Lors de l’avant-première du documentaire « Jean-Richard Bloch, la vie à vif« , un intellectuel engagé et témoin de son époque sur France 3, réalisé par Marie Christiani et co-produit par France 3 Poitou-Charentes et Anekdota production (voir La Mérigot(t)e à Poitiers, résidence de l’écrivain Jean-Richard Bloch), une exposition sur ce grand intellectuel avait été annoncée, à défaut de relancer le projet de faire de La Mérigot(t)e, qui domine la vallée du Clain, achetée en 2005 par la ville de Poitiers, « un centre culturel et un lieu de mémoire ». On a aussi évoqué une résidence d’écrivains dans cette maison qui en a vu beaucoup passer (Aragon, Jules Romains, Georges Duhamel, André Maurois, Diego Rivera, etc.)… Dans le programme électoral d’Alain Clayes en 2008 était inscrit le projet de « réalisation à la Mérigote de la maison Jean-Richard Bloch »… Plus rien ne figure dans son programme de 2014, aucune nouvelle pour l’instant sur ce projet. La propriété de la Mérigot(t)e sera-t-elle ouverte à l’occasion des journées du patrimoine 2014, au moins le parc, si la maison présente des risques à évaluer avant d’accueillir du public?
Cependant, après l’exposition de 1981 dans l’ancienne bibliothèque de Poitiers, celle de 1993 au musée Sainte-Croix toujours à Poitiers, l’exposition et le colloque en 1997 à la bibliothèque nationale de France…
… la médiathèque de Poitiers a inauguré début juillet une exposition intitulée Une fenêtre sur le monde, Jean-Richard Bloch à la Mérigotte, jusqu’au 31 octobre 2014, avec un catalogue annoncé pour septembre et tout un programme d’animations (conférences, visites guidées) en septembre et octobre. Merci à Jeanne-Marie Gazeau, du Service Action Culturelle de la médiathèque François-Mitterrand, et à Olivier Neuillé, photographe de la médiathèque, pour l’ensemble de photographies qu’ils m’ont transmises (et à Grégory qui nous a mis en relation).
Le petit espace d’exposition au niveau « bas » de la médiathèque a été aménagé en deux « pièces », avec des fenêtres sur l’accès bas et une large ouverture qui permet de l’apercevoir sur la rampe qui monte au niveau de l’accueil principal, une invitation à entrer pour en savoir plus. Jean-Richard Bloch (Paris, 1884 – Paris, 1947), intellectuel, avait été nommé professeur au lycée de Lons-le-Saunier puis à Poitiers à la rentrée 1908, avant de se mettre en disponibilité dès l’année suivante.
![Portrait Jean-Richard Bloch [avec ses chats] portrait par Dora Horowitz et Trude Geiringer, fonds J.-R. Bloch, Médiathèque de Poitiers](http://vdujardin.com/blog/wp-content/uploads/2014/07/09_JR_Bloch_Geiringer-Horovitz_ret.jpg)
Portrait Jean-Richard Bloch [avec ses chats] portrait par Dora Horowitz et Trude Geiringer, fonds J.-R. Bloch, Médiathèque de Poitiers
… les relations avec les écrivains et artistes de son temps, notamment le monde du parti communiste, à travers les portraits, la correspondance,les dédicaces.
N’oublions pas qu’en 1941, il a fui vers Moscou et l’URSS après l’arrestation de son beau-fils Frédo (Frédéric) Sérazin en janvier 1940 (il mourra en 1944) et alors qu’il sait que sa fille France-Bloch Sérazin est recherchée (elle sera arrêtée le 16 mai 1942 par la police française et décapitée le 12 février 1943 à Hambourg, voir un extrait du documentaire France Bloch, Frédo Sérazin un couple en résistance). Il était déjà allé dans ce pays avant, et avait rapporté en 1934 cette figurine en porcelaine remise aux participants du Premier congrès de l’union des écrivains à Moscou en 1934 (André Malraux, Louis Aragon, Paul Nizan y étaient aussi).
Le fond gris et les vitrines sobres, avec des socles très simples sous les documents, mettent bien en valeur les livres, manuscrits et autres documents présentés.
Le bureau de Jean-Richard Bloch trône au milieu de l’une des « pièces » reconstituées. Mmm… les quelques traces de vers fraîches et les écailles dues à des manipulations peut-être pas idéales suggèrent un petit passage nécessaire chez un restaurateur.
