Miss Seeton à la barre de Hampton Charles

Couverture de Miss Seeton à la barre de Hampton CharlesUn livre que m’a passé Dalinele (avec quelques autres, accompagnés de ces ATC).

Le livre : Miss Seeton à la barre de Hampton Charles (pseudonyme pour cette série de Roy Peter Martin, qui a aussi pris parfois le pseudo de James Melville), traduit de l’anglais par Katia Holmes, collection Grands détectives, n° 3104, éditions 10/18, 1999, 223 pages, ISBN 978-2264029492.

L’histoire : en juillet 1972 à Londres puis sur un bateau de croisière en Méditerranée (départ de Venise, direction la Grèce). En entrant voir une exposition à la Royal Academy of Art, Miss Seeton, professeur de dessin à la retraite, tombe littéralement sur sir Wormelow et bientôt Ferencz Szabo, un riche antiquaire qui vient de dénoncer la vente frauduleuse d’un faux buste antique. Tout ce petit monde, le faussaire, le professeur d’histoire de l’art qui a permis la vente, l’antiquaire, Miss Seeton et quelques amis vont se retrouver sur un bateau pour une riche croisière entrecoupée de savantes conférences. Dès l’embarquement à Venise, Ferencz Szabo est victime d’un « accident », il a été poussé dans un canal mais s’en est sorti sans grand mal grâce à Miss Seeton qui passait pas loin…

Mon avis : j’ai lu pas mal de séries proposées par Grands détectives, mais je découvre Miss Seeton avec ce titre (trois auteurs se sont succédé pour écrire ses aventures : Heron Carvic puis Hampton Charles/James Melville/Roy Peter Martin et enfin Hamilton Crane/Sarah J. Mason). Un polar gentillet, pas trop de crimes (quelques tentatives avortées, un meurtre), une enquête genre « chambre jaune », tous les passagers du bateau sont suspects.

Logo God save the livreCe livre entre dans le défi God save the livre, saison 3, organisé par Antoni / passion livres. Il s’agit de lire un ou plusieurs livres anglais d’ici fin février 2014 et atteindre l’une de ces catégories : « Duty Harry » (1 livre lu), « Prince Charles » (5 livres), « Prince William » (10 livres), « Lady Di » (15 livres), « The Beatles » (20 livres et plus), « Queen Mom » (au moins un livre en VO)…

Végétaros le stégosaure (5), terminé

Végétaros de stégosaure, terminéJ’ai terminé l’assemblage Végétaros le stégosaure (voir le début ici, la deuxième étape, le corps terminé, la crête), d’après un modèle tiré de Animaux tricotés de Claire Garland (éditions Fleurus, 2011), dans lequel j’avais réalisé l’année dernière la tortue. Il mesure 31 cm de long. Il était temps, Andréa est née avec un peu d’avance 😉

Ensemble pour AndreaEt pour quand elle sera plus grande, j’ai ajouté un petit ensemble (du commerce) en un an…

Dans le même livre, j’ai réalisé:

La mairie de Montreuil-Bonnin par Marie Baranger

Mairie de Montreuil-Bonnin, mur 1Après les peintures murales de Marie Baranger dans l’église Sainte-Thérèse à Poitiers (son chemin de croix, les peintures des murs nord et sud du transept et les autels secondaires), je vous propose de découvrir celles qu’elle a réalisées en 1945 dans la mairie de Montreuil-Bonnin, une commune située à une vingtaine de kilomètres à l’ouest de Poitiers, où elle résidait à l’époque. Les scènes illustrent la vie rurale et la vie de famille. Merci à Christian Rome pour ses photographies de 2010 qui illustrent cet article ainsi qu’à Brigitte Montagne, qui m’a permis de consulter l’important dossier qu’elle a recueilli auprès de la famille de Marie Baranger.

Mairie de Montreuil-Bonnin, signature de Marie BarangerCet ensemble porte la signature « 1945 / peint par / Marie Baranger / conseillère / municipale ».

Mairie de Montreuil-Bonnin, mur 1, partie gauche, plan cadastral redessinéJe commence par le mur est (vue générale en première photographie de l’article). Sur la partie gauche, un ensemble de champs stylisés avec quelques indications géographiques (dans le cercle, « Montreuil-Bonnin », les routes « vers Poitiers », « vers Vouillé », des hameaux « le Four » et illisibles, la rivière « la Boivre » (oui, celle qui se jette dans le Clain à Poitiers, et une série de visages qui seraient ceux des élus du conseil municipal de 1945 (celui de Marie Baranger, en haut à gauche, est signalé par une croix blanche).

