Archives mensuelles : octobre 2011

ATC série calendrier 2011, octobre

ATC calendrier 2011, octobre Je poursuis mon calendrier d’ATC (cartes de 3,5 sur 4,5 pouces, soit 6,4 sur 8,9 cm). Pour le mois d’octobre, j’ai choisi comme fond une publicité parue dans Télérama, une double page avec un rapace, sa texture et sa couleur foncée me semblait bien aller avec les feuilles mortes… Un tour à la peinture « bronze » et le mot Octobre découpé comme les autres mois sur les publicités qui encombrent le hall de ma cage d’escalier.

Comme les autres, elles sont parties chez Cathdragon, Zazimuth, Véro bis, Capucine O et Jardin zen (j’ai gardé la dernière).

Tout le calendrier ATC 2011 :

SAL de noël 2011 chez Défi de Toile (2)

SAL de noël 2011, deuxième étape Voici la deuxième étape du SAL pour noël 2011 organisé par Défi de toile, j’ai choisi de leur prendre le kit proposé, avec une toile à 12 fils par cm et un fil rouge et doré, et un fil de coton perlé rouge acheté à l’AEF en début d’année 2010.

Toutes les étapes de ce SAL

Histoire de Lille en bande dessinée par Lemaire, Seebacher et Mangin

Histoire de Lille en bande dessinée

Ces deux volumes sont depuis longtemps dans ma bibliothèque, le défi Octobre, le mois Fritissime est l’occasion de le relire.

Le livre : Histoire de Lille, par C. Lemaire (scénario), éditions Brep-Burp, tome 1, Des origines à la Révolution française, dessins de N. Seebacher, 44 planches, 1990, ISBN 2-908703-01-7, et tome 2, De la Révolution à nos jours, dessins de N. Seebacher et O. Mangin, 42 planches, 1990, ISBN 2-908703-00-9.

L’histoire : alors qu’il assiste à un défilé des géants de Lille, Christian, un jeune homme, est visité le soir par Lydéric, l’ermite de la légende de Lille, qui lui raconte en deux volumes l’histoire de la ville, qui sur sa zone frontière a à toutes les époques au carrefour des influences et des invasions, les sièges, la misère, mais aussi les grandes constructions du 19e siècle, a vu passer de nombreux souverains (français ou ceux qui possédaient la Flandre).

Mon avis : ces albums s’inscrivent dans une collection d’histoires des villes, par les éditions Brep-Burp (devenues Le Téméraire). Il y a à mon avis beaucoup trop de fautes dans le lettrage, que ce soit des problèmes d’orthographe ou même de texte (à la fin du tome 2, cela ne peut pas être des millions d’immeubles qui ont été détruits par les bombardements de la seconde guerre mondiale à Lille, des milliers, peut-être?). Un graphisme très détaillé, avec, notamment pour les édifices construits au 19e siècle, de nombreux détails dans le dessin.

Logo de Octobre, le mois Fritissime Cet article entre dans le cadre de Octobre, le mois Fritissime, organisé par Schlabaya / Scriptural et Elizabeth Bennet, à retrouver sur Facebook : Le lion des Flandres, Tintin, Max Havelaar : vive le mois des 17 provinces! Il s’agit au cours du mois de parler de tout ce que l’on veut en rapport avec les 17 anciennes provinces annexés par Charles Quint et les états de Bourgogne… et qui constituent aujourd’hui à peu près le Nord-Pas-de-Calais, la Belgique, les Pays-Bas et le Luxembourg.

Logo top BD des blogueurs 2011 Cette BD sera soumise pour le classement du TOP BD des blogueurs organisé par Yaneck / Les chroniques de l’invisible. Mes chroniques BD sont regroupées dans la catégorie pour les BD et par auteur sur la page BD dans ma bibliothèque.

VDB 48 : un p’tit bout d’automne

Angers, une statue du mail en automne Le nouveau thème de la VDB (vie de brodeuse) proposé par Petite fée Nougat est : un p’tit bout d’automne… Pas facile, l’automne est bizarre cette année, certains arbres n’ont plus de feuilles, d’autres ont encore beaucoup de feuilles vertes. En triant mes photographies prises à Angers, je vous propose celle-ci, prise sur le Mail entre l’hôtel de ville et le palais de justice…

PS : Je vous en reparlerai avec la statuaire de ce jardin…

Le donjon de Niort

Le donjon de Niort, 1, carte postale ancienne, avec une place, la statue de Ricard et un magasin Sur cette carte postale ancienne, la façade côté ville du donjon de Niort est en partie cachée par un grand magasin, au bonheur du peuple. Il est encadré par la préfecture et les halles, un parking devant et la Sèvre derrière (enfin, d’un point de vue défensif, c’était l’inverse pour le devant/derrière quand il a été construit…).

