Mini moufle de Noël

Mini moufle au tricot

Pour accompagner mes vœux, je fais généralement de petites réalisations. Cette année, comme le plus facile est le tricot avec ma vue, j’ai testé une mini-moufle proposée par Modes et travaux, n° 1357 de décembre 2013, avec les mêmes laines que ma marinière. Comme je voulais éviter les coutures, j’ai opté pour une transposition du modèle à quatre aiguilles. Le résultat est pas mal, mais pour varier les motifs et tricoter une quarantaine de moufles, par tranches de 20 à 30 minutes maximum suivies de 2h de pause pour ne pas trop fatiguer la vue, ce n’était pas gagné… J’ai donc abandonné l’idée… A suivre bientôt ce que j’ai choisi à la place…

Une pastèque au tricot (2)

Les deux parties de la pastèque avant assemblageJ’ai terminé la pastèque (aïe, Emmanuelle / le Marquoir d’Élise a raison, ce n’est pas la saison…) : après la « partie charnue« , voici la peau (réalisée avec le vert foncé de mon cache-cœur, tiens, au passage, je vois que je ne vous l’ai pas montré assemblé…). Le modèle vient toujours du livre de Susie Johns, Fruits & légumes au tricot (éditions Didier Carpentier, 2012).

Pastèque au tricot, assemblée et brodéeVoici ce que ça donne après assemblage et broderie des « graines » au point de bouclette en laine noire…

Fruits et légumes au tricot : pastèque, poivron, poireau, panais, tomate, cerises, aubergine, poivronEt voilà l’ensemble, vous pouvez revoir de plus près en suivant les liens la « partie charnue » de la pastèque, le poireau, le panais, l’aubergine, le poivron, la figue, la tomate et les cerises… et la suite: le chou-fleur, le champignon, l’ananas, la banane, le trognon de pomme, le petit pois,

Le chant du pluvier de Laprun, Béhé et Surcouf

pioche-en-bib.jpgLogo BD for WomenCouverture de Le chant du pluvier de Laprun, Béhé et SurcoufUne bande dessinée trouvée dans les bacs de la médiathèque.

Le livre : Le chant du pluvier de Amandine Laprun et Joseph Béhé (scénario), Erwann Surcouf (dessins), collection Mirages, éditions Delcourt, 2009, 173 pages, ISBN 9782756010830.

L’histoire : Guilhèm rentre en France pour l’enterrement de sa mère, son avion atterrit en pleine tempête de neige… et il arrive en retard. C’est qu’il est chercheur au Groenland, alors que son père et sa sœur vivent dans la ferme familiale au-dessus de Pau. Quelques mois plus tard, il vient chercher son père pour un séjour au Groenland, lui qui n’est jamais parti de chez lui pour aller plus loin que Bordeaux… La sœur, furieuse, part en estive après avoir vendu la volaille du père. Ce dernier va-t-il s’accoutumer au climat du grand nord et comprendre mieux son fils?

Mon avis : un album en couleurs, même si ces dernières sont parfois un peu sombres, avec une grande place accordée à l’encre noire. Les expressions des visages sont rendus en quelques traits très expressifs malgré la simplification. Cet album dresse le portrait de deux homes que tout semble opposer, mais aussi deux cultures, entre le fermier des Pyrénées et les pêcheurs du Groenland, malgré la barrière de la langue, et avec un peu l’aide de l’alcool, le père bourru va peu à peu s’acclimater au grand nord. Un album qui m’a bien plu!

 

Logo du top BD des blogueurs 2013 Cette BD sera soumise pour le classement du TOP BD des blogueurs organisé par Yaneck / Les chroniques de l’invisible. Mes chroniques BD sont regroupées dans la catégorie pour les BD et par auteur sur la page BD dans ma bibliothèque.

Joyeux Noël 2013… avec le père Noël de Capucine!

Père Noël en pendeloque par Capucine OJe vous souhaite à tous et à tous un joyeux Noël avec Père Noël que m’a envoyé Capucine O ! En plus, vous ne pouvez pas le sentir, mais il exhale de bonnes odeurs d’épices!

Carte de Noël pop'up par Capucine OCette pendouille était accompagnée d’une jolie carte « pop up » (qui se déploie quand on l’ouvre),,. la voici donc fermée et ouverte! Un grand bravo et un grand merci à toi, Capucine O, et n’hésitez pas à aller lui rendre visite!