Mairie de Montreuil-Bonnin, mur 1, dessus de porte, guitare d'après Picasso

Au-dessus de la porte, la guitare puise son inspiration dans la Guitare, de Pablo Picasso, 1916 [selon ses notes, ou 1918, sur le schéma joint à son projet]. A droite, un texte, « Foyer de la culture ».

Mairie de Montreuil-Bonnin, mur 1, partie droite, repas familial

La partie droite est occupée par une scène de partage du pain par le père d’une famille… très nombreuse: un bébé avec sa poupée dans les bras de la mère, une silhouette d’enfant à gauche du père, et sur le grand côté de la table, sept enfants (et un chat) classés façon « Dalton », du plus grand au plus petit… sans oublier le cheval qui passe la tête par la porte.

Mairie de Montreuil-Bonnin, mur 1, quatre détails de la table familiale

Voici quelques détails, certains touchants, la poupée, la caresse du chat ou l’enfant dessiné au trait qui semble bien isolé et bien triste.

Mairie de Montreuil-Bonnin, mur 2, vue générale

Le mur sud comprend trois panneaux peints très différents.

Mairie de Montreuil-Bonnin, mur 2, partie gauche

Sur la gauche, Marie Baranger a écrit qu’elle s’était inspiré d’un dessin, La jeune morte, paru dans un livre de Jean Hannoteaux, 1945 (d’après le site consacré à Jean Hannoteaux, ce recueil date de 1942).

Mairie de Montreuil-Bonnin, mur 2, partie centrale, marianne, danse, boeufs

Au centre, autour de la Marianne sont indiqués plusieurs lieux-dits et noms de pièces de terre : « Les justices », « Terre de Grassais », « Terre de Preuille » (sur le boeuf), « Camp de la Motte » et, masqué par le buste, « la fosse », un bœuf et un mouton. Sur la droite, le couple est inspiré des Fiancés (dans les Acrobates du cirque, Bâle, 1918), de Fernand Léger.

Mairie de Montreuil-Bonnin, mur 2, partie droite, vaches et tuerie du cochon

Sur la droite, quelques vaches au fond et surtout, au premier plan, la tuerie du cochon avec cette légende : « On fait boucherie ». Dans ses notes, Marie Baranger précise qu’il s’agit de la ferme des Boissonnet.

Mairie de Montreuil-Bonnin, mur ouest

Le mur ouest est consacré aux travaux de la ferme. Lors d’une restauration par l’artiste en 1968,  la cour de ferme a été reprise avec la suppression d’un arbre et des chênes.

Mairie de Montreuil-Bonnin, mur ouest, partie gauche, cour de ferme

Sur la partie gauche, les dépendances de la ferme organisées autour d’une cour avec une fermière qui donne à manger aux poules… regroupées autour du chien.

Mairie de Montreuil-Bonnin, mur ouest, partie droite, veau dans un paysage

Sur la partie droite du mur ouest, des veaux paissent et se reposent à l’avant d’un paysage avec une ferme à l’arrière-plan au fond à droite. En bas à droite, ce petit texte : « il était une fois / un berger ».

Mairie de Montreuil-Bonnin, mur nord, vue générale

Le mur nord comprend des scènes assez différentes.

Mairie de Montreuil-Bonnin, mur 4, partie gauche, bergère, et texte sur la porte

Sur la partie gauche, une jeune femme garde des moutons dessinés au trait, à l’arrière, peut-être l’évocation du château. Au-dessus de la porte, un texte comme Marie Baranger en a écrit beaucoup sur ses peintures religieuses, ici en rapport avec le lieu : « L’organisme social / tout le le corps coordonné / est uni par les liens des / membres qui se prettent [SIC] / un mutuel secours / chacun opère selon sa / mesure d’activité, grandit / et se perfectionne dans la / charité ».

Mairie de Montreuil-Bonnin, mur 4, partie droite, le coq

Sur la partie droite, le long de la porte, un ensemble d’outils (échelle, pince, équerre, marteau, faucille). Plus à droite, au-dessus de la cheminée, le Coq gaulois inspiré d’après ses notes du Coq de Joan Miró,  publié en 1940 dans la revue Verve, n° 8. En bas à droite, un texte en « patois »: « En bas à droite du coq: « Eh ma boune / tchi quole / tcheu ? ».