Le donjon de Niort, 2, vu depuis l'autre rive de la Sèvre Le donjon est aujourd’hui en plein centre-ville, au bord de la Sèvre Niortaise, ici sa face orientale vue depuis l’autre rive.

Ce donjon est constitué de deux tours maîtresses de plan presque carré, reliées plus tard par un corps de logis. Il a été construit au milieu du 12e siècle, entre 1155 et 1160, par Henri II Plantagenêt, le second époux d’Aliénor d’Aquitaine, roi d’Angleterre et est considéré comme le dernier donjon roman ou plus certainement le premier donjon de nouvelle conception en Poitou, avec l’apparition des meurtrières. Les deux tours étaient séparées d’environ 16 mètres et reliées par des courtines. Le corps de logis central a été construit entre les deux tours au 15e siècle. Le donjon nord s’est partiellement effondré en 1749 et a alors été reconstruit. Il est un peu moins haut que le donjon sud (respectivement 23 et 28 mètres).

Le donjon de Niort, 3, montage côté ville Chaque tour carrée est flanquée aux angles de tourelles.

Le donjon de Niort, 4, montage côté Sèvre Il est classé parmi les monuments historiques depuis la première liste établie par Prosper Mérimée en 1840.Mais la ville de Niort ne semble pas lui accorder beaucoup d’importance. Les visites guidées n’ont été rétablies régulièrement que depuis le début de l’année 2011…Un aménagement des abords est en cours, affaire à suivre dans les prochains mois.

Mes photographies datent du printemps 2010 et de mi juillet 2011.

Pour en savoir plus :

Couverture du cahier du patrimoine sur les Châteaux romans Marie-Pierre Baudry, Châteaux « romans » en Poitou-Charentes, XeXIIe siècles, collection Cahiers du patrimoine, n° 95, Geste éditions, 2011.

Marie-Pierre Baudry, Le château des Plantagenêts à Niort, dans les Actes du colloque Les fortifications des Plantagenêts,XIIe-XIVe siècles (Civilisation médiévale, n° 10), Poitiers, CESCM, 2004, p. 23-40.

Voir aussi le donjon de Loudun

Deux libellules, un lapinou et une broche, merci Emmanuelle!

Mon anniversaire 2011 par Emmanuelle, 1, le colis

Emmanuelle / le Marquoir d’Élise m’a envoyé un gros paquet… Qu’est-ce qui se cache dans tous ces paquets???

Mon anniversaire 2011 par Emmanuelle, 2, deux libellules dans mon ficus D’abord des petites bêtes qui se sont envolées directement dans mon ficus à peine le paquet ouvert… deux libellules très mignonnes!

Mon anniversaire 2011 par Emmanuelle, 3, monsieur Lapinou dans mon ficus Le temps de faire la photographie et un autre animal se fait la malle… Monsieur lapinou a trouvé refuge à cheval sur une branche, en tenant bien serrée sa carotte! Il a raison, je risquerais de la lui voler pour en faire… ceci!

Mon anniversaire 2011 par Emmanuelle, 4, broche Il n’y a que la broche qui a gentiment patienté… Elle va être bien mise en valeur sur les pullovers qu’il faut ressortir, il fait frisquet ces derniers jours…

Un grand merci à toi, Emmanuelle / le Marquoir d’Élise !!! Du bleu partout, en plus, vous avez remarqué?

Le voyage vers l’enfant de Vonne van der Meer

Couverture de Le voyage vers l'enfant de Vonne van der Meer

pioche-en-bib.jpgJ’ai trouvé ce livre presque par hasard à la médiathèque en cherchant à la case « Van »… plus de chances d’y trouver des auteurs d’origine flamande (que ce soit la Flandre française, belge ou néerlandaise)… [Depuis, j’ai aussi lu, de la même auteure, Le bateau du soir].

Le livre : Le voyage vers l’enfant de Vonne van der Meer, traduit du néerlandais par Daniel Cunin, éditions Héloïse d’Ormesson, 2009 [1ère édition originale en néerlandais en 1989], 172 pages, ISBN 978-2350871264.

