Archives de catégorie : Lecture / BD

Les bandes dessinées que j’ai lues et le classement mensuel du top BD des blogueurs.

Top BD de janvier 2011

Logo top BD des blogueurs 2011Pour janvier 2011, le classement du TOP BD des blogueurs proposé par Yaneck / Les chroniques de l’invisible a connu beaucoup de bouleversements, en raison de l’arrivée de nouveaux chroniqueurs. Merci à Yaneck / Les chroniques de l’invisible pour ces savants calculs et cette organisation. Je vais lire certains de ces nouveaux titres. Les BD que j’ai lues sont toujours en gras et les liens vers mes avis après ceux du classement. Mes chroniques BD sont regroupées dans la catégorie pour les BD et par auteur sur la page BD dans ma bibliothèque.

1- (N) Le journal de mon père, Jiro Taniguchi, Casterman, 19.67

2- (N) Persépolis, Marjanne Satrapi, L’Association, 19.38

3- (N) Batman Dark Knight, Frank Miller, Delcourt, 19

4- (+) Astérios Polyp, David Mazzuchelli, Casterman, 18.88

5- (+) Watchmen, Alan Moore, Dave Gibbons, Delcourt, 18.88

6- (=) Maus, Art Spiegelmann, Flammarion, 18.78, j’ai parlé ici du tome 1 : mon père saigne l’histoire, et du tome 2, Et c’est là que mes ennuis ont commencé

7- (+) Universal War One, Denis Bajram, Soleil, 18.58, Tome 1, Tome 2, Tome 3, Tome 6.

8- (+) Le Grand pouvoir du Chninkel, Jean Van Hamme, Gregorz Rosinski, Casterman, 18.5

9- (+) V pour Vendetta, Alan Moore, David Lloyd, Delcourt, 18.44

10- (N) Black Hole, Charle Burns, Delcourt, 18.33

11- (+) Quartier Lointain, Jiro Taniguchi, Casterman, 18.2, je l’ai lu aussi, voir mon avis

12- (+) Blankets, Craig Thompson, Casterman, 18

13- (+) Pinocchio, Winschluss, Les Requins Marteaux, 18

14- (N) L’ascension du haut-mal, David B, L’Association, 18, Tome 1,

15- (+) Trois Ombres, Cyril Pedrosa, Delcourt, 17.83

16- (+) Pyongyang, Guy Delisle, Decourt, 17.79, j’en ai parlé ici

17- (=) De cape et de crocs, Alain Ayroles, Masbou, Delcourt, 17.75, Tome 1, Tome 2, Tome 3, Tome 4, Tome 5, Tome 6, Tome 7, Tome 8, Tome 9,

18- (+) La mémoire dans les
poches, Luc Brunschig, Etienne Leroux , Futuropolis, 17.7, Tome 1, Tome 2,

19- (+) Un ciel radieux, Jirô Taniguchi, Casterman, 17.7

20- (=) L’âme du Kyudo, Hiroshi Hirata, Delcourt, 17.67

21- (N) Omni-visibilis, Lewis Trondheim, Matthieu Bonhomme, Dupuis, 17.63

22- (=) Nous ne serons jamais des héros, Olivier Jouvray, Frédérik Salsedo, Le Lombard, 17.53

23- (=) Un homme est mort, Kriss, Etienne Davodeau, Futuropolis, 17.5, je l’ai lu ici

24- (N) Quai d’Orsay tome 1, Abel Lanzac, Chrisophe Blain, Dargaud, 17.5

25- (-) Le signe de la lune, Enrique Bonet, José Luis Munuera, Dargaud, 17.43

26- (+) Batman the killing Joke, Alan Moore, Brian Bolland, Panini Comics, 17.38

27- (+) Le sommet des dieux, Yumemuka Bura, Jirô Taniguchi, Casterman, 17.38, Tome 1,Tome 2,

