J’ai acheté ce recueil de poésie (et quelques autres) à la librairie Castéla à Toulouse, lors de mon dernier séjour partiellement placé sous l’influence des muses (revoir ici la fontaine Belle-Paule). Je lis, vais écouter des lectures de poésie, mais vous en parle rarement, le dernier article doit être Toute la terre à vif, qu’on voit de Rémy Prin, il y a quelques mois. Pas facile de parler de poésie, à la lecture si propre à chacun…
Le livre : Le chant du poète de Marie Soumeillan, éditions La Nouvelle Pléiade Paris, 60 pages, ISBN 978-2-84185-226-1.
L’histoire : pas d’histoire pour de la poésie… Ici, la source d’inspiration est souvent la campagne, la nature, les vergers…
Mon avis : le recueil est composé de poèmes le plus souvent à base de quatrains rimés (avec des rimes assez pauvres), mais pas uniquement. Que dire de plus ? Je me suis laissée portée par le texte dans mon propre jardin, au bord de l’eau, dans un état d’esprit très favorable à la lecture de ces poèmes, à se laisser porter par le texte.
Pour aller plus loin : comme je pense que ce livre n’est pas vraiment distribué par les éditions La Nouvelle Pléiade Paris, car il s’agit d’un éditeur de poésie à compte d’auteur, je vous renvoie sur le site de OPI des Tescou’s, optimiser, promouvoir, initier au pays des Tescous, ce lien vous mènera directement à un article et aux coordonnées de Marie Soumeillan et à l’un de ses recueils de poésie, Flamme incandescente
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