J’avoue que je n’ai jamais lu son œuvre (contes, essais, romans, récits de voyage – Sur un cargo en 1924, Cacahouètes et bananes en 1929-, mais aussi sa correspondance publiée en partie en 1989, 1994, 2007 et 2009), mais maintenant que j’ai un visioagrandisseur maison, je vais pouvoir m’y mettre!
Pour aller plus loin :
– sur le blog: La Mérigot(t)e à Poitiers, résidence de l’écrivain Jean-Richard Bloch
– voir aussi l’article d’Alain Quella-Villéger (avec des photographies de Marc Deneyer), Jean-Richard Bloch à la Mérigote, L’Actualité Poitou-Charentes n° 46, 1999, p. 18-23.
– voir le site de l’Association Études Jean-Richard Bloch.
– mes lectures de Jean-Richard-Bloch : Sur un cargo, Cacaouettes et bananes, Espagne, Espagne!, traduction de Karl et Anna, de Leonhard Frank.
Il y a peu, la ville de Poitiers a lancé une campagne « Bienvenue aux touristes »,
Pour cette dernière, bienvenue aux touristes! Elle est régulièrement coincée par les poubelles de la
Alors, personnellement, je préfère les affichettes et les grandes affiches de M. Mouton. Il a renouvelé son affichage de départ en vacances en caravane! (revoir
Mais il n’a pas peur de se retrouver coincé sur la plage ou tout seul au milieu du troupeau? Il a marqué sur sa « carte postale » où il se trouvait…
… à moins que ce ne soit en prison?
En tout cas, il a besoin d’être câliné (« Give me a hug »).
Pour les soldes, se complait-il à être observé en vitrine par ce monsieur?
Il détourne aussi le logo du
Au rayon des affiches en grand format, celle-ci n’est restée que quelques heures sur la « vitrine » souvent vide de la
En tout cas, c’est un assemblage compliqué de machines sur fond noir…
… avec un charriot plein de moutons qui vont passer dans la broyeuse!
Il a aussi repéré plusieurs exemplaires de cette version qui s’interroge sur la réflexion d’une élue de la ville qui justifie dans un
J’adhère aux ??? que M. Mouton a mis en marge, cela m’avait aussi interrogée quand j’avais lu l’article! J’avais aussi repéré cette affichette (A4 cette fois) rue des Vieilles-Boucheries (la photo).
Sinon, en grand format aussi, d’autres versions déjà vues en petit format. Ici avec un gros œil qui nous observe et une caméra de vidéo-surveillance…
Après le problème de la
Depuis son
Malgré la vigilance des chauffeurs de bus, il risque d’y avoir une collision, et en tout cas, cela vaut force coups de klaxon!
Dans les premières semaines, un panneau indiquait ce nouveau signal et sa fonction…
… mais il a disparu depuis.
Un couloir d’avalanches à Poitiers?
Même s’il y a eu cette année une piste de luge à noël 2013…
… ou d’autres années des difficultés avec la neige…
Il n’est pas sûr que ce signal soit clair!
Toutes les villes qui ont des tramways ont des problèmes avec ces signaux de stop avec deux feux rouges superposés clignotants. L’agglomération de Toulouse a
Les feux clignotants sont associés aux feux oranges clignotants, qui signifient « avancer prudemment », que l’on connaît ici par exemple sur les bornes d’accès réglementées, quand la borne est baissée.
Sinon, quand le signal est rouge, les voitures s’arrêtent plutôt à cause de la borne levée, quand elles ne décident pas de les contourner comme ici
Des feux rouges clignotants ne sont pas utilisés pour les sorties pompier, devant chez moi, ils déclenchent en cas de sortie un feu tricolore classique, vert, orange, rouge. En revanche, j’en ai trouvé un juste à côté de la zone concernée, avec un panonceau d’avertissement « sortie de véhicules ». Je ne l’ai jamais vu fonctionner, il doit servir (ou pas?) lors de livraison de fonds à la banque de France.