28- (-) Undercurrent, Tetsuya Toyoda, Kana, 17.38

29- (+) Kick-Ass, Mark Millar, John Romita Jr, Panini Comics, 17.35, Tome 1, Tome 2

30- (-) Couleur de peau miel, Jung, Soleil, 17.33, Tome 1, Tome 2, j’ai parlé ce mois-ci du tome 1 et le tome 2

31- (=) Rides, Pablo Roca, Delcourt, 17.33

32- (=) Batman Guerre au crime, Paul Dini, Alex Ross, Soleil,17.33

33- (-) Je mourrai pas gibier, Alfred, Delcourt, 17.3

34- (-) Walking Dead, Robert Kirkman, Tony Moore, Charlie Adlard, Delcourt, 17.25, Tome 1, Tome 2, Tome 3,

35- (+) Pluto, Naoki Urasawa, Kana, 17.17, Tome 1, Tome 3, Tome 4,

36- (N) Elle ne pleure pas elle chante, Eric Corbeyran, Thierry Murat, Delcourt, 17.17

37- (N) L’orme du Caucase, Jiro Taniguchi, Casterman, 17.17

38- (=) Ayako tome 1, Osamu Tezuka, Delcourt, 17.13

39- (+) Où le regard ne porte pas, Georges Abolin, Olivier Pont, Dargaud, 17, Tome 1, Tome 2.

40- (=) L’orchestre des doigts, Osamu Yamamoto, Editions Milan, 17, Tome 1, Tome 2, Tome 3, Tome 4. .

41- (+) Corto Maltese, Hugo Pratt, Casterman, 16.95, Tome 1, Tome 2,

42- (+) Chroniques Birmanes, Guy Delisle, Delcourt, 16.93, vous pouvez relire mon avis

43- (-) Death Note, Tsugumu Ohba, Takeshi Obata, Kana, 16.88, Tome 1, Tome 2, Tome 3,

44- (-) Jéronimus, Christophe Dabitch, Jean-Denis Pendanx, Futuropolis, 16.88, Tome 1, Tome 2, Tome 3.

45- (=) Terre-Neuvas, Christophe Chabouté, Vents d’Ouest, 16.86

46- (N) Fais péter les basses Bruno!, Baru, Futuropolis, 16.86, je l’ai aussi lu

47- (N) Cancer and the City, Marisa Acocella Marchetto, L’Iconoclaste, 16.83

48- (N) Page Noire, Denis Lapierre, Franck Giroud, Ralph Meyer, Futuropolis, 16.83

49- (+) Rosalie Blum, Camille Jourdy, Actes Sud , 16.82, Tome 1, Tome 2, Tome 3.

50- (-) Ikigami, Motorô Mase, Kazé Manga, 16.75, Tome 1, Tome 2

Geronimo (2) de Davodeau et Joub

Couverture du tome 2 de Geronimo, de Davodeau et Joub pioche-en-bib.jpgJ’ai emprunté à la médiathèque le tome 2/3 de la série Geronimo de Davodeau et Joub (voir ici le tome 1 et le tome 3).

Le livre : Geronimo, tome 2 de d’Étienne Davodeau et Joub (scénario et dessin), éditions Dupuis, 2010, 56 pages, 9782800146607.

L’histoire : alors que son oncle est hospitalisé, Geronimo, 16 ans, part en vacances à la mer avec ses nouveaux amis (voir tome précédent). Lui qui a été élevé « en Indien » par son oncle (sa mère est morte peu avant sa naissance, qui n’a d’ailleurs pas été déclarée, il ne connaît pas son père), à l’écart du monde moderne, va aller de découverte en découverte : les filles, la plage, le scooter, la brique de lait, Jésus (« c’est qui le type en slip sur la croix »)…

