Archives de catégorie : Jardin, nature, cuisine

Mes recettes, des nouvelles de mon jardin et de mon balcon au fil des mois…

Avec une courge butternut… (et expo de quilt)

Courge butternut, 1, entière Je n’avais pas mon appareil photo avec moi mercredi soir quand j’ai visité avec l’exposition du Quilt pictave (jusqu’à demain dimanche 18 novembre 2012 dans la chapelle Saint-Louis à Poitiers): si vous passez dans le secteur, allez admirer les merveilles qu’elles ont réalisées, et un avant-goût sur cet article de Coccinelle

Au marché la semaine dernière, une courge butternut,je ne l’ai pas pesée, mais elle n’était pas très grosse, la planche dessous est une planche à découper la viande, pour vous donner une idée. J’ai choisi d’en faire deux plats… en commençant par la cuire, pas question de la râper crue comme le voulait la première recette, c’est trop dur y compris à éplucher, alors que une fois cuite, la peau part toute seule.

Première étape donc, j’ai coupé la courge en trois (après un bon nettoyage à l’eau et à la brosse, ah ces produits non traités et non lavés, LOL!): un morceau avec la moitié du côté le plus étroit, et j’ai recoupé la partie la plus large en deux dans l’autre sens. Hop, dans le faitout grand format, de l’eau à ras du légume, et du gingembre frais (environ deux centimètres vers un bout étroit) coupé en tout petits morceaux. Laisser cuire jusqu’à ce que la chair soit tendre (environ 1/2 heure pour moi). Laisser tiédir (inutile de se brûler les doigts), enlever la peau (elle part toute seule) et les graines avec une cuiller.

Courge butternut, 2, cake

Pour le cake, j’ai donc modifié la recette trouvée dans un magazine…

200 g de chair cuite de courge (au lieu des 200g cru et râpés)

200g de farine

175g de beurre ramolli

50 g de graines grillées (de courge -je vous montre bientôt les miennes, ou pignons)

3 oeufs

2 pincées de thym

1//2 sachet de levure chimique (la prochaine fois, je mettrai un paquet, c’était un peu trop compact)

80g de parmesan râpé (ou autre fromage à votre goût)

5 cl de Noilly (j’ai mis du cognac)

poivre, (sel), un peu de thym

Mélanger les ingrédients comme pour tout cake… (pour ma part, je mets tout dans le bol du robot et le laisse bien mélanger)

Cuire 45 minutes à 180° (th. 6) dans un moule à cake pas trop grand.

Courge butternut, 3, soupe butternut et gingembre

Avec le reste de la courge, j’ai préparé de la soupe… J’ai fait revenir un oignon. Puis j’ai mixé avec la courge, le jus de cuisson avec le gingembre et la courge. A vous de voir la quantité de liquide de cuisson pour une consistance qui vous plaît, mettre moins de gingembre si vous n’aimez pas trop relevé (de mon côté, j’adore, surtout que je ne sale pas). Remettre à température (ou comme moi, en congeler une partie en portion individuelle pour les soirs de grande flemme), vous pouvez ajouter une cuiller de crème fraîche au moment de servir dans chaque assiette…

Au marché la semaine dernière… chou et poulet

Chou chinois acheté en octobre 2012 Au marché cette semaine, un gros chou chinois, plus digeste je trouve que le chou vert, 1,5€ pièce. Il a fini en trois usages (je n’ai pas pris de photographies): j’ai cuisine le vert des feuilles extérieurs coupées en fines lanières et sautées rapidement à feu vif dans du beurre, bon, pas terrible, le beurre cuit, mais pour une fois, excellent! Le cœur, je l’ai mangé en salade. Et les cotes des feuilles extérieures ont fini dans la soupe… Rien ne se perd… avec un bon lavage, les petites limaces noires sont de retour avec la pluie…

Poulet avant cuisson, octobre 2012 J’ai aussi pris un poulet fermier élevé au grain de la ferme, sans OGM, dans les conditions du bio (sans le label AB néanmoins), à mon producteur habituel… Encore un poulet trop gros qu’il a fallu amputer des cuisses pour le faire entrer dans mon faitout (je les ai mises à cuire avec le reste, découpées, ça rentrait…). J’ai cuisiné une variante du poulet au cidre et aux légumes nouveaux et du coquelet au cidre. J’ai sorti les abats pour la photo, vous voyez, c’est un vrai poulet qui a tous ses morceaux, y compris le cou… à manger avec un petit couteau pointu!

