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Nans 2014, 26, la fin de la basse-cour

Nans 2014, étape 26, oies, poule, coq et poussinJ’ai terminé avec beaucoup de difficultés la basse-cour (revoir le début et la suite)… toujours un modèle tiré de Tendres animaux brodés au point de croix, de Brigitte Roquemont (2010, éditions Edigo). Je crois que j’ai présumé de mes capacités visuelles… il ne faut pas trop comparer dans le détail la réalisation et la grille originale! Motif de 10 cm de large sur 15 cm de haut. Au départ, je pensais poursuivre avec d’autres animaux de la ferme (cochon, mouton, cheval) du même livre, mais j’ai changé de grille…

Affiche pour le salon de Nans 2014Aventure à suivre jusqu’au salon de Nans-sous-Sainte-Anne 2014, les 3 et 4 mai prochains, et au delà (articles programmés), pour le concours d’idées 2014. Vous trouverez chez Marlie un feuilleton autour de l’histoire du beau torchon ancien d’Irénée Gerriet. J’ai déjà participé à ce concours en 2011 avec un motif brodé inspiré des bannières de Cluny terminé en trousse à deux compartiments, en 2012 avec des vaches rouges, en 2013 ma prairie fleurie, et aussi brodé le village de Nans-sous-Sainte-Anne sur une grille de Marie-Thérèse Saint-Aubin/MTSA.

Nans 2014, l'ensemble jusqu'à l'étape 26Revoir les étapes du torchon :

– le torchon brut

– la couture, pour ramener ses coutures à 53 sur 80 cm

– l’école sur une grille de Raquel Blasco trouvée dans Mains et merveilles n° 98, rêves d’automne, septembre/octobre 2013: le début avec enfants et chats, les autres enfants, l’école, les arbres et le banc

– Adorise, avec des lettres tirées de la grille l’atelier de couture de Pic et Pic et Petits points, parue dans Passion fil n° 17 (octobre 2012), le cadre sur une grille de Toute une vie à broder de Sophie Delaborde et Sylvie Castellano

– le lustre (Pampilles et cristal), grille d’Histoires de lin et parue dans Passion fil n° 17 (octobre 2012), le centre, la partie gauche, le lustre terminé.

– Bannières brodées pour Gigny, Baume, Cluny : le laboureur et le semeur (grilles de Christiane Vo-Ha),  la cuve à fouler et les vendangeurs (grille de Marie-Jeanne Lambert)

– Rêve de roses, grille de Rachida Collewette pour 123 Citrouille, parue dans Mains et merveilles n° 90, mai/juin 2012: le petit couple, l’ensemble

–  100% couture, grille Pic et Pic et Petits points parue dans Passion fil n° 18 (janvier 2013): le mannequin, le mètre et les bobinesterminée.

– des oiseaux: un oiseau tiré de la mercerie d’antan de Passion bonheur, parue dans Passion fil n° 14, janvier 2012.

– une vache tirée de Les poyas à broder et à coudre de Bernadette Baldelli : le début et l’ensemble

– oies, poule, poussin et coq dans Tendres animaux brodés au point de croix, de Brigitte Roquemont: le début, la suite,

La ville de Lyon par Peynot

La République de Peynot à Lyon, carte postale ancienneComme je vous le disais la semaine dernière, le groupe sculpté de La République de Peynot à Lyon se composait jusqu’en 1975 (construction du métro qui a entraîné un réaménagement de la place) d’un haut socle avec une République en bronze au sommet et  ses pieds, l’allégorie de la Ville de Lyon et tout autour, des groupes sculptés avec les allégories de la Liberté, de l’Égalité de de la Fraternité, déplacées dans le parc Bazin (je n’avais pas eu le temps d’y aller lors de ce séjour à Lyon). La sculpture a été réalisée par « E. Peynot sculp. 1889″, pour Émile (Edmond) Peynot (Villeneuve-sur-Yonne, 1850 – 1932), grand prix de Rome en 1880. L’ensemble du monument a été dessiné par l’architecte Victor Auguste Blavette (Brains-sur-Gée, 1850 – Paris, 1933) deuxième second (sic!) grand prix de Rome de sculpture en 1878 puis premier grand prix de Rome de sculpture en 1879. Aux pieds de la ville de Lyon, comme on peut le voir sur cette carte postale ancienne, se trouvaient deux autres sculptures, allégories du Rhône et de la Saône. D’après la fiche de la base Monumen, ce sont les allégories que l’on trouve au pied de la statue de Louis XIV place Bellecourt… mais cela ne colle pas en comparant les sculptures (retournez voir mes photographies) et la carte postale.