Mon avis : comme le reste de la série (et des titres écrits par Davodeau seul), sous une histoire en apparence banale les auteurs invitent le lecteur (ici, ce sont les adolescents qui sont les lecteurs visés) à réfléchir au monde actuel… A-t-on vraiment besoin d’un t-shirt de marque? Si on fait de la pub pour la marque, ne devrait-il pas être moins cher plutôt que plus cher? Bon, je suis plutôt tendance no-logo sur ce coup là… La brique de lait? Dégueulasse mais pratique, il n’a pas tort, le Géronimo… Le samedi (ou le dimanche), j’essaye d’acheter un vrai bon lait cru à un producteur au marché, car il n’y a pas encore de retour des fermes en ville, quoique… les animaux ont pris leurs quartiers de décembre autour de Notre-Dame-la-Grande ! Certes, il faut le faire bouillir, c’est plus long que d’ouvrir la fameuse brique et de mettre le bol au micro-onde, mais c’est tellement meilleur!

Pour découvrir l’auteur : voir le site d’Étienne Davodeau, que je trouve très riche… et la venue à Poitiers de l’auteur.

Pour rappel, je vous ai parlé de nombreux albums d’Étienne Davodeau

de Kris et Davodeau

et de Davodeau et Joub

Logo top BD des blogueurs 2011 Cette BD sera soumise pour le classement du TOP BD des blogueurs organisé par Yaneck / Les chroniques de l’invisible. Mes chroniques BD sont regroupées dans la catégorie pour les BD et par auteur sur la page BD dans ma bibliothèque.

Dessiner le travail… Soirée avec Etienne Davodeau

Affiche du deuxième festival Filmer le travail à Poitiers Jeudi dernier, j’ai délaissé le festival Télérama et préféré assister à l’inauguration de l’exposition d’Étienne Davodeau à l’espace Mendès-France à Poitiers (jusqu’au 6 février 2011) intitulée dessiner le travail (entrée libre), en lien avec le deuxième festival Filmer le travail qui commencera à la fin de cette semaine à Poitiers. Après l’inauguration et les discours officiels a eu lieu une très intéressante table ronde co-organisée avec l’association 9ème Art en Vienne avec Étienne Davodeau bien sûr, Richard Leroy, un viticulteur chez qui il travaille actuellement pour son prochain album (PS de janvier 2012, il est maintenant paru, voir les ignorants), Jean-Claude Loiseau, critique BD à Télérama et Jean-Paul Gehin, sociologue animant Filmer le travail (en remplacement de Gérald Gorridge, enseignant BD à l’école supérieure de l’image). Il fut aussi question des éditions Flbl et de la fermeture prochaine du Feu rouge, dans la Grand’Rue, une petite librairie indépendante qui hélas ne peut à la fois payer le loyer et dégager un salaire… À noter que Flbl, avec Lucie Castel au graphisme et Thomas Dupuis à l’illustration, a réalisé la charte graphique, l’affiche et les autres éléments de communication du festival Filmer le travail.

Côté exposition, il y a des planches originales et des reproductions notamment des mauvaises gens (je ne l’ai pas lu mais acheté – avec dédicace lors du pot qui a suivi), de Rural, etc. Pour rappel, je vous ai parlé de nombreux albums

d’Étienne Davodeau

Davodeau et Joub

Kris et Davodeau

Pour découvrir l’auteur : voir le site d’Étienne Davodeau, que je trouve très riche…

Couleur de peau : miel (tome 1) de Jung

Couverture de Couleur de peau meil, tome 1, de Yung pioche-en-bib.jpgDepuis le début de ma participation au TOP BD des blogueurs organisé par Yaneck / Les chroniques de l’invisible, ce titre figure en tête de classement, mais c’est finalement un avis de Theoma. Je l’ai emprunté à la médiathèque. Si vous voulez mon avis sur la suite, il suffit de suivre le lien… ainsi maintenant que pour l’adaptation au cinéma puis le tome 3.

Le livre : Couleur de peau : miel, tome 1 de Jung (scénario et dessin), Collection : Astrolabe, éditions Quadrant (Soleil), 2007, 144 planches noir et blanc (plus, en fin de volume, 5 pages de biographie sur Jung et 3 d’éditorial de Quadrants), 978-2-84946-950-7.

