la jambe de boisLa restauration de l’église Saint-Nicolas à  dans la Vienne vient de commencer (revoir la façade, des dragons) et devrait durer deux ans si les travaux respectent leur calendrier. Sur l’un des chapiteaux du chevet se trouve une scène assez originale dans l’art roman, même si on en trouve des équivalents sur quelques églises. Deux personnages sont représentés. A gauche, un personnage est vêtu d’une longue robe : à l’époque, cela peut être aussi bien un homme qu’une femme, n’en déplaise à certains! Mais les longues manches en font plutôt une femme…

Chapiteau du chevet de l'église Saint-Nicolas de Civray, personnage à la jambe de boisCe personnage présente une coupe à celui qui lui fait face, allongé et portant un outil tranchant. Ce deuxième personnage, également vêtu d’une robe, mais à manches plus serrées, est plutôt un homme.

Chapiteau du chevet de l'église Saint-Nicolas de Civray, détail des estropiés, gros eil et jambe de boisLeur particularité est plus visible sur ce détail. Le personnage de gauche a un gros œil gauche, alors que celui de droite a une jambe de bois. Il rappelle une métope de l’église Saint-Savinien à , dans les Deux-Sèvres, qu’il faudra que je vous montre un jour, un personnage armé d’un outil genre masse fait face à un personnage à la jambe de bois, et à côté, un couple copule de manière très réaliste… désolée MM. Copé et consorts, ça date du 11e siècle, c’est sur une façade d’église et bien plus cru que l’album Tous à poils, de Claire Franek et Marc Daniau, aux éditions du Rouergue. Un autre personnage à jambe de bois se trouve sur un chapiteau de l’église Saint-Hilaire, toujours à Melle… Il va me falloir un peu d’aide pour retrouver mes photographies et les partager avec vous!

 

Photographies d’avril 2010.

Ma dernière carte de voeux maison…

COuverture de Apprenti, mémoires d'avant-guerre de Bruno Loth Pour mes ami(e)s poitevins, n’hésitez pas à participer au festival Filmer le Travail (jusqu’à dimanche 17 février 2014), expositions, films et débats très intéressants! Surtout, ne ratez pas l’exposition autour des bandes dessinées de Bruno Loth (revoir mes avis sur Apprenti, mémoires d’avant-guerre et Ouvrier : volume 1). Je vous avais parlé de ce festival il y a deux ans lors de la venue à Poitiers d’Étienne Davodeau alors qu’il terminait la rédaction de sa bande dessinée les ignorants.

Carte de voeux sur papier maisonRevenons au sujet du jour… J’ai encore quelques cartes de vœux reçues à vous montrer, mais voici la dernière que j’ai envoyée (dans les temps… avant le 31 janvier). Comme pour mes ATC (revoir la série jaune avec des timbres et mes autres ATC pour noël 2013, j’ai pris une feuille de papier maison recyclé, cette fois en version verte… Le sticker que vous voyez en haut à droite est en fait inclus dans le papier, il venait d’une enveloppe utilisée dans le recyclage. J’ai découpé un sapin d’un tissu utilisé les années précédentes pour un coussinet avec des rennes, un coussinet avec le sapin du SAL Riquiqui, des petits chanteurs sur un coussinet… Un peu de bourre pour lui donner du relief et couture à la main.