Allégorie de la ville de Lyon par Peynot, vue générale sur la place Carnot à LyonAprès La République, voici donc la ville de Lyon, désormais située un peu plus loin sur la place Carnot.

Allégorie de la ville de Lyon par Peynot, vues de face et de dosLa Ville de Lyon est représentée assise sur un bloc non sculpté à l’arrière, puisqu’elle était au contact du socle de la République. Elle est habillée à l’Antique, porte des sandales et une couronne.

Allégorie de la ville de Lyon par Peynot, deux détailsElle tient de sa main gauche un glaive posé à plat sur ses cuisses tandis qu’elle appuie sa main gauche sur les armoiries de la ville de Lyon encadrées d’un décor de feuilles de vigne et de grappes de raisin.

Allégorie de la ville de Lyon par Peynot, enfant à sa droiteA sa droite se trouve un enfant tissant de la soie.

Photographies du 9 avril 2012.

La République de Peynot à Lyon

La République de Peynot à Lyon, deux vues de faceDes milliers de gens sont morts au nom de l’idéal de la République, en France et ailleurs dans le monde… Autant sont morts pour le droit de vote pour tous (enfin… pour ces messieurs, mais ces dames ont pardonné, même s’il ne leur a été accordé que depuis 1945). Alors, si vous n’avez pas voté dimanche dernier et qu’il y a un deuxième tour cette semaine dans votre commune, allez voter et faites voter autour de vous! Même si c’est pour voter blanc et que le vote blanc n’est pas encore pris en compte, exprimez-vous! 48% d’abstention dimanche dernier à Poitiers, c’est trop, même si vous ne voulez plus de « super cumulard » (chut, pas de nom, trêve électorale oblige), vous avez le choix entre 4 listes, plus le vote blanc et le vote nul si vous souhaitez protester!

Donc pour illustrer la République, j’ai choisi aujourd’hui une allégorie de la République (« A la gloire de la République 1889 ») à Lyon place Carnot (qui a pris ce nom en 1889, elle s’est appelée successivement place des Victoires sous Napoléon Ier,  place Louis XVI, puis Louis XVIII, brièvement de la Liberté lors de la Révolution de 1848, puis de la République lors de la brève deuxième République, de Napoléon sous Napoléon III, puis place Perrache). Il s’agit de Lazare Carnot, décédé en 1888. Le monument à la République a été érigé pour le centenaire de la Révolution, en 1889 (un an avant la République/monument au centenaire de la fête de la Fédération de Châtellerault), avec un monument inachevé (maquette en plâtre patiné). Il n’a été inauguré qu’en 1894 avec la mise en place de la statue en bronze à l’occasion de l’exposition universelle, internationale et coloniale de Lyon. Sadi Carnot, venu pour cet événement, est assassiné le 24 juin par l’anarchiste italien Sante Caserio (mais c’est une autre histoire dont j’aurai l’occasion de vous reparler).

La République de Peynot à Lyon, signature de PeynotLe monument se compose aujourd’hui d’un haut socle en pierre au sommet duquel est dressée une République en bronze qui porte la signature « E. Peynot sculp. 1889 », pour Émile (Edmond) Peynot (Villeneuve-sur-Yonne, 1850 – 1932), grand prix de Rome en 1880. Il a présenté le modèle en plâtre lors du salon des artistes français de 1888 sous le numéro 4525. L’ensemble du monument a été dessiné par l’architecte Victor Auguste Blavette (Brains-sur-Gée, 1850 – Paris, 1933) deuxième second (sic!) grand prix de Rome de sculpture en 1878 puis premier grand prix de Rome de sculpture en 1879 (il faudra que je vous en reparle pour le monument aux morts de Cognac…).

La République de Peynot à Lyon, carte postale ancienne, au milieu des tramwaysA l’origine et jusqu’en 1975 (construction du métro qui a entraîné un réaménagement de la place), elle était accompagnée à sa base d’une allégorie de La ville de Lyon, en pierre, désormais installée plus loin sur la place, et de groupes sculptés avec les allégories de la Liberté, de l’Égalité de de la Fraternité, déplacées dans le parc Bazin (je n’avais pas eu le temps d’y aller lors de ce séjour à Lyon). Sur cette carte postale ancienne, elle semble un peu perdue au milieu des tramways malgré ses dimensions imposantes (7,5m de haut pour la statue, le double pour le socle)…

La République de Peynot à Lyon, carte postale ancienne colorisée, la statie de dos avec la gare de Perrache au fondSon aménagement a changé au fil du temps, sur cette vue colorisée avec au fond la gare de Perrache (la statue du sommet est de dos), les éléments de la base ont été enlevés et un basin a été aménagé à son pied.

