Archives par étiquette : exposition

Exposition Hypnos à Lille

Affiche de l'exposition hypnos à Lille jusqu'au 12 juillet 2009

Samedi avec mon père (une petite visite chez lui ?), nous sommes allés visiter l’exposition Hypnos, organisée hors les murs (au musée de l’hospice comtesse dans le vieux Lille) par le musée d’art moderne de Lille métropole (actuellement fermé pour travaux), en partenariat avec lille3000, jusqu’au 12 juillet 2009. L’exposition se propose de montrer la place de l’inconscient dans l’art de la fin du 19e jusqu’à la seconde Guerre Mondiale. Elle explore la place du spiritisme (dont le mineur Augustin Lesage), de l’inconscient, du dessin automatique, de la psychanalyse et de Freud, notamment chez Dada et les surréalistes (dont des marionnettes de Sophie Tauber-Harp). Une large part est faite aux artistes d’Europe de l’est et notamment tchèques. Nous avons beaucoup aimé et sommes resté un long moment (environ deux heures).
Vous pouvez avoir un bon aperçu de l’exposition et de son accrochage sur le site scènes du nord. Pour les œuvres, le site du musée d’art moderne de Lille métropole est incontournable, mais il faut naviguer un peu, notamment en allant dans ressources puis dossier pédagogique.

Depuis Lille 2004, capitale Européenne de la culture en 2004, Lille 3000 a pris le relais en 2006 (sur le thème dominant de l’Inde) et cette année sur le thème d’Europe XXL. Pour l’occasion, le site officiel de Lille 3000 a changé de .com en .eu, mais de nombreux sites ont gardé l’ancien lien… Voici donc le lien vers le site officiel de Lille 3000. J’ai aussi trouvé un blog et un site non officiel qui me semble bien conçu.

Insert du possible et On se bat toujours quelque part

La galerie du Confort moderne à Poitiers Pas grand monde à Poitiers à la manifestation en fin de matinée… Pas vraiment une manifestation d’ailleurs, un rassemblement place d’armes et un parcours de 300 mètres pour rejoindre la préfecture… Si vous voulez vous rendre compte de la faible distance, vous pouvez voir sur ma présentation de l’hôtel de ville, la seconde photographie est prise depuis la placette devant la préfecture…

Je voulais vous parler des expositions qui ont actuellement lieu au Confort moderne à Poitiers, un lieu de musiques actuelles, fanzinothèque et galerie de présentation d’exposition dans une ancienne fonderie qui fut ensuite un magasin d’électro-ménager (d’où le nom…). En dehors des inaugurations et des concerts, la galerie est le plus souvent déserte… comme dimanche dernier après-midi. Je vous en ai déjà parlé à propos d’une précédente exposition.
La première s’intitule et se termine dimanche 3 mai 2009. Il s’agit d’une installation composée de plusieurs vidéos projetées sur grand écran… et auxquelles je n’ai pas compris grand chose. Vous pouvez découvrir ce travail de Patrik Pion et Paule Combey au Confort moderne par ce lien direct.
La seconde exposition se poursuit jusqu’au 17 mai 2009. Elle rassemble deux artistes, Michael Portnoy et David Adamo, dans des espaces bien séparés, mais sous le même titre, On se bat toujours quelque part. Le discours qui accompagne l’exposition, notamment dans le livret, est très psychanalytique et pataphysique, j’avais bien aimé les cartes à pub qui annonçait l’exposition, mais sur place, que dire ? Portnoy explore l’univers du jeu dans l’une des salles, dans l’autre, l’usage de nacre de coquillage m’a bien plu, les réalisations complètes moins… Pour Adamo, je n’ai pas bien saisi le piano, le plancher de battes de base-ball (reproduit sur sa carte à pub), les haches au manche massacré, etc. Si vous voulez comprendre de quoi je parle, je vous conseille de découvrir ce travail de Patrik Pion et Paule Combey au Confort moderne par ce lien direct. Cliquez sur les onglets numérotés pour découvrir les œuvres. Puis revenez ici me donner votre avis en commentaire !