Sur le prix du poulet, puisque j’ai eu des questions suite à plusieurs articles (notamment tous Cobayes de Jean-Paul Jaud), la rémunération des industriels et des producteurs (bio ou industriels), voici un petit tableau que j’ai reconstitué à partir d’un article paru dans le numéro 4789 du 8 août 2012 du Canard Enchaîné, à partir d’un poulet industriel genre ex-Doux et un producteur bio du Gers qui produit 12.000 poulets par an, avec abattoir chez lui, AMAP et vente directe. Cela vous donne une idée de la rémunération de l’éleveur et de l’intégrateur (celui qui fourni les poussins, la nourriture gavée d’antibiotiques -utilisés contre les épidémies et comme stimulateur de croissance- et souvent OGM importé pour le maïs, et récupère le poulet près à abattre). A vous de choisir qui vous préférez rémunérer…

Ligne budgétaire Poulet industriel Poulet bio
Coût de production 2,7 € / kg 2,8 €/kg
Coût de mise en marché 1,3 €/kg
Prix de vente 5,5 €/kgplus les subventions payéespar les impôts 7,5 €/kg
Revenu de l’agriculteur 0,6€ / kg 3,4 €/kg
Marge de l’intégrateur 2,2 € / kg 0 €

J’ai aussi fait un relevé de prix, en direct (marché et monoprix) et sur les sites Drive de grandes enseignes, toutes sur Poitiers… Surprise, le poulet Louet label rouge est beaucoup plus cher chez Géant Casino que le poulet fermier élevé dans les conditions du bio (grains produit sur l’exploitation, pas plus de un traitement antibiotique sur la vie du poulet, durée d’élevage et superficie par poulet), sans le label (voir sur la question de la non-labellisation l’avis de Richard Leroy dans les ignorants d’Étienne Davodeau). Je préfère un poulet élevé dans ces conditions sans le label que le nouveau « bio-industriel » ou « bio-low-coast » que l’on voit apparaître ici et là et qui est plus industriel que bio.

Quant aux poulets industriels sous marque distributeur (maître coq) de Leclerc et Super U, je n’ose même pas imaginer ce que touche l’éleveur par poulet.

Poulet industriel Poulet label rouge Poulet du marché
5,85 (1a) 7,85 (1a) 8,65 (6)
5,2 (2a) 7,16 (1b) 7,6 (7)
3,81 (3d) 7,78 (1c)
3,18 (4a) 9,83 (2b)
6,42 (3d, poulet blanc)
6,77 (3d,poulet jaune)
7,60 (5b)
Moyenne Moyenne Moyenne
4,51 7,63 8,125

Voici le code pour les relevés de prix, en euros par kg, réalisés les 5 et 6 octobre 2012. Pour les supermarchés en commande en ligne, le choix est limité, mais je n’allais quand même pas aller jusqu’au magasin pour relever les prix en rayon. Pour certains, ils ne donnent pas le prix au kilo mais au poulet, j’ai recalculé avec le poids, c’est dingue, des poulets tous au même poids, d’ailleurs… Le prix du poulet jaune (miam, nourri au maïs… aux pesticides et aux OGM) est en général le même que celui du poulet blanc.

– 1: Monoprix centre ville de Poitiers

– 2: Géant casino Poitiers

– 3: Leclerc Drive Poitiers

– 4: Super U Buxerolles (banlieue de Poitiers, pour les lecteurs non locaux)

– 5: Intermarché Buxerolles

– 6: ferme de la Giraudière / Sylvie Debelle à Chabournay (marché bio du vendredi soir square de la République, présente aussi au marché des Couronneries le mercredi et le dimanche), c’est là que je m’approvisionne en général

– 7: Le grand Logis / Julio Cesar Rubio Bartolo à Moncoutant (marché Notre-Dame du samedi), et oui, il n’y a pas que des brodeuses ou le centre de pêche Pescalis, à Moncoutant!