Mairie de Montreuil-Bonnin, ébrasements des portes-fenêtres, motifs géométriques et ethniques

Dans l’ébrasement des porte-fenêtres, des motifs ethniques inspirés de « tous les peuples du monde », ces peuples qu’elle a longuement visité, notamment en Afrique et en Asie, dans les années suivantes…

Photographies de 2010, de Chistian Rome, que je remercie beaucoup.

L’avent de l’été par Zazimuth (7)

ATC de Zazimuth, jeu de l'avent de l'été 2013, semaine 7Pour accueillir l’été 2013 après le printemps pourri, Zazimuth m’a proposé un « jeu de l’avent »… décalé, en m’envoyant une grande série d’ATC (cartes de 2,5 sur 3,5 pouces, 6,4 sur 8,9 cm), avec pour consigne d’en tirer une par jour jusqu’à épuisement du stock… Voici donc mes tirages de la semaine…

7 juillet, carte 6, toujours (oranges, date, chocolat… nous voici en plein avent… de noël!)

8 juillet, carte 26, le retour du petit oiseau dans les fleurs…

9 juillet, carte 9, belles journées (ensoleillées et en musique!)

10 juillet, carte 48, en vacances à la plage…

11 juillet, carte 40, hasard du tirage au sort… toujours sur la plage!

12 juillet, carte 18, empreintes (papillons et arbre…)

13 juillet, carte 21, plaisir d’offrir

 

Revoir :

– la carte d’accompagnement et la première ATC

– la semaine 2

– la semaine 3

– la semaine 4

– la semaine 5

– la semaine 6

L’enfance d’Alan d’Emmanuel Guibert

pioche-en-bib.jpgL'enfance d'Alan d'Emmanuel GuibertPour la mise en ligne automatique de mes articles programmés sous word-press, le problème est réglé, Philippe / Tout Poitiers a trouvé un pluggin qui permet de forcer la mise en ligne de ces articles quand le serveur de l’hébergeur déconnecte trop vite: WP Missed Schedule. Ça semble bien fonctionner. Un grand merci à lui!

Une bande dessinée trouvée dans les bacs de la médiathèque. Il a reçu le Grand Prix de la Critique de l’ACBD (l’Association des Critiques et journalistes de Bande Dessinée) en 2013. De cet auteur, j’avais adoré le Photographe (voir tome 1, tome 2 et  tome 3). J’ai aussi lu La guerre d’Alan, tome 1tome 2 et tome 3 et et Des nouvelles d’Alain (Keller Alain, Guibert Emmanuel et  Lemercier Frédéric).

Le livre : L’enfance d’Alan, d’après les souvenirs d’Alan Ingram Cope de Emmanuel Guibert (scénario et dessin), collection Ciboulette, éditions de L’Association, 2012, 159 pages, ISBN 9782844144553.

L’histoire : en Californie à la fin des années 1920 et dans les années 1930. Dans son enfance, Alan Ingram Cope a déménagé 14 fois entre Los Angeles, Alhambra, Santa Barbara, Pasadena… Il a quatre ans en 1929 lorsque survient la grande dépression. Ses parents tirent un peu le diable par la queue, même si son père est professeur, et doivent aussi régulièrement accueillir les grands parents, chassés de chez eux par l’un des oncles d’Alan. L’enfant vit une vie heureuse, découvre son environnement (gare aux plantes venimeuse), sa famille au cours de visites, qui s’achève par une tragédie à la fin de l’album, alors qu’Alan a onze ans…

Mon avis : Emmanuel Guibert a rencontré par hasard Alan Ingram Cope sur l’île de Ré en 1994, ils sont devenus amis, Alan est mort en 1999. De leurs rencontres, Emmanuel Guibert a tiré une série sur la deuxième guerre mondiale (La guerre d’Alan, en trois tomes, que je n’ai pas encore lus). Il aborde désormais la vie d’Alan avant la guerre, en commençant par le début, l’enfance (l’adolescence est annoncée dans un second tome). L’album est en noir et blanc, avec une grande place au texte, qui parfois occupe la majeure partie de la page, et, comme dans Le Photographe, quelques photographies redessinées. Une dizaine de planches, en introduction, sont en couleur et soulignent la différence entre la Californie d’aujourd’hui et la Californie des années 1930, passée d’une banlieue assez rurale « sans smog » à une mégalopole. J’ai bien aimé ce récit d’une vie toute simple, ordinaire, oserai-je dire normale?