Ron Arad au centre Pompidou

Le centre Pompidou à Paris L’exposition sur le designer Ron Arad, sous-titrée No discipline, se tient au Centre Georges-Pompidou à Paris jusqu’au 12 mars 2009 (aïe, dur de taper la date, ça fera ce jour là juste deux ans après le suicide de ma mère). Mais l’exposition n’a rien à voir avec cela. Elle se tient dans la galerie sud, là où il y a souvent des expositions sur des architectes. Cette fois, nous passons à l’intérieur des bureaux et maisons. D’un côté, les créations et les prototypes, de l’autre, des objets produits en série et que l’on peut même essayer (sensation bizarre sur une sorte de divan à ressort…). Vous connaissez sans doute la bibliothèque qui serpente sur les murs. Mais le mieux est d’aller rendre visite au site de Ron Arad ou de voir l’exposition en vidéo…

Damian Ortega. Champ de vision au Centre Pompidou

Le centre Pompidou à Paris Jusqu’au 9 février 2009, vous pouvez aller voir la création Champ de vision de Damián Ortega au Centre Georges-Pompidou à Paris, dans l’espace 315. L’artiste a suspendu sur des câbles tendus du sol au plafond des milliers (6000 d’après des revues d’art) de petits disques translucides de couleur variée et assemblés deux par deux de telle sorte que leur contour imaginaire forme une sphère (enfin, ça, c’est mon interprétation). Le parcours prévoit que l’on aille d’abord au fond de la pièce, où l’on regarde dans un œilleton (comme celui qui est sur les portes d’entrée) la scène formée par les disques, puis que l’on se promène entre les sortes de rideaux de disques colorés… en essayant de ne pas penser que cela donne le vertige au visiteur suivant qui regarde maintenant dans le petit trou avec sa loupe… Amusant, tant qu’on ne lit pas le  » concept  » présenté dans le feuillet remis à l’entrée ou dans les revues d’art… Neuroscience, perception, langage, cosmos, du charabia… Laissez vous aller à cette expérience… Cette fois, pas besoin de grands textes incompréhensibles comme pour les 93 000 litres de cheval contemporain vus à Poitiers.

Le futurisme à Paris… et au centre Pompidou

Le centre Georges Pompidou à Paris Jusqu’au 26 janvier 2009, vous pouvez voir au Centre Georges-Pompidou à Paris l’exposition Le futurisme à Paris… Une avant-garde explosive. Le titre renvoie au manifeste du futurisme du poète italien Filippo Tommaso Marinetti, publié en une du Figaro le 20 février 1909. L’exposition aurait pu, symboliquement, se prolonger jusqu’à la date anniversaire du centenaire de ce texte dont des extraits sont dispersés sur des papiers de couleurs à emporter dans les différents espaces de l’exposition (voir en bas de l’article). Celle-ci s’organise en 9 espaces comme 9 mini expositions formant plus ou moins un tout. Télérama et d’autres revues ont souligné les manques de certains artistes. De mon côté, ce qui m’a gêné, c’est que l’avant futurisme et les relations entre futurisme et cubisme sont traités en long, en large et en travers… quitte à ce que l’on ne comprenne plus. Si la perspective historique prime, alors il manque quand même les relations du futurisme avec la Première guerre mondiale (l’exposition s’arrête net à 1914), l’évolution des artistes, le fait que l’on retrouvera de nombreux ex-futuristes dans le mouvement Dada, le Bauhaus ou le surréalisme… D’ailleurs, de nombreux visiteurs ne comprenaient pas, en voyant Duchamp et d’autres, genre « tiens, il est futuriste, je croyais qu’il était dada » (surtout que l’exposition Dada en 2005 à Pompidou puis en 2006 en tournée avait été une ÉNORME exposition avec un très gros catalogue de plus de 1000 pages sur papier bible… que j’ai lu entièrement et consulte souvent).

Pour le cubo-futurisme, c’est absurde de s’arrêter à 1914… Et d’autres avant-gardes sont évoquées, comme l’avant-garde russe (Malevitch, Popova, Gontcharova, …). mais celle-ci a été traitée en 2005, à Bruxelles, dans le cadre de Europalia 2005, avec une exposition au palais des Beaux-Arts intitulée L’avant-garde russe, 1900-1935, qui présentait environ 300 œuvres. L’avant-garde avait aussi été à l’honneur, toujours en 2005, au grand palais à Paris avec l’exposition Vienne 1900 (Gustav Klimt, Egon Schiele, Koloman Moser et Oscar Kokoschka).