L’histoire : dans les années 1980, aux Pays-Bas puis au Pérou. D’abord, Julia et Max ne voulaient pas d’enfant. Et puis un jour, en voyant un siège bébé sur un vélo, Julia veut un bébé, mais le couple n’y arrive pas, bien qu’aucun problème n’ait été trouvé chez aucun d’entre eux. Ils s’engagent alors dans une procédure ubuesque d’agrément d’adoption, mais le temps presse : dans quelques mois, Max aura 40 ans et la loi (néerlandaise) lui interdira l’adoption… Ils décident alors de se tourner vers l’adoption internationale, une rencontre et les voici sur la piste d’un bébé au Pérou… Mais là, les intermédiaires font durer le plaisir (et fonctionner la pompe à fric)…

Mon avis : un récit dont je ne vous raconterai pas la fin, que j’ai trouvée assez dérangeante… Ou quand le désir d’enfant peut faire faire n’importe quoi à un couple qui semblait uni et normal (banal, comme dirait l’autre…). La procédure d’agrément en vue de l’adoption est un peu différente chez nous, mais pas moins ubuesque… Les futurs parents sont prêts à tout pour parvenir à l’adoption, quitte à rompre tous leurs interdits moraux, à croire le premier venu et à lui donner de l’argent pour parvenir à leurs fins. Alors oui, un récit court, dense, plein d’odeurs (du parfum à la ville péruvienne), de couleurs dans les descriptions, mais même si le récit est plus que plausible (sauf peut-être la fin…), il laisse un arrière goût d’inachevé, de pas approfondi jusqu’au bout. Avis mitigé donc pour moi…

Logo de Octobre, le mois Fritissime Cet article entre dans le cadre de Octobre, le mois Fritissime, organisé par Schlabaya / Scriptural et Elizabeth Bennet, à retrouver sur Facebook : Le lion des Flandres, Tintin, Max Havelaar : vive le mois des 17 provinces! Il s’agit au cours du mois de parler de tout ce que l’on veut en rapport avec les 17 anciennes provinces annexés par Charles Quint et les états de Bourgogne… et qui constituent aujourd’hui à peu près le Nord-Pas-de-Calais, la Belgique, les Pays-Bas et le Luxembourg.

Des clous pour aveugles devant la gare à Poitiers? N’importe quoi!

Poitiers, le rond-point de la gare pour aveugles kamikazes, 1, montage de quatre vues Alors que, comme annoncé hier, je prépare un gros article pour mardi prochain (25 octobre 2011) sur Poitiers ville inaccessible aux personnes en situation de handicap (et aussi aux personnes âgées ou qui ont des poussettes), un article paru dans Centre Presse hier matin m’a fait bondir! (je ne mets pas de lien direct sur l’article car il n’est accessible gratuitement que le jour de parution) « Les nouvelles « zone 30 » ou « zone de rencontre » donnent la priorité aux piétons« . Il est précisé plus loin dans l’article, que les zones de rencontre sont des zones à 20 km/heure. Dans les zones « 30 » la matérialisation des passages piétons devrait rester exceptionnelle. La base de l’article était une altercation entre un automobiliste et un piéton rue de la Tranchée à Poitiers, en zone 30, l’article se voulait pédagogique. Je ne sais pas pourquoi ensuite, l’élue interrogée, Éliane Rousseau, adjointe à l’Espace public, a dérivé sur la gare :

Je cite : A la gare, des passages sont indiqués par des clous au sol: « ils sont destinés aux personnes atteintes de cécité. » [dixit donc Mme Rousseau, selon le journaliste].

Ni une, ni deux, ce matin, je suis sortie avec mon appareil photo et mon mètre-ruban. Cela serait bien si les élus savaient de quoi ils parlaient et si les journalistes avaient un minimum d’esprit critique et allaient vérifier la réglementation. La personne aveugle ou malvoyante qui voudrait traverser en face de la gare a toutes les chances de se faire écraser, de ne pas trouver les clous qui ne sont pas face à face, de se vautrer dans le piquet anti-voiture en plein milieu du passage et de ne pas pouvoir aller d’un point à l’autre… vu que l’espacement de ces clous est de 63 à 66 cm. Si cette personne a un chien-guide, il refusera de traverser, puisqu’il est dressé à franchir des passages protégés à zébras. Si la personne est amblyope mais distingue néanmoins les contrastes de couleur, elle n’a aucune chance de les repérer. Quant au piéton normal, il risque sa vie dès la nuit tombée, les automobilistes ne les voient pas et dès que le trafic le permet, ne roulent jamais à 30km/h! Et les chiens d’aide pour personnes en situation de handicap mental et/ou physique (du type de ceux de Handi’chien) sont aussi « bêtes » que les chiens guides pour aveugles… ils sont dressés pour ne pas traverser en dehors des passages protégés à bandes contrastées!