L’histoire : 2007, en Belgique. Jung décide de partir à la recherche de ses origines. Retour en arrière, à Séoul, à la fin des années 1960, donc bien après la séparation des deux Corée. Jun Jung-sik, 5 ans, erre dans les rues, chaparde pour vivre quand un policier l’attrape et l’emmène au Holt, un grand orphelinat américain où il va rester que 2 mois, matricule 8015, couleur de peau : miel. Les enfants semblent tous trouver très vite des parents d’adoption et se dispersent aux quatre coin du monde. Jung arrive dans une famille belge, où il y a déjà quatre enfants. Une éducation sévère, une mère qui ne semble pas l’aimer, les jeux avec ses frère et sœurs, l’arrivée à l’école, les copains, les bêtises, toute une enfance avec en arrière plan l’image de cette mère qui l’a abandonnée…

Mon avis : Jung raconte avec beaucoup d’humour sa vie en Corée, l’orphelinat, le déracinement, l’arrivée en Belgique dans une famille déjà constituée. Pas vraiment aimé par ses parents et notamment sa mère, mais il fait quand même toutes les bêtises des enfants de son âge, fui les autres enfants adoptés… Car si la Corée du Sud est aujourd’hui un pays riche (ce qui ne devait pas être le cas à la fin de la guerre de Corée), elle fut et reste un pays où l’on abandonne énormément d’enfants, d’après ce qui est dit dans la postface. Une belle réflexion sur l’adoption, le sentiment d’abandon, la double identité. J’ai hâte de lire le deuxième tome (PS: vous pouvez maintenant découvrir mon avis sur le tome 2).

Logo top BD des blogueurs 2011 Cette BD sera soumise pour le classement du TOP BD des blogueurs organisé par Yaneck / Les chroniques de l’invisible. Mes chroniques BD sont regroupées dans la catégorie pour les BD et par auteur sur la page BD dans ma bibliothèque.

La hache et le fusil (2) de Servais

Couverture de La hache et le fusil, tome 2, de Servais pioche-en-bib.jpg Je poursuis la découverte du bac de la médiathèque consacré à Servais à la médiathèque. Après Le jardin des glaces, voici la suite de la hache et le fusil (le début est par là)…

Le livre : La mémoire des arbres, tome 2, La hache et le fusil, tome 2 de Jean-Claude Servais (dessin), Jean-Claude Servais, Gérard Frippiat et Jean-Claude Bissot (scénario) et Emile Jadoul (couleurs), collection Repérages, éditions Dupuis, 1994, 56 pages, ISBN 978-2800121300645.

L’histoire : dans la campagne belge, fin1964. Robert, qui avait été accusé du meurtre de sa femme, a été acquitté à la fin du volume précédent; Il revient chez lui avec l’homme rondouillard, en fait, le bedeau un peu lubrique et manipulateur. Dans sa maison, les chiens et les animaux ont disparu.. Les deux hommes tombent vite dans une vie de routine, puis d’alcool et de déchéance. Les villageois ne supportent pas le retour de Robert, qu’ils considèrent comme un meurtrier malgré l’acquittement. Menaces, calomnies, les propos haineux de l’épicière vont faire exploser Robert, suivi par le bedeau, qui lui ne s’intéresse qu’à sa bouteille et aux vêtements de la femme (décédée) de Robert…

Mon avis : une histoire de la misère humaine, mais aussi de la difficulté de cohabiter entre gens de milieux différents… Robert, jouet au début de sa femme plus âgée de 25 ans, est devenu son esclave, elle s’était réfugiée à l’étage de la maison, où elle ne le laissait plus pénétrer… La bêtise aussi des villageois, qui rejettent le Robert acquitté, mais déjà avant, le Robert venant d’une famille vivant en marge de la société, bûcherons (sa femme lui fit changer de métier) et éleveurs de chiens, vivant en roulottes… Une histoire bien mise en dessin par Servais.

