Archives par étiquette : grenouille

Une grenouille en appliqué…

Une grenouille en appliqué Après le bonhomme de neige et les mains, j’ai appliqué, cette fois à la main, sur le même tissu rouge (déjà utilisé pour un carnet avec Sissota brodée et pour un porte-carte) une tête de grenouille sur un tissu vert acheté il y a quelque temps et que je n’avais pas encore utilisé. J’ai ajouté des boutons pour les yeux (sur un petit bout de feutrine) et brodé la bouche en laine.

La réalisation finale? Chut, c’est un secret qui devra attendre les livraisons du père-noël à plusieurs copines, la grenouille est arrivée à destination chez Emmanuelle / le Marquoir d’Élise.

PS : voir la finition en manchon et l’une des 32 ATC de fin d’année qui l’accompagnait.

Une grenouille au tricot…

Une grenouille verte au tricot Encore un doudou au tricot… mais pas pour un bébé… pour l’anniversaire de Emmanuelle / le Marquoir d’Élise (parti en retard…). La laine est un vert vif, Partner de Phildar, coloris billard, tricoté en 3,5 (ce vert m’a fait de l’œil alors que je cherchai la laine qui allait bien pour les écailles de tortue). Le modèle, créé par Susan B. Anderson pour Spud & Chloë (merci mon moteur de recherché préféré, qui l’a trouvé avec frog / knitting), prévoyait du n° 5 en aiguilles américaines, cela fait du 3,75, je crois… Comme d’habitude, j’ai oublié de mettre une échelle, elle doit faire une dizaine vingtaine de centimètres de haut…

Une grenouille verte au tricot, détail d'une patte Le plus compliqué, ce sont les pattes, tricot en point de cordelette pour les pattes, « mains » à quatre aiguilles puis cousues, enfin, les « doigts » en 12 exemplaires, à assembler un par un, trois par pattes… Ce n’est pas tant le tricot par lui-même qui pose problème, mais la compréhension du modèle en anglais! Pas de problème pour knit (point avant) ou purl (point arrière), mais whipstitch??? Je ne comprenais pas avec les lexiques, c’est une démo sur youtube (je n’ai pas noté l’adresse) qui m’a sauvée… en gros, c’est un surjet dans les mailles mises en réserve…

Une nouvelle grenouille pour Emmanuelle

Une grenouille pour le noël (2011) d'Emmanuelle Emmanuelle / le Marquoir d’Élise aime les grenouilles, ce n’est pas un secret… Je lui ai trouvé une grille originale chez Croisez les fils. J’ai respecté les couleurs du modèle, à savoir des fils DMC 777, 869, 3046 et noir… Pour la finition? Et bien, il faudra attendre un peu… qu’Emmanuelle en fasse une!

La grenouille dans son cadre en carton Je l’ai juste présentée dans un carton, en laissant à Emmanuelle / le Marquoir d’Élise le choix de la finition! Et j’avais ajouté une ATC

Un crapaud pour Emmanuelle

Une grenouille (un crapaud?) pour Emmanuelle Emmanuelle / le Marquoir d’Élise aime les grenouilles… elle aura un crapaud! Je lui ai trouvé une grille chez Croisez les fils, fil DMC 926, deux numéros au-dessus de celui recommandé.

Il est parti avec une finition que je vous montrerai bientôt, accompagnant un peu de livêche séchée… pour lui permettre de goûter cette plante aussi appelée céleri perpétuel ou ache des montagnes, par oppositions à l’ache des marais, qui est le céleri branche habituel. Mais les goûts des deux sont très différents. Pour ma part, je l’utilise fraîche ou congelée dans un tas de plats, comme dans les légumes farcis, les champignons frais, les omelettes, etc…

Une autre enveloppe avec de la livêche est partie chez Criquette, bon, j’espère que la poste ne prendra pas cela pour autre chose!

Une grenouille anglaise pour Emmanuelle

Grenouille anglaise, juste cousue Pour l’anniversaire d’Emmanuelle, qui aime bien les grenouilles, j’avais emporté pour coudre dans le train pour Londres ce modèle Purl Frog de Hilaire Belloc, chez Purl Soho (et aussi sur la page de son blog)… en laissant l’ouverture en bas. J’ai choisi le même tissu que pour le dos de la trousse avec une grenouille à lire que je lui avais envoyée pour noël 2010.