– a: marque distributeur

– b: Loué

– c: Périgord

– d: maître coq

Un osso bucco…

Osso bucco L’automne arrive, les envies de plats mijotés aussi… Je me suis préparée l’autre jour un osso bucco vite préparé…

Il faut:

– une tranche de jarret de veau

– 2 ou 3 oignons

– les dernières tomates de la saison (il devait y en avoir 300g)

– 500g de carottes

– 1 verre de vin blanc

– bouquet garni et laurier, poivre (sel)

Faire revenir la viande à feu vif, réserver. Faire revenir les oignons. Quand ils sont dorés, remettre la viande, ajouter les tomates et les carottes coupées en morceaux, le bouquet garni, assaisonner, mouiller avec un verre de vin blanc… et laisser mijoter à feu doux 1h30 environ. Servir avec du riz ou des pâtes fraîches.

Scofa… Scofa??? Scofa!!! (à Ligugé)

Le scofa de l'abbaye de Ligugé Voilà un titre qui va paraître obscur à la plupart de mes lecteurs, sauf les Poitevins, les Niortais, les acheteurs du réseau Monastic et les lecteurs de l’Actualité Poitou-Charentes… je vous dois donc quelques explications et éléments de contexte…

Il y a une dizaine de jours, Philippe de Tout Poitiers (mais si, vous le connaissez, son site est une mine pour les informations et sorties poitevines, et il m’a prêté il y a quelques mois sa machine à fabriquer des godets en papier journal, qui m’ont permis de faire des semis qui ont bien poussé), Philippe, donc, cherchait pour une page de son site les magasins ouverts le dimanche à Poitiers… Grégory lui répond illico qu’il y a la boutique/librairie de l’abbaye de Ligugé, et qu’il y est possible d’acheter du scofa… que Philippe, néo-poitevin (depuis quelques années, même si c’est moins que moi), ne connaissait pas. Deux gourmands, Coccinelle à Poitiers et moi, répondons que nous ferions bien une expédition à Ligugé pour en manger une part avec eux… Grégory se charge de l’organisation, et nous voici accueillis tous les quatre à l’abbaye de Ligugé par frère Patrick, avec l’énorme scofa qu’il partage entre nous… avant de nous confier au père Vincent pour une visite de l’émaillerie du monastère (ça sera pour un autre article, il y a beaucoup à dire, mais vous pouvez déjà découvrir ici le reportage de Tout Poitiers).

Le scofa vu par Glen Baxter En attendant, qu’est-ce que le scofa??? Au sens propre, un acronyme avec les initiales des ingrédients (sucre, crème -au beurre-, œufs, farine, amandes). Au sens culinaire, un gâteau créé par un pâtissier de Saint-Maixent dans les Deux-Sèvres il y a une soixantaine d’années, recette cédée aux soeurs du carmel de Niort (désormais en périphérie de la ville, à Bessines), et produite sous licence depuis 2002 par les moines de Ligugé. On le trouve à la boutique du monastère et dans quelques boulangeries dépositaires à Poitiers. Un biscuit meringué, une crème riche, qui évoque la crème à moka (mais parfumée aux amandes, pas au café), un vrai délice. Il a fait l’objet d’un article dans l’Actualité Poitou-Charentes… avec cette illustration (clic sur l’image ci-contre pour voir l’original en grand) de Glen Baxter… qui illustre chaque trimestre une recette régionale : revoir en 2010 l’expédition Glen Baxter à Poitiers, dans le quartier de Bellejouane, en centre-ville et encore là, ainsi que le livre Le safari historico-gastronomique en Poitou-Charentes (dessins de Glen Baxter, texte d’Alberto Manguel). Et sur le site de l’Actualité Poitou-Charentes, retrouvez la description du scofa par Denis Montebello (pour les autres recettes, voir Fouaces et autres viandes célestes).