De Jean-Claude Servais, j’ai lu :

Logo top BD des blogueurs 2011 Cette BD sera soumise pour le classement du TOP BD des blogueurs organisé par Yaneck / Les chroniques de l’invisible. Mes chroniques BD sont regroupées dans la catégorie pour les BD et par auteur sur la page BD dans ma bibliothèque.

TOP BD de décembre 2010

Logo top BD des blogueurs 2011Pour décembre 2010, le classement du TOP BD des blogueurs proposé par Yaneck / Les chroniques de l’invisible a connu moins de bouleversements, lire les commentaires chez lui… Merci à Yaneck / Les chroniques de l’invisible pour ces savants calculs et cette organisation. Je vais lire certains de ces nouveaux titres. Les BD que j’ai lues sont toujours en gras et les liens vers mes avis après ceux du classement. Mes chroniques BD sont regroupées dans la catégorie pour les BD et par auteur sur la page BD dans ma bibliothèque.

1- (=) Maus, Art Spiegelman, Flammarion 18.78, j’ai parlé ici du tome 1 : mon père saigne l’histoire, et du tome 2, Et c’est là que mes ennuis ont commencé
2- (=) Asterios Polyp, David Mazzuchelli, Casterman 18.67
3- (=) Watchmen, Alan Moore, Dave Gibbons, Panini Comics 18.5
4- (+) Universal War One, Denis Bajram, Soleil 18.44, Tome 1, Tome 2, Tome 3,
5- (=) Le Grand pouvoir du Chninkel, Jean Van Hamme, Gregorz Rosinski, Casterman 18.33
6- (=) V pour Vendetta, Alan Moore, David Lloyd, Delcourt 18.25
7- (=) Murena, Jean Dufaux, Philippe Delaby, Dargaud 17.97, Tome 1, Tome 7, Tome 8,
8- (=) De cape et de crocs, Alain Ayroles, Masbou, Delcourt 17.75, Tome 1, Tome 2, Tome 3, Tome 4, Tome 5, Tome 6, Tome 7, Tome 8, Tome 9
9- (=) Quartier Lointain, Jiro Taniguchi, Casterman, 17.75, je l’ai lu aussi, voir mon avis
10- (=) Le signe de la lune, Enrique Bonet, José Luis Munuera, Dargaud 17.73
11- (=) Blankets, Craig Thompson, Casterman 17.72
12- (=) Pinocchio, Winschluss, Les Requins Marteaux 17.67
13- (=) Pyongyang, Guy Delisle, L’Association, 17.67, j’en ai parlé ici
14- (=) L’âme du Kyudo, Hiroshi Hirata, Delcourt 17.67
15- (=) Undercurrent, Tetsuya Toyoda, Kana 17.67
16- (+) La mémoire dans les poches, Luc Brunschwig, Etienne Le Roux, Futuropolis 17.63, Tome 1, Tome 2

17- (=) Nous ne serons jamais des héros, Olivier Jouvray, Frédérik Salsedo, Le Lombard 17.53
18- (=) Couleur de peau miel, Jung, Soleil 17.5, Tome 1, Tome 2, j’ai parlé du tome 1 et du tome 2
19- (=) Un homme est mort, Kriss, Etienne Davodeau, Futuropolis 17.5 , je l’ai lu ici
20- (=) Je mourrai pas gibier, Alfred, Delcourt 17.5
21- (=) Un ciel radieux, Jirô Taniguchi, Casterman 17.5
22- (=) Trois ombres, Cyril Pedrosa, Delcourt 17.43
23- (=) Rides, Pablo Roca, Delcourt 17.33
24- (=) Batman Guerre au crime, Paul Dini, Alex Ross, Soleil 17.33
25- (=) Death Note, Tsugumu Ohba, Takeshi Obata, Kana 17.33, Tome 1, Tome 2,
26- (=) Walking Dead, Robert Kirkman, Tony Moore, Charlie Adlard, Delcourt 17.3, Tome 1, Tome 2,Tome 3,

