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Mélanges de saveurs… lentilles roses et fanes de carottes

Cuisine mélange de saveurs, 1, fanes de carottes

Je vous sens intrigués par le titre de cet article… Tout a commencé vendredi dernier, la botte de carottes de mon panier (venant de chez Fermopanier), avait des fanes trop beaux pour être emportés sur le compost de mon jardin. Il m’est déjà arrivé d’en mettre dans la soupe, mais je voulais voir s’il existait d’autres recettes… Et là, pas de problème, le moteur de recherche m’a trouvé plein de propositions, dont une quiche qui ressemble à la quiche aux fanes de radis. Après un temps d’hésitation, j’ai opté pour ce Pesto aux fanes de carottes trouvé chez Midinette. Je n’avais pas d’huile de mandarine ni d’écorce de mandarine (ce n’est pas encore la saison), j’ai donc mis juste de l’huile d’olive…

Cuisine mélange de saveurs, 2, bouchées aux lentilles Par ailleurs, en prévision d’un prochain apéro dînatoire, je voulais tester une recette de bouchées aux lentilles corail… La recette est très simple, trouvée chez Tentations culinaires. Pour la couleur, l’originalité… J’ai préparé la moitié des proportions, cela m’a donné douze petites bouchées (en forme de cannelés) et deux plus grosses.

Cuisine mélange de saveurs, 3, bouchées aux lentilles et pesto de fanes de carottes Voici le résultat final… (plus un port de 150g de pesto). Ce que j’en pense? Pour le pesto, il est excellent (et pour information, ce qui n’a pas été utilisé pour le pesto a fini dans une soupe verte, avec les tiges d’épinards, du poireau et des pommes de terre). Pour les bouchées, je les trouve trop roboratives… Il faut que je trouve une autre recette originale pour cet apéro à venir… Je suis preneuse d’idées qui sortiraient de l’ordinaire…

Avec les lentilles corail, j’ai aussi cuisiné des pancakes aux flocons d’avoine et lentilles.

Cuisine mélange de saveurs, 4, grattin de brocolis Ah, et comme je n’aime pas utiliser un four à moitié vide, j’en ai profité pour gratiner en même temps des brocolis avec juste un peu de béchamel. La saison des choux sous toutes leurs formes arrivant, si vous avez des recettes autres que les soupes, quiches et gratins avec les choux, je suis aussi preneuse pour tester!

La saison des coings… Gelée et pâte de coings

Pâte de coing La saison des coings bat son plein… Un ami m’en avait donné un gros sac, direction la cuisine… Cette année, j’ai pris une recette qui permet de faire d’un coup ou presque la gelée et la pâte de fruits.

Première étape, la préparation de base : cuire les coings après les avoir épluchés sans se couper le doigt ou presque (euh, oui, j’ai un peu entaillé mon pouce…), enlever le milieu dur, mettre les épluchures, les pépins et les parties dures dans un nouet (une mousseline nouée) dans la bassine à confiture (j’utilise la cocotte minute ouverte), ajouter les coings coupés en morceaux, mettre de l’eau à ras, et cuire « au pif » jusqu’à ce que l’on puisse enfoncer facilement le couteau dans les fruits, disons 20 à 30 minutes.

Deuxième étape, la gelée de coings : enlever le nouet (cette partie a joué son rôle en libérant la pectine des fruits), récupérer le jus de cuisson (le réduire si nécessaire, pour avoir environ 1/3 du volume d’eau mis au départ, mais une partie s’est déjà évaporée à la cuisson) et extraire le jus des fruits. Pour cela, j’utilise un extracteur manuel simplissime, je mets les fruits dans un filet de gaze qui se serre sur une sorte de tuyau en bois (j’aurais dû faire une photo), cela permet d’avoir un jus bien clair. Je ne la fais pas trop sucrée : 750 à 800 g de sucre pour 1 kg de jus, un jus de citron. Cuisson rapide (10 à 15 minutes environ, vérifier le perlé sur une assiette bien froide), mise en pot… Utiliser du sucre cristal normal, pas du sucre à confiture, puisque vous avez récupéré dans l’eau de cuisson la pectine des coings…