Logo du top BD des blogueurs 2013   Cette BD sera soumise pour le classement du TOP BD des blogueurs organisé par Yaneck / Les chroniques de l’invisible. Mes chroniques BD sont regroupées dans la catégorie pour les BD et par auteur sur la page BD dans ma bibliothèque.

Echange gourmand 2013, mon envoi…

Un marque-page gourmandIl y a quelques semaines, Emmanuelle / le Marquoir d’Élise lançait un échange sur le thème de la gourmandise, chacune devant envoyer un marque-page (libre choix de la technique) et un livre de cuisine, les miens sont partis chez Aurèle (vous pouvez revoir ici le marque-page gourmand que j’ai reçu de Corinne).

Pour le marque-page, j’ai choisi une finition toute simple, avec une doublure en tissu rose qui déborde en haut et en bas sur la face brodée.

trousse avec un tissu gourmandJ’avais un joli « tissu qui va bien », acheté chez Toto et que je n’avais encore jamais utilisé: l’occasion était idéale pour en faire une pochette où glisser le livre… j’ai utilisé le même tissu rose en doublure, en utilisant le tuto de Cécile (mais sans couper les angles).

Mon envoi pour l'échange gourmandiseJ’y ai ajouté une roudoudou en feutrine accroché à la tirette par un cordon à la lucette, et voilà, avec le livre…Les noix et fruits à coque c’est trop bon, par Catherine Madani (éditions Minerva, 2009).

SAL d'août 2012 de Brodstitch, la pochette ouverteUn tissu rose (souvent associé à un tissu jaune)…

Un américain en Picardie de Ted Stanger

Couverture de Un américain en Picardie de Ted StangerUn livre qui m’a été passé par Dalinele, merci à elle!

Le livre : Un américain en Picardie, sacrés Français, le roman!, de Ted Stanger, Folio n° 4632, éditions Gallimard, 2007, 249 pages, ISBN 9782070337620.

L’histoire : dans les années 2000, à Anizy, un coin paumé de Picardie [en fait sans doute Anizy-le-Château, chef-lieu de canton dans l’Aisne]. Jonathan Bradley, la cinquantaine, est « cost-killer » chez Honeywell et Thomas, une entreprise américaine texane spécialisée dans le rachat et la revente d’entreprises en difficultés. Il est envoyé en France et chargé de redresser les comptes (avant revente) de Fabre et frères, une société familiale spécialisée dans la fabrication de robinetterie. Il abandonne donc femmes et enfants et se retrouve dans la campagne picarde. Avec son français scolaire au début, le voici aux prises avec les délégués syndicaux, une secrétaire, les règles et lois françaises (Urssaf, code du travail, mais aussi pour ses propres papiers), les salariés habitués à une certaine autonomie, très vite une grève et une « éducation » forcée au modèle français..

Mon avis : Ted Stanger est un journaliste américain installé en France depuis le début des années 1990, il écrit en français. J’ai passé un très agréable moment avec ce livre, où l’auteur se moque gentiment du « modèle français » mais reconnaît la capacité d’adaptation et de mobilisation des ouvriers pour honorer une grosse commande ou l’apprentissage (un peu forcé au début) de la gastronomie. Et il finit par apprendre que l’argent et l’apparence sociale peuvent ne pas être le seul moteur dans la vie… Une gentille et plutôt drôle critique des systèmes américains et français.

 

Top BD des blogueurs, juin 2013

Logo du top BD des blogueurs 2013Le classement du TOP BD des blogueurs proposé par Yaneck / Les chroniques de l’invisible du mois de juin est arrivé…

Comme d’habitude, en gras, les albums que j’ai chroniqués ici… Ma note sur Les folies Bergères de Porcel et Zidrou a fait sortir le titre du classement.

