Des fonds pour de futures ATC

Des fonds pour ATC avec du paier maison en fondEn vue de la réalisation de futures ATC (cartes de 2,5 sur 3,5 pouces, 6,4 sur 8,9 cm), j’ai préparé des fonds avec mes papiers maison blanc, vert, bleu, rose et jaune. Sur ce dernier, j’ai utilisé une série de timbres « meilleurs vœux » retrouvés quand j’ai fait du rangement pour les ranger dans la boîte à timbres.

Des fonds d'ATC en récupération de magazineJ’ai aussi préparé quelques fonds avec des motifs qui me plaisaient bien dans des magazines, avant de les mettre dans le bac à recyclage… Il n’y a plus qu’à les compléter au gré de l’inspiration…

Le chien qui louche d’Etienne Davodeau

Couverture de Le chien qui louche d'Etienne DavodeauJ’ai lu la quasi totalité des albums d’Étienne Davodeau (voir les liens en fin d’article), je ne pouvais donc pas rater son nouvel album, sorti fin octobre 2013… déjà sélectionné pour le festival de la Bande dessinée d’Angoulême fin janvier 2014, primé à Blois (prix BD boum) en novembre 2013. Et dans l’actualité de l’auteur, l’adaptation au cinéma de Lulu femme nue (revoir mes avis sur Lulu femme nue, tome 1 et sur le tome 2) qui sortira en salle le 22 janvier 2014.

Le livre : Le chien qui louche de Étienne Davodeau (scénario et dessin), éditions Futuropolis et musée du Louvre, 2013, 136 pages (plus un dossier de trois pages sur les conditions d’acquisition des œuvres dans les musées), ISBN 9782754808538.

L’histoire : de nos jours à Paris, en banlieue et dans le Maine-et-Loire. Fabien, surveillant au Louvre, aime Mathilde qui le présente pour la première fois à sa famille, près d’Angers. Il fait alors la connaissance du père, Louis, qui dirige une entreprise familiale de meubles, les deux frères, Maxime et Joseph, et bientôt le grand-père, qui garde un tableau peint par un aïeul et représentant un chien qui louche. Les frères lancent un défi à Fabien: faire entrer ce tableau sans grand intérêt au Louvre… A sa grande surprise, il va être aidé par un fidèle visiteur, André Balouchi, membre de l’insoupçonnée et secrète  République du Louvre.

Mon avis : j’ai un peu moins aimé que les ignorants et Rural! Chronique d’une collision politique, que j’avais adorés, mais c’est néanmoins un très bon album pour la partie sur le Louvre, j’ai moins adhéré à l’histoire de la belle-famille. Depuis quelques années, le Louvre accueille un dessinateur dans ses murs, qui aborde le musée dans un album souvent décalé. Étienne Davodeau a choisi d’aborder par un côté humoristique (faire accrocher dans les salles une croute) le thème de l’enrichissement des collections: achat ou don, tout enrichissement de collection, au Louvre comme dans les musées sous label Musée de France, doivent faire l’objet d’une approbation d’une commission scientifique qui se prononce sur la pertinence de l’entrée de l’œuvre par rapport aux collections du musée. Il a aussi choisi de se placer non pas auprès des personnels scientifiques (conservateurs etc.) mais de ceux qui font tourner le musée au quotidien, les gardiens de salle, leur métier, les questions les plus fréquentes des visiteurs qui cherchent avant tout la Joconde, les toilettes ou la Victoire de Samothrace. Au fil des pages, on découvre des salles bondées de visiteurs pressés qui n’y regardent (et encore, parfois juste par l’intermédiaire de leur téléphone ou appareil photo) qu’une seule œuvre célèbre et pas ses voisines, et d’autres salles quasi vides.

Pour rappel, je vous ai parlé de nombreux albums d’Étienne Davodeau

de Kris et Davodeau

et de Davodeau et Joub

Pour découvrir l’auteur : voir le site d’Étienne Davodeau, que je trouve très riche… et la venue à Poitiers de l’auteur.

Logo du top BD des blogueurs 2013 Cette BD sera soumise pour le classement du TOP BD des blogueurs organisé par Yaneck / Les chroniques de l’invisible. Mes chroniques BD sont regroupées dans la catégorie pour les BD et par auteur sur la page BD dans ma bibliothèque.

Le devant de la marinière

Le devant de la marinièreJe vous avais montré le début, voici le devant de ma marinière! J’ai choisi un vieux modèle paru dans Modes et Travaux et de la fausse laine (acrylique, 100% pétrole donc), achetée dans une solderie et sans doute fabriquée à l’étranger… Qualité Rubis, coloris 156 (rouge) et 211 (écru). Mais le tricot sera 100% maison. La suite très bientôt… le dos et les manches, la marinière terminée

La tombe d’Alexandre Falguière par Marqueste au cimetière du Père Lachaise à Paris

Paris, cimetière du Père Lachaise, tombe deAlexandre Falguière par Marqueste, vue générale du tombeauAprès l’Art devant l’hôtel de ville de Paris et le médaillon d’Ernest Lavigne, dans le cimetière de Passy, voici une autre œuvre de Laurent [Honoré] Marqueste, cette fois dans le cimetière du Père-Lachaise : la stèle de la tombe d’Alexandre Falguière (Toulouse, 1831 – Paris, 1900), un sculpteur dont je vous ai parlé pour le groupe sculpté représentant Pierre Goudouli ou le Vainqueur du combat de coq, tous deux à Toulouse, le monument à Pasteur à Paris avec des vues d’hier et d’aujourd’hui et le monument à Léon Gambetta à Cahors. Ce tombeau se trouve juste à côté de celui du sergent Hoff par Bartholdi.

