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Des financiers à la pistache

Pâte de pistache

Samedi, en passant au marché (désert à cause de la pluie et de la désertion du centre ville pour cause du championnat de France de cyclisme), je prends le temps de m’attarder chez Amandine, et là, je craque, je rachète de la pâte de pistache! Je me dis que ça serait une bonne idée de refaire des financiers. Vent, pluie, que faire d’autre qu’un bon thé avec de petites douceurs maison?

Article du 25 septembre 2012

En allant l’autre jour acheter des céréales chez Amandine sous les halles à Poitiers (mélange maison, non salé contrairement aux céréales industrielles, regardez sur les boîtes, vous verrez, elles ont quasiment toutes du sel), j’ai aperçu le gros pot de pâte de pistache en vrac (vendue au détail en petits pots, la quantité que vous souhaitez)… Je me suis rappelée de deux recettes vues récemment, des petits-beurre à la pistache chez Emmanuelle / le Marquoir d’Élise (sur son blog de cuisine, voir le lien direct sur Effondrille et abat-faim) et des financiers à la pistache chez Moqueplet. J’ai commencé par ces derniers, en respectant la recette (si, ça m’arrive), enfin, sauf le temps de cuisson, au bout de 8 minutes, ils n’étaient pas assez cuits, j’ai finalement mis 12 minutes… Excellents!!!

Financiers à la pistache J’ai deux sortes de moules à financiers, des plus plats (utilisés, je vous montrerai bientôt, pour les barres de céréales) et des plus profonds, utilisés ici… avec en plus des moules ronds, il me restait de la pâte à financier… Ah, il me reste encore de la pâte à la pistache, de quoi faire les petits beurre!

Jeudi, c’est pierogi…

Les pierogi avant cuisson

 

Je sais, nous ne sommes pas jeudi, mais lors de la première publication de l’article, c’était le jeudi 8 mars 2012… J’ai ressorti la recette la semaine dernière et ai souhaité la partager à nouveau, notamment avec mes nouveaux lecteurs / lectrices fidèles…

Le château de Schönbrünn à Vienne en Autriche en 1993, 2, de plus prèsPour le défi Mars, mois de l’Europe centrale organisé par Schlabaya, j’avais très envie de préparer des Pierogi, sorte de gros raviolis sucrés ou salés, je ne connais pas ceux que l’on mange en Pologne, mais j’en ai beaucoup mangé lorsque j’ai fouillé en Ukraine. Les recettes sont toutes prévues pour un régiment… j’ai donc adapté les doses…

Pour ces 15 pierogi:

– pour la pâte: 300 g de farine, 1 œuf, 125 ml d’eau, je l’ai faite au robot, ajouté un peu d’eau pour avoir la bonne consistance, terminée à la main. La laisser reposer le temps de préparer la farce.

– pour la farce, il y a plein de possibilités (par exemple avec les restes de viande et de légumes, mixés, d’un pot-au-feu). J’ai opté pour une farce que j’avais mangée en Ukraine il y a pas loin de vingt ans (fouilles archéologiques, nous mangions dans une ferme)…

4 oignons à préparer à part à la poêle, en fondue…

500 g de pommes de terre cuites à l’eau ou à la vapeur

125g de fromage frais (acheté au marché, vous pouvez aussi prendre de la faisselle)

Réduire les pommes de terre en purée avec le fromage frais, ajouter 2 grosses cuillères d’oignon, saler (pas moi), poivrer.

Étaler la pâte sur 2/3 mm d’épaisseur (bien fariner le plan de travail si ça colle)… Découper des ronds avec un verre ou un bol (j’ai utilisé un bol à riz japonais). Poser au centre une grosse cuiller de purée, fermer en soudant bien les bords (en pinçant fort, ça suffit, sinon, vous pouvez ajouter un peu d’eau). Laisser sécher environ 2 heures (un peu comme pour les macarons).

Les pierogi après cuisson Et voilà après cuisson (10 minutes dans de l’eau bouillante), j’ai cuit l’ensemble en deux fois, ils peuvent se réchauffer, et je pense en congeler quelques-uns… Je les ai servis avec un peu de beurre frais et la purée d’oignons. La prochaine fois que j’en ferai, je relèverai plus la farce, peut-être avec de la muscade ou un de mes « glaçons » persil/livêche…

Avec des fanes de radis… récapitulatif!