Troisième étape, la pâte de coings : prendre la pulpe des fruits, réduire en compote si besoin (j’ai passé un coup au robot mixeur…). Ajouter la même quantité de sucre, cuire à feu doux/moyen en remuant toujours entre 30 et 45 minutes (pas très précis, mais ça dépend surtout de la teneur en humidité des coings et de la capacité à extraire le jus pour la gelée), la pâte devient… pâteuse! Elle doit former une boule sans coller à la paroi de la casserole. L’étaler sur 2cm d’épaisseur environ, laisser refroidir et prendre une nuit au frais. Je trouvais qu’elle était encore un peu trop molle, je l’ai mise à sécher dans un plat au four à 100° pendant 1h. Ensuite, il n’y a plus qu’à la découper, remettre un peu de sucre pour la déco, et ranger au frais si vous ne la dévorez pas immédiatement!

Speculoos et bières…

Speculoos et pâte à tartiner aux speculoos Pour cet Octobre, le mois Fritissime,j’ai fait une descente au magasin M…x du coin (là où je fais mes courses habituellement, plus cher qu’en dehors de la ville, en apparence, mais moins cher si l’on considère que l’on achète que ce que l’on a besoin avec un temps de transport nul, puisque c’est sur mon chemin habituel à pied entre le bureau et chez moi). Au rayon biscuits, des spéculoos. Au rayon sucre, inutile, il n’y a pas de vraie cassonade belge (de la vergeoise qui fait des boules). Au rayon pâtes à tartiner, surprise, il y a la fameuse pâte croquante aux fragments de speculoos dont Monique / Bidouillette / Tibilisfil nous a parlé plusieurs fois… Je ne l’avais jamais remarquée (mais ce n’est pas un rayon que je fréquente d’habitude…).

Bières ch'ti et belges Du côté de la bière, je me suis limitée à quelques spécimens en cannettes en verre et en alu… Tant pis pour la pub, il y a beaucoup d’autres marques ch’ti ou belges (et aussi des non-fritissimes!), mais là, j’ai déjà du stock pour un moment, .

Logo de Octobre, le mois Fritissime Cet article entre dans le cadre de Octobre, le mois Fritissime, organisé par Schlabaya / Scriptural et Elizabeth Bennet, à retrouver sur Facebook : Le lion des Flandres, Tintin, Max Havelaar : vive le mois des 17 provinces! Il s’agit au cours du mois de parler de tout ce que l’on veut en rapport avec les 17 anciennes provinces annexés par Charles Quint et les états de Bourgogne… et qui constituent aujourd’hui à peu près le Nord-Pas-de-Calais, la Belgique, les Pays-Bas et le Luxembourg.

Quiche aux fanes de radis

Tarte façon quiche avec tomates, oignons et fanes de radis Jusqu’à présent, j’utilisais les fanes de radis (du Fermopanier ou de mon jardin) en soupe. Je les réduis à la poêle (attention, ça fond comme l’oseille ou les épinards) avec de l’ail, et hop, au congélateur en attendant l’hiver et ses soupes…

Une nouvelle recette de Criquette m’a tentée. Une quiche aux fanes de radis et aux tomates.

J’ai suivi sa recette, enfin, plus ou moins. Pour la pâte, une pâte brisée maison (il m’en restait une congelée, je mets un fonds de papier sulfurisé dans la tourtière, ça colle moins pour le service et la vaisselle). Pour la prochaine fois, je retiens son idée d’ajouter des herbes de Provence à la pâte. Pour la garniture, je n’ai pas mis de courgette (c’est la fin de la saison), mais des oignons avec des tomates (il y en avait encore de grosses dans le panier la semaine dernière, elles ont rendu beaucoup de jus, du coup, j’ai les ai laissé rendre leur eau avant de les mettre sur la pâte). Le double d’ail que dans la recette avec les fanes de radis (je ne savais pas trop quelle épice mettre à la place du sel avec cette recette, ail et oignons, c’était parfait). Pas d’anchois, trop salées pour moi, ni de fromage (j’en avais déjà mis sur le gratin de pâtisson, suffisant pour la semaine).

Verdict: excellent! Je recommencerai!J’ai aussi fait une variante avec des verts d’oignons.

