Archives de catégorie : Jardin, nature, cuisine

Mes recettes, des nouvelles de mon jardin et de mon balcon au fil des mois…

Une quiche aux tomates cerises

Sur mon balcon début août, oïdium sur les cornichons

A mon retour de vacances, le pied de cornichon sur mon balcon (à revoir juste avant mon départ…) est envahi d’oïdium…

Sur mon balcon début août, des tomates cerises, un gros cornichon et quelques haricots Je sauve quand même un énorme cornichon (je vous montrerai ce que j’en ai fait / PS : voir des pancakes aux flocons d’avoine et lentilles), et récolte aussi sur le balcon quelques haricots et un peu plus de 400g de tomates cerises (depuis, j’en cueille un petit bol presque chaque jour, pas mal pour deux pieds).

Quiche aux tomates cerises, mise en place des tomates Je ne voulais pas refaire de tôt-fait aux tomates cerises et champignons, que j’avais trouvé trop gras… Du coup, j’ai opté pour une nouvelle quiche avec la même recette de base que pour la quiche aux champignons, oignons et chorizo, avec pour la garniture au fond 3 oignons (précuits une dizaine de minutes), 400g de tomates cerises coupées en deux… 30g de fromage bleu parsemé ici et là (vous pouvez en mettre plus, c’est juste qu’avec mon régime sans sel, je fais attention aux fromages, très salés)…

Quiche aux tomates cerises, après cuisson … et j’ai ajouté les quelques haricots verts, coupés en petits tronçons. Voici la quiche à la sortie du four… J’avais un peu peur que les tomates-cerises rendent du jus, mais non, tout s’est bien passé…

Un essai de quiche…

Quiche aux oignons, champignons, chorizo et comté Je recevais il y a quinze jours des voisins… à l’apéro, mais j’ai aussi préparé une quiche, pour poursuivre ensuite. Et voilà une quiche avec un compromis sans trop de sel par rapport à mon régime hyposodé et quand même pleine de goût…

Ingrédients:

– de la pâte brisée (maison, sans sel, je mets un papier sulfurisé, c’est plus facile pour sortir ensuite les morceaux, mais vous pouvez en prendre une du commerce)

– 300g de champignons de Paris frais [j’en achète presque tous les samedis, voir des champignons aux oignons, à la grecque version hiver]

– 4 gros oignons

– fines herbes, poivre (sel, à mon avis pas utile avec le chorizo et le fromage…)

– chorizo (environ 1/4, le reste servi à l’apéro)

– env. 50g de comté (le reste du morceau a aussi été servi avant en dés)

– appareil à quiche: 4 œufs, 300g de crème fraîche ou 300ml de lait, au choix… j’ai pris du lait.

La recette:

Étaler la pâte dans une tourtière… et mettre le four à préchauffer, th. 7 environ…

Dans une poêle, faire revenir les oignons émincés finement dans un peu de matière grasse, cuire une dizaine de minutes en remuant pour qu’ils ne brunissent pas, laisser le jus s’évaporer ou égoutter après cuisson. Verser sur la pâte.

Dans la même poêle (et oui, il faut aussi penser à la vaisselle!), mettre les champignons émincés, à feu moyen puis à feu vif, pour qu’ils rendent leur eau (5 à 10 minutes, cela dépend de la teneur en eau des champignons). Bien égoutter (sinon, ça va rendre trop de jus dans la quiche), verser sur la tarte. Assaisonner (sel, poivre, fines herbes).

Parsemer de quelques rondelles de chorizo et de fines lamelles de comté.

Préparer l’appareil à quiche en battant bien les œufs, le verser sur le tout, en espérant que ça ne déborde pas!

[Sinon (ce qui m’est arrivé…), vous pourrez toujours mettre du pain dur à tremper dans le reste de l’appareil, puis le passer dans une assiette avec un autre œuf, et faire cuire dans un poêle (propre!), et voilà du pain perdu!]

Enfourner 30 à 35 minutes, comme mon four chauffe un peu moins que la normale, je mets 10 minutes th. 8 puis le reste th. 6, surveiller en fin de cuisson, quand c’est doré et la pâte bien cuite, c’est prêt!