27- (-) Il était une fois en France, Fabien Nury, Sylvain Vallée, Glénat 17.17, Tome 1, Tome 2, Tome 3,
28- (=) Batman the killing Joke, Alan Moore, Brian Bolland, Panini Comics 17.17
29- (=) Broderies, Marjane Satrapi, L’Association 17.17, j’en ai parlé ce mois-ci
30- (=) Ayako tome 1, Osamu Tezuka, Delcourt, 17.13
31- (=) Kick-Ass, Mark Millar, John Romita Jr, Panini Comics 17.13, Tome 1, Tome 2
32- (=) L’orchestre des doigts, Osamu Yamamoto, Editions Milan 17, Tome 1, Tome 2, Tome 3, Tome 4
33- (=) Petit Pierrot tome 1, Alberto Varanda, Soleil 17
34- (=) Jéronimus tome 1, Christophe Dabitch, Jean-Denis Pendanx, Futuropolis 17
35- (=) Martha Jane Cannary, Christian Perrissin, Matthieu Blanchin, Futuropolis 17, Tome 1, Tome 2
36- (=) Pluto, Naoki Urasawa, Kana 16.91, Tome , Tome 3,Tome 4,
37- (=) Chroniques Birmanes, Guy Delisle, Delcourt 16.9, vous pouvez relire mon avis
38- (+) Terre-Neuvas, Christophe Chabouté, Vents d’Ouest 16.86

39- (=) Ikigami, Motorô Mase, Kazé Manga 16.8, Tome 1, Tome 2,
40- (+) Magasin Général, Jean-Louis Tripp, Régis Loisel, Casterman 16.78, Tome 1, Tome 2, Tome 3, Tome 4, Tome 5 , Tome 6, j’ai parlé du tome 3, les hommes puis du tome 1, Marie, du tome 2, Serge et du tome 4, Confessions.

41- (=) Où le regard ne porte pas, Georges Abolin, Olivier Pont, Dargaud 16.75, Tome 1, Tome 2
42- (=) Canoë Bay, Patrick Prugne, Tiburce Oger, Editions Daniel Maghen 16.75
43- (=) Rébétiko (la mauvaise herbe), David Prudhomme, Futuropolis 16.75
44- (=) Happy tome 1, Naoki Urasawa, Panini Manga 16.75

45- (N) Transmetropolitan, Warren Ellis, Darick Robertson, Panini Comics 16, Tome 1, Tome 3
46- (=) Blacksad, Juan Diaz Canales, Juanjo Guarnido, Dargaud 16.69, Tome 1, Tome 2, Tome 3, Tome 4

47- (N) Corto Maltese, Hugo Pratt, Casterman 16.6, Tome 1, Tome 2,
48- (=) Silence, Didier Comes, Casterman 16.68
49- (=) Les gouttes de Dieu, Tadashi Agi, Shu Ogimoto, Glénat 16.67, Tome 1, Tome 2, Tome 3
50- (=) Le sommet des dieux, Yumemuka Bura, Jirô Taniguchi, Casterman 16.67, Tome 1, Tome 2

Confessions, magasin général tome 4 de Loisel et Tripp

pioche-en-bib.jpg Couverture de Confessions, de Loisel et Tripp J’avais entamé la série du Magasin général de Loisel et Trip par le tome 3 : les hommes, seul disponible à ce moment là à la médiathèque. J’ai repris la série par le début (Marie), poursuivi avec le tome 2, Serge, et maintenant le tome 4, en attendant la suite, le tome 5, Montréal, le tome 6, Ernest Latulippe, le tome 7, Charleston et le tome 8, Les femmes.

Le livre : Magasin général, tome 4, Confessions, de scénario et dessins de Régis Loisel et Jean-Louis Tripp, couleurs de François Lapierre, adaptation des textes en québécois: Jimmy Beaulieu, éditions Casterman, 70 pages, 2008, ISBN 9782203016910.