Paris, cimetière du Père Lachaise, tombe deAlexandre Falguière par Marqueste, signature de MarquesteLa signature de Laurent [Honoré] Marqueste (Toulouse, 1848 – Paris, 1920), prix de Rome en 1871, qui fut l’un de ses élèves, est apposée sur le marbre.

Paris, cimetière du Père Lachaise, tombe deAlexandre Falguière par Marqueste, Tarcisus sculpté sur l'avant du tombeauSur la face avant du tombeau, au-dessus des inscriptions funéraires, le sculpteur a reproduit en relief une statue de Falguière, Tarcisius, dont l’original se trouve aujourd’hui au musée d’Orsay.

Paris, cimetière du Père Lachaise, tombe deAlexandre Falguière par Marqueste, stèle et dessus de la tombeSur le dessus de la tombe sont posés une grande palme, une palette, un burin et une masse sculptés (sous les feuilles mortes de la photographie). L’essentiel de la sculpture se concentre sur la stèle…

Paris, cimetière du Père Lachaise, tombe deAlexandre Falguière par Marqueste, allégorie féminine … dominée par une grande allégorie féminine en haut relief…

Paris, cimetière du Père Lachaise, tombe deAlexandre Falguière par Marqueste, détail des trois petits personnages … et entourée de petits personnages « échappés » d’œuvres de l’artiste : le Vainqueur du combat de coq en bas relief, présenté au Salon des artistes français en 1864 et dont un tirage en est présenté au musée d’Orsay à Paris (en haut) et Diane en haut-relief, dont le plâtre était au salon des artistes français de 1882 sous le n° 4353. Si l’allégorie a fière allure, les petits reliefs sont assez maladroitement exécutés par Marqueste, je trouve.

 

Photographies de novembre 2012.

 

Une trousse au patchwork par Maryse…

Trousse bleue en patchwork de MaryseJ’ai été gâtée par Maryse (sans blog, mais elle se convertira peut-être 😉 ) qui m’a confectionnée une très jolie trousse bleue en patchwork. Les deux petits côtés peuvent être resserrés par un bouton pression. Je l’utilise pour l’instant pour ranger le lecteur MP3 avec le casque, à l’avenir, elle renfermera certainement un petit nécessaire pour ATC (genre colle, stylos, feutres, colle à paillettes, etc.). Un grand merci à toi, Maryse!

Top BD des blogueurs, novembre 2013

Logo du top BD des blogueurs 2013Le classement du TOP BD des blogueurs proposé par Yaneck / Les chroniques de l’invisible du mois de novembre est arrivé… merci à lui pour ces savants calculs et cette organisation. Il y a eu beaucoup de changements ce mois-ci, voir ses commentaires dans son article! Après plusieurs baisses dans le classement, Pyongyang de Guy Delisle est sorti du classement ce mois-ci (mais je vous en recommande toujours la lecture). Et il y a aussi un autre classement à partir de ce mois-ci, le top-actu des blogueurs, proposé par Jacques / un amour de BD, qui rend compte des albums parus lors du dernier trimestre, je vous laisse suivre le lien pour le découvrir.