Poulet rôti, pâtisson et poires à la grenadine

Poulet rôti, pâtisson et poires à la grenadine Pour inaugurer Octobre, le mois Fritissime, organisé par Schlabaya / Scriptural, j’ai voulu essayer de faire des poires à la grenadine comme les faisait ma nounou (à Mouchin, près de Lille). Quand nous étions petits, ou plus tard, quand nous étions malades et que nous allions chez elle, un de nos plats préférés était le poulet avec des frites et des poires à la grenadine… Bon, pour la recette des poires à la grenadine, j’ai battu le rappel… Mon frère m’a dit qu’il fallait absolument trouver de la grenadine rouge, et mon père est passé chez nounou pour avoir sa recette… Voilà les consignes:

« c’est très simple m’a dit Nounou : Il faut prendre des conférences, les éplucher les couper en 4 et les faire cuire directement dans le sirop de grenadine, pas trop longtemps (elle ne peut pas dire le temps, c’est au jugé, mais pas trop longtemps autrement ça se démêle) ». Précision, il faut mettre les poires dans la grenadine pure… Le résultat est pas mal, mais les poires moins rouges que dans mon souvenir, il doit y avoir moins de colorants dans le sirop aujourd’hui…

Pâtisson Bon, pas question de préparer des frittes frites (un seul t, merci papa), je n’en fais jamais. Mais j’avais eu un pâtisson (en plus des poires, et plein d’autres bonnes choses) dans mon panier de légumes de chez Fermopanier. Cela fait quelques années que j’ai découvert ce légume. La première fois, j’avais bêtement voulu l’éplucher… Galère, la peau est dure! Le maraîcher m’avait expliqué la semaine suivante… Comme pour le potimarron, on le cuit en entier dans l’eau bouillante, 40 à 45 minutes selon la grosseur. Ensuite, en général, j’en fais une purée gratinée (cette fois dans un plat à gratin, sinon, directement dans la coque): on décalotte le potimarron, on récupère la chair (en enlevant les graines), sans percer la coque, mais comme elle est très dure, pas difficile. Ensuite, préparer une purée (avec du lait, un peu de beurre, de la noix de muscade comme je ne sale pas), je remets le tout dans la coque, un peu de fromage à gratiner (je prends une version peu salée), et au four une dizaine de minutes… (cette fois, je l’ai coupé en deux pour le cuire…).

Pour le poulet, comme tout le monde, un peu d’huile, du beurre entre les cuisses et le corps, et cuisson la moitié du temps sur une cuisse, puis sur l’autre, ça donne un poulet bien cuit!

Voir d’autres recettes: poulet rôti sur lit de tomates cerises, poulet au cidre et aux légumes nouveaux, coquelet au cidre, et une comparaison du prix du poulet.

Logo de Octobre, le mois Fritissime Cet article entre dans le cadre de Octobre, le mois Fritissime, organisé par Schlabaya / Scriptural et Élisabeth Bennet, à retrouver sur Facebook : Le lion des Flandres, Tintin, Max Havelaar : vive le mois des 17 provinces! Il s’agit au cours du mois de parler de tout ce que l’on veut en rapport avec les 17 anciennes provinces annexés par Charles Quint et les états de Bourgogne… et qui constituent aujourd’hui à peu près le Nord-Pas-de-Calais, la Belgique, les Pays-Bas et le Luxembourg.