Premier essai de petits-beurre…

Premier essai de petits beurres Après Emmanuelle / le Marquoir d’Élise, à mon tour de craquer pour le coffret de Larousse sur les petits-beurre, avec emporte-pièce et livret de recettes… Sur son blog de cuisine, Effondrille et abat-faim, elle a proposé plusieurs variantes, à la pistache [je les ai testés depuis, voir mes petits-beurre à la pistache], aux fraises séchées, au spéculoos. Pour une première, j’ai testé la recette de base, à demi-dose, prévue pour 25 biscuits, j’en ai eu 28 (et il me restait un peu de pâte, pour 1 ou 2)… Il ne faut pas s’y prendre au dernier moment, car il y a des temps d’attente, 20 minutes après avoir fondu le beurre, puis 3 h au frigo… et le temps de refroidissement des biscuits. pas mal, mais je trouve qu’ils ressemblent plus à des sablés qu’à des petits beurres. la prochaine fois, je testerai une des recettes d’Emmanuelle, et je les dorerai au jaune d’œuf… Surprenant aussi, comme il y a un peu de levure, ils lèvent un peu à la cuisson… et l’estampille « fait maison » s’estompe.

Mon balcon mi juillet, premières récoltes…

Mon balcon en juillet, 1, tomates et plantes grimpant sur le yucca

Je ne vous montre pas de nouvelles photographies de mon jardin, avec toute la pluie de ce printemps et du début de l’été, je n’ai presque rien planté. En revanche, côté balcon, ça pousse (même les orties, vive la terre rapportée du jardin ). Après un mois, tout a bien poussé autour de feu mon yucca… (j’ai mis des haricots, un pied de cornichons, du lierre et de la pervenche). A l’autre extrémité, un seul pied de tomates-cerises qui a tout envahi (je le laisse faire!), plein de tomates… vertes, il faudrait un peu plus de soleil pour qu’elle mûrissent…

Mon balcon en juillet, 2, première récolte mi juillet, haricots et tomates cerises Mi juillet, j’ai pu faire une première récolte timide, deux tomates-cerises et quelques haricots…

Mon balcon en juillet, 3, deuxième récolte Quelques jours plus tard, il y avait les premiers cornichons et un peu plus de haricots… Bon, à mon retour de vacances, ça risque d’avoir trop poussé, tout ça, mûri sans moi, tant pis…Voir la suite… en août, avec la récolte et une quiche aux tomates-cerises.

Un cake au saumon

Cake au saumon La météo pluvieuse a limité les pique-nique cette année, mais j’ai quand même cuisiné un cake au saumon…

Pour les cakes salés, j’utilise toujours la même base, publiée il y a des années dans une revue féminine…

Préchauffer le four à 180° / Th. 6

– Pour l’appareil à cake, réalisé au robot, mettre les ingrédients dans l’ordre:

– 150g de farine

– 1 sachet de levure chimique

– 12,5 cl de lait

– 10 cl d’huile (plutôt neutre, genre tournesol)

– 3 œufs

– 100g de fromage râpé

– (sel), poivre

Ajouter la garniture, soit cette fois:

– 2 oignons, 1 poivron (enfin 3/4 de poivron cette fois-ci, le dernier quart était allé dans la salade de riz du pique-nique à Chaumont-sur-Loire avec Emmanuelle / le Marquoir d’Élise), 250 g de saumon, le tout légèrement précuit une petite dizaine de minutes à la poêle avec un peu de cumin (je ne sale pas, ça relève le goût).

Verser dans un moule à cake beurré (ou huilé)

Enfourner 45 minutes, la lame du couteau doit ressortir sèche (je mets le four un peu plus chaud les 10 premières minutes, th. 8, mais mon four chauffe un peu moins que ce qui est annoncé, ça doit faire th. 7).

