Archives par étiquette : science fiction

La momie d’Alex Kurtzman

Affiche de La momie d'Alex KurtzmanJe suis allée voir la Momie, d’Alex Kurtzman, en VO et en 2D (parce que pour la 3D, je n’ai pas encore essayé depuis presque quatre ans, ophtalmo et neurologue me promettent de beaux maux de tête avec la 3D!

Le film : il y a deux mille ans, Ahmanet, une princesse égyptienne [Sofia Boutella], qui a passé un pacte avec les forces maléfiques, est enterrée dans le désert selon un rite qui doit empêcher son retour parmi les hommes pour l’éternité. Beaucoup plus tard, à Londres, un groupe d’archéologues fouille un cimetière de croisés morts au milieu du XIIe siècle. Dans le désert irakien, Nick Morton [Tom Cruise] et Chris Vail [Jake Johnson] s’éloignent de leur mission à la recherche d’antiquités. Alors que des combats éclatent, ils trouvent la tombe, une archéologue officielle, Jenny Halsey [Annabelle Wallis] arrive avec les renforts, ils trouvent le sarcophage, l’embarquent à bord d’un avion qui se crashe alors que la momie ressuscite. Ils survivent et se retrouvent en présence du dr Henry Jekyll [Russell Crowe], qui a capturé la momie…

Mon avis : cela faisait longtemps que je n’étais pas allée voir de film d’anticipation / science fiction… Des archéologues à l’affiche, un remake d’Indiana Jones? Une envie aussi de revoir Tom Cruise ? Bon, me voilà donc, une fois n’est pas coutume, au cinéma commercial.. Aucun suspense, tout a été dit dans la bande-annonce et dans les cinq premières minutes. Quelques scènes d’action artificielles, de gros clichés comme les chauves-souris (quoique, ça change des oiseaux) qui entrent dans les moteurs de l’avion et provoquent le crash, courses-poursuites, bref,le scénario manque cruellement d’imagination, mais on ne peut pas nier que Tom Cruise porte le film à lui seul. Un film pas franchement mauvais pour ceux qui aiment ce genre, pour les autres, à prendre au deuxième degré ou bien passez votre tour…

qui doit donner la tonalité de la franchise. L’intrigue promène ses protagonistes de scènes d’action en scène d’action au point de n’avoir plus rien à raconter -il s’agit d’une malédiction, nous est-il expliqué trois ou quatre fois peut-être, dans un film sur la «Momie»…
Le meilleur des effets spéciaux ? Tom Cruise

Cet amalgame achève de faire de «La Momie» un film générique, plutôt dénué d’âme que véritablement mauvais. Il y a tout de même quelques arguments en faveur de ce grand spectacle au rythme effréné, souvent impressionnant à défaut d’être très original, comme la présence toujours imposante de Russell Crowe, l’élégance de Sofia Boutella, et bien sûr Tom Cruise. C’est l’acteur qui a lancé l’idée de la meilleure scène du film, le clou du spectacle, tournée en apesanteur dans un avion en chute libre. Toujours aussi énergique à 55 ans, s’amusant avec ce rôle proche de celui d’«Edge of Tomorrow», et surtout en tournant ses propres cascades, Tom Cruise prouve à chaque instant qu’il est encore le meilleur des effets spéciaux.

Morphine de Juliette Fournier

pioche-en-bib.jpgLogo BD for Womencouverture de Morphine de Juliette FournierUne bande dessinée trouvée parmi une sélection de nouvelles acquisitions de la médiathèque.

Le livre : Morphine de Juliette Fournier (scénario, dessins et couleur), collection Atmosphères, éditions Emmanuel Proust, 2012, 128 pages, ISBN 9782848103839.

L’histoire : dans un monde intemporel. Morphine, une fillette, chasse des « Chimères » pour le Professeur Hidestone, lui-même fabricant de ces créatures dans le cadre d’un agrément d’une curieuse société qui fournit la matière de base (un ADN pur) et hiérarchise ces créatures. Cette fois, accompagnée d’une chimère plus ou moins en forme de loup, elle est chargée de capturer une chimère supérieure, un « Grand Sphynx », dans une ville fantôme. Quand elle arrive, d’autres « chasseurs » sont sur le coup…

Mon avis : un album très coloré, avec des personnages aux visages simplifiés et aux grands yeux, façon Manga. Mais je n’ai pas vraiment adhéré à l’histoire, même si en arrière plan se trouve la question des manipulations génétiques et des contrôles qui peuvent être faits sur cette recherche, ici par la société qui contrôle la matière de base, édicte les règles et éventuellement les sanctions.

