Archives par étiquette : Tadashi Kawamata

Mon voyage à Nantes (3): on poursuit la croisière…

Nantes 2012, croisière, 08, épave en 2012 et 2007

Je vous ai donné l’autre jour un petit aperçu de mon voyage à Nantes et le début de la croisière vers Saint-Nazaire, voir le site du VAN / Voyage à Nantes pour avoir le descriptif officiel et parfois le texte audio du commentaire de l’œuvre qui est diffusé sur le bateau… A partir de la moitié du trajet, le temps s’est vraiment dégradé et nous avons essuyé un gros grain atlantique…avec parfois une visibilité très limitée! J’espère donner envie à Mamazerty qui n’a pas encore fait cette croisière de s’embarquer… et à vous aussi! N’hésitez pas à cliquer sur les liens sur les noms d’artistes, ils mènent soit vers leur site officiel, soit vers des sites qui parlent d’eux… Beaucoup sont en anglais, mais la plupart ont beaucoup d’images qui vous feront découvrir leurs créations. Toutes ces œuvres peuvent aussi se découvrir par un parcours à vélo (c’est bon pour l’environnement et vos mollets) ou en voiture (beaucoup moins « fun »).

On continue à Saint-Jean-de-Boiseau, sur la rive sud. Ici, les Allemands avaient coulé une série d’épaves pour éviter un débarquement vers Nantes. Un seul bateau est encore en place, il n’a plus d’œuvre en 2012, mais en 2007, il accueillait des chats crachant de l’eau, Capitaine Cat, de Alain Séchas.

Nantes 2012, croisière, 09, entrée du canal de la Martinière par Wurm au Pellerin Nous arrivons maintenant au Pellerin, sur l’écluse d’entrée du canal de la Martinière, inauguré en 1892 et qui n’a fonctionné qu’un temps très court, vite obsolète avec l’évolution de la taille des navires… déjà une utilisation contestable de l’argent public pour un gigantesque ouvrage d’art. Erwin Wurm y a installé ce bateau qui saute par-dessus l’écluse, “Misconceivable” (un néologisme, plus ou moins méconcevable), je vous conseille d’aller voir ses « recent shows », même si elles s’arrêtent en 2010, avec beaucoup d’images…

Nantes 2012, croisière, 10, centrale thermique de Cordemais La centrale thermique de Cordemais, la plus grande de France, bien polluante même s’il y a du mieux avec les nouveaux filtres, est à peine visible derrière le rideau de pluie… Un coup de vent a permis de mieux voir l’impressionnante machine qui permet de piocher avec les godets le charbon des barges de transport du charbon…

Nantes 2012, croisière, 11, villa cheminée de Tatzu Nishi à Cordemais En forme de clin d’œil aux trois grandes cheminées du site, Tatzu Nishi a installé en 2009, juste à côté mais sur la commune de Bouée, une cheminée beaucoup plus basse, avec une maison au sommet, que l’on peut aussi visiter dans la journée ou louer pour la nuit, vue imprenable sur l’estuaire… Le même artiste avait installé en 2007 sur la fontaine de la place royal un hôtel provisoire, sur le même principe (cette année, une autre installation a pris place au-dessus de la fontaine, je vous la montrerai bientôt [PS: à voir ici], et pour les impatients, Mamazerty l’a déjà montrée ici)…

Nantes 2012, croisière, 12, l'observatoire e Kawamata à Lavau-sur-Loire On continue… sous le déluge, et on regarde vers la rive nord. Les plates-formes à cigognes sont difficiles à voir, et il faut deviner L’Observatoire de Tadashi Kawamata à Lavau-sur-Loire… Ceci dit, vous pouvez aussi aller revoir les œuvres de Tadashi Kawamata à Chaumont-sur-Loire. Il a installé à partir de 2007 un cheminement depuis le village, poursuivi en 2009, il paraît que le visiteur a la sensation de survoler la roselière et les prairies…

Nantes 2012, croisière, 13, serpent d'océan de Huang Yong Ping à Saint-Brévin Brève éclaircie… sur la rive sud à Paimbœuf, Kinya Maruyama a installé avec l’aide des enfants et des habitants en 2007 son jardin étoilé. Il a souffert depuis des tempêtes et a été réparé… Du même artiste, je vous montrerai des installations en osier au jardin des plantes de Nantes. C’est un jardin à vivre, il faudrait que j’aille le découvrir un jour depuis la terre…

Nantes 2012, croisière, 14, le s<br /><br />
erpent de Huang Yong Ping à Saint-Brévin-les-Pins Marée basse à coefficient assez fort, coup de vent, roulis, pluie… et un peu dans le lointain, puisque nous sommes au bout de l’estuaire, le bateau manœuvre pour entrer à Saint-Nazaire et sur l’autre rive, sur la pointe de Mindin à Saint-Brévin-les-Pins, le Serpent d’océan de Huang Yong Ping émerge sur la plage au gré des marées… Pour les Parisiens et les visiteurs à Paris, vous avez peut-être vu en 2009 au Centre Georges-Pompidou son grand moulin à prières qui se détachait du forum lors de l’exposition L’art du sacré.