Bref, si vous voulez comprendre ce qu’est le futurisme, je ne pense pas que cette exposition y réponde, si vous voulez voir les influences de différents mouvements au tournant du 19e siècle au 20e siècle, alors peut-être aurez-vous un aperçu.

Mais si vous voulez juste contempler des œuvres d’art, alors, courrez à cette exposition…

Et si vous ne pouvez pas y aller, vous pouvez lire le dossier pédagogique du Centre Georges-Pompidou sur cette exposition.

Les petits extraits que j’ai réunis dans l’exposition :

  • Nous voulons chanter l’amour du danger, l’habitude de l’énergie et de la témérité, Filippo Tommaso Marinetti, Manifeste du futurisme, 1909, extrait sur papier vert.
  • Le Temps et lespace sont morts hier, Filippo Tommaso Marinetti, Manifeste du futurisme, 1909, extrait sur papier jaune.
  • Nous déclarons que la splendeur du monde s’est enrichie d’une beauté nouvelle : la beauté de la vitesse, Filippo Tommaso Marinetti, Manifeste du futurisme, 1909, extrait sur papier beige.
  • Nous exigeons, pour dix ans, la suppression totale du nu en peinture, Bocciono, Carrà, Russolo, Balla, Severini, Manifeste des peintres futuristes, 1910, sur papier bleu)
  • Nous déclarons qu’il faut se révolter contre la tyrannie des mots  » harmonie  » et  » bon goût « , Bocciono, Carrà, Russolo, Balla, Severini, Manifeste des peintres futuristes, 1910, sur papier plus ou moins orangé terne.
  • Le chef-d’œuvre doit disparaître avec son auteur. L’immortalité en art est une infamie, F.T.M. er R.W. Nevinson, Manifeste contre l’art anglais, 1914, sur papier rose.

L’apparition du visible de Christian Bonnefoi au centre Pompidou

La façade du centre Pompid à Paris

Comme l’exposition La comédie humaine de Jacques Villeglé au Centre Georges-Pompidou à Paris, l’exposition L’apparition du visible de Christian Bonnefoi se termine lundi prochain… (5 janvier 2009). Elle se situe dans les salles du musée national d’art contemporain.

J’ai bien aimé ses premiers collages des années 1970, et le travail sur des étamines à larges mailles, non enduites ou partiellement enduites, qui laissent voir par transparence le cadre et ses renforts, qui participent de l’œuvre.

Si vous ne pouvez pas y aller, vous pouvez visiter le premier site officiel de Christian Bonnefoi (sa page d’exposition n’est pas à jour… mais le reste vaut la visite) ou le nouveau site mentionné sur le site du centre Pompidou mais qui n’a pas voulu s’afficher chez moi à part une très jolie page blanche… Le centre Pompidou n’a pas préparé de dossier pédagogique.

La comédie humaine de Jacques Villeglé au centre Pompidou

La façade du centre Gorges-Pompidou à Paris

J’ai vu il y a déjà quelque temps l’exposition La comédie humaine de Jacques Villeglé au Centre Georges-Pompidou à Paris. Il est urgent que je vous en parle… Elle se termine lundi prochain… (5 janvier 2009). L’exposition est organisée en 9 salles, et j’ai trouvé que c’était ma fois assez monotone, à part la façon de détacher les affiches (ne pas rater la vidéo) et les ardoises, au début, c’est intéressant, mais la répétition devient lassante. Il n’y a d’ailleurs qu’à regarder les cartels qui répètent inlassablement :  » affiches lacérées marouflées sur toile « …

Il y a quand même une salle qui m’a intéressée, la huitième, qui tourne autour de l’Hourloupe. Kesako ? C’est un cycle de tableaux commencé par Dubuffet en 1962 et qu’il poursuivit jusqu’en 1974. Vous pouvez le découvrir à la fondation Dubuffet à Paris (137 rue de Sèvres), de l’extérieur, cela ressemble à un immeuble normal, avec interphone… Mais la visite vaut vraiment le déplacement. Essayez de vérifier si elle est rouverte, je crois qu’elle avait fermé pour travaux… L’autre lieu de la fondation est à Périgny-sur-Yerres (dans le 94), mais je ne la connais pas. Il y a quelques années, la fondation a édité un livre avec CD sur les expériences musicales de Jean Dubuffet, comme le Coucou bazar. Vu par Villeglé, l’hourloupe, ce sont des affiches annonçant la grande exposition organisée en 1975 au centre national d’art contemporain, dont il a récupéré toute une collection…

Si vous ne pouvez pas y aller, vous pouvez lire dossier pédagogique du Centre Georges-Pompidou ou le site officiel de Jacques Villeglé.