Poitiers, le rond-point de la gare pour aveugles kamikazes, 3, traversée dangereuse Voici une idée des obstacles, photo prise un peu après 18h ce soir… Il faut contourner le taxi, tenter de trouver la bande podotactile aussi appelée bande d’éveil de vigilance, BEV en jargon, (impossible à trouver ici je pense), réussir à traverser le terre-plein, rejoindre l’autre passage qui amène sur un second terre-plein à partir duquel vous pourrez rejoindre le trottoir d’en-face.

Poitiers, le rond-point de la gare pour aveugles kamikazes, 4, traversée option 2 Il existe d’autres parcours plus simples pour rejoindre le trottoir côté ville, en face de la gare, par exemple traverser un peu plus loin sur la gauche ou la droite, sans passer par le terre-plein central, mais il n’y a aucun guidage pour les trouver, également des clous très espacés, et une forêt de piquets bas pour éviter aux automobilistes de passer… sans oublier évidemment un piquet au centre de chaque passage soit-disant protégé. Cette photographie de ce matin vers 8h15 vous montre aussi comme le piéton serait fou de vouloir tenter de traverser ailleurs que dans les clous…

Poitiers, le rond-point de la gare pour aveugles kamikazes, 5, un passage moins inaccessible Les seuls passages protégés au sens du code de la route accessibles aux personnes handicapées pourraient presque ressembler à celui-ci : au niveau du trottoir, le passage est surbaissé pour les fauteuils roulants, il est signalé par une bande d’éveil de vigilance (ou bande podotactile) « conformément aux indications de la norme P98-351 » (modifiée en août 2010, qui définit sa position perpendiculaire à la chaussée, à 50 cm de celle-ci, en contraste par rapport aux couleurs du trottoir, etc.). Le passage protégé répond également à des normes qui définissent la largeur et la longueur des bandes, le contraste avec la chaussée, l’espacement entre les bandes (arrêté du 16 février 1988, modifié). Si des barres verticales sont nécessaires pour empêcher les voitures de se garer sur ces passages, alors ces barres doivent mesurer au moins 1,20 m de haut (les barrières sur la photographie ne sont absolument pas aux normes, c’est un passage protégé un peu plus loin de la gare, sur le boulevard Pont-Achard), avec le haut signalé en contraste par rapport à la barre et au fond général.

Poitiers, le rond-point de la gare pour aveugles kamikazes, 2, bandes de guidage sur le parvis Quelques derniers détails… des bandes de guidage presque aux normes devant la gare (même si le matériel posé est de mauvaise qualité, très dégradé juste après quelques mois) qui mènent à la tête de taxi…

L’aménagement de cette traversée est donc tout sauf accessible aux personnes aveugles ou mal-voyantes, et des clous espacés de plus de 60cm non reconnus dans le code de la route comme une traversée protégée ne sauraient les guider quand bien même ils les trouveraient! J’en ai un peu assez que l’on essaye de faire gober de telles inepties aux lecteurs de la presse quotidienne… Et n’oubliez pas, rendez-vous mardi 25 octobre 2011 pour aller de la gare de Poitiers au centre ville et traverser la nouvelle place devant l’hôtel de ville avec plusieurs options, handicap moteur (ça vaut aussi pour les poussettes pour enfant ou de marché), visuel (y compris pour les personnes âgées valides mais qui ont, âge oblige, un champ visuel moins large), mental (ou tout simplement un étranger qui aura bien du mal à se repérer)…

PS: Lien direct vers ce nouvel article : Poitiers ville inaccessible

Pour en savoir plus sur le handicap visuel et les adaptations possibles des chaussées et un peu plus :

– voir le site du CERTU à Lyon, organisme qui s’occupe d’équipements techniques et d’adaptations de l’espace public ou privé… Ils ont aussi une page très bien faite sur les zones 30… et un document sur la mise en place des bandes d’éveil et de vigilance.