Un peu de cuisine… légumes farcis et tôt-fait

Tomates et poivrons farcis

Lundi dernier, j’avais réservé un panier de chez Fermopanier. Livré vendredi à l’amicale du bureau… En voyant les 6 tomates moyennes et les deux poivrons, la recette de légumes farcis proposée il y a quelques jours par Criquette m’a semblé idéale. Bon, il me fallait un peu de préparation, aller tôt au marché le samedi matin pour avoir une chance d’avoir de la chair à saucisse non préparée et surtout non salée (juste la viande de porc maigre et grasse hachée), régime sans sel oblige… J’en ai pris 400g (et non le kg de la recette de Criquette, pour compenser, j’ai mis le double de riz…). Et aussi de passer au jardin (pour celles qui ne viennent pas souvent, à un gros quart d’heure à pied depuis mon appartement) pour profiter du samedi après-midi ensoleillé… et rapporter du persil et de la livêche (depuis deux ans que je l’ai, je ne peux plus m’en passer, cela rehausse tellement la cuisine!). Et aussi de la sauge officinale et de la sauge ananas (du pied offert par Emmanuelle / le Marquoir d’Élise…). Je n’avais pas de fond de veau au congélateur (du maison, celui du commerce est toujours salé), du coup, j’avais aussi prévu le coup. Vendredi soir, j’avais fait cuire les champignons. 500g dans le panier, pour un repas du soir, il m’en faut 350g. J’ai tout fait cuire, mis de côté 150 g environ, et surtout pas réduit le jus de cuisson, réservé pour mes légumes farcis. J’ai aussi éliminé la crème fraîche, la chapelure et le fromage râpé. Bon, du coup, ma recette est un peu différente de celle de Criquette, mais avec le même principe, cuisson en deux temps, pré-cuisson et cuisson plus courte au four, et ça, c’est une excellente idée!

Bon, alors, du coup, voici comment j’ai fait…

400g de chair à saucisse non préparée

6 tomates moyennes

2 poivrons

200 g de riz

1 œuf

100 ml de jus de cuisson des champignons

1 oignon

2 gousses d’ail

livêche, persil, sauge officinale et sauge ananas

poivre

Dans le compartiment du bas de mes faitouts (j’en ai un, en bas, cuisson à l’étouffée, en haut, cuisson vapeur, je vous ferai une photo si vous êtes curieux):

– creuser les tomates, réserver le chapeau, et les poivrons (vue leur forme, j’en ai fait un vertical et un horizontal). Si vous avez du mal à digérer la peau du poivron, l’éplucher (passage au gril, puis dans un sac plastique quelques minutes, la peau part toute seule), pour moi, aucun problème, j’ai donc sauté cette étape

– faire dorer l’oignon coupé en petits morceaux et la gousse d’ail dans un peu d’huile (très peu) dans le compartiment du bas

– ajouter la chair des tomates, les deux sauges, le jus des champignons, la sauge. Cuire 7/8 minutes

– ajouter le riz, cuire 10 minutes

– et en même temps, mettre les coques des tomates et le poivron dans le bac vapeur.

– réserver les coques dans le plat à mettre au four

– laisser gonfler le riz

– préparer la chair à saucisse : un peu de poivre, persil et livêche ciselés, œuf, bien mélanger à la fourchette

– enlever la sauge, ajouter le mélange de chair à saucisse préparée dans le faitout, j’ai laissé 5 minutes

– mettre la farce dans les légumes, j’ai mis le reste sur le bord du plat, mettre les chapeaux (crus pour les tomates, pré-cuit pour le poivron)

– enfourner (th. 6/ 180°) pendant 25 minutes.

C’était super bon!!!

Tôt fait aux tomates cerises et aux champignons Avec le reste des champignons (voir au tout début de l’article) et les tomates cerises et mini-poires jaunes (récolte du balcon, comme celles-ci), j’ai voulu changer du cake ou du flan. J’avais mis de côté une recette de tôt-fait prise dans un magazine… Vite fait, c’est sûr, mélanger 150 g de farine, 100 g de beurre fondu, 3 œufs, 1/2 sachet de levure chimique. Ajouter les champignons (donc déjà cuits pour moi), du poivre (j’ai sauté le sel, mis à la place 1 cuiller à soupe d’herbes de Provence), mettre dans un plat, ajouter les tomates cerises, et hop, 25 minutes au four à thermostat 6 (180°). Bilan, c’est très bon (avec une simple salade verte)… mais gras (vous voyez le surplus de beurre juste à la sortie du four)! Si vous avez une recette pour varier du cake ou du flan, je suis preneuse!

PS: depuis, j’ai aussi testé une quiche avec des tomates-cerises.

Un gratin selon la recette de Criquette

Gratin d'été selon Criquette

Il y a quelques jours, Criquette a proposé une recette de gratin d’été (la recette est ici), inspirée d’une recette d’un magazine de télévision. Froid, humide, mais avec des légumes d’été plein le marché, je me suis lancée en adaptant un peu… Je n’ai pas mis de champignons (j’en avais pris au marché mais je les ai mangés la veille en omelette), j’ai ajouté une aubergine, un piment et un poivron vert, pas mis le fromage aux herbes (le fromage râpé suffit largement pour ma dose de sel autorisée). Il y a donc aussi des tomates, des courgettes et de la semoule. Excellent!