L’histoire : Notre-Dame-des-Lacs, petit village québécois, dans les années 1920. Alors que le village assiste au baptême d’un nouveau né, les commères continuent à exiger du curé le mariage de Marie et Serge. Sauf que si Marie est tombée amoureuse de Serge, celui-ci se refuse à elle, parfois avec une certaine violence verbale. Marie va se confesser au curé, Serge au voisin alcoolique qui construit son bateau. En fait, Serge est homosexuel. Mais comme cela ne semble pas entendable, les hommes vont faire courir le bruit qu’il est impuissant suite à une blessure reçue à la guerre (1914-18).

Mon avis : et bien, finalement, peut-être que la série s’essouffle… J’étais restée sceptique sur le tome 3, lu en premier, avais bien aimé les deux premiers tomes, Marie et Serge, mais reste sur ma faim avec ce quatrième tome, un peu comme si les personnages tournaient en rond, comme la vie de ce village… Des questions importantes (le deuil des parents chez les jeunes adultes handicapés mentaux, l’homosexualité masculine) sont traitées avec trop peu de profondeur… J’essayerai quand même de trouver le tome 5…

Logo du classement BD de Yaneck Cette BD sera soumise pour le classement du TOP BD des blogueurs organisé par Yaneck / Les chroniques de l’invisible. Mes chroniques BD sont regroupées dans la catégorie pour les BD et par auteur sur la page BD dans ma bibliothèque.

Chasseur cueilleur de Joann Sfar

Couverture de Chasseur-cueilleur de Sfar pioche-en-bib.jpgIl y a quelques semaines, Zazimuth parlait d’un album BD sur la préhistoire, je suis tout de suite allée le chercher à la médiathèque,

Le livre : La Vallée des Merveilles, Tome 1 : Chasseur cueilleur de Joann Sfar (scénario, dessin) et Brigitte Findakly (couleur), éditions Dargaud, 2006, 88 planches plus 15 numérotées de I à XV d’annexes, ISBN 978-2205058659.

L’histoire : dans un temps préhistorique indéterminé (et indéterminable…), deux familles de chasseurs-cueilleurs vivent tranquillement. Un jour, les deux pères partent ensembles pour une partie de chasse où ils rencontrerons des dinosaures, des hommes en train de pratiquer des sacrifices humains, un fou qui veut se battre, des agriculteurs, etc.

Mon avis : le mélange des périodes possibles dans la préhistoire ne me choque pas (pour ceux qui ne me connaissent pas, je suis préhistorienne de formation), en BD, on peut faire ce qu’on veut tant qu’on ne se veut pas une BD pédagogique, j’ai d’ailleurs beaucoup apprécié certains volumes de Rahan. Mais cette fois, je n’ai pas du tout mordu à l’histoire, ni vraiment retrouvé le graphisme de Sfar que j’avais bien aimé dans la série du Chat du rabbin (retrouvez mes avis pour le tome 1 : la Bar-Mitsva ; tome 2 : le Malka des lions ; tome 3 : l’exode ; tome 4 : le paradis terrestre ; tome 5 : Jérusalem d’Afrique et l’adaptation au cinéma).

Logo du classement BD de Yaneck Cette BD sera soumise pour le classement du TOP BD des blogueurs organisé par Yaneck / Les chroniques de l’invisible. Mes chroniques BD sont regroupées dans la catégorie pour les BD et par auteur sur la page BD dans ma bibliothèque.

La hache et le fusil (1) de Servais

Couverture de La hache et le fusil, tome 1, de Servais pioche-en-bib.jpgJe poursuis la découverte du bac consacré à Servais à la médiathèque. Après Le jardin des glaces, voici la hache et le fusil… le tome 1, pour le tome 2, il faut suivre le lien…

Le livre : La mémoire des arbres, tome 1, La hache et le fusil, tome 1 de Jean-Claude Servais (dessin), Jean-Claude Servais, Gérard Frippiat et Jean-Claude Bissot (scénario) et Émile Jadoul (couleurs), collection Repérages, éditions Dupuis, 1994, 56 pages, ISBN 978-2800121300.