Un grand merci aux moines de Ligugé pour leur accueil et l’autorisation spéciale que m’a accordée le père Abbé pour entrer dans des espaces réservés aux moines. Je reviens très vite vous parler de leur musée et de l’émaillerie. En attendant, n’hésitez pas à aller à la boutique de l’abbaye, vous y trouverez de beaux émaux, de nombreux enregistrements (le père abbé est un grand musicologue), des livres (c’est une librairie affiliée au réseau des libraires indépendants de Poitou-Charentes/LIRE) ou même venez y passer quelques nuits… l’abbaye accueille chaque année 12000 personnes dans son hôtellerie, plus d’informations sur le site de l’abbaye de Ligugé.

PS: sur la page facebook de l’abbaye de Ligugé, voir le reportage en images sur la fabrication du scofa!

Vous pouvez aussi relire d’anciens articles que j’ai consacrés à Ligugé: la chapelle du catéchumène, l’église et l’abbaye (en jouant pour un défi hongrois, vous comprendrez en lisant l’article), la gare et des toits, le monument aux morts.

Les points de vente sur Poitiers ne figurent pas sur la page de l’abbaye… je sais qu’il y en a au moins à la boulangerie de la Sablette aux trois-Cités (PS du 29/10/2013: en ville la boulangerie de Frédéric Michot rue Carnot qui le distribuait ne le fait plus, d’après lui pour des problèmes de stationnement du livreur).

Des barres de céréales maison…

Barre de céréales maison Lors de notre voyage à Chaumont-sur-Loire en juin dernier, Emmanuelle / le Marquoir d’Élise avait préparé des barres aux céréales maison (et moi des cookies tout chocolat). J’ai enfin testé la recette, j’ai juste changé pour les flocons, 75g de flocons d’avoine, je n’avais plus de mélange avoine/orge… Pour les petites graines (lin, sésame) et les pommes séchées en dé, pas de problème, mais j’ai remplacé les graines de tournesol par un mélange tournesol – pignons de pin – graines de courge. Pour les Poitevin(e)s, vous trouverez tous les ingrédients chez Amandine sous les halles à Poitiers, mais avec le retour de la saison des courges, je compte bien préparer mes propres graines de courges grillées… dans les semaines à venir… Pour le lait concentré, je n’avais qu’une petite boîte de lait non sucré (85g), j’ai ajouté un tout petit peu d’eau (2 cuillères à soupe) et du sucre (j’aurais aussi pu mettre du miel) pour arriver au bon poids (115g) de la recette… Quand je vous dis que je respecte les recettes … ce ne sont que de petites adaptations, non? Bon, vous ne devez pas avoir tout suivi, je vous invite à suivre la recette originale de barres aux céréales maison chez Effondrille et abat-faim (plein d’autres recettes à tester!)… et à l’adapter en fonction du contenu de votre placard. J’ai utilisé ma variante de moules à financiers bas, contrairement à ceux d’une autre marque, plus hauts, utilisés récemment pour des financiers à la pistache.

Recette adoptée à mon tour (et j’ai converti déjà une amie), très vite fait si l’on a tous les ingrédients et bien meilleur que les cochonneries des distributeurs de friandises!

Des petits beurre à la pistache

Petits beurre à la pistache Vous vous souvenez sans doute de mon achat de pâte de pistache chez Amandine sous les halles à Poitiers… Après les financiers à la pistache sur une recette de Moqueplet, je me suis lancée dans les petits beurre à la pistache d’après une recette d’Emmanuelle / le Marquoir d’Élise (sur son blog de cuisine, voir le lien direct sur Effondrille et abat-faim)… J’ai remplacé une partie de la farine de blé par de la farine d’orge (environ 1/3)… parce qu’il me restait un peu de cette farine… Une pâte pas très facile à étaler, soit trop froide à la sortie du frigo, soit très vite trop chaude et collante… Mais au final, d’excellents petits beurre originaux (en couleur et au goût)…j’adore… et ils ont été adoptés aussi par celles (et oui, que des filles!) qui les ont goûté.

Vous pouvez aussi revoir ici mon essai de petits-beurre nature.