Mes achats à Magnac-sur-Touvre

Le salon de Magnac, deuxième photo d'Emmanuelle Le salon de Magnac, premièrephoto d'Emmanuelle Samedi dernier, je suis donc allée visiter à Magnac-sur-Touvre en Charente, près d’Angoulême, l’exposition organisée par le club de patchwork – et mon amie Emmanuelle. J’avais oublié mon appareil photo, mais elle m’a envoyé de quoi faire partager ce moment. Il y avait vraiment des ouvrages merveilleux ! L’un des thèmes de l’année était le contraste… Allez voir sur le blog d’Emmanuelle sa réalisation en bleu et orange. Le salon de Magnac, troisième photo d'Emmanuelle

Mes achats au salon de Magnac Et puis, je ne suis pas rentrée les mains vides, mais avec quelques livres de patchwork (en français, en anglais… et en japonais mais avec plein de dessins et schémas).

Le cintre en fer forgé avec la bannière J’ai aussi acheté un cintre en fer forgé qui est parfait pour la bannière que m’a envoyé l’autre jour à Cath / Cathdragon. J’ai dû le photographier à plat, près d’une fenêtre pour avoir un peu de lumière…

Et si vous passez dans le secteur, allez donc voir les sources de la Touvre, une des plus importantes résurgences vauclusiennes (après Fontaine-de-Vaucluse). Je n’ai pas de photographie numérique de ce lieu magique, mais j’ai trouvé une galerie photo sur un blog qui est très fidèle.

Mes achats à Moncoutant (2008)

Les allées du salon de Moncoutant Après la rencontre de dentellières d’Échillais près de Rochefort en Charente-Maritime, direction plein nord et Moncoutant, dans les Deux-Sèvres près de Bressuire, sous une pluie agaçante… pour le troisième salon Créations autour du Fil.
Comme elle avait triste mine, la Victoire de Coulonges-sur-l’Autize, si belle dans l’album photo proposé par le service de l’inventaire du patrimoine culturel et en quatrième de couverture du livre Les allégories de la République sur les monuments aux morts en Poitou-Charentes, de Charlotte Pon-Willemsen, édité dans la collection des Parcours du patrimoine chez Geste édition (sur la page 57, ISBN 978-2-84561-483-3) et dont je vous ai samedi.

Au salon, j’ai donc regardé les ouvrages proposés au concours, tous de la même taille et avec des fils DMC 498 (Bordeaux) et écru. 120 ouvrages, sur ce petit aperçu, je suis sûre que vous devinez quel est le mien ! Ouvrages présentés au concours de Moncoutant Je vous le montrerai bientôt plus en détail. Voici maintenant mes achats. Les allées du saln étaient larges et aérées, avec une ambiance très cool, pas comme à Créativa ou autre…

À Échiré, il n’y a pas qu’un excellent beurre AOC Charentes-Poitou mais aussi un marchand de tissus importés d’Angleterre qui sont extras… Le tissu est vendu imprimé, près à coudre, avec de nombreux motifs de coussins par exemple, et toute une collection de poupées / nounours.
Tissu pour poupée trouvé dans la boutique d'Echiré J’ai craqué pour l’une d’elles, les explications sont en anglais, mais pas de soucis a priori. Juste un regret, ils n’ont pas de site internet. j’ai aussi acheté chez eux la lampe à lumière blanche. Donc si vous passez vers Niort, n’hésitez pas à faire le détour, la boutique s’appelle Fils and Co, 477 chemin Couture (ça ne s’invente pas) à Échiré. Je l’ai commencée ici et terminée là.