L’histoire : dans la campagne belge, en août 1964. Une jeune fille en pleurs dans une cabane dans les bois, un homme rondouillard et menotté mène les gendarmes vers cette cabane. Une dame plus âgée, en attelage de chien, vient ravitailler dans les bois un homme qui semble être le fugitif recherché… Petit retour en arrière, été 1929. Près d’un camp de roulottes habité par des bûcherons, qui vivent aussi de charronnage de bêtes décédées chez les éleveurs, un notaire riche bruxellois, Henry, vient passer ses loisirs., un bébé naît dans le camps de nomades. 1934, à Bruxelles, le notaire épouse en grande noce Marie-Astrid, qui mène une vie citadine agréable et confortable, elle profite de la vie et trompe son mari. Pendant la guerre, la jeune femme se réfugie à la campagne dans la propriété de son époux, resté à Bruxelles, où il traficote et mourra… Marie-Astrid fait la connaissance d’un jeune bûcheron (celui qui est né au début de l’album), Robert, beaucoup plus jeune qu’elle, illettré (elle va essayer de lui apprendre à lire et écrire). Caprice de riche veuve? Elle l’épouse, mais vivront-ils heureux longtemps?

Mon avis : j’ai beaucoup aimé le scénario et le graphisme de cet album librement inspiré d’une histoire vraie, l’affaire Champenois. J’attends avec impatience de trouver la suite à la médiathèque.

De Jean-Claude Servais, j’ai lu :

Logo du classement BD de Yaneck Cette BD sera soumise pour le classement du TOP BD des blogueurs organisé par Yaneck / Les chroniques de l’invisible. Mes chroniques BD sont regroupées dans la catégorie pour les BD et par auteur sur la page BD dans ma bibliothèque.

Serge, magasin général tome 2 de Loisel et Tripp

pioche-en-bib.jpg Couverture de Serge, de Loisel et Trip J’avais entamé la série du Magasin général de Loisel et Trip par le tome 3 : les hommes, seul disponible à ce moment là à la médiathèque. J’ai repris la série par le début (Marie)… et poursuis avec le tome 2. J’ai aussi lu le tome 4, Confessions, le tome 5, Montréal, le tome 6, Ernest Latulippe, le tome 7, Charleston et le tome 8, Les femmes.

Le livre : Magasin général, tome 2, Serge, de scénario et dessins de Régis Loisel et Jean-Louis Tripp, couleurs de François Lapierre, adaptation des textes en québécois: Jimmy Beaulieu, éditions Casterman, 72 pages, 2007, ISBN 9782203370135.

L’histoire : Notre-Dame-des-Lacs, petit village québécois, dans les années 1920. Serge, un étranger en perdition, en panne de moto au bord de la route, a été recueilli au début de l’hiver par Marie, qui tient le magasin général et qui revenait de s’approvisionner à la ville voisine. Le curé intervient, aide à préparer une dépendance pour qu’il puisse dormir à l’écart de la jeune veuve… Très vite, il s’intègre en ouvrant dans le magasin un espace pour offrir de bons dîners aux villageois, il a appris la cuisine à Paris…

Mon avis : J’ai bien aimé la suite de la vie de ce petit village des années 20 au Québec, le tableau de ces hommes – et surtout de ces femmes – pourrait sans problème être transposé aujourd’hui, commérages, médisances, abus de la gentillesse de Marie… et de la cuisine de Serge.

Logo du classement BD de Yaneck Cette BD sera soumise pour le classement du TOP BD des blogueurs organisé par Yaneck / Les chroniques de l’invisible. Mes chroniques BD sont regroupées dans la catégorie pour les BD et par auteur sur la page BD dans ma bibliothèque.