Sortie cinéma samedi dernier avec un film court (1h15), La chambre bleue de Mathieu Amalric, adapté d’un roman de Georges Simenon dont je ne me souvenais pas.
Le film: de nos jours dans un petit village, Saint-Justin dit un panneau entraperçu. Julien Gahyde [Mathieu Amalric], entrepreneur d’engins agricoles, marié à Delphine [Léa Drucker], une charmante petite fille, est rentré depuis 4 ans dans son village natal après un séjour à Poitiers. Il y retrouve une amie d’enfance, Esther Despierre [Stéphanie Cléau], la pharmacienne, et noue avec elle une relation adultère passionnée. Le voici arrêté, dans un commissariat puis dans le bureau du juge d’instruction [Laurent Poitrenaux], qui est mort? Que s’est-il passé?
Mon avis: deux lieux principaux, la chambre d’hôtel (bleue…) et la salle d’interrogatoire du commissariat, quelques autres lieux, la plage et les rues (avec les murs ornés des coquillages de Danielle Aubin-Arnaud sur l’île Penotte) des Sables-d’Olonne, une belle villa à l’architecture contemporaine, un palais de justice au décor intéressant (celui de Baugé dans le Maine-et-Loire), La Flèche dans la Sarthe qui figure Saint-Justin-du-Loup. Mais surtout une intrigue bien menée (je ne me souvenais plus du tout de l’histoire, dont il y a pourtant eu de nombreuses adaptations), un choc de deux personnages formidablement joués par Mathieu Amalric et Léa Drucker.
La transposition des années 1960 du roman à nos jours est réussie, il faut que je regarde si ce titre figure dans les Simenon qui sont soigneusement rangés dans ma bibliothèque… mieux que l’étagère du dessous où vous pouvez revoir mes serre-livres chats!
Après
La semaine précédent le 11 novembre 2012, je vous avais proposé une semaine d’articles sur des monuments aux morts de la première guerre mondiale, regroupés avec les autres dont j’ai parlé sur l’index des
Sur la grande stèle du monument, deux mains enchaînées sortent des flammes. Le monument porte la signature « R. Lange / sculpteur / 1959 » [Complément du 4 août 2016 : pour Robert LANGE, né à Paris le 23 mai 1914 et décédé à la Roche sur Yon le 6 septembre 1999, voir commentaires ci-dessous].
Voici ce monument au capitaine Mignonneau (1929-1944), sur le boulevard Castelnau. Le
Le buste est représenté de manière très classique, le capitaine étant représenté de face, en uniforme.
Il porte la signature (oups, désolé(e pour le flou) « Suin M. / 1947 ».
Le monument aux morts des Sables-d’Olonne se trouve aujourd’hui dans le jardin de la Liberté, à l’est du centre-ville. Je l’ai photographié il y a juste deux ans, j’y étais allée après le
Le monument porte la signature de Maurice Legendre (1875-1964), un sculpteur dont je vous reparlerai pour plusieurs immeubles à Angers (voir l’
Voici un détail des bustes, têtes et casques de Poilus qui émergent du socle… asses lugubre, impression renforcée par le granite sombre et le ciel gris lors de ma visite aux Sables-d’Olonne…
Dans un angle de la place, un immeuble porte une stèle avec un médaillon commémoratif également de 1914-1918.
Je poursuis ma lecture des thrillers de Franck Thilliez en les empruntant à la
Depuis plus d’un an (et encore pour au moins le double), le centre-ville de Poitiers est en travaux, tous ceux qui habitent en ville pestent, fatiguent avec le bruit, la poussière… Même si la place d’armes a
…ou orange et mauve (photographies recyclées de ces derniers mois).
A Tours, pour le tramway, ils doivent avoir le même fournisseur!! Option orange et blanc ici ce printemps 2011. Courage à Véro bis et à tous les Tourangeaux qui sont aussi partis pour des mois de travaux…
Niort, qui lance aussi une opération de cœur d’agglomération (avec un vrai archéologue recruté par la ville pour toute la durée des travaux, pas du bidouillage source de bien des destructions comme à Poitiers), a choisi des barrières ajourées, ici place de la brèche mi juillet 2011.
Les mêmes barrières que j’avais croisées mi novembre 2010 aux Sables-d’Olonne, où il s’agissait de reconstruire le front de mer très endommagé après la tempête Xynthia.
Cette BD sera soumise pour le classement du TOP BD des blogueurs organisé par
Alors qu’il a dû neiger cette nuit (j’ai programmé l’article… pas encore ouvert les volets si vous lisez cette phrase avant 8h)/ edit de 7h30: pas de neige cette nuit à Poitiers), voici un grand bol d’air il y a quinze jours aux Sables-d’Olonne, où j’ai filé après mes
Côté plage, quelques fous, je vous promets, il ne faisait pas chaud, les giboulées se succédaient, mais il y avait quand même du monde sur le sable un peu avant 17h…
… et aussi dans l’eau, des surfers classiques, des kitesurfers (malgré l’accident mortel la semaine précédente à Saint-Jean-de-Luz)… Je sais bien qu’avec ces vagues, ça devait être intéressant pour eux…
Dimanche matin… La pluie a cessé à 9h, mais la luminosité n’est pas encore tout à fait là, de la plage, les deux phares sont à peine visibles…
Un petit tour en bateau bus (un peu bruyant et polluant, pas comme les
Et oui, il y a encore un peu de vent…
La mer a rapporté des tas de cochonneries avec la marée…
Tandis que sur la plage principale, il y a encore plus de monde que la veille, y compris des planches à voile, des kitesurfs, des surfers…