
Après Effroyables jardins et Aimer à peine, Avec des mains cruelles, La folie Verdier et Close-up, j’ai sorti de la médiathèque un autre livre de Michel Quint. [depuis, j’ai aussi lu L’espoir d’aimer en chemin et Fox-trot].
Le livre : Et mon mal est délicieux de Michel Quint, collection Arcanes, éditions Joëlle Losfeld, 2004, 88 pages, ISBN 978-2070789047.
L’histoire : de nos jours (au début des années 2000?). Un auteur en résidence d’écriture à la chartreuse restaurée de Villeneuve-lès-Avignon cueille une fleur de jasmin et est abordé par Max, qui lui narre son histoire. Juin 1940. La chartreuse en ruines est occupée par de nombreux réfugiés, certains venus du Nord, d’autres qui ont fui la guerre d’Espagne, dont Luz. Max, le jeune fils du juge, devient son Rodrigue chaque soir, récitant le Cid. Un jour, Gérard s’interpose, prend le rôle. Et si c’était Gérard Philipe? 9 mai 1945, à la fin du bal populaire, Luz est frappée d’un étrange mal, Max parti à Paris fera vivre son rêve de revoir Gérard…
Mon avis : un court roman qui, pour une fois chez Michel Quint, ne se passe pas dans le Nord de la France. Il réussit le tour de force de parler en moins de cent pages de la deuxième guerre mondiale, des réfugiés espagnols, d’un crime passionnel, de la déportation et du retour, du monde du théâtre à Paris et au festival d’Avignon, d’une maladie neurologique rare jamais citée mais dont l’un des symptômes est une monoplégie crurale. Un texte dense qui se lit d’une traite…
La
Après
Ernest Lavigne, représenté de face, la tête légèrement tournée vers sa gauche, porte fièrement la moustache… Un médaillon tout en finesse et détails. Mais qui était cet Ernest Lavigne? Je n’ai pas trouvé d’information, il y a trop d’homonymes…
Et pour finir, la signature du sculpteur 
Une bande dessinée trouvée dans les bacs de la 
Après avoir lu
Elle a réalisé une très belle carte maison automnale… Vous prendrez bien une petite fricassée de cèpes?
Le coussinet avec son dessus au crochet est très joli…
… et voici de plus près le bracelet, bel assemblage de perles bleues!
Une bande dessinée trouvée dans les bacs de la 
Un livre jeunesse dont
Une fois la
Un bon moment de séchage, pas de précipitation, puis j’ai tout recouvert de
… et voici l’heure de vérité, mise en place du meuble et… miracle! je ne me suis pas trompée dans mes mesures! Bon, il me reste à faire la même chose sur le meuble d’angle et sur l’autre mur… dans les prochaines semaines, il va falloir que j’aille à la « pêche aux cartons » les soirs de recyclage en ville pour trouver au moins 9 plaques de 85 cm sur 35 pour le bas, le milieu et le haut, et pas mal de morceaux plus petits dans lesquels découper les cloisons et l’étagère d’angle.
Pour fêter l’arrivée de l’automne,
Chose promise, chose due, après la
Il partage sa tombe avec Jacques Antoine Manuel… dont voici le texte de la dédicace sur la plaque de fonte: « Manuel / né à Barcelonnette le 10 décembre 1775 / soldat volontaire en 1795 / avocat / membre de la chambre des représentants / député / expulsé par la majorité de 1825 / mort le 20 août 1827 / hier j’ai annoncé que je ne cèderais qu’à la force / aujourd’hui je viens tenir la parole / séance du 4 mars 1823 ». Une citation similaire (à l’exception du passage sur la force) est reprise sur le médaillon.
La plaque de Béranger, déjà descellée
Sur la stèle sont apposés deux médaillons en bronze représentant les deux hommes de profil, face à face. Les deux médaillons, adjacents, ont été coulés d’une seule pièce et sont surmontés d’une couronne végétale indépendante.
Le médaillon représentant « Manuel, député de la Vendée » (texte inscrit à droite du visage), à gauche, reprend à gauche à peu près la citation de la dédicace : « Hier j’ai annoncé / que je ne cèderais / pas à la violence / aujourd’hui / je viens / tenir ma parole / séance du mardi / 4 mars 1823 ».
Ce médaillon porte la signature de
Le médaillon représentant Béranger chauve porte le texte « Béranger / né à Paris / en / 1780 ». Ce médaillon a été réalisé alors que Béranger était encore vivant… (David d’Angers est d’ailleurs décédé en 1856, un an avant Béranger).
Il porte la signature « F.-G. Magnades », peut-être le fondeur, l’auteur du médaillon étant