Que faire alors? La ville pourrait mettre un panneau d’avertissement un peu en amont, par exemple à la place du panneau publicitaire Decaux. Je n’ai pas trouvé de panneau attention bus, j’ai donc mis un « avertissement tramway »…
… retour au trolleybus qui passaient par là au début du 20e siècle (le monument aux coloniaux a été détruit dans le
Dans le sens descente…
… comme dans le sens montée, (et à l’autre extrémité du viaduc),
Il faudrait également « pré-avertir » ceux qui sortent du parking du TAP, boulevard de Verdun, ils ont déjà du mal à s’arrêter au rond-point à l’intersection du boulevard, alors quand ils déboulent juste ensuite au feu du viaduc, ils ne le voient pas ou ne le comprennent pas…
PS: sinon, tant qu’on est dans ce secteur, j’ai aussi une demande de piéton qui a des problèmes visuels, comme la quasi totalité des personnes âgées et pas mal d’autres personnes même de mon âge…
Quand on descend ce boulevard à pied, dans le sens de la flèche verte, on a de fortes chances de se trouver dans l’axe des dénivelés pour les mini-rampes pour les personnes à mobilité réduite (pour la traversée vers l’îlot central). Je sais bien que les architectes et urbanistes détestent les bandes de contraste, mais elles sont indispensables pour que nous, nous ne tombions pas! Quand on trébuche, même sur 5cm, on peut tomber. Alors, un petit effort que l’on puisse deviner ces ruptures de niveaux???
Et si possible pas avec du goudron qui ne tient pas dans les rainures comme place d’Armes, on ne les vois pas mieux que quand il n’y en avait pas! Je l’avais signalé (voir toujours des
Désolée pour les lecteurs de mon blog, mais je vais encore vous parler d’un problème strictement poitevin, débattu entre amis ces derniers jours. Pour vous situer, j’ai pris une carte
Donc, régulièrement, plusieurs fois par jour selon les riverains immédiats (dont les commerces), des voitures de touristes « et même des Poitevins », selon
D’où viennent ces voitures? Première option (cercle vert n° 2), de la rue Victor-Hugo en tournant le dos à la préfecture. Dans ce cas, il arrive par la flèche noire, se heurte à un panneau sens interdit, « sauf ayants droit » (sic), mais une autorisation pour l’hôtel, les autres doivent tourner à droite dans la
Première option, bis, toujours dans le cercle vert n° 2 du plan. Il vient du début de la rue Théophraste-Renaudot, depuis la rue de la Marne, où il s’est peut-être heurté à un autre accès réglementé. Il a continué dans une rue à la chaussée très dégradée.
S’il marque une balise et non un stop, il n’est pas sûr qu’il voit ce panneau sans interdit, pas bien dans son axe de vision, mais bon, il y a bien un sens interdit et j’en ai vu faire marche arrière une fois bien engagés. [Au passage, je l’avais déjà signalé au moment des travaux, mais une élue m’a répondu sèchement qu’il n’y avait aucun problème, les « bateaux » pour le passage des fauteuils roulants ou des poussettes sont orientés uniquement dans le sens de la rue Victor-Hugo, pas pour traverse cette rue! En fauteuil, pas le droit de vouloir aller d’une portion de la rue Renaudot à l’autre! Un des nombreux points où l’
Un petit panneau interdit de tourner à gauche dans la rue Renaudot améliorerait la situation…
Si malgré les interdictions il s’est engagé, que se passe-t-il face aux bornes (cercle 3 du plan)? Quand il se heurte aux bornes…
… rien ne lui dit qu’il n’a pas le droit de prendre la rue Charles-Gide!!!
Pas de panneau sens interdit ni interdiction de tourner à droite… Ah si, en fait, il y en a un, mais trop haut, mal tourné et donc invisible sauf pour les piétons!
Nous proposons un panneau sens interdit non pas là où il est (flèche rouge) mais plutôt d’un côté ou de l’autre de la rue…
… et une interdiction de tourner à droite un peu en amont…
Dernier cas (cercle 4 du plan), la voiture sort du parking. Là, il a un panneau interdit de tourner à droite, un panneau zone 30 et un stop.
En revanche, s’il veut quand même s’engager (ou pour celui qui s’est engagé depuis le bout de la rue, cas précédent), il n’y a pas de panneau de sens interdit, on peut suggérer les emplacements ici!