Radis roses cuitsIl y a de très beaux radis en ce moment au marché… Si vous en déjà avez marre de les croquer crus, n’oubliez pas qu’ils peuvent aussi se cuire, par exemple pour une fricassée de radis roses (je n’ai pas encore essayé la recette de cabillaud aux radis rose dans le livre offert par Maryse). Si vous les prenez très frais au marché, sans pesticides ni conservateurs, alors n’hésitez pas à cuisiner les fanes, voici quelques suggestions, clic sur les images ou sur les liens…

Radis avec sauce aux fanes de radis… à commencer par la sauce.

Soupe verte aux fanes de radis, navets et oignons fraisComme il a aussi de beaux oignons et navets nouveaux, vous pouvez les mêler pour une soupe aux fanes de navets, de radis et avec des verts d’oignons

Tarte aux fanes de radis et oignons frais… ou une quiche aux fanes de navets, de radis et des verts d’oignons (même article que la soupe)

Lasagnes aux épinards et aux fanes de radisou encore des lasagnes radis/épinards,

Un cake aux fanes de radis… et un cake aux fanes de radis

Avec le panier de la semaine 46, 1, soupe de fanes de radisUne soupe aux fanes de radis, vite fait bien fait

Tarte façon quiche avec tomates, oignons et fanes de radisVous pouvez également essayer la quiche aux fanes de radis et aux tomates (encore un peu tôt dans la saison pour les tomates)…

Quiche aux fanes de raadis et tomates cerises… ou une variante plutôt à l’automne, avec les dernières tomates cerises.

Bon appétit!

Glace au citron, selon Dianou

Glace au citronJ’avais testé cette glace et publié l’article le 9 août 2009, sans donner la recette mais en renvoyant chez Claudiane / Dianou. Elle a depuis fermé son blog, et un lecteur de mon blog m’a demandé en privé la recette… Je l’avais gardée dans un petit coin bien archivé de mon disque dur, je la partage donc avec vous… Entre crochets, mes commentaires…

Ingrédients:

1 boîte (410 g) de lait concentré non sucré ( gloria, ou autre )
2 citrons
8 c. à s. de sucre

Préparation
1- Mettez lait concentré au réfrigérateur 3 à 4 h avant utilisation.
2- Battez le lait au mixeur jusqu’à ce qu’il fasse 3 fois son volume [choisissez un saladier vraiment bien haut ou avec un rebord, ça éclabousse plus que les blancs en neige].
3- Ajoutez 8 c. à s. rases de sucre, puis le zeste d’un citron et le jus de 2 citrons.
4- Versez le tout dans un moule (ex : moule à cake) et faites prendre 4 h au congélateur [j’ai pris une autre option, avec des gobelets en carton, voir ci-dessous, des gobelets en céramique, ça serait encore mieux…].
5- Au moment de servir, démoulez votre glace en trempant le fond du moule dans de l’eau chaude

Article du 9 août 2009

Vous vous souvenez de la soupe froide à la courgette ? Cette fois, j’ai voulu tester une des recettes de glaces ultra simples proposée par Dianou / Claudiane. J’avoue que je n’avais jusqu’ici jamais utilisé de lait gloria… Attention avec le batteur, choisissez un saladier vraiment bien haut ou avec un rebord, ça éclabousse plus que les blancs en neige… J’ai ajouté le sucre, le jus de citron, et mis le tout dans des petits pots en carton (en fait des gobelets de petite taille pour le café).

Et hop, les 10 pots au congélateur. Ces pots sont très pratiques, une petite glace en rentrant du boulot ? Plus facile qu’avec le bloc dans la sorbetière.
C’est super bon ! La texture est très aérée, très agréable. Je crois que je vais racheter du lait concentré pour essayer les autres recettes de glace de Dianou / Claudiane.

Des fèves… et leurs cosses!

Retour du marché, 18 mai 2012
Tous les légumes sont en avance cette année… c’est déjà la fin ou presque pour les asperges locales, et les fèves sont arrivées au marché! L’occasion de rééditer cet article publié il y a deux ans, n’hésitez pas, c’est excellent! J’ai arrêté de prendre des paniers bio depuis quelques mois, mais me sers toujours au marché bio du vendredi soir ou en bio (au pire en raisonné) au marché du samedi.