Je reviens très vite vous montrer les œuvres à Saint-Nazaire… avant de revenir à Nantes.

Mon voyage à Nantes en 2012:

– un premier aperçu,

– croisière de Nantes à Saint-Nazaire : le début et la fin du trajet

– à Saint-Nazaire

– ça grimpe : trois plates-formes et le mont Gerbier de Jonc

– au jardin des plantes : avec des plantes et des œuvres contemporaines

– sur l’île de Nantes : à l’ouest et au centre

– en ville : le début et la suite du parcours, de l’art dans la rue

– le mémorial de l’esclavage

Chaumont-sur-Loire 2012 (2), Penone et autres dans le parc

Chaumont-sur-Loire 2012, Penone, l'arbre aux cailloux

Cette année, je suis allée visiter le festival des jardins (sur le thème Jardins des délices, jardins des délires, voir le site du domaine de Chaumont-sur-Loire) le 15 juin 2012 avec Emmanuelle / le Marquoir d’Élise. Comme d’habitude, nous y sommes allées en train, arrêt en gare d’Onzain puis traversée de la Loire à pied (par le pont!)… Pas de grand soleil, mais pas de pluie non plus…

Je n’ai pas encore eu le temps de mettre ne forme mes photographies des jardins, alors, je commence par le parc et un nouvel artiste invité cette année, Giuseppe Penone, à voir jusqu’au 7 novembre 2012 (pour découvrir d’autres œuvres de cet artiste, voir le dossier du Centre Pompidou pour la rétrospective de 2004). Ces œuvres seront encore là l’année prochaine… Impossible de rater le grand arbre mort avec des cailloux dans les branches…

Chaumont-sur-Loire 2012, Penone, 2, dans le bosquet De là, un chemin en écorce broyée mène au cœur d’un bosquet, un arbre avec une grosse cicatrice à l’entrée, puis des structures en fers à béton dessinent de futurs haies/œuvres d’art.

Chaumont-sur-Loire 2012, Penone, 3, la main en bronze A la sortie, une main en bronze semble tenir le tronc frêle d’un jeune tilleul. Là, nous avons vraiment hésité, est-ce bien ce qui est en photo sur le guide de visite? Il ne lui ressemble vraiment pas…

Chaumont-sur-Loire 2012, Penone, 4, la main, autre vue … même en tournant autour… Une charmante employée à vélo nous a rassuré, oui, c’est bien ça, la photo du guide est un photomontage de l’évolution probable dans quelques années, lorsque le tronc aura grandi en absorbant plus ou moins la main…

Je vous montrerai d’autres nouveautés dans les prochaines semaines, en attendant, revenons sur quelques œuvres plus anciennes…

Chaumont-sur-Loire 2012, passerelle sur la Loire Le plancher de Tadashi Kawamata, qui domine la Loire, s’est patiné au fil des mois, vous pouvez le revoir version plus jaune en 2011, avec les œuvres de Tadashi Kawamata qui sont aussi toujours en place (cabanes, grand plancher). [PS: vous pouvez aussi découvrir derrière un rideau d’eau son observatoire de Lavau-sur-Loire vu à la fin de ma croisière de Nantes à Saint-Nazaire].

Chaumont-sur-Loire 2012, toit à terre Voici une nouvelle vue de Le Toi(t) à terre de Rainer Gross à revoir en 2011 et en 2010, je n’ai pas repris de photographie du Toi(t) en perspective. Voir aussi Flux et exposition de Rainer Gross à Poitiers en 2014.