Et si vous souhaitez en savoir plus sur le beurre et l’activité laitière de la région Poitou-Charentes, vous avez un dossier en ligne sur le site de l’inventaire du patrimoine culturel. La production des Deux-Sèvres et du nord de la Charente-maritime est une reconversion des terres dans les années 1880, après la crise du phylloxéra : les moins bonnes terres pour la vigne n’ont pas été replantées et sont devenues de grasses pâtures pour les vaches. Vous y trouverez aussi un schéma de la laiterie d’Échiré vers 1920 et un petit dossier sur la laiterie. Mais je digresse encore…

Fils de Brodinette Revenons au salon de Moncoutant. J’ai acheté chez Brodinette des fils teintés à la main… J’ai hésité entre les siens et ceux de l’atelier du Pic-Vert, que je connais déjà. Emmanuelle, qui était aussi à Moncoutant samedi, m’en a offert une échevette pour mon anniversaire, avec un pinkeep et un très joli tissu, petit rappel ici. Elle avait aussi ajouté une carte avec un modèle à broder de Mécénat et chirurgie cardiaque . Pour les vœux de nouvelle année, n’hésitez pas à commander ces cartes par exemple chez Cousines et compagnie

Grilles de la Passion des croix Chez Passion des croix, j’ai craqué pour deux grilles. La première est un tri-fils / pique-épingles en trois dimensions, Fleur de fils, qui doit être très pratique. La seconde est un petit tableau, un coin de paradis. Et pour faire bonne mesure, j’ai ajouté un coupon de toile Belfast rouge, noël approche… Mais ils ont plein d’autres grilles qui me tentent.

Carte et marque-page en frivolité Marque-page de frivolité de Laura Masera Enfin, je trouvais que l’un des marque-pages en frivolité de Laura Masera était superbe… Je lui ai demandé si elle avait un modèle, mais el
le est en train de préparer un livre à compte d’auteur pour l’année prochaine. Du coup, je lui ai acheté le marque-page, elle m’a dit que je pouvais compter les nœuds et le reproduire… Et aussi une carte postale avec une jolie navette ornée en os. Elle n’a pas de site, mais a promis m’informer de la sortie de son livre, je lui ai laissé ma carte, je verrai bien… Les livres à compte d’auteur, c’est mieux pour les droits d’auteur (elle a eu des déboires par le passé), mais pour la distribution, c’est souvent difficile à trouver, surtout sans site internet…

Il y avait un autre stand de frivolité, tenu par Lucette Evain, mais qui réalise les frivolités à l’aiguille (pas de site non plus).

J’ai failli acheté aussi des grilles chez un chat dans l’aiguille ou chez Tom et Lily, mais là, ça n’aurait vraiment pas été raisonnable…

PS:

Pour Moncoutant 2012 : le matériel, les contours, la première, la deuxième, la troisième et la quatrième faces, le toit, l’intérieur, la finition, mes achats

Pour Moncoutant 2010 : vous pouvez maintenant voir les préparatifs le tablier lors du concours, le tablier à son retour et la pendouille à ciseaux… ainsi que mes achats.

Pour Moncoutant 2008 : la broderie pour le concours et mes achats.

Peindre en Normandie, Région Basse-Normandie

L'abbaye aux Dames à Caen Voici la suite de ma virée à Caen début août. Depuis janvier 2008, la collection Peindre en Normandie, acquise en une quinzaine d’années par la Région Basse-Normandie et des partenaires privés est présentée de manière permanente dans les locaux de la Région, à l’Abbaye-aux-Dames à Caen. Elle se compose d’une centaine de tableaux de peintres célèbres (deux Corot, Signac, Monet, Géricault, Vuillard, etc.) ou non qui ont travaillé en Normandie à la fin du XIXe et au début du XXe siècles. Ils sont présentés dans trois petites salles à atmosphère contrôlée, accrochés de manière assez serrées sur des grilles métalliques, à la façon d’un cabinet d’amateur du XIXe siècle. Je n’aime pas trop ce parti pris, car il ne permet pas de profiter de chaque œuvre individuellement. Mais la plupart des tableaux sont d’une grande qualité, n’hésitez pas à faire la visite. Entrée libre tous les après-midis, de 14h à 18h.

Et pour revoir quelques-uns des lieux que j’ai visités à Caen, voici les liens :