Article du 22 mai 2012

Pas de livraison de panier vendredi dernier, week-end de l’Ascension oblige… Mais le vendredi soir, je suis passée au marché bio près du monument aux morts de 1870-1871 (qui a perdu ses grilles puis sa patine), chez un couple de maraîchers où je continue de toute façon à prendre presque chaque semaine un petit complément de légumes… Sans doute les dernières asperges (et donc aussi la dernière soupe aux épluchures d’asperge) et les premières fèves de la saison… Les fèves, cela ne fait que quelques années que je les cuisine, mes parents n’en préparaient jamais. La maraîchère me dit qu’elles ont été cueillies la veille au soir, et que je peux les manger à la croque au sel et cuisiner les cosses… Devant mon air interrogatif, elle me dit qu’il suffit de les préparer comme une jardinière de printemps, avec de l’oignon, de l’ail, des lardons (pas pour mon régime sans sel!), il faut enlever les fils au couteau, et les citronner légèrement au fur et à mesure pour éviter quelles noircissent. Quant aux fèves, elle me conseille de les manger sans enlever la deuxième peau, à la croque au sel… mais je les préfère cuites.

Des fèves, fricassée de cosses De retour chez moi, je vois que quelques blogs proposent des recettes avec des cosses de fèves, ça tombe bien, finalement, parce que sinon, les fèves, c’est beaucoup de déchets entre les cosses et la deuxième peau qui doit encore représenter 1/3 de la graine…

Bon, me voici donc avec 500g de fèves… et très peu de déchet à la fin (souvent, on dit que pour 1kg de fèves, il y a 250g de consommable…).

Pour la fricassée:

– 1 oignon jaune (ceux de la photo étaient pour des salades!)

– 1/2 citron

– 2 gousses d’ail

– deux tiges d’oignon frais ciselées (parce que j’en avais sous la main, sinon, une autre verdure, cerfeuil, persil, livêche…)

– 500g de fèves non traitées (bio ou pas, mais dont vous êtes sûr qu’elles n’ont pas été traitées)

– et l’habituel, un peu d’huile, (sel), poivre…

Laver soigneusement les fèves (à la petite brosse), couper les deux bouts, enlever les graines, enlever les fils le long des nervures (au couteau, c’est plus facile), couper en tronçons de 3 à 4 cm, citronner légèrement au fur et à mesure.

Dans le faitout, faire revenir l’oignon émincé (et éventuellement des lardons) dans un peu d’huile. Quand ils sont dorés, ajouter les fèves, l’ail pressé, assaisonner (sel, poivre), un petit fond d’eau, fermer, laisser cuire à feu doux un gros quart d’heure/20 minutes.

Je les ai mangées avec du boudin noir artisanal. J’ai beaucoup aimé, le goût est assez doux, mais je ne sais pas comment le décrire… La prochaine fois, je les ferai avec les autres légumes d’une jardinière.

Des fèves, crues et cuites De l’autre côté, il me restait un demi-bol de fèves crues (en haut). Je les ai blanchies 1 minute dans l’eau bouillante, il restait alors à enlever la seconde peau un peu amère (comme celle encerclée en bas après pré-cuisson). En fait, comme elles étaient très fraîches, et très jeunes, la seconde peau peut se manger aussi, j’ai goûté (je me laisse influencer par ma maraîchère!), pas mauvais, mais pas pour tout le bol… A cuire ensuite une dizaine de minutes à l’étouffée ou à la poêle.

Maitrank (à l’aspérule) et jardin au carré

Mon jardin le 28 avril 2010, récolte d'aspérule

Cette année (2014), dame nature est en avance. Je ne suis pas descendue dans mon jardin, mais l’aspérule odorante doit être fleurie, comme celle de Jean-Marie qui me demandait l’autre jour où se trouvait ma recette du Maitrank (vin de mai)… La voici donc en ré-édition! Et il va falloir que j’aille réparer les carrés du jardin, mis à mal par les crues du Clain!

Article du 1er mai 2010

Mon jardin le 11 avril 2010, l'aspérule Le premier mai étant arrivé, j’ai fait (en fait, il y a quelques jours) du Maitrank, une boisson à préparer en mai et à base de fleurs d’aspérule (vous pouvez la revoir ici avant floraison). Si vous allez voir sur internet, vous trouverez des dizaines de recettes différentes, macération de quelques heures à 15 jours, dans du vin blanc, bouillant ou à température ambiante, ajout du sucre au début ou à la fin, ajout de cognac ou d’orange, quantité de fleurs très variables, de 15 sommités florales (parfois avec les tiges) à 80 g pour un litre de vin, etc. J’ai finalement opté pour une trentaine de sommités florales, ajouté une bouteille de vin blanc d’Alsace (donc 75 cl, pas un litre…), je vais laisser macérer une quinzaine de jours et ajouter le sucre à la fin, comme sur ce site (ça évitera la fermentation), mais sans ajouter d’orange ou de cognac.

