

Une bande dessinée trouvée parmi une sélection de nouvelles acquisitions de la médiathèque.
Le livre : Morphine de Juliette Fournier (scénario, dessins et couleur), collection Atmosphères, éditions Emmanuel Proust, 2012, 128 pages, ISBN 9782848103839.
L’histoire : dans un monde intemporel. Morphine, une fillette, chasse des « Chimères » pour le Professeur Hidestone, lui-même fabricant de ces créatures dans le cadre d’un agrément d’une curieuse société qui fournit la matière de base (un ADN pur) et hiérarchise ces créatures. Cette fois, accompagnée d’une chimère plus ou moins en forme de loup, elle est chargée de capturer une chimère supérieure, un « Grand Sphynx », dans une ville fantôme. Quand elle arrive, d’autres « chasseurs » sont sur le coup…
Mon avis : un album très coloré, avec des personnages aux visages simplifiés et aux grands yeux, façon Manga. Mais je n’ai pas vraiment adhéré à l’histoire, même si en arrière plan se trouve la question des manipulations génétiques et des contrôles qui peuvent être faits sur cette recherche, ici par la société qui contrôle la matière de base, édicte les règles et éventuellement les sanctions.
Pour aller plus loin: le blog de Juliette Fournier.
Cette BD sera soumise pour le classement du TOP BD des blogueurs organisé par Yaneck / Les chroniques de l’invisible. Mes chroniques BD sont regroupées dans la catégorie pour les BD et par auteur sur la page BD dans ma bibliothèque.
Je vous souhaite à tous et à toutes une bonne et heureuse année 2014!!!
Puisque je ne me voyais pas réaliser une quarantaine de
Une série sur fond rouge, ces pendouilles sont parties chez
La deuxième série, sur fond bleu avec un tour de tête orange, est arrivée chez
La La troisième série, sur fond bleu avec un tour de tête rouge, est partie chez 

En ce moment, c’est le tricot qui est mon activité manuelle favorite, surtout a plus accessible… J’ai promené le modèle sur une page découpée dans un vieux numéro de Modes et travaux (repris dans le hors série créatif spécial fête 5H, 2012) 
Vous connaissez probablement le peintre [Jacques] Louis David, au moins pour La mort de Marat ou Marat assassiné (voir 

Une bande dessinée trouvée dans les bacs de la