Chaumont-sur-Loire 2012, luciole de Samakh Plusieurs des lucioles solaires de Erik Samakh pendaient dans les arbres, je ne les verrai toujours pas à Chaumont , puisqu’elles ne fonctionnent que la nuit et que les nocturnes ne sont que le vendredi en juillet et août… mais je les déjà vues ailleurs, à Melle et au centre d’art du lac de Vassivière…

Je n’ai pas repris de photographies d’autres œuvres qui ont peu évolué, je vous invite à suivre les liens des années précédentes pour les revoir:

Dominique Perrault, dans le parc en 2011. Au passage, la vidéo de Victoria Klotz n’a toujours pas été réparée

L’abri, la grande œuvre de Dominique Bailly sous le château d’eau (que je vous ai présenté ici),

Anne et Patrick Poirier (voir de nouvelles photographies en 2011). Au passage, leur œil est toujours dans la glaciaire à la sortie du vallon des brumes, mais Colorès, de Michel Racine et Béatrice Saurel (qui avait évolué depuis 2009), et les fers ne sont plus visibles, la partie du chemin est marquée comme accès privé, on ne peut plus les apercevoir que de loin..

– l’arbre aux échelles de François Méchain est toujours là, à revoir en 2009, 2010 et 2011

– le jardin de Méditation de Erik Borja et Simon Crouzet (en 2010), car la précédente image n’était pas terrible…

Pour retrouver les articles de 2012 / Jardins des délices, jardins des délires

  • La Loire haute en 2012 comparée aux années précédentes
  • le jardin n° 1, Coulisses d’un festin, conçu par Etienne Rivière, Aline Gayou, Mathilde Coineau, Marion Delage, Pauline Bertin et Laura Yoro
  • le jardin n° 2, Le jardin bleu d’Absolem, conçu par Jérôme et Christian Houadec
  • le jardin n° 3, Lèche-vitrine, conçu par Benjamin Jardel et Nicolas Epaillard et Yohimbé
  • le jardin n° 4, Le potager, conçu par le bureau d’études de Gally
  • le jardin n° 4bis, Liberté, Egalité, Fraternité, conçu par Sim Flemons et John Warland
  • le jardin n° 5, Un jardin psyché-délice, conçu par Christophe Baerwanger, Léa Dufour, Richard Mariotte, Sara Moreau et Charles Clément
  • le jardin n° 6, Le jardin bijou, conçu par Loulou de La Falaise
  • le jardin n° 7, Le jardin de la Belle au Bois Dormant, créé par Niels De Bruin et Nevena Krilic
  • le jardin n° 8, d’un mode à l’autre, conçu par Dominik Scheuch et Edina Massàny, de l’agence Yewo landscape.
  • le jardin n° 9, Locus genii : le génie est partout, conçu par GIGA-G (Genius Inspired Garden Admirers-Group)
  • le jardin n° 10, Toi et moi, une rencontre, conçu par Nicolas Degennes
  • le jardin n° 11, En pâtisserie, tout est permis, conçu par Simon Tremblais et Matthieu Gabillard et leurs professeurs
  • le jardin n° 12, Delirium tremens, conçu par Marine Vigier, Émilie Delerue, Marie-Laure Hanne, Jérôme Jolyet Frédéric Delcayrou
  • le jardin n° 13, Cordon bleu / Le Jardin d’Alain Passard et du jury
  • le jardin n° 14, Orange mécanique, conçu par Rudy Toulotte et Carola Iglesias Garcia De Sola, de l’AtelierDT
  • le jardin n° 15, Paradis terrestre / Mag mell, conçu par Rita Higgins et Peter Little
  • le jardin n° 16, Le jardin des renards rouges, conçu par Katya Crawford, Susan Frye et Veree Parker Simons
  • le jardin n° 17, émeraude , conçu par Dauphins architecture
  • le jardin n° 18, sens dessus dessous, conçu par Adrien Defosse, Damien Roidot et François Bosset
  • le jardin n° 19, Jardin des délires délicieux, conçu par Guillaume Vigan et Alexandre Granger
  • le jardin n° 19bis, En vert, créé par la superstructure, un collectif de créateurs
  • le jardin n° 20, Le délire des sens, conçu par l’école supérieure d’environnement de Nürtingen-Geislingen, en Allemagne
  • le jardin n° 21, Le calendrier des sept lunes, conçu par l’agence RCP
  • le jardin n° 22, Les chrysadélires, conçu par Laurent Fayolle et Noël Pinsard
  • le jardin n° 23, Fruit de l’imagination, conçu par l’institut national d’horticulture
  • le jardin n° 24, le jardin de la bière, conçu par Joost Emmerik
  • le jardin de sorgho, une création de Michel Blazy
  • Dans le parc : oeuvres de Giuseppe Penone (et de nouvelles photos des celles de Rainer Gross, Tadashi Kawamata et Erik Samakh), d’autres artistes (François Méchain, Bob Verschueren, Alex MacLean, Patrick Douherty)
  • Les Prés du Goualoup et les oeuvres de Pablo Reinoso