Mon jardin le 28 avril 2010, corde à 13 noeuds Sinon, j’hésitais depuis un moment pour faire un jardin en carrés, vous savez, ces potagers un peu surélevés dans des carrés de 1,20 m de côté, partagés en sous-carrés de 30 cm. J’ai acheté la réédition de 2010 de L’art du potager au carré, de Éric Prédine et Jean-Paul Collaert (chez édisud, 2009, première édition 2000). J’ai commencé par me fabriquer une nouvelle corde à treize nœuds séparés de 30 cm, plus pratique que la corde à nœuds séparés de 25 cm que j’utilisais sur mon chantier de fouille. Cette corde, utilisée depuis la nuit des temps par les bâtisseurs, permet entre autres de tracer facilement des angles droits à partir du théorème de Pythagore, avec 3, 4 et 5 intervalles. Ceci fait, avec la corde tendue (pas comme sur la photo), en vérifiant sur les quatre angles, avec des petits piquets en bois, j’ai attaqué le tracé au sol.

Mon jardin le 28 avril 2010, le début du premier carré Bon, je finirai quand j’aurai récolté les derniers poireaux et carottes qui gênent. Côté nord, deux grands piquets (au fond, c’est un tronc de laurier sauce) et une rangée de petits piquets de 40 cm, 20 cm dans le sol, 20 au-dessus (la massette fut de sortie). Puis j’ai mis quelques piquets côté interne et bourré monté une petite cloison avec des branchettes. Pour les deux autres côtés, j’ai juste mis les branchettes entre des piquets. Il me reste à faire le dernier côté, après récolte, à faire un petit enduit en terre crue côté interne (du limon de rivière avec de l’herbe séchée devrait convenir, je préfère cela à un géotextile ou de la bâche, il s’agit juste de plus ou moins étanchéifier la paroi). Je remplirai ensuite le carré de compost maison.

Mon jardin le 28 avril 2010, le début du premier carré Et voilà une autre vue. Il faut aussi que je fasse une cloison en branchage au nord pour les plantes grimpantes. Ensuite, je réfléchirai aux légumes que j’y mettrai. Qu’en pensez-vous ? J’ai la place à côté pour me faire un second carré à l’automne si ça fonctionne.

Mon jardin le 28 avril 2010, incinérateur Sinon, les braises ont fini de se consumer et le niveau de cendres est bien plus bas dans mon incinérateur. [PS: je sais, il vaut mieux éviter les feux ouverts, pour limiter les rejets de particules fines dans l’air…].

Un gâteau marbré…

Un gâteau marbréPour le traditionnel gâteau marbré, j’utilise toujours la recette du centre sociale de Villeneuve-d’Ascq dans les années 1980… en changeant juste un peu! Je mets du beurre au lieu de la margarine, 35 à 40 g de cacao au lieu de 20, et le four au thermostat 6 au lieu de 4… Voici ce que ça donne après modification:

Ingrédients:

– 2 œufs
– 85g de beurre
– 135g de sucre en poudre
– 135g de farine
– 35 à 40g de cacao genre Vanhouten
– 1 sachet de sucre vanillé
– 1 cuillère à café de levure chimique
– 4 cuillères à soupe de lait.

La recette:
– faire fondre le beurre, le mélanger avec le sucre pour obtenir une consistance mousseuse.
– séparer le blanc des jaunes d’œufs
– ajouter au mélange le lait, les jaunes d’œuf, la farine et la levure
– battre les blancs en neige, les incorporer délicatement au mélange.
– séparer la pâte en deux, ajouter dans l’une le sucre vanillé, dans l’autre le cacao
– verser alternativement la moitié de chaque pâte dans un moule à cake
– cuire 35 minutes thermostat 6 (pour mon four qui chauffe un peu moins que ce qu’il affiche), la recette d’origine dit 40 minutes à thermostat 4, il suffit de tester la cuisson avec un petit couteau pointu.

Muffins à la carotte et au cumin

Muffins à la carotte et au cuminJ’ai testé une recette de muffins à la carotte et au cumin, à servir en entrée ou en apéritif. Une recette trouvée dans le journal local, et testée avec Emmanuelle / le Marquoir d’Élise lors de sa dernière visite. Verdict: pas mal, mais un peu trop de farine… A diminuer par rapport à la recette… peut-être parce que pour la purée, je n’ai utilisé que des carottes, sans eau ni lait?