Pour aller plus loin: le blog de Juliette Fournier.

Logo du top BD des blogueurs 2013 Cette BD sera soumise pour le classement du TOP BD des blogueurs organisé par Yaneck / Les chroniques de l’invisible. Mes chroniques BD sont regroupées dans la catégorie pour les BD et par auteur sur la page BD dans ma bibliothèque.

Le début de la fin de Marc-Antoine Mathieu

Couverture de Le début de la fin de Marc-Antoine Mathieu

pioche-en-bib.jpgCet auteur et sa série Julius Corentin Acquefacques (verlan de kafka) font partie de la sélection de bandes dessinées proposées par Étienne Davodeau à Richard Leroy (voir les ignorants)… J’ai trouvé cet album dans les bacs de la médiathèque.

Le livre : Le début de la fin/ la fin du début (quatrième tome de la série Julius Corentin Acquefacques) de Marc-Antoine Mathieu (dessin et scénario), éditions Delcourt, 1995, 48 pages, ISBN 978-2-84055-056-3.

L’histoire : Julius Corentin Acquefacques, fonctionnaire au ministère de l’humour, est prisonnier de ses rêves… À son réveil, il fait tout à l’envers, ses mouvements, son reflet dans le miroir, tout est à l’envers et le temps remonte… Qui réussira à le mettre dans le bon sens de la marche du temps?

 Mon avis : cet album contient deux histoires présentées tête-bêche, le début de la fin et la fin du début. Un monde où j’ai eu un peu de mal à entrer, surtout avec le dessin où dominent des aplats de noir intense… Le circuit en forme de ruban de Moebius boucle quelque part le début et la fin, plus de début, plus de fin, plus de destination… Pas mon album préféré de l’année, mais la découverte d’un univers où je ne serais pas allée spontanément : si j’avais juste feuilleté les albums dans les bacs de la médiathèque pour choisir ma lecture BD de la semaine, je ne l’aurais sans doute pas choisi.

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Chats noirs, chiens blancs, tome 2, de Vanna Vinci

Chats noirs, chiens blancs, tome 2, de Vanna Vinci

Logo BD for Womenpioche-en-bib.jpgEn prenant le tome 1, j’avais aussi pris le tome 2 à la médiathèque… je l’ai lu, même si je n’avais pas été convaincue par le premier tome…

Le livre : Chats noirs, chiens blancs, tome 2, chemin faisant de Vanna Vinci (dessin, scénario, couleur), traduit de l’italien par Claudia Migliaccio, éditions Dargaud, 2010, 126 pages, ISBN 978-2-505-00934-4.

L’histoire : Paris, dans les années 2000 avec des flashs dans le passé. Gilla, la jeune italienne venue chercher le sens de sa vie à Paris, est toujours à la dérive. Elle s’habille toujours avec les vêtements des années 60 de Cicci qui l’héberge, quitte le cours de photographie, erre dans Paris et y croise de nouveaux fantômes en plus de Roby, son ex-petit ami décédé : Zelda Fitzegarld, la marquise Luisa Casati, une riche femme du début du 20ème siècle…

Mon avis : je ne suis pas plus convaincue par ce deuxième tome que par le premier… Je ne retenterai pas cette auteure…

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Viva Las Vegas de Anne Simon

Couverture de Viva Las Vegas de Anne Simon

Logo BD for Womenpioche-en-bib.jpgUn album trouvé au hasard dans les bacs de la médiathèque, à la recherche de BD avec une auteure (défi Libérez les femmes artistes et leur crayon du placard, proposé par Audouchoc.)… Pas facile, la parité en BD!

Le livre : Les petites prouesses de Clara Pilpoile, tome 2, Viva Las Vegas de Anne Simon (dessin et scénario), Delphine Chédru (couleurs), collection Poisson pilote, éditions Dargaud, 2008, 46 pages, ISBN 978-2-205-06035-5.