Carte à publicité envoyées par Capucine O en décembre 2013Dans un précédent envoi, elle m’avait envoyé d’autres cartes à publicité… Quelqu’un parmi mes lecteurs a vu l’exposition Kanak au  ?

Henri de Yolande Moreau

Affiche de Henri de Yolande MoreauJe suis allée au cinéma voir Henri, de (et avec, dans un petit rôle)  (dont je vous ai déjà parlé pour Séraphine et Où va la nuit, de Martin Provost, Les plages d’Agnès d’Agnès Varda,  Dans la maison de François Ozon, Camille redouble de Noémie Lvovsky).

Le film : de nos jours en hiver à Charleroi en Belgique. Henri (Pippo Delbono) tient avec sa femme Rita (Lio) un petit bistro / restaurant de quartier, la Cantina. Prise d’un malaise, celle-ci décède. Henri se retrouve seul, déprime, avec ses pigeons voyageurs et deux habitués du bar, Bibi (Jackie Berroyer) et René (Simon André). Sa fille Laetitia (Gwen Berrou) lui impose une aide, Rosette (Miss Ming), une jeune handicapée mentale du foyer voisin, les Papillons blancs, déjà venue aidée pour le repas qui a suivi l’enterrement. En mal d’amour, sujet récurrent au foyer, Rosette tombe amoureuse et se vante au foyer d’avoir fait l’amour et d’être tombée enceinte d’Henri. La direction du foyer la retire du restaurant. Henri, soûl, ne se souvient pas de la soirée où cela aurait pu se passer, il décide de partir réfléchir à la mer’ à Middlekerke, mais Rosette s’est glissée dans la voiture.

Mon avis : s’il y a quelques scènes qui m’ont beaucoup plu, comme ce tas de verre d’une usine de recyclage entre les terrils, l’envol de milliers de pigeons lors d’un concours, la plage déserte en hiver avec sa baraque à frites, de très bons acteurs (notamment les handicapés qui sont des comédiens de la Compagnie de l’Oiseau-Mouche, un Établissement et service d’aide par le travail/ESAT de Roubaix, qui fut en 1981 le premier Centre d’aide par le travail/CAT artistique de France), je me suis un peu ennuyée dans cette histoire au rythme lent. Au passage, certains critiques semblent s’émerveiller du nom des « papillons blancs », du rapport entre le papillon et les pigeons des concours de pigeons. Mais Yolande Moreau n’a rien inventé pour le nom de l’institution (ce qui n’empêche pas les jeux de mots/sons/images), les papillons blancs sont juste le nom donné depuis fort longtemps (les années 1950/1960) à une des composantes de l’UNAPEI et des UDAPEI (Union nationale / unions départementales des Associations de Parents et Amis de Personnes Handicapées Mentales), nom donné aussi aux foyers pour handicapés mentaux qu’ils gèrent.

La marinière terminée

La marinière terminéeAprès le début, le devant, le dos et les manches, j’ai assemblé le tout puis remonté les mailles pour tricoter le col. Voici le résultat! Toujours un vieux modèle paru dans Modes et Travaux et de la fausse laine (acrylique, 100% pétrole donc), achetée dans une solderie et sans doute fabriquée à l’étranger… Qualité Rubis, coloris 156 (rouge) et 211 (écru).

Les échelles du Levant d’Amin Maalouf

pioche-en-bib.jpgCouverture de Les échelles du Levant d'Amin MaaloufUn livre trouvé à la médiathèque, au rayon « large vision ».

Le livre : Les échelles du Levant de Amin Maalouf, éditions Grasset, 1996, 298 pages, ISBN 978-2-246-49771-X (lu en large vision, éditions Littera Corps 16).

L’histoire : Paris, en 1976. Le narrateur rencontre un homme d’un certain âge qui lui raconte sa vie sur quatre jours. Ossyane est le descendant d’un dirigeant ottoman assassiné ou suicidé à Istanbul, sa grand-mère état devenue folle en découvrant le corps, recueillie par un médecin qui était chargé de la soigner après l’avoir épousée… et qui en aura un fils, le père d’Ossyane, de sa sœur aînée et de son petit frère, à la naissance duquel la mère, arménienne, est décédée. Élevé par des précepteurs dans une maison à Beyrouth, au Liban, où se succède un public varié pour des fêtes et des expositions, Ossyane part à Montpellier suivre des études de médecine. Mais voilà qu’éclate la Deuxième guerre mondiale, Ossyane entre dans la Résistance… où il rencontre brièvement Clara, une jeune juive expatrié, qui deviendra sa femme après la guerre. Les deux jeunes amoureux habiteront alternativement à Beyrouth, chez le père dOssyane, et à Haifa, où Clara a conduit son oncle, seul rescapé de sa famille, quand la guerre les sépare à nouveau…