– voir le site de la Confédération Française pour la Promotion Sociale des Aveugles et Amblyopes et particulièrement la page sur les passages protégés.

– les sites labellisés tourisme et handicap dans la Vienne (la liste reste limitée, ce qui montre l’effort restant à faire, aucun hôtel de la commune de Poitiers, par exemple, et seulement deux près du Futuroscope)!

– l’attraction (en supplément du droit d’entrée, gérée par une association mais à imposer à tous les élus de Poitiers) les yeux grands fermés au Futuroscope près de Poitiers (voir aussi le dossier de presse 2010 de l’attraction)…

– la loi n° 2005-102 du 11 février 2005 pour l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées

Cannelloni aux épinards et fromage frais

Cannelloni aux épinards Un plat d’automne tout simple même s’il n’est pas très rapide à préparer… C’est la pleine saison des épinards, mon panier de chez Fermopanier en avait un peu plus d’un kilo. J’ai acheté au marché 250g de fromage frais de chèvre (mais ça marche aussi avec de la Ricotta, du fromage frais de vache ou de brebis, beaucoup de recettes disent 200g, 250g, c’est très bien et ça ne fait pas de reste, les conditionnements étant souvent à ce poids). Bien laver les épinards (au moins deux eaux), enlever les tiges des feuilles (elles peuvent aller dans la soupe), couper grossièrement les feuilles si elles sont trop grandes (c’était le cas pour les miens). Les faire fondre quelques minutes dans un poêlon (ou tout autre récipient approprié), les mettre dans une passoire pour les égoutter. Préparer une béchamel (je la fais avec de la noix de muscade). Si vous prenez des lasagnes fraîches, vous pouvez commencer l’assemblage, sinon, les mettre à précuire quelques minutes dans l’eau chaude, pour les ramollir (environ 5 minutes). Pour 1 kg d’épinards frais, j’ai utilisé 8 plaques de lasagnes.

Mélanger les épinards et le fromage frais, couper les lasagnes en deux (je préfère quand il n’y a qu’un tour de pâte pour les cannelloni).

Préparer le plat à gratin avec un petit fond de béchamel.

Mettre au centre de chaque demi-lasagne une grosse cuillère d’épinards. Rouler, appuyer un peu pour fermer le rouleau, mettre en place dans le plat. Les puristes vous diront qu’il faut un seul étage de cannelloni, j’en mets toujours deux séparés par une mince couche de béchamel. Terminer avec une couche de béchamel, et un peu de fromage râpé si vous voulez. 20 minutes au four, je mets le mien thermostat 7, mais il chauffe plutôt en-dessous de la température annoncée. Si votre four est normal, le thermostat 6 ira bien. Finir par quelques minutes en position gril.

Et si vous avez la flemme de rouler les cannelloni, vous pouvez faire la même recette en lasagnes en alternant les couches de béchamel, lasagnes et épinards dans le plat…(voir une variante, des lasagnes radis/épinards)

Je les ai servis avec de la salade verte. Pour un plat plus complet, il est possible d’ajouter un peu de jambon, par exemple, mais le lait de la béchamel donne déjà des protéines animales…

Le château de Chenonceau… en 3D et en photographie

Chenonceau en puzzle 3D, au début du montage Pour mon anniversaire, mes collègues m’ont offert une enveloppe avec une mention surprenante… « Joue avec le patrimoine Renaissance en… » (clin d’œil jouez avec le patrimoine roman de Poitou-Charentes)… j’ouvre, et là, sur place, je commence juste le pavillon, il y a plein de petites pièces!Retour chez moi,j’attaque sérieusement la chose… Ah, pas pour les enfants, ou alors avec de l’aide…

Chenonceau en puzzle 3D, la façade principale Après un peu de patience, … Il va falloir que je triche et que je fixe à la colle une cheminée qui a tendance à se mettre de travers et les toits en poudrière (les petits cônes) qui ont une tendance marquée à glisser…

Chenonceau en puzzle 3D, la façade postérieure Voici l’autre façade…

Chenonceau sur le Cher, la façade antérieure … la même il y a quinze jours, je suis retournée à Chaumont-sur-Loire, puis allée à Amboise, Chenonceau, voir un barrage mobile à aiguilles sur le Cher, etc. Le pavillon était sous échaffaudage…

Chenonceau sur le Cher, la façade postérieure Ah, et puis, l’autre côté aussi, je l’avais en stock…