La République de Peynot à Lyon, deux vues, de face et de profil Revenons à la République… Elle se dresse debout bien droite, avec un lion assis à sa droite, avec la queue qui s’enroule derrière elle et réapparaît à côté de son côté gauche. Elle lui flatte la tête (même pas peur!) de la main droite et brandit un rameau de la main gauche.

La République de Peynot à Lyon, détail du buste de la RépubliqueElle concentre les symboles, coiffée du bonnet phrygien, une étoile à cinq branches sur la ceinture.

La République de Peynot à Lyon, détail du lionOuh! Le lion ne semble pas si commode que ça…

La République de Peynot à Lyon, , détail des reliefs sur le socleD’autres symboles républicains sont sculptés au sommet du socle, bonnet phrygien à la cocarde sur des cornes d’abondance, coq dressé sur des serpents et (pas trop visible sur ma photographie), symboles de la ville de Lyon.

Photographies du 9 avril 2012.

La Rochelle, le monument aux soldats et marins morts en 1870

En mars 2017, le square Valin de La Rochelle était en plein travaux…

Article du 21 juin 2012 Dans le square Valin de La Rochelle, entre les deux bassins du vieux port, se trouve le monument aux soldats et marins de la Charente-Inférieure morts pendant la guerre de 1870.

La Rochelle, monument aux soldats et marins, 1, de loin dans le squareComme pour celui de Tours (à revoir ici), il n’a été inauguré qu’à la veille de la première guerre mondiale, avec de grandes fêtes du 15 au 17 août 1913, en présence de Jean Morel, alors ministre des Colonies. L’érection de ce monument a traîné… Pourtant, la souscription avait été lancée dès 1885, puis une loterie avait été lancée pour son financement en août 1901 par le Souvenir Français (association qui gère toujours l’entretien de la plupart des monuments aux morts en France). Il se compose d’un haut socle sur lequel sont apposées plusieurs inscriptions (voir ci-dessous), d’un obélisque au sommet duquel se trouve un coq, et d’un groupe sculpté en pierre composé de trois soldats / marins.

La Rochelle, monument aux soldats et marins, 2, la signature de Pierre Laurent Il porte la signature du sculpteur Pierre Laurent, et une date presque illisible, « 191? ». Ce sculpteur a aussi réalisé Héro et Léandre dans la cour du muséum de La Rochelle.

La Rochelle, monument aux soldats et marins, 3, dédicaces et textes Sur la face principale (en haut à gauche), en majuscules, se trouve la dédicace, encadrée de branches de laurier,  » Aux / soldats et marins / de la / Charente-Inférieure / morts pour la patrie ».

Au dos (en haut à droite), l’inscription « mémorial édifié en 1913 / par le souvenir français / avec le concours / de la ville de La Rochelle ».

Sur un côté se lit cet hommage aux soldats (en bas à gauche):

« Combien dorment encore dans leur funèbre couche
En ces pays lointains où le soleil se couche
Sur des sables déserts
Et là-vas dans la brousse il en est beaucoup d’autres
Par les fièvres vaincus soldats autant qu’apôtres
Que l’herbe a recouverts ».

Sur l’autre côté (en bas à droite), on peut lire:

« Depuis l’heure où César a soufflé la tourmente
Partout vous trouverez des fils de la Charente
Pour venger leur pays
Et si jamais leurs noms échappent à l’Histoire
Du moins ce monument gardera la mémoire ».

La Rochelle, monument aux soldats et marins, 4, le soldat central

Le soldat central, vêtu de son uniforme, semble être un porte drapeau.

La Rochelle, monument aux soldats et marins, 5, le soldat mourant et son casque Sur la droite, un soldat mourant est allongé sur le sol. Son casque a glissé derrière lui.

La Rochelle, monument aux soldats et marins, 10, détail du marin mourant Ah, on voit mieux sous cet angle… Il est en appui sur son avant-bras gauche et lève le bras droit.

