Le retour de la neige, chaque année, c’est comme un marronnier dans la presse… Mais c’est de défi photo naturel proposé par Monique / Bidouillette / Tibilisfil cette semaine. Vendredi, j’ai vu le défi trop tard, la neige avait été remplacée par la pluie (verglaçante au début). Mais hier matin, de nouveau, une fine couche de neige sur la ville silencieuse. Je vous ai déjà montré de nombreuses images au fil des ans… avec Poitiers en blanc en février 2012, la patinoire de la grand’rue en janvier 2009, Notre-Dame-la-Grande sous la neige en 2009, le marché de la ZUP et la ville en décembre 2009, etc. Hier matin, je sors et ne résiste pas à reprendre le plus ou moins le parcours fait pour des choses rondes, en commençant par le chevet de l’église Saint-Hilaire.
Au passage, à nouveau (revoir dans l’article Poitiers ville inaccessible), les plots et demi-boules évitant (et encore, ce n’est pas si efficace que ça) le stationnement des voitures, encore plus dangereuses sous la neige…
Arrivée à Blossac, j’aurais voulu prendre l’hôtel des insectes (une des variantes de ma carte de vœux 2013, clic sur le lien pour la voir sur mon compte facebook) sous la neige, mais le jardin anglais était fermé… En face, la neige avait pris sur le mur taluté du château d’eau.
La partie principale du parc était ouverte, avec La douleur maternelle (1859) et Le bonheur maternel (1866) de Antoine Etex blotties sous la neige…
En début d’après-midi, en allant assister à un film au Diétrich, j’ai pris au passage le chevet de Saint-Jean-de-Montierneuf, vous voyez au passage sur la gauche les toits du rectorat et de l’inspection d’académie où la neige a déjà fondu… un bâtiment juste réhabilité, mais visiblement, mal isolé avec d’importantes fuites thermiques, car les autres toits tout autour étaient encore blancs…