La recette ne disait pas combien on pouvait en faire… avec les ingrédients indiqués, j’en ai fait 8 dans des moules individuels…

Les ingrédients:

200 g de purée de carottes
20 g de beurre
1 cuillère à soupe de crème fraîche
2 œufs
150 g de farine [à diminuer: 130g?]
1 cuillère à soupe de cumin moulu
1 cuillère à café de graines de cumin
1 cuillère à café de levure chimique
1 pincée de sel (pas mise pour moi…)

La recette (j’ai un peu changé l’ordre proposé, pour que ce soit plus pratique) :

Préparer la purée de carottes, la laisser refroidir.
Préchauffer le four à 180° (j’ai mis thermostat 8, mon four chauffant plutôt en dessous de la réalité).
Séparer les blancs des jaunes d’œuf, monter les blancs en neige très ferme (avec une pincée de sel).
Faire fondre une partie du beurre à feu doux (euh, j’ai tout mis…).
Mélanger la purée de carottes, le beurre fondu; les jaunes d’œuf et la crème fraîche, ajouter la farine, la levure et le cumin moulu jusqu’à obtenir une pâte bien lisse.
Incorporer délicatement les blancs en neige sans les faire retomber.
Beurrer (ou huiler) les moules et les remplir aux deux tiers, parsemer de graines de cumin en surface.
Enfourner pendant 15 minutes environ. Manger chaud ou tiède.

J’en ai congelé une partie, impeccable!

Une quiche aux légumes de fin d’été…

Une quiche aux légumes de fin d'étéAvec le printemps tardif et l’automne qui est encore assez doux, les légumes d’été (poivrons, tomates) jouent les prolongations au marché (j’ai aussi encore des tomates cerises sur le balcon) et côtoient les courges et autres choux sur les étals… Au gré de mon aspiration, j’ai préparé cette quiche… pas très dorée, j’ai mis un œuf de moins que d’habitude quand j’ai vu que l’appareil allait déborder de la tourtière!

Les ingrédients:

– une pâte brisée (maison, mais vous pouvez en prendre une toute faite), avec du papier sulfurisé, c’est plus facile à démouler…
– deux gros oignons jaunes
– deux grosses tomates
– 250g de champignon de Paris frais
– 1 poivron vert
– un peu de fromage (ici bleu d’Auvergne)
– matière grasse (au choix, huile, beurre)
– moutarde

Et pour l’appareil à quiche:

– 3 œufs (enfin, cette fois-ci, je n’en ai mis que 2)
– 250 ml de lait (si vous préférez, vous pouvez mettre de la crème, je préféré la version plus légère)
– (sel), poivre, muscade

La recette

Faire revenir dans une poêle les oignons émincés, jusqu’à ce qu’ils soient colorés (pas complètement cuits) dans un peu d’huile ou de beurre (une petite dizaine de minutes), précuire 5 à 10 minutes les tomates coupées en rondelles, les champignons émincés et le poivron coupé en lanières.

Laisser les légumes s’égoutter une demi-heure sur une assiette, ça évite au fond de tarte de se détremper.

Étaler la pâte à tarte, la foncer dans la tourtière, l’enduire d’un peu de moutarde. Disposer  les mettre sur le fond de tarte les légumes, j’ai choisi de mettre dans l’ordre les oignons puis les tomates, les champignons et les lanières de poivron. Parsemer de fromage.

Préparer l’appareil à quiche (mélanger le lait, les œufs, le sel, le poivre, la muscade) et le verser sur la tarte

Enfourner 30 à 35 minutes dans un four chaud (je mets 10 minutes thermostat 8 puis 25 minutes thermostat 7, mais vous connaissez votre four, faites comme vous avez l’habitude pour vos tartes et quiches)…

 

Le gâteau à la banane de Maryse

Le gâteau à la banane de MaryseUne invitée aujourd’hui sur mon blog, Maryse, qui partage avec vous sa recette du gâteau à la banane…

Gâteau à la banane

Ce n’est en fait qu’un gâteau au yaourt dans lequel j’écrase une banane (grosse de préférence).

Le principe donc, c’est que le pot de yaourt sert de mesure.

Ingrédients :

1 yaourt nature (bulgare)
3 pots de farine
2 de sucre
1/2 huile de tournesol
3 œufs entiers
1sachet de sucre vanillé
1sachet de levure chimique

La recette

On incorpore peu à peu tous les ingrédients dans un saladier en les liant bien pour que la pâte soit lisse. Ensuite on ajoute la banane. Personnellement je la coupe en rondelles et les mets dans la pâte, après quoi, je les écrase. C’est mieux s’il reste quelques morceaux plus gros.
Puis on beurre un moule (je préfère un moule à cake car l’intérieur reste plus moelleux) et on le met 30 minutes à four chaud (à 180°). C’est tout bête mais il se mange bien.