La Rochelle, monument aux soldats et marins, 6, le troisième soldat

Le troisième soldat, sur la gauche, est un marin.Il est censé être armé d’un fusil qui a une forme curieuse…

La Rochelle, monument aux soldats et marins, 9, détail du béret du troisième marin On tourne un peu, pas de doute, couvre-chef (un bachie?) à pompon tenu par une jugulaire, c’est bien un marin.

La Rochelle, monument aux soldats et marins, 7, ancre et coq Au dos du monument, à la base de l’obélisque, est posée une couronne funéraire avec une ancre et une palme.

Tout en haut du monument se trouve un coq, symbole de force et de la France.

La Rochelle, monument aux soldats et marins, 8, de dos Une dernière petite vue de dos…

Toutes ces photographies datent de juin 2011.

Le monument aux morts du Marchioux à Parthenay

Monument aux morts du Marchioux à Parthenay, 1, le monument devant l'école normale

A Parthenay, dans le nord des Deux-Sèvres, se trouve un monument au mort entre la gare et le centre-ville, pour les morts de Parthenay (voir ici le monument aux morts de 1914-1918), et un autre, dont il est question ici, dédié aux instituteurs des Deux-Sèvres morts pour la France, situé devant l’ancienne école normale d’instituteurs, devenue collège du Marchioux. Il a été inauguré le 9 mars 1924.

Monument aux morts du Marchioux à Parthenay, 2, vue générale Ce monument est un concentré de symboles républicains. Le plâtre préparatoire a été dessiné par Charles Sabouraud, ancien élève de l’école normale, et réalisé par un sculpteur espagnol qui habitait à Parthenay. Il a été inauguré le 9 mars 1924. Le monument se compose d’un haut socle formant un obélisque trapu, devant lequel s’appuie une femme et sur lequel se dresse un coq sur une sphère. La femme est une allégorie de la République, coiffée ici d’un chignon, vêtue à l’Antique, pieds nus, encadrée d’une épée et d’un bouclier.

Monument aux morts du Marchioux à Parthenay, 3, deux vues générales

On voit mieux sur ces deux photographies, la République est représentée dos au passant, éplorée, les deux mains en appui contre l’obélisque qui porte sur ses côtés le nom des instituteurs des Deux-Sèvres morts pour la France.

Monument aux morts du Marchioux à Parthenay, 4, la tête de la République Sur ce détail, vous voyez le visage tourné légèrement sur le côté, à la fois triste mais comme apaisé de la République, le drapé de son vêtement dégage son bras droit, nu, en appui sur l’obélisque. Elle est coiffée d’un chignon très soigné.

Monument aux morts du Marchioux à Parthenay, 5, détails du blouclier et des pieds nus

A droite de la République est posé son bouclier. Vous voyez mieux sur ces détails le drapé de son vêtement. En bas, vous remarquerez son pied gauche nu, légèrement en recul et en appui sur la pointe, ce qui donne un certain mouvement à cette représentation.

Monument aux morts du Marchioux à Parthenay, 6, épée et feuilles de chênes

A gauche de la République est posée une grande épée. Sur les faces latérales sont sculptées des branches de chêne entrecroisées.

Monument aux morts du Marchioux à Parthenay, 7, croix de guerre et légion d'honneur

Sur les faces latérales sont sculptées deux symboles républicains.Sur la photographie de gauche (face droite de l’obélisque quand on fait face à l’école), on reconnaît, sur un fond de une couronne végétale (chêne et laurier mêlés), la croix à cinq branches de la Légion d’honneur qui renferme dans le médaillon central le profil de la République de 1870 sous les traits de la la déesse Cérès. Sur l’autre face (photographie à droite, à gauche sur le monument) a été figurée la croix de guerre, à quatre branches avec deux épées entrecroisées et un profil de Marianne portant le bonnet phrygien dans le médaillon.

Monument aux morts du Marchioux à Parthenay, 8, le coq au sommet du monument Au sommet de l’obélisque, un coq (gaulois, symbole de force) se dresse sur une sphère devant laquelle se trouve un rameau de laurier.

Vous trouverez d’autres informations sur cette œuvre dans le Parcours du patrimoine consacré aux monuments aux morts avec une allégorie de la République, et dans le dossier documentaire réalisé par le service de l’inventaire du patrimoine culturel de la région Poitou-Charentes).