L’histoire : on ne sait pas quand, pas trop où, dans un casino en rase campagne quelque part en Deux-Sèvres pour la seconde partie de l’album. Clara Pilpoile, écrivain public (au féminin, ça donne quoi?), doit écrire la biographie de madame Populo. Celle-ci lui propose un voyage tous frais payés avec ses vieilles amies un peu folle à Las Vegas… Un étrange casino dans un coin perdu…

Mon avis : je ne suis pas du tout entrée dans cet univers, ni dans le scénario, ni dans l’humour supposé, ni dans le graphisme de l’album… Je ne testerai pas d’autres titres de cette auteure…

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L’œil lumineux et autres histoires de Sandrine Martin

Couverture de L’œil lumineux et autres histoires de Sandrine Martin

pioche-en-bib.jpgLogo BD for WomenUn album trouvé en fouillant dans les bacs de la médiathèque.

Le livre : L’œil lumineux et autres histoires de Sandrine Martin (dessin et scénario), éditions de l’An 2, 2008, 66 pages, ISBN 978-2-7427-7136-3.

L’histoire : cet album rassemble quatre histoires dans un monde entre rêve et réalité. Dans la première, C’est décidé, la narratrice tente d’entrer dans la tête de son amoureux pour y lire ses pensées. Dans la seconde, Les plantations, elle s’entretient dans un hôpital avec son grand-père décédé, au milieu d’un champ de pommes de terres planté. Dans la troisième, L’œil lumineux, elle tente de surmonter ses blocages pour écrire. Dans la dernière, Le pull, elle se sert d’un pull magique pour tenter de reconquérir son ex qui l’a remplacée par une autre.

Mon avis : je ne suis pas vraiment rentrée dans cet univers onirique, dessiné tout en fins traits noirs…

Pour aller plus loin : Vous pouvez voir quelques planches sur le site de l’auteure (pas une as de l’orthographe… Quatre avec un s et recueil pour recueil sur les quelques mots de présentation).

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Tueur de monde de Moebius

Couverture de Tueur de monde de Moebius

pioche-en-bib.jpgCet auteur, décédé il y a peu (le 10 mars 2012) était chaleureusement recommandé par Étienne Davodeau à Richard Leroy (voir les ignorants), ils ont visité ensemble l’exposition que lui a consacrée la fondation Cartier pour l’art contemporain d’octobre 2010 à mars 2011 (un lieu que je fréquente parfois, je vous ai parlé des expositions César et Patti Smith). L’auteur de bande dessinée n’avait pas réussi à séduire le vigneron avec le monde de Moebius… J’ai trouvé cet album dans les bacs de la médiathèque.

Le livre : Tueur de monde de Moebius (dessin et scénario), mise en couleur collective, éditions Casterman, réédition 1988 (première édition en 1979), 47 pages, ISBN 978-2-203-34681-7.

L’histoire : Fildegar, un humain perdu au milieu de l’espace visite la planète Bar-Jona.

Mon avis : pas vraiment une bande dessinée, plutôt une sorte de conte illustré…Et décidément, je n’ai jamais beaucoup aimé la science fiction ni les dessins de Moebius… et ne suis pas plus rentrée dans cet album que dans les précédents, lus il y a fort longtemps, bien avant ce blog. De cet auteur, il n’y a que la série Blueberry que j’ai appréciée…

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Dame Gerfaut de Rosinski et Dufaux

Couverture de Dame Gerfaut de Rosinski et Dufaux pioche-en-bib.jpg

Le château de Schönbrünn à Vienne en Autriche en 1993, 2, de plus près

En demandant à Yaneck / Les chroniques de l’invisible s’il pouvait me conseiller un auteur d’Europe centrale pour le mois de l’Europe centrale organisé par Schlabaya, il a tout de suite pensé à Grzegorz Rosiński, né le 3 août 1941 à Stalowa Wola en Pologne, et vivant en Suisse dans le canton du Valais. J’ai lu il y a longtemps la série Thorgal. J’ai trouvé cet album en fouillant dans les bacs de la médiathèque.

Le livre : La complainte des Landes Perdues, tome 3, Dame Gerfaut de Grzegorz Rosinski (dessin), Jean Dufaux (scénario) et Graza (couleurs), éditions Dargaud Benelux, 1996, 52 planches, ISBN 978-2-87129-100-4.