Comme je l’ai emmené au jardin, je l’ai laissé dans son moule, plus facile à transporter (un gros quart d’heure à pied), sinon, démouler quand il a tiédi. A manger avec une salade, toujours pleine de petites limaces noires, en cette année pluvieuse… Ou à servir découpé en cubes, à l’apéro…

Des cookies tout chocolat…

Cookies tout chocolat, la première fournée Pour notre voyage à Chaumont-sur-Loire, avec Emmanuelle / le Marquoir d’Élise, nous avions prévu le pique-nique… et un peu de réconfort pour des pauses sympas… Emmanuelle avait emporté des barres aux céréales maison (suivre le lien, vous pouvez aussi aller voir cette autre recette qu’elle a donnée sur son autre blog, je l’ai aussi testée, voir mes barres de céréales), de mon côté, j’ai essayé une recette de cookies tiré d’un petit livre de recettes au chocolat (Chocolat, de Laurence Dalon, éditions Dormoval, 2009), que j’avais exhumé d’une pile de livres…

J’ai presque respecté la recette… qui est pour 45 cookies, finalement, et non les 20 annoncés!

150g de chocolat noir

100 g de beurre

200 g de vergeoise (j’ai mis moitié cassonade de betterave, pas de canne, moitié sucre… parce que je n’avais plus de cassonade!)

2 œufs

150 g de farine

1/2 sachet de levure chimique (remplacée par une cuillère à soupe rase de bicarbonate de sodium)

25 g de poudre de cacao (j’ai mis du Vanhouten)

j’ai ajouté un sachet de sucre vanillé

1 pincée de sel (pas mise…)

La recette dit de hacher de chocolat en morceau… J’ai grossièrement rapé environ un tiers au couteau à dents, mis le reste à fondre au micro-onde avec le beurre…

Préchauffer le four thermostat 6 (180°).

Ensuite, grosse flemme, j’ai abusé du robot, dans le bol, dans l’ordre, la farine, le bicarbonate, le sucre/cassonade, les œufs, le beurre fondu avec le chocolat, le cacao et le chocolat râpé.

Ensuite, la recette disait que les ingrédients étaient pour 20 cookies. J’ai partagé la pâte en deux, et donc calculé pour faire à peu près 10 petits tas (12, finalement), hop, au four pour 10 minutes… Cette première fournée a donné des cookies beaucoup trop étalés…

Cookies tout chocolat, la deuxième fournée Pour la deuxième fournée, j’ai donc fait de petits tas beaucoup plus petits… disons une petite boule correspondant à une grosse cuiller à café. Pas la peine d’aplatir, ça s’étale à la cuisson. Et le résultat était bien meilleur!

Ah, au fait, comme pour tous les cookies, il faut les laisser refroidir sur la plaque de cuisson et durcir avant de se jeter dessus!

Nous avons été raisonnables, il en restait encore pour mon goûter du dimanche.

J’en referai très vite, mais en agrémentant la pâte d’autres ingrédients, ajoutés après avoir partagé la pâte en deux, pour avoir deux saveurs (genre gingembre, noix, noisettes…)… A suivre!

Des nouvelles de mon jardin (juin 2012)

Mon jardin le 25 mai 2012, la jungle... Après la crue du 1er mai, mon jardin avait carrément viré à la jungle, impossible de pénétrer, avec la poursuite des pluies régulières, il restait trop humide… Le 25 mai 2012, il ressemblait à ceci… Avec surtout une invasion de rumex et d’orties… à enlever soigneusement à la fourche-bêche pour ne pas que ça repousse tout de suite.

Mon jardin le 17 juin 2012, 1, après un grand nettoyage Dimanche dernier (17 juin), j’ai enfin pu retourner poursuivre le nettoyage commencé une quinzaine de jours plus tôt. Il faut tout couper à la main, pas d’électricité ni de carburant au bord du Clain (risque de pollution en cas de crue), et ma tondeuse à rouleau ne supporte pas l’herbe haute… Vive la faucille et le coupe bordure… Il me reste encore le coin vers l’accès à la rivière à nettoyer, ainsi que le quai (invasion de ronces), mais je ne voulais pas trop en faire d’un coup, pour éviter les courbatures… Un peu de réconfort et profiter du (presque) beau temps pour lire un peu face au Clain.