Merci à Yaneck / Les chroniques de l’invisible pour ces savants calculs et cette organisation. Et avec le choix de chroniquer à parité des BD d’hommes et de femmes, j’espère que des auteures (en plus de Marjanne Satrapi, dont Persépolis descend dans le classement) entreront dans ce classement…

1- (=) Le journal de mon père, Jiro Taniguchi, Casterman, 18.88
2- (+) Un printemps à Tchernobyl, Emmanuel Lepage, Futuropolis, 18.83, voir mon avis
3- (=) Maus, Art Spiegelmann, Flammarion, 18.57, j’ai parlé ici du tome 1 : mon père saigne l’histoire, et du tome 2, Et c’est là que mes ennuis ont commencé
4- (=) Persépolis, Marjanne Satrapi, L’Association, 18.55
5- (=) Asterios Polyp, David Mazzuchelli, Casterman, 18.5
6 (=) Tout seul, Christophe Chabouté, Vents d’Ouest, 18.5
7- (=) Idées Noires, Franquin, Fluide Glacial ,18.5
8- (=) NonNonBâ, Shigeru Mizuki, Cornélius, 18.5
9- (=) Urban Luc Brunschwig, Roberto Ricci, Futuropolis, 18.48, Tome 1, Tome 2,
10- (=) Daytripper, Fabio Moon, Gabriel Ba, Urban Comics, 18.46
11- (N) Le loup des mers, Riff Reb, Soleil, 18.4
12- (=) Portugal, Cyril Pedrosa, Dupuis, 18.3
13- (=) Le beau voyage, Zidrou, Benoît Springer, Dargaud, 18.29
14- (=) Universal War One, Denis Bajram, Soleil, 18.27, Tome 1, Tome 2, Tome 3, Tome 4, Tome 5, Tome 6.
15- (=) V pour Vendetta, Alan Moore, David Lloyd, Delcourt, 18.22
16- (=) Le Grand pouvoir du Chninkel, Van Hamme, G. Rosinski, Casterman, 18.19
17- (=) Rork, Andreas, Le Lombard, 18.18, Intégral tome 1, Intégrale tome 2,
18- (=) Le sommet des dieux, Yumemuka Bura, Jirô Taniguchi, Casterman, 18.16, Tome 1,Tome 2,Tome 3, Tome 4, Tome 5.
19- (=) Les enfants de Jessica tome 1, L. Brunschwig, L. Hirn, Futuropolis, 18.16
20- (=) Les ignorants, Etienne Davodeau, Futuropolis 18.13, je l’ai aussi beaucoup aimé
21- (=) Herakles tome 1, Edouard Cour, Akiléos, 18.01
22- (=) Les derniers jours de Stefan Sweig, L. Seksik, Guillaume Sorel, Casterman, 18
23- (=) La guerre des lulus tome 1, Régis Hautière, Hardoc, Casterman, 18
24- (=) Il était une fois en France, Fabien Nury, Sylvain Vallée, Glénat, 17.98, Tome 1, Tome 2, Tome 3, Tome 4, Tome 5,Tome 6.
25- (=) Habibi, Craig Thompson, Casterman, 17.95
26- (+) Abélard, Régis Hautière, Renaud Dillies, Dargaud, 17.93, Tome 1, Tome 2.
27- (=) Gaza 1956, Joe Sacco, Futuropolis 17.92, voir mon avis : Gaza 1956
28- (-) Alice au pays des singes, Tébo, Nicolas Keramidas, Glénat, 18.86
29- (=) Pinocchio, Winschluss, Les Requins Marteaux, 17.85
30- (=) Scalped, Jason Aaron, R.M. Guerra, Urban Comics, 17.85, Tome 1, Tome 2, Tome 3, Tome 4, Tome 5, Tome 6, Tome 7,
31- (=) Manabé Shima, Florent Chavouet, Editions Philippe Picquier, 17.83
32- (=) La petite famille, Loïc Dauvillier, Marc Lizano, Editions de la Gouttière, 17.75
33- (=) Une métamorphose iranienne, Mana Neyestani, Editions Ca et là, 17.75
34- (=) L’histoire des trois Adolf,Osamu Tezuka, Tonkam, 17.75
35- (=) Paracuellos, Carlos Gimenez, Fluide Glacial, 17.72
36- (-) L’enfant cachée, Loïc Dauvillier, Marc Lizano, Le Lombard, 17.71
37- (=) Azimut tome 1, Wilfrid Lupano, Jean-Baptiste Andréae, Vents d’Ouest, 17.7
38- (=) Moi, René Tardi, prisonnier au Stalag IIB, Jacques Tardi, Casterman, 17.7
39- (=) Trois Ombres, Cyril Pedrosa, Delcourt, 17.69
40- (=) Holmes, Luc Brunschwig, Cecil, Futuropolis, 17.69, Tome 1, Tome 2, Tome 3.
41- (=) Anjin-san, Georges Akiyama, Le Lézard Noir, 17.67
42- (=) Lorenzaccio, Régis Peynet, 12 Bis, 17.67
43- (=) Quartier Lointain, Jiro Taniguchi, Casterman, 17.63, je l’ai lu aussi, voir mon avis
44- (=) Les carnets de cerise tome 1, Joris Chamblain, Aurélie Neyret, Soleil, 17.63
45- (N) Coeur de pierre, Séverine Gauthier, Jérémie Almanza, Delcourt, 17.6
46- (-) Pyongyang, Guy Delisle, Delcourt, 17.55, j’en ai parlé ici
47- (=) L’orchestre des doigts, Osamu Yamamoto, Editions Milan, 17.5, Tome 1, Tome 2, Tome 3, Tome 4.
48- (=) Un ciel radieux, Jiro Taniguchi, Casterman, 17.5
49- (=) Alpha… Directions, Jens Harder, Editions de l’An 2, 17.5
50- (=) Les seigneurs de Bagdad, Brian K. Vaughan, Niko Henrichon, Urban Comics, 17.5