L’histoire : dans un château isolé, Kyle of Klanach et sa servante vivent seuls, entourés de Wombas, des créateurs fabuleuses et sanguinaires, le père ayant été relégué dans un précédent conflit. Un jour, deux visiteurs frappent à leur porte et demandent l’asile, il s’agit de Seamus et de Sioban, la princesse de Eruin Duléaqui cache son identité. Kyle of Klanach et Sioban tombent amoureux dans une bataille contre les Wombas. Mais Dame Gerfaut, mère du seigneur pervers et faible d’une petite baronnie de l’Eruin Duléa, entend bien marier son fils à Sioban et elle recourt à des recettes magiques pour parvenir à ses fins…

Mon avis : je ne suis pas très sensible à ce genre « fantasy ». Mais l’histoire est sombre, assez classique pour le genre, je pense, la lutte du bien et du mal, la quête de l’amour impossible, cela ne me semble pas très original, je ne pense pas lire les autres tomes de la série.

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Chats noirs, chiens blancs, tome 1, de Vanna Vinci

Couverture de Chats noirs, chiens blancs, tome 1, de Vanna Vinci

pioche-en-bib.jpg Logo BD for WomenJ’ai trouvé cet album en fouillant les bacs de la médiathèque à la recherche d’une bande dessinée avec une auteure…

Le livre : Chats noirs, chiens blancs, tome 1, réminiscences parisiennes de Vanna Vinci (dessin, scénario, couleur), traduit de l’italien par Claudia Migliaccio, éditions Dargaud, 2009, 126 pages, ISBN 978-2-5050-0675-6.

L’histoire : à Rome puis à Paris de nos jours. Gilla, étudiante en médecine à Rome, en a marre de son train-train quotidien, ne supporte plus les amis de plongée de son fiancé… Même si sa grand-mère vent de mourir, elle décide de quitter sa mère pour aller retrouver Cicci, une amie de sa mère qui vit depuis 1968 à Paris et qui y possède un studio au-dessus de son appartement. Elle veut y entreprendre des études de photographies… et finit par visiter Paris avec des fantômes, un ami d’enfance mort il y a quelques années, Samuel Beckett, une dame proche de Marie-Antoinette qui a perdu la mémoire…

Mon avis : je n’ai pas vraiment adhéré au scénario qui fait vivre Gilla dans des vêtements de la fin des années 1960 au milieu de fantômes qui apparaissent soit dans un halo jaune, soit après l’apparition dans une bulle d’un chat noir ou d’un chien blanc. Quant à la dizaine de pages qui présentent le Paris de la fin des années 1960, sans doute là pour justifier certaines apparitions d’objets ou de personnages ou encore de chansons au fil des bulles, je ne vois pas trop leur intérêt… J’ai été déçue par cet album, mais comme j’ai sorti les deux tomes de la médiathèque, je lirai la suite (voir le tome 2)…

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Animal’z d’Enki Bilal

Couverture de Animal'z de Bilal pioche-en-bib.jpgIl y a quelques mois, ce titre était le premier du classement du TOP BD des blogueurs organisé par Yaneck / Les chroniques de l’invisible. Puis il a chuté jusqu’à disparaître du classement… Je l’avais en réservation à la médiathèque, je l’ai donc quand même lu.

Le livre : Animal’z, d’Enki Bilal, collection Univers d’auteurs, éditions Casterman, 2009, 100 pages, ISBN 9782203019669.

L’histoire : quelque part dans le futur, en pleine mer au départ. La terre a été victime du dérèglement climatique, l’eau potable est devenue quasiment introuvable et devient une obsession pour les survivants. Ceux-ci la défende par tous les moyens, notamment sur mer, un des seuls moyens de rejoindre ces eldorados. Divers subterfuges, comme se fondre dans le corps d’un animal marin, sont employés pour les rejoindre.

Mon avis : je n’ai aimé ni le scénario, ni le style de dessin. 100 pages sombres crayonnées gris sur fond gris verdâtre, avec juste quelques rehauts à la craie, notamment du blanc, un peu de bleu (ciels) et des petites touches rouges ici et là, ça m’a vite lassée. Je pense définitivement que je n’aime pas la SF ni l’anticipation, en BD ou en romans…

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