Mon jardin le 17 juin 2012, 2, les saxifrages du Japon Les saxifrages du Japon, données par une ancienne collègue il y a trois ans, sont en retard et encore en fleur (si vous voulez voir ces fleurs toutes légères, j’avais mis une vue rapprochée en 2010). Quand la floraison sera terminée, j’étalerai un peu plus ce tapis sous le figuier en transplantant quelques plants…

Mon jardin le 17 juin 2012, 3, aspérule et angélique L’aspérule odorante, plantée il y a trois ans (juste un pied), forme maintenant un joli tapis vert d’où émergent deux plants d’angélique…

Mon jardin le 17 juin 2012, 4, le tas de branches et d'herbe En deux jours de nettoyage, le tas de compost est bien haut, le tas de branches aussi, ce sont des branches qui sont tombées avec les différents coups de vent de cet hiver et un peu de dégagement des figuiers…

Mon jardin le 17 juin 2012, 5, le goûter avec groseilles et framboises Après le travail… le réconfort! J’avais apporté quelques cookies au chocolat, promis, je vous donnerai la recette, nous n’avions pas tout mangé le vendredi précédent avec Emmanuelle / le Marquoir d’Élise à Chaumont-sur-Loire. J’ai pu compléter avec quelques groseilles (pas de groseilles à maquereau, il n’y en a pas cette année) et de rares framboises…

Pour habiller mon yucca…

Le yucca sur mon balcon, juin 2012, après le gel, pas de reprise Les anciens et fidèles lecteurs de mon blog se rappellent peut-être du grand yucca offert par mes parents et qui était sur mon balcon (à revoir par exemple lors de son dernier rempotage). Il est trop grand pour rentrer dans mon appartement, je l’avais protégé, mais il n’a pas résisté au gel de cet hiver… Au printemps, je lui avais coupé toutes les feuilles gelées, et planté du lierre et de la pervenche récupérés au jardin…

Le yucca sur mon balcon, juin 2012, plantations de lierre, cornichon, haricots et pervenche Je lui ai ajouté un pied de cornichon et quelques haricots (j’ai piqué des graines à un collègue…). Ceux-ci semblent bien aimer l’atmosphère humide de ces derniers jours, ils poussent à vue d’œil! Affaire à suivre, j’espère que toutes ces plantes vont accepter de grimper sur les tiges!

Affaire à suivre ici

Poulet au cidre et aux légumes nouveaux

Poulet au cidre, oignon vert et navets nouveaux Je vous ai montré ce que j’avais fait avec les fanes des navets et une partie du vert des oignons frais (soupe et tarte avec des fanes de radis et de navets et des verts d’oignon)… mais voici où sont passés les navets et le reste de la botte d’oignons frais… Un poulet au cidre!

Dans le faitout, faire revenir dans un peu d’huile 2 oignons jaunes, les réserver.

Faire bien dorer le poulet… Le mien vient d’un petit producteur… il a bien couru et a de grosses cuisses [voir voir ici une comparaison du prix du poulet]! J’ai dû l’amputer d’une cuisse et du cou pour pouvoir fermer le faitout… J’ai remis les abats (foie, gésier, cœur) poivrés (et salés pour ceux qui salent) dans son ventre, la cuisse et le cou à côté (j’ai pris la photo avant l’amputation). Si vous prenez le poulet en supermarché, vous n’aurez ni les abats, ni le cou (excellent, à manger avec un petit couteau pointu…), c’est dommage…