Après cet article, j’ai aussi envoyé des photographies au service Pictavie, qui permet à chacun de signaler (par téléphone ou messagerie) des problèmes, je l’utilise assez souvent pour des trous ou des obstacles dans la chaussée, lampadaires grillés en donnant le numéro, etc. Ils m’ont rappelée et mise en relation avec le responsable de la voirie. Nous avons discuté en même temps d’autres problèmes, et il a vite résolu celui de la rue Charles-Gide, et d’autres (voir cet article), il réfléchit aussi à la question du
Si donc il a raté ces avertissements, arrivé au bout de la rue Victor-Hugo (photo de droite), il a un tout nouveau interdit de tourner à droite. Le sens interdit (la flèche) reste peu visible, il pourrait aussi être un peu tourné.
En tout cas, ce dimanche (10 août 2014), vers 10h30, trois voitures en quelques minutes se sont engouffrées en connaissance de cause rue Victor-Hugo sans avoir les autorisations requises: le premier au fond, en train de faire demi-tour, m’a demandé sa route. Je lui ai demandé pourquoi il s’était engagé en sens interdit, il pensait qu’il pourrait passer quand même (« sauf ayant-droits »), qu’il n’y aurait pas la police un dimanche… Oui, pas la police, mais des bornes. EN tout cas, il n’a pas pris le sens interdit, ni les suivants. Et je l’ai accompagné en voiture dans le bon sens jusqu’au parking Carnot / hôtel de ville, pour 50 centimes, il est garé correctement pour rejoindre la banque sur la place… traversée un peu plus tôt en travers par un anglais avec une voiture et une remorque!!! Il sortait de l’hôtel voisin, ils auraient pu lui indiquer le chemin à suivre sans traverser la place piétonne, mais l’hôtelier ne parlait sans doute pas anglais…
Comme annoncé
Croix noire sur son torse, croix blanches sur le T-Shirt des membres de la Compagnie, quelques affichettes « tous en lutte », manifestations discrètes du soutien aux intermittents (et aux grands plans de licenciements en cours dans la région).
Elle s’agenouille…
Elle se relève…
Cachée par les acacias
Elle bondit
Gare au virage
Mission accomplie, elle reprend de l’élan
Épingle à cheveux, attention
Elle passe à deux pas de mon poste d’observation (terrasse du
Au revoir et bravo aux manipulateurs!
Si l’on excepte le cours épisode des
Retour donc sur le viaduc, si le sujet vous intéresse, vous pouvez relire les épisodes précédents, et si vous passez par là, ne grillez pas les feux comme la police (sans gyrophare) et des dizaines de voitures chaque jour, il va finir par y avoir un accident (voir des propositions pour résoudre ce
Donc, après sa mise en service, le principal problème était la séparation des piétons et des cyclistes. Un trottoir pour les uns, un pour les autres, la première signalétique n’était pas claire… Des autocollants sont apparus, d’abord quelques-uns mi-février…
Un chantier tellement peu terminé que l’on pourrait croire que le baudrier de sécurité est obligatoire pour s’engager sur la passerelle de liaison avec le parking et la liaison vers la gare…
Vélos interdits en revanche! Enfin, renseignements pris, ils peuvent passer « pied à terre » pour rejoindre l’ascenseur qui avait été prévu pour monter du boulevard à la passerelle…
Quelques jours plus tard (18 février), les autocollants se multiplient, ceux qui attendent le bus sont toujours en plein vent, sans abri-bus, les murets comme siège… Comme les vélos sont plutôt des habitués, ils commencent à prendre le « bon trottoir », les piétons prennent celui qu’ils veulent…
20 février 2014, une dame est tombée il y a quelques jours sur les trottoirs glissants (une petite gelée, accentuée dans cette zone de courants d’air), et l’a fait savoir dans la presse, un nouveau revêtement est promis pour dans quelques semaines, en attendant, invasion des autocollants! Non mais, ils vont comprendre, les piétons??? Il y a un trottoir qui ressemble à un trottoir mais qui est une piste cyclable interdite aux piétons! Et la chaussée, c’est que pour le bus, il ne faut traverser qu’à l’arrêt de bus ou aux extrémités. Prière de passer du bon côté! Euh, un médiateur, ça serait sans doute plus efficace que les autocollants géants!
11 avril 2014, un curieux quadrillage est soigneusement dessiné à la craie… Son usage va rester mystérieux, les traits rouges en revanche ont sans doute servi de repère à l’opération suivante.
A défaut d’inauguration officielle (février), une plaque avec les financeurs, dont l’Europe (grosse pub, drapeaux etc., les européennes pointent à l’horizon), est posée en petit comité.