Confiture d’écorces de melon

Confiture d'écorces de melon Après le condiment d’écorces de melon (il faut encore patienter pour que je le goûte), j’ai encore cuisiné les écorces du melon mangé ce week-end… Cette fois, j’ai utilisé une recette trouvée chez femmes planet, j’ai juste mis en plus des zestes (prévu dans la recette), le jus d’un citron. Avec un gros melon, j’ai eu deux pots et demi… J’ai goûté le demi… je trouve que c’est un peu trop sucré, plus caramel au goût qu’autre chose… Si je re-essaye, j’ajouterai des épices genre cannelle ou gingembre frais…

Coquelet au cidre

Coquelet au cidre Samedi dernier, l’agriculteur à qui je prends mes œufs et la volaille [voir ici une comparaison du prix du poulet] avait un joli petit coquelet [pour répondre à des questions, entre le poussin et le poulet]… Idéal pour deux repas pour moi… Sinon, comptez un coquelet pour deux personnes… Je l’ai cuisiné au faitout plutôt qu’au four, je trouve que c’est plus moelleux ainsi…

Ma recette (très vite fait):

Faire revenir un oignon émincé dans un peu d’huile, réserver.

Faire bien dorer le coquelet sur toutes les faces.

Remettre l’oignon, ajouter les abats, des carottes (oui, la, il y en a presque 1kg, mais j’en voulais pour un soir aussi…).

Ajouter thym, laurier, poivre (sel).

Mouiller avec un grand verre de cidre, cuire à couvert 20 minutes à feu doux/moyen.

Préparer les champignons de Paris (ouf, ma productrice est rentrée de vacances, depuis la semaine précédente), ici 300g. Les ajouter dans le faitout. J’ai aussi ajouté dans le bac vapeur, au-dessus (mais vous pouvez les cuire à part) des pommes, pour accompagner le tout…

Poursuivre la cuisson 10 minutes. Servir comme ça ou réduire la sauce et la lier avec un peu de crème fraîche.

Bon appétit ! Je vous ai déjà montré une variante printanière… avec le poulet au cidre et aux légumes nouveaux.

Des pancakes aux flocons d’avoine et aux lentilles

Des pancakes à l'avoine et aux lentilles, en cours de cuisson Il y a quelques semaines, Emmanuelle / le Marquoir d’Élise a proposé sur son blog de cuisine, Effondrille et abat-faim, une recette de pancakes aux flocons d’avoine et aux lentilles. Depuis que j’ai cuisiné des bouchées aux lentilles roses, il me restait des lentilles corail. Ces lentilles ont tendance à tourner à la purée une fois cuites. Du coup, je me suis dit que les pancakes seraient une bonne idée… J’ai aussi utilisé le gros cornichon poussé pendant mes vacances sur mon balcon à la place de la demi-courgette.

J’ai suivi la recette d’Emmanuelle, mais comme elle m’avait dit que dans la recette originale, il fallait mixer la pâte obtenue, j’ai passé le tout légèrement au mixer. Si j’en refait, je pense que je mettrai un œuf de plus, pour plus de liaison entre les ingrédients, sinon, c’est excellent!

Nuit européenne de la chauve-souris

Une chauve-souris dans le tunnel de ma résidence, 1

Aïe, j’ai laissé passer la date sans nouvel article cet année… Merci au gîte de la Berlière (dans les Deux-Sèvres) d’avoir opportunément rappelé cette date… Je réédite l’article de l’année dernière (24 août 2011), les liens sont toujours valable, et la nuit européenne de la chauve-souris, c’est ce week-end, 25 et 26 août 2012!

Article du 24 août 2011:

Comme chaque année, la nuit européenne de la chauve-souris revient les samedi 27 et dimanche 28 août 2011. Toutes les informations et les lieux d’observation en France sont ici, pour les autres pays, je n’ai pas cherché… Je ne vous montre pas à nouveau la chauve-souris sculptée de la cathédrale de Poitiers, mais une petite chauve-souris qui vient parfois nous rendre visite dans le tunnel interne de la résidence où j’habite, elle y reste quelques jours, disparaît, revient…

Une chauve-souris dans le tunnel de ma résidence, 2 La voici sous un autre angle…

Pour aller plus loin : voir Le guide des chauves-souris en Poitou-Charentes, de Olivier Prévost (Collection les cahiers naturalistes, 2004, Geste éditions, 197 pages, ISBN 978-2845611625)