Mangue amère de Bulbul Sharma

Couverture de Mangue amère de Bulbul Sharma pioche-en-bib.jpg logo du chalenge 1% rentrée littéraire 2010 La médiathèque commence à acheter et recevoir les livres de la rentrée littéraire 2010, je peux donc commencer sérieusement le challenge du 1 % rentrée littéraire 2010, repris par Schlabaya.

logo tour du monde en lecture Et je fais d’une pierre deux coups, ce livre entrant dans le cadre du défi du tour du monde des livres, organisé par Livresque, au titre de l’Inde.

Le livre : Mangue amère de Bulbul Sharma, traduit de l’anglais (Inde) par Mélanie Basnel éditions Philippe Picquier, septembre 2010, 171 pages, ISBN 978-2809702002.

L’histoire : en Inde aujourd’hui. Pour l’anniversaire des funérailles de Bharueai Jog, il convient que des femmes de sa famille (huit ici, menées par Badibua préparent un repas constitué de ses mets préférés, ce qui leur prendra de l’aube à l’heure du déjeuner. En épluchant les légumes puis en préparant les divers plats, chacune de ces femmes prend la parole à tour de rôle pour raconter une anecdote, une histoire qui met en scène une femme, presque toujours mariée dans le cadre d’un arrangement, vivant selon la tradition dans la belle-famille et dans une relation à la nourriture et à la préparation des repas.

Mon avis : un livre que j’ai dévoré, même si, après avoir lu la dernière histoire, je n’aurais eu droit qu’à un curry ultra-léger réservé aux malades et à ceux qui n’ont jamais vécu en Inde! Mais les piments ne sont pas que dans les plats, ils sont aussi dans les histoires, qui montrent une Inde traditionnelle, la femme soumise à sa belle-famille (et surtout la belle-mère) et aux prêtres de divers temples. Mais aussi la ruse de ces femmes pour prendre le contrôle de leur mari, qu’elles n’ont souvent pas choisi. L’exil pour les études ou le travail, en Inde ou aux États-Unis, des hommes surtout, est aussi évoqué au fil de ces pages qui cachent derrière un ton badin une réalité profonde et difficile pour ces femmes. Un livre à lire absolument si vous le trouvez !

Expédition Glen Baxter à Poitiers (12 juin 2010), le livre

Couverture du safari historico-gastronomique en Poitou-Charentes de Glen Baxter À l’occasion de l’expédition Glen Baxter à Poitiers (du 12 juin au 12 septembre 2010), les éditions Atlantique ont sorti un livre bilingue avec tous les dessins tirés du safari historico-gastronomique en Poitou-Charentes et un texte d’Alberto Manguel. Mon exemplaire est bien sûr dédicacé, ainsi que celui que j’ai envoyé à Zazimuth.

Le livre : Le safari historico-gastronomique en Poitou-Charentes, dessins de Glen Baxter, texte d’Alberto Manguel, édition bilingue traduite de l’anglais par Christine Le Bœuf, éditions Atlantique (éditions de l’actualité scientifique de Poitou-Charentes), 17 pages, ISBN 978-2-911320-41-5.

Mon avis : j’aime bien avoir l’ensemble de ces dessins décalés (humour anglais, Non-Sense, ou autre, ce fut l’objet aussi d’une conférence dans le cadre de cet événement…) regroupés dans un seul volume. Même si j’ai quasiment tous les numéros de l’actualité Poitou-Charentes, voir cette quarantaine de dessins regroupés -sans oublier leur légende – est très rigolo… Très utile à la fin, par Jean-Luc Teradillos, une petite explication de tous les plats qui ont fait l’objet d’une chronique ces dix dernières années, avec de nombreux extraits des textes de Denis Montebello, qui a aussi participé à l’expédition du 12 juin 2010 et lu l’un de ses textes regroupés dans Fouaces et autres viandes célestes (je vous en ai parlé il y a déjà longtemps).

Dédicace de Glen Baxter sur le safari historico-gastronomique en Poitou-Charentes Retrouvez tous mes articles sur Glen Baxter