Revenons à notre poulet… Comme les petits navets étaient tout jeunes, je les ai ajoutés sans les éplucher, j’ai coupé en petits morceaux les oignons frais et la moitié de leurs verts… J’ai ajouté un fond de cidre (l’équivalent d’un gros verre, enfin, de quoi couvrir le fond sur un bon centimètre). J’ai fermé le faitout un gros quart d’heure à feu doux. J’ai alors ajouté au-dessus le bac de cuisson vapeur, dans lequel j’avais mis 1 kg de pommes de terre nouvelles bien lavées mais avec leur peau (enlevée ensuite dans l’assiette et pour le reste, épluchée tiède avant mise au frigo), et remis le tout à feux doux pendant 3/4 d’heure… Pour le premier repas, je me suis régalée de ce que l’on ne peut pas manger quand on a des invités, avec les doigts et un couteau pointu, les ailes, le cou, la carcasse (dont les sot-l’y-laisse) et les abats… Pour le reste, j’en ai gardé une partie pour les jours suivants et congelé une autre partie, désossée…

Bon appétit ! Je vous ai déjà montré une variante de fin d’été, voir le coquelet au cidre, avec tomates et carottes…

Des fanes bien vertes et bien bonnes…

Retour du marché, 18 mai 2012

Vous vous souvenez de cette photographie? J’avais cuisiné une fricassée de cosses de fèves et un bol de soupe aux épluchures d’asperge… Mais il me restait encore une partie des verts d’oignons frais et les fanes de radis… (attention, rappel pour ceux qui viennent chez moi occasionnellement, tout cela n’est comestible que si vous êtes certains que les légumes n’ont subi aucun traitement…). J’en ai fait une version dérivée de la quiche aux fanes de radis réalisée l’année dernière sur une recette de Criquette. Cette fois-ci, pas de tomates (pas encore assez mûres et goûteuses), mais du vert d’oignons frais…

Tarte aux fanes de radis et verts d’oignons

Tarte aux fanes de radis et oignons frais Voici donc ma nouvelle tarte…

– une pâte brisée (maison, mais vous pouvez en prendre une toute faite), avec du papier sulfurisé, c’est plus facile à démouler…

– deux oignons jaunes de l’année dernière

– fanes d’une botte de radis

– les verts d’une botte d’oignons frais

– un peu de fromage râpé

– matière grasse (au choix, huile, beurre)

Et pour l’appareil à quiche:

– 3 œufs

– 250 ml de lait (si vous préférez, vous pouvez mettre de la crème, je préféré la version plus légère)

– (sel), poivre, muscade

Dans un poêlon:

Faire revenir d’abord les oignons jaunes dans un peu d’huile (une petite dizaine de minutes), les mettre sur le fond de tarte;

Faire revenir les fanes de radis, juste le temps de les laisser fondre (env. 5 minutes, ils finiront de cuire avec la tarte), les mettre au-dessus des oignons

Faire revenir le même temps les verts d’oignons frais coupés aux ciseaux (en tronçons de 1 à 1,5 cm), les ajouter au-dessus des fanes de radis

Ajouter l’appareil à quiche (œufs battus dans le lait ou la crème, sel -pas pour moi- poivre, muscade), mettre un peu de fromage râpé au-dessus… enfourner 30 à 35 minutes dans un four chaud (je mets 10 minutes thermostat 8 puis 25 minutes thermostat 7, mais vous connaissez votre four, faites comme vous avez l’habitude pour vos tartes et quiches)…

Soupe verte aux fanes de radis, de navets et d’oignons…

Soupe verte aux fanes de radis, navets et oignons frais Ce week-end, j’avais une belle botte de radis, une autre de beaux petits navets (que vous retrouverez bientôt ici avec ce poulet au cidre et aux légumes nouveaux) et enfin une autre d’oignons frais… Les fanes sont toutes parties dans une soupe, variante de cette soupe aux fanes de radis.

Après avoir fait revenir deux oignons jaunes, j’ai donc mis dans le faitout 3 pommes de terre moyennes (des vieilles, les pommes de terre nouvelle sont parties ailleurs…), les fanes de radis, de navets, et la moitié de ceux de la botte d’oignons (le reste était avec les navets…). Couvrir d’eau au ras des pommes de terre coupées en morceaux, ajouter un bouillon pour le goût (bouillon-cube si vous voulez, pour moi, bouillon concentré maison), cuire à feu doux une grosse demi-heure (surveiller quand les pommes de terre sont tendres), mixer, servir avec un peu de persil ou de vert d’oignon ciselé (vert sur vert…)…