Chaumont-sur-Loire, festival 2011 (13): Tadashi Kawamata

Chaumont-sur-Loire 2011, le parc, Tadashi Kawamata, 1, promontoire sur la Loire, vu du chemi n

Cette année, je suis allée visiter le festival des jardins de Chaumont-sur-Loire (sur le thème Jardins d’avenir ou l’art de la biodiversité heureuse) le 10 juin 2011, en train comme d’habitude (jusqu’à Onzain), avec Dalinele. Vous retrouverez les liens vers les articles de cette année avec ceux des années précédentes, sur cette page, et au fur et à mesure de leur publication en bas de chaque article. En attendant la suite, vous pouvez aussi faire la visite sur le site du domaine de Chaumont-sur-Loire). J’essayerai de mettre des liens vers les sites des concepteurs ou les sites créés pour ce festival, n’hésitez pas à suivre les liens…

En arrivant par le chemin du village et la lente montée vers le domaine, tiens, un poste d’observation en bois… En fait, c’est l’une des œuvres que Tadashi Kawamata a installées dans le parc… Vous pouvez le voir en cours d’installation sur ce reportage d’Arte. [PS: vous pouvez aussi découvrir derrière un rideau d’eau son observatoire de Lavau-sur-Loire vu à la fin de ma croisière de Nantes à Saint-Nazaire].

Chaumont-sur-Loire 2011, le parc, Tadashi Kawamata, 2, promontoire vu du haut du chemin Il s’agit du Promontoire sur la Loire. L’installation en bois est annoncée jusqu’au 3 novembre 2011, mais certaines resteront peut-être au-delà de la saison?

Chaumont-sur-Loire 2011, le parc, Tadashi Kawamata, 3, promontoire avec des avions En repartant le soir, étrange, un drôle de bruit, vous ne voyez pas les avions anciens qui volent?

Chaumont-sur-Loire 2011, le parc, Tadashi Kawamata, 4, un vieil avion J’ai juste réussi à en prendre un de plus près en photo…

Chaumont-sur-Loire 2011, le parc, Tadashi Kawamata, 6, une cabane dans un arbre Dans le parc, nous avons trouvé deux des trois Cabanes dans les arbres, ou bien il y a les trois sur mes photos? en tournant et retournant dans le parc, je ne suis pas sûre…

Chaumont-sur-Loire 2011, le parc, Tadashi Kawamata, 5, une cabane dans un arbre Oui, bon, juste des cabanes en bois, on ne peut pas monter ni habiter dedans comme au Parc de la Belle (près de Gençay, dans la Vienne)…

Chaumont-sur-Loire 2011, le parc, Tadashi Kawamata, 7, une cabane dans un arbre, vue de près Bon, on peut quand même jouer avec les branches…

Chaumont-sur-Loire 2011, le parc, Tadashi Kawamata, 8, une cabane dans un arbre ..et les feuilles. Je ne sais pas si celle-ci est la même que la première, il y a quelques heures entre les deux photographies… Ce genre de cabane, finalement, c’est plus rigolo quand c’est décalé, sur les tubes de Beaubourg / centre Georges Pompidou par exemple… (par ce lien, vous verrez aussi des utilisations sympathiques du carton).

Chaumont-sur-Loire 2011, le parc, Tadashi Kawamata, 9, le plancher Un peu plus loin, en revenant vers le château, nous apercevons un plancher, en fait, c’est Promenade sous les arbres.

Chaumont-sur-Loire 2011, le parc, Tadashi Kawamata, 10, le plancher vu de près Euh, on peut marcher dessus ou à côté, mais… pour quoi faire?