26 mai 2014. Presque 3 mois après l’ouverture du viaduc, les abribus n’ont toujours pas de parois ni de toit, et
De nouveaux ouvriers apparaissent, ils posent des graviers enrobés dans une résine qui pue (même avec mes
29 mai 2014, le trottoir « piétons » est terminé, il y a de curieuses rainures tous les 50 centimètres. J’en ai demandé la fonction à la mairie, pas de réponse pour l’instant, mais c’est option « tape-cul » si vous êtes en fauteuil roulant… Pourtant, je pense que c’est pour eux qu’ils ont été mis en place, car il y a une longue pente d’ouest en est sur ce trottoir, sans possibilité de repos, pas de plateforme à plat ni de main courante à la bonne hauteur pour se retenir. En mettant le fauteuil perpendiculaire au sens de circulation, il est quand même possible de s’arrêter. Les rainures ont sans doute une fonction anti-recul dans la tête de ceux qui les ont conçues (elles n’existent pas côté cyclistes), c’est raté, ça donne surtout une obligation d’effort supplémentaire pour franchir chacune! En plus, le revêtement avec les graviers est très peu « roulant », beaucoup de frottements… Bon, j’avais donné début juin mes disponibilités jusqu’au 14 juillet pour un rendez-vous au service handicap et avec les élus concernés pour discuter de ces problèmes et de ceux évoqués par ailleurs (revoir
Voici côté vélos, pas de rainures (juin 2014). Au fait, il n’y a plus d’autocollants pour dire où doivent aller les vélos et les piétons, seulement les petites marques côté est (ville), et rien côté ouest!
19 juin 2014, les abribus ont enfin un toit et des parois, les horaires papier sont toujours positionnés le plus loin possible des voyageurs. certes, un téléviseurs a été mis en place sous l’abribus, mais ces dernières semaines, il a plus souvent affiché « chargement en cours » que les horaires…
Et maintenant? Hier (12 juillet 2014), à la sortie de la passerelle de liaison, vous voyez la distance pour aller consulter les horaires…
Les abribus sont très mal conçus. Pas fermés à l’ouest (au bout de la photo), ils ne protègent pas du vent. Les « assis-debout » sont très inconfortables!
Du coup, il est plus confortable de s’asseoir sur les murets, s’il ne pleut pas.
Côté ouest, le cheminement piétons et cyclistes n’est pas explicité…
Comme je vous le disais l’autre jour avec le
il y a aussi un nouveau « mouton-papillon », en deux versions colorées…
… ou bien s’est un effet de la pluie sur les encres? (je ne pense pas)
J’ai bien rigolé à cette version avec un mouton qui pisse dans l’urinoir de Marcel Duchamps (R. Mutt, Fontaine, 1917), première œuvre reconnue du ready-made. J’en ai vu plusieurs, mais mon préféré est celui collé sur un « cani-site »… Le message? « dans l’art, il y a ceux qui marquent leur temps… et ceux qui marquent leur territoire ».
Car M. Mouton a de l’instruction! Il a aussi personnalisé la page du mois de juillet des riches heures du duc de Berry où l’on voit le château (détruit, il reste quelques tours dont celle de la porte de Paris qui n’est pas que le repère d’un carrefour complexe!), la moisson au centre et… la tonte des moutons au premier plan! Bien vu!
Sinon, il y a aussi une ombre qui regarde des moutons…
… et des versions déjà vues mais tirées en grand sur des façades de magasins!
Depuis quelques jours (et il y a quelques mois), la presse et les collectivités locales nous ont rebattu les oreilles avec les Championnats de France 2014 de cyclisme sur route, « à Poitiers et au 
Dimanche, 10h15, je fais un crochet par le 
En janvier 2010, je vous ai présenté l’
La pierre est désormais bien blanche, avec sur la série de photographies de janvier quelques algues vertes, réaction normale après restauration quand la pierre n’est plus protégée par son calcin, qui va se reformer peu à peu. J’ai déjà parlé de ce phénomène à propos de l’
Du coup, la lucarne gauche est désormais bien lisible, elle m’a un peu surprise dans sa composition, et j’ai demandé à
En façade, l’ornementation se concentre traditionnellement sur la porte d’entrée et sur les lucarnes, dont la richesse décorative exprime celle du bâtisseur de la demeure, son importance sociale comme son opulence financière.
La lucarne d’angle est très intéressante. D’abord il s’agit d’une lucarne double, comportant une ouverture sur chaque façade.