SAL calendrier / Galito 2011 chez Défi de Toile, septembre

SAL calendrier 2011 par défi de Toile, septembre, détail Tout au long de 2011, nous avons retrouvé le coq portugais (Galito) dans le cadre d’un calendrier suivi en SAL mensuel chez Défi de toile. Ce projet a pris beaucoup de retard, la plupart des participantes ayant abandonné ou traîné en cours de route… Comme il n’était plus possible de boucler ce projet sur 2011, je l’avais mis de côté après le mois d’août… fini mi-novembre. Je poursuis doucement, voici septembre… Octobre quand j’aurai reçu la grille et brodé le mois… Affaire à suivre…

SAL calendrier 2011 par défi de Toile, septembre, tout

Retrouvez toutes les étapes de ce SAL :

SAL calendrier / Galito 2011 chez Défi de Toile, août

SAL calendrier 2011 par défi de Toile, août, détail Tout au long de 2011, nous retrouverons le coq portugais (Galito) dans le cadre d’un calendrier suivi en SAL mensuel chez Défi de toile. Ce projet a pris beaucoup de retard, la plupart des participantes ayant abandonné ou traîné en cours de route… J’avais envoyé ma photo de juillet dans les délais, j’ai reçu août il y a peu, le voici brodé, j’espère pouvoir rattraper les derniers mois pour le finir dans l’année…

SAL calendrier 2011 par défi de Toile, août, tout Retrouvez toutes les étapes de ce SAL :

Un étui à CD pour Tibilisfil

Etui à CD pour l'anniversaire de Tibilisfil Pour l’anniversaire de Monique / Bidouillette / Tibilisfil , je vous ai déjà montré l’ATC Bon anniversaire, la poule et ses poussins puis le coq brodés. Pour la finition, j’ai d’abord renforcé la broderie au thermocollant, puis fait les ourlets à la machine. Ensuite, j’avais acheté une pochette pour ranger les CD, j’ai appliqué les broderies au point invisible en laissant le haut libre, ça fait une petite poche de chaque côté. Bon, pas facile, la couture, parce que la couverture est rigide… Mais le résultat final est pas mal, je trouve…

Dans cette revue, j’ai aussi réalisé un hérisson.

Un coq pour Tibilisfil

Un coq brodé pour Petite Fée Nougat Pour l’anniversaire de Monique / Bidouillette / Tibilisfil, je lui ai brodé une poule et ses poussins, puis ce coq d’après un modèle de Création point de croix n° 8, mars/avril 2011. Brodé en DMC 777 sur une toile de tissu d’ameublement en 2 fils sur 3. La finition? Suivre le lien! Et aussi pour une ATC Bon anniversaire.

Dans cette revue, j’ai aussi réalisé un hérisson.

Le Grand-Rond à Toulouse (7) : le combat de coq de Falguière

Toulouse, le combat de coq de Falguière au Grand rond, carte postale ancienne Cela fait un moment que je ne vous ai pas emmenés dans le jardin du Grand-Rond à Toulouse. Aujourd’hui, ce sera pour y voir le Vainqueur au combat de coqs. L’original était de Jean Alexandre Joseph Falguière (1831-1900, je vous en ai parlé pour Pierre Goudouli à Toulouse et bientôt pour d’autres œuvres comme le monument à Pasteur à Paris, à voir ici avec des vues d’hier et d’aujourd’hui, ou celui à Léon Gambetta à Cahors) et la fonte de Victor Thiébaut (lui non plus n’est pas un inconnu de mes fidèles lecteurs, vous pouvez revoir la Gloria Victis d’Antonin Mercié à Niort et le monument aux morts de 1870-1871 de Jules Félix Coutan à Poitiers). L’original avait été présenté au Salon des artistes français en 1864 (un tirage en est présenté au musée d’Orsay à Paris) et inauguré au Grand-Rond en 1868. Détruit lors des fontes de 1941/1942 (suite à la loi du 11 octobre 1941 et aux instructions de 1942, qui ordonnaient la fonte des monuments en bronze à l’exception des monuments aux morts, des saints, des saintes, des rois et des reines…), le plâtre original donné par l’auteur au musée des Augustins à Toulouse en 1872 a été brisé en 1963. Il reste d’autres tirages en bronze (taille originale et réductions au catalogue du fondeur Thiébaut) et pour Toulouse, des représentations sur des cartes postales anciennes. Cette sculpture est inspiré du Mercure de Jean de Bologne (1529-1608). Elle représente un jeune garçon nu, debout en appui sur sa jambe droite, pied et main gauches levés. Il tient un coq sur son bras droit.