Grenouille anglaise, rembourrée de riz Je l’ai terminée à mon retour…

Grenouille anglaise, assise …avec un rembourrage de riz (au lieu des haricots secs mentionnés sur le modèle)… J’en ai mis un peu partout, je n’ai pas vu que mon cône en papier était sorti du corps de la grenouille! En principe, elle doit tenir assise toute seule. Je l’ai accompagnée d’une carte grenouille trouvée à l’Ashmolean museum à Oxford… et d’un modèle spécial « wedding« … à découvrir bientôt! Bon anniversaire encore, Emmanuelle !

Une série de trousses

Bidules joints aux envois de noël 2010 Pour les cadeaux envoyés en fin d’année, il me restait à vous montrer une série de finitions… toutes en trousses! En fonction du poids et de la destinataire, le paquet était ou non enveloppé dans une des boîtes que vous avez vues au pied de mon ficus, et j’avais ajouté des bidules tirées de cet achat un peu en vrac, des stylos à gel, des autocollants, des bonbons, des pétards (attention, hein, Cathdragon et Zazimuth, je les ai pris pour l’image, mais ils peuvent quand même exploser), etc.

Pour que le texte ne se décale pas par rapport aux images, j’ai fait un tableau, désolée pour les personnes en lecture oralisée du blog, overblog ne gardant pas les balises TH et Header, sachez que la colonne de gauche comprend une image avec la broderie, celle du centre une image avec le tissu du dos de la trousse et celle de droite le texte et les liens vers les articles, vous devriez quand même vous y retrouver grâce aux titres et textes alternatif.


Photo de la face Photo du dos Texte d’accompagnement
Noël 2010, trousse à la grenouille, la face Noël 2010, trousse à la grenouille, le dos Pour la grenouille brodée d’après une grille de Broderies à lire (collection l’Atelier de Clémentine, éditions Tutti Frutti, 2009), de Battybat et envoyée à Emmanuelle, le dos et l’intérieur sur un tissu d’inspiration irlandaise…
Noël 2010, trousse au dragon, la face Noël 2010, trousse au dragon, le dos J’ai utilisé le même tissu pour le dragon qui s’est envolé chez Pour Cathdragon et brodé sur une grille destinée au filet au crochet.
Noël 2010, trousse à la feuille d'automne, la face Noël 2010, trousse à la feuille d'automne, le dos Pour la feuille d’automne tirée d’un modèle de la revue Anna, n° 36 (octobre 2010) et envoyée à Brigitte / Boîte de biscotte, j’ai utilisé pour le dos l’un des tissus d’ameublement acheté dans un vide-grenier. Je l’ai déjà utilisé par exemple pour le masque de carnaval offert il y a quelques mois à Monique / Bidouillette / Tibilisfil.

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Battybat (Cécile Dourlens), Broderies à lire, Collection l’Atelier de Clémentine, éditions Tutti Frutti, 2009.

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i>le cobaye à lire fini en trousse, modèle paru dans une revue

Une grenouille à lire…

Grenouille à lire, grille de Battybat, offerte à Emmanuelle pour Noël 2010 Ce n’est pas un secret, Emmanuelle aime les grenouilles… Je lui en ai donc brodé une tirée des Broderies à lire (collection l’Atelier de Clémentine, éditions Tutti Frutti, 2009), de Battybat, dans lequel j’ai déjà brodé un loup à lire (avec ici sa finition), et dans le même style, une abeille mais sur une grille offerte lors de la publication du livre. Et la finition? Et bien, je vous montrerai en une seule fois ma séance de couture pour toutes les finitions de la dernière quinzaine

Dans Broderies à lire de Battybat, j’ai réalisé:

Une grenouille de salle de bain…

grenouille_manu_2010_2_finition.jpg Merci pour tous vos partages hier, par vos commentaires, beaucoup ont livré leurs secrets de blog ! (et j’ai complété hier soir l’article programmé pour ce matin…).