Défi photo: et si l’homme s’arrêtait…

Metz, Cyrille André, 3, au jardin des plantes, grand homme noir deboutJ’ai « séché » le  de la semaine dernière de Monique / Bidouillette / Tibilisfil, du coup, après on va faire des vagues, je passe directement à « et si l’homme s’arrêtait »… Dans le même style qu’elle nous propose en introduction au thème, il y a les hommes bien campés de Cyrille André à Metz l’année dernière, revoir la série complète ici

Poitiers, façade occidentale de Notre-Dame-la-Grande, lutte de l'ancienne et de la nouvelle loiOn traverse la France d’est en ouest… pour revenir à Poitiers, direction Notre-Dame-la-Grande avec cet élément sculpté de la façade que je ne vous ai pas encore montré… Deux hommes luttent et se neutralisent (s’arrêtent mutuellement), la lutte de l’ancienne et de la nouvelle loi ou une accolade amicale? Ils se trouvent juste en dessous de Joseph contemplant Jésus enfant (en bas à droite de la Nativité et Jésus au bain).

Miroir de l'ancien théâtre de Poitiers, 09, la critiqueEt voici le critique qui,, immobile (arrêté!), observe le spectacle qui se déroule sur le grand miroir de Pansart dans l’ancien théâtre, mais il n’est plus visible, non seulement l’ancien théâtre est fermé (voir une parodie de concertation), mais en plus, la mairie a fait poser de l’occultant sur les vitres, histoire que plus personne ne regarde à l’intérieur!

Euh, après, je n’ai pas trop d’idées, sur ce thème…

Vacances! (et demande de conseil wordpress)

Juillet 2011, envoi de Cathdragon, 1, une ATC aux tongsAvec cette belle ATC de Cathdragon reçue en 2011, je souhaite à tous ceux qui en prennent de bonnes vacances 2013 et aux autres bon courage au travail! Comme il y a moins d’activité/passage sur le blog en cette période estivale, je ne publierai qu’un article par jour (au lieu de deux) pendant les prochaines semaines.

PS pour les utilisateurs de wordpress: actuellement, quand je programme un article, il ne se publie pas automatiquement, je le retrouve en « publication manquée » dans ma liste d’articles planifiés si je n’intervient pas manuellement. Il me faut juste l’éditer (modification rapide) et le valider (mettre à jour) pour qu’il soit visible par tous, c’est rapide à faire, mais ça serait plus pratique de ne rien avoir à faire, comme sur mon ancien blog. J’ai l’impression que c’est une question de mon hébergeur (online), à moins que ce ne soit un paramétrage mal saisi? Quelqu’un a une idée pour que les articles programmés passent en ligne sans intervention manuelle?

PPS: le problème est réglé, Philippe / Tout Poitiers a trouvé un pluggin qui permet de forcer la mise en ligne des articles programmés quand le serveur de l’hébergeur déconnecte trop vite: WP Missed Schedule.