Chaumont-sur-Loire 2011, le parc, Tadashi Kawamata, 11, le plancher Je sais, l’art, ce n’est pas pour faire quelque chose, mais le sens de cette œuvre ou l’émotion artistique m’échappe cette fois…

Chaumont-sur-Loire 2011, le parc, Tadashi Kawamata, 12, art éphémère par un enfant En revanche, juste à côté, nous avons trouvé deux œuvres éphémères, sans doute réalisées par des enfants… cela ressemble à ce qui est présenté dans l’un des ateliers pédagogiques. Ceci…

Chaumont-sur-Loire 2011, le parc, Tadashi Kawamata, 13, bonhomme en art éphémère par un enfant …et ce personnage…

Pour retrouver les articles de 2011 / Jardins d’avenir ou l’art de la biodiversité :

  • en préalable, le puits avec des archers et les gargouilles du château
  • le jardin n° 1, Le laboratoire, conçu par Méryl Fanien, Philippe Guillemet et Cyrille Parlot
  • le jardin n° 2, Sculptillonnages, conçu par Corinne Julhiet-Detroyat et Claude Pasquer
  • le jardin n° 3, Tu me manques, conçu par Jacob Vilato et Marc Cunat
  • le jardin n° 4, La transparence du ver, conçu par Anne Blouin et Alessandra Blotto
  • le jardin n° 4bis, La bibliothèque du souvenir, conçu par Gaétan Macquet, Oreline Tixier et Pierre-Albert Labarrière
  • le jardin n° 5, L’envers du décor, conçu par Cathy Viviès et Vanessa Farbos
  • le jardin n° 6, Le jardin bijou, conçu par Loulou de La Falaise avec le concours de Paul-Antoine Penneau
  • le jardin n° 7, la sève à la croisée des chemins, conçu par Ernesto Neto et Daisy Cabral Nogueira
  • le jardin n° 8, La biodiversité en question, conçu par Olivier Chardin, Anaïs Brochiero, Philippe Verigno et Anaïs Brochiero,
  • le jardin n° 9, Le jardin pixélisé conçu par Mattéo Pernigo et Claudio Benna
  • le jardin n° 10, Le jardin méditerranéen conçu par les équipes du festival en liaison avec les étudiants de l’Institut national d’horticulture d’Angers
  • le jardin n° 11, Manier avec précaution, conçu par Jeroen et Maarten Jacobs
  • le jardin n° 12, Le jardin des plantes disparues, conçu par Olivier Barthélémy et Denis Valette
  • le jardin n° 13, La nature des choses, conçu par Soline Portmann, Aurélie Zita et Mioko Tanaka.
  • le jardin n° 14, Célébrons et tissons la [bio]diversité, conçu par Manon Bordet-Chavanes
  • le jardin n° 15, Entre ciel et terre, conçu par Wang Xiangrong
  • le jardin n° 16, Lucy in the sky, conçu par Chilpéric de Boiscuillé, Raphaëlle Chéré, Pauline Szwed et Benjamin Haupais,
  • le jardin n° 17, Les bulbes fertiles, conçu par Xavier Bonnaud, Stéphane Berthier, Clément Bouchet, Fabien Gantois, Etienne Panien, Olivier Duraysseix et Guillaume Pezet
  • le jardin n° 18, Le jardin à la rue, conçu par Julien Maieli et Germain Bourré
  • le jardin n° 19, le jardin de Madame Irma, conçu par Gladys Griffault, Clara Juncker, Emmie Nyk et Pascale Trouillet
  • le jardin n° 19bis, La biodiversité bleue, sans concepteur identifié
  • le jardin n° 20, Le jardin à emporter, conçu par Steve Papps, Jo Chapman et Jackie Bennett
  • le jardin n° 21, Le jardin des marées, conçu par Sarah Foque, Roland Horne, Jeremy Clark, Jos Gibson, Olly Hurst et Stan Van Der Laan…
  • le jardin n° 22, Graines d’espoir ou le jardin d’un regard partagé, conçu par des étudiants de l’école Du Breuil et de l’école Boulle
  • le jardin n° 23, Le pollen exubérant, conçu par Yekaterina Yushmanova et Ruth Currey
  • le jardin n° 24, La salle à manger, conçu par un groupe d’étudiantes japonaises
  • les jardins zen : le jardin de méditation d’Erik Borja et Simon Crouzet et le jardin 7
  • les murs végétaux : le jardin 8 et les murs de Patrick Blanc
  • des oeuvres dans le château : La soupe verte de Gerda Steiner et Jörg Lenzlinger, Jardins engloutis et Carnivores de Helene Schmitz, Atmosphère de Shin-Ichi Kubota
  • les oeuvres de Dominique Bailly dans le parc et les écuries et celles de Bob Verschueren (Dominique Perrault, Herman de Vries, Manfred Menz)
  • Colorès dans le vallon des brumes
  • les oeuvres de Tadashi Kawamata, de Dominique Perrault (avec de nouvelles photographies des oeuvres de Anne et Patrick Poirier, François Méchain, Victoria Klotz et Rainer Gross), dans le parc