La semaine dernière, c’était l’anniversaire de Emmanuelle. Je lui ai envoyé un petit paquet avec cette grenouille très rigolote dont j’ai trouvé le modèle au papotage des dames, que j’ai brodé sur une toile à doubles-rideaux (oui, celle qui déforme et que j’utilise pour le SAL bienvenue organisé par Lili HR), des fils DMC vert 986 et 988. Pour la finition, j’ai opté pour une variante en plus grand du pinkeep.

J’y ai ajouté un coupon de tissu, une carte (il faudra que vous alliez les voir chez Emmanuelle, je n’ai pas pris de photo), et un des exemplaires de Tricotons pour nos rappelés (1956) que j’ai achetés en marge de mon dernier séjour à Paris et que vouspouvez apercevoir en bas de mon article sur le salon de l’AEF2010. Mais Emmanuelle vous révèle un peu le contenu du livret… Laquelle de nous deux osera tricoter l’un de ces modèles en laine qui pique, l’offrir à un  » mec  » (soldat… ou pas) et lui faire porter ???

Retour sur la fontaine Belle-Paule à Toulouse

Toulouse, fontaine Belle Paule, deux crapauds en bronzeVous avez été nombreux à réagir à mon article sur la fontaine Belle-Paule à Toulouse. Amaryllis, Dianou / Claudiane et Virjaja ont notamment parlé des petits animaux, grenouilles et autres au pied du socle… En cherchant de la documentation sur une autre fontaine avec Clémence Isaure, aujourd’hui disparue (Les Gloires de Toulouse), et son sculpteur, Paul Ducuing, dont je vous parlerai dans quelques mois (patience !), je suis tombée sur cet article du journal des débats politiques et littéraires n° 176 du 25 juin 1912 (que vous pouvez lire en entier sur le site de la Bibliothèque nationale de France. Je vous livre donc ce texte, paru peu après l’inauguration de la fontaine dont le chroniqueur n’aime pas la modernité, et notamment pas ces petits animaux… J’ai mis en avant quelques passages en caractères gras.

 » […] M. Laporte Blairzy, autre enfant du pays, a été désigné pour  » ériger sur une place publique de Toulouse une fontaine monumentale à la mémoire de Clémence Isaure  » et on ne saurait lui reprocher d’avoir démesurément grandi un bibelot pour en faire un monument. Je lui reprocherais peut-être bien aussi, ayant coiffé Clémence Isaure du hennin d’Isabeau de Bavière, l’avoir juchée sur un socle modern style qui, n’étant pas très beau en soi, produit, par la juxtaposition brusque et le contraste, un effet de surprise assez déplaisant. Aux pieds de Clémence Isaure, au lieu des gloires de Toulouse, c’est ici un chœur de grenouilles qui apparaît. Et les exégètes de l’avenir découvriront peut-être dans la présence de ces batraciens un symbolisme très profond  » (extrait du journal des débats politiques et littéraires n° 176 du 25 juin 1912). Les goûts et les couleurs, la position face à l’art contemporain… mieux accepté presque cent ans après. Toutes les photos sont dans cet article.

Le Crin de Florence de Marie Rouanet

Couverture du Crin de Florence de Marie Rouanet pioche-en-bib.jpgJe n’ai pas encore fait venir en centre-ville Nous les filles ni Il a neigé cette nuit, de Marie Rouanet, des bibliothèques périphériques du réseau de la médiathèque de Poitiers. Le mystère de l’antipetitserpentigraphe devra encore attendre… Mais je n’oublie pas, Michel.

Le livre : Le Crin de Florence, de Marie Rouanet, éditions Climats, 1992, 61 pages, ISBN 2-907563-69-6 (il existe d’autres éditions de cet ouvrage).

L’histoire : des nouvelles qui mettent en scène, pour la plupart, des animaux… Comme l’invasion de la grenouille taureau, qui a envahi la région en une quinzaine d’années… Ou une curieuse histoire autour d’un petit carnivore, une autre sur les araignées. Les dernières parlent de prison et du monastère Saint-Michel de Grandmont (à l’origine d’un ordre monastique fondé en Limousin au 12e siècle et qui a essaimé un peu en Poitou-Charentes).

Mon avis : des textes courts, souvent poétique. J’ai beaucoup aimé, en dévorant ce petit livre un midi enfermée dans mon bureau au frais.

J’ai aussi lu Du côté des hommes et Nous les filles de Marie Rouanet.