Mon avis : un livre écrit comme un conte oriental, la vie d’une famille racontée en cinq jours à un homme, le narrateur, qui nous en fait le récit. Une histoire qui commence à Istanbul, se poursuit par la Résistance en France avant de retourner au Proche-Orient avec le début des guerres du Proche-Orient liées à la création d’Israël. Le tout sur fond d’histoires d’amour et de folie (celles de la grand-mère et celles du narrateur), de croisements de peuples (turcs, arméniens, juifs), de magouilles (du frère). Un très beau roman!

 

Report de l’ouverture du viaduc des Rocs (Léon Blum) à Poitiers

Poitiers, viaduc des Rocs ou Léon-Blum, état au 21 décembre 2013Depuis mon dernier point en septembre, la construction du viaduc des Rocs, rebaptisé Léon Blum, qui va remplacer la passerelle des Rocs (revoir les épisodes précédents : la démolition des premières travées et de la maison Rolland, la mise en place d’échafaudages sur les derniers piliers, la préparation de  la dépose de deux travées sur les voies, les deux travées sur les voies, la dernière travée sur les voies, le début de la reconstruction, les premières nouvelles travées, la jonction côté ouest et côté plateau, la mise en place de la dernière travée, l’avancée pendant l’été 2013) a encore pris du retard. A l’époque, on parlait d’une ouverture le 21 décembre, au lieu de mi novembre d’abord envisagé, avec une arrivée des bus en janvier (dans la presse, mais dès le 21 décembre sur le site de la régie de bus, Vitalis). Ces deux dernières semaines, la communication de la ville (enfin, de l’agglomération du Grand Poitiers, mais il n’est pas toujours facile de distinguer les deux, cumul des mandats du maire et président de l’agglomération, pas toujours facile de savoir quelle casquette il porte) a annoncé le report probable puis certain de l’ouverture de l’ouvrage d’art fin janvier. Avec d’abord comme excuse que le froid empêchait de couler le revêtement,parce qu’il fallait trois jours d’affilée à plus de 8° (voire 15° dans certains communiqués) pour pouvoir le faire. Étrange, non, il gèle en hiver??? Finalement, grâce à un redoux en journée cette semaine, le revêtement a été mis en place, mais le chantier est loin d’être achevé (ci-dessus photographie faite hier 21 décembre 2013), il manque notamment toujours les garde-corps et l’éclairage. Bref, le chantier a pris du retard, et pas seulement à cause du froid, pourquoi ne pas le dire simplement? Les ouvriers ont pourtant été contraints (ah non, ils étaient sans doute volontaires…) de travailler de nuit et le dimanche ces dernières semaines; La fédération des acteurs économiques (Poitiers le Centre), qui comptait sur l’arrivée facilité en ville des habitants de Poitiers Ouest grâce au viaduc… pour les achats de Noël, ne pourra même pas se réjouir de le voir ouvert pour les soldes… A suivre, notamment pour savoir si les bus (en grève depuis hier… la grève devait concorder avec l’ouverture du viaduc) pourront tourner sur le boulevard côté ville…

Viaduc des Rocs à Poitiers, avancée du chantier en octobre 2013Vu l’état du chantier mi octobre 2013, il était déjà évident que la première date avancée, en novembre, ne pourrait pas être tenue…

Viaduc des Rocs à Poitiers, fin octobre 2013Fin octobre 2013, ça s’activait toujours…

Une pastèque au tricot (1)

Le début de la pastèque au tricotJ’ai commencé, dans la série des fruits et légumes (toujours tirée du livre de Susie Johns, Fruits & légumes au tricot, éditions Didier Carpentier, 2012), la tranche de pastèque, en utilisant les mêmes laines que pour ma marinière. La façon de tricoter rappelle un peu le le ventre de la tortue.

Fruits et légumes au tricot : pastèque en cours de réalisation, poivron, poireau, panais, tomate, cerises, aubergine, poivronEt voilà l’ensemble, vous pouvez revoir de plus près en suivant les liens le poireau, le panais, l’aubergine, le poivron, la figue, la tomate et les cerises… et la suite: le chou-fleur, le champignon, l’ananas, la banane, le trognon de pomme, le petit pois, la pastèque terminée,