Comme d’habitude, en gras, les albums que j’ai chroniqués ici…

1- (=) Le journal de mon père 18.67, Jiro Taniguchi, Casterman
2- (=) Maus 18.66, Art Spiegelmann, Flammarion, j’ai parlé ici du tome 1 : mon père saigne l’histoire, et du tome 2, Et c’est là que mes ennuis ont commencé
3- (=) Un printemps à Tchernobyl 18.63, Emmanuel Lepage, Futuropolis, voir mon avis
4- (=) Punk Rock Jesus 18.58, Sean Murphy, Urban Comics
5- (=) Persépolis 18.55, Marjanne Satrapi, L’Association
6- (=) Asterios Polyp 18.5, David Mazzuchelli, Casterman
7- (=) Le loup des mers 18.5, Riff Reb, Soleil
8- (N) Amorostasia 18.5, Cyril Bonin, Futuropolis
9- (=) Idées Noires 18.5, Franquin, Fluide Glacial
10- (=) NonNonBâ 18.5, Shigeru Mizuki, Cornélius
11- (=) Daytripper 18.46, Fabio Moon, Gabriel Ba, Urban Comics
12 (=) Tout seul 18.38, Christophe Chabouté, Vents d’Ouest
13- (=) Le sommet des dieux 18.33, Yumemuka Bura, Jirô Taniguchi, Casterman, Tome 1, Tome 2,Tome 3, Tome 4, Tome 5.
14- (=) Universal War One 18.33, Denis Bajram, Soleil, Tome 1, Tome 2, Tome 3, Tome 4, Tome 5, Tome 6.
15- (=) Les derniers jours de Stefan Sweig 18.25, L. Seksik, G. Sorel, Casterman
16- (-) Pendant que le roi de Prusse faisait la guerre, qui donc lui reprisait ses chaussettes? 18.25, Benoît Zidrou, Roger, Dargaud
17- (=) V pour Vendetta 18.22, Alan Moore, David Lloyd, Delcourt
18- (=) Le Grand pouvoir du Chninkel 18.19, Van Hamme, Rosinski, Casterman
19- (=) Rouge Tagada 18.13, Charlotte Bousquet, Stéphanie Rubini, Gulf Stream Editeur
20- (=) Revenants 18.08, Olivier Morel, Maël, Futuropolis
21- (-) Les ignorants 18.06, Etienne Davodeau, Futuropolis, je l’ai aussi beaucoup aimé
22- (=) Il était une fois en France 17.98, Fabien Nury, Sylvain Vallée, Glénat, Tome 1, Tome 2, Tome 3, Tome 4, Tome 5,Tome 6.
23- (=) Habibi 17.95, Craig Thompson, Casterman
24- (=) Abélard 17.92, Régis Hautière, Renaud Dillies, Dargaud, Tome 1, Tome 2.
25- (=) Gaza 1956 17.92, Joe Sacco, Futuropolis, voir mon avis : Gaza 1956
26- (=) Trois Ombres 17.9, Cyril Pedrosa, Delcourt
27- (=) Herakles tome 1 17.88, Edouard Cour, Akiléos
28- (=) Saga 17.88, Bryan K. Vaughan, Fiona Staples, Urban Comics, Tome 1, Tome 2,
29- (=) Une métamorphose iranienne 17.87, Mana Neyestani, Editions Ca et là
30- (=) Pinocchio 17.85, Winschluss, Les Requins Marteaux
31- (=) Manabé Shima 17.83, Florent Chavouet, Editions Philippe Picquier
32- (=) Scalped 17.83, Jason Aaron, R.M. Guerra, Urban Comics, Tome 1, Tome 2, Tome 3, Tome 4, Tome 5, Tome 6, Tome 7,
33- (N) Joker 17.75, Brian Azzarello, Lee Bermejo, Urban Comics
34- (=) L’histoire des trois Adolf, 17.75, Osamu Tezuka, Tonkam
35- (=) Blankets 17.73, Craig Thompson, Casterman
36- (=) Les enfants de Jessica tome 1 17.73, L. Brunschwig, L. Hirn, Futuropolis
37- (=) Calvin et Hobbes, 17.7, Bill Watterson, Hors Collection, Tome 1, Tome 2, Tome 15, tome 17,
38- (=) Les seigneurs de Bagdad 17.7, Brian K. Vaughan, Niko Henrichon, Urban Comics
39- (=) Holmes 17.69, Luc Brunschwig, Cecil, Futuropolis, Tome 1, Tome 2, Tome 3.
40- (=) Urban 17.69, Luc Brunschwig, Roberto Ricci, Futuropolis, Tome 1, Tome 2,
41- (=) La petite famille 17.67, Loïc Dauvillier, Marc Lizano, Editions de la Gouttière
42- (=) Anjin-san 17.67, Georges Akiyama, Le Lézard Noir
43- (=) Lorenzaccio 17.67, Régis Peynet, 12 Bis
44- (+) L’Orchestre des doigts 17.65, Osamu Yamamoto, Editions Milan, Tome 1, Tome 2, Tome 3, Tome 4.
45- (=) Alice au pays des singes 17.62, Tébo, Nicolas Keramidas, Glénat
46- (-) Grandville 17.6, Bryan Talbot, Milady Graphics, Tome 1, Tome 2,
47- (=) Voyage aux îles de la Désolation 17.58, Emmanuel Lepage, Futuropolis
48- (-) Portugal 17.58, Cyril Pedrosa, Dupuis
49- (=) Elmer 17.58, Jerry Alanguilan, Editions Ca et là
50- (=) Moi, René Tardi, prisonnier au Stalag IIB, 17.58, Tardi, Casterman

Une aubergine au tricot

Une aubergine au tricotJ’ai repris ma série de légumes au tricot, cette fois avec l’aubergine, toujours tirée du livre de Susie Johns, Fruits & légumes au tricot (éditions Didier Carpentier, 2012), une chute de laine pour le vert et une laine achetée avec Emmanuelle / le Marquoir d’Élise cet été pour l’aubergine (La laine du Nord, acrylique, coloris 732).

Des légumes au tricot, poireau, panais, tomate, aubergine et cerisesEt voilà l’ensemble, vous pouvez revoir de plus près en suivant les liens le poireau, le panais, la tomate et les cerises… et la suite: le chou-fleur, le champignon, l’ananas, la banane, le trognon de pomme, le petit pois, la pastèque, la figue, le poivron,

Une Vierge à l’Enfant de Baptiste Baujault à Niort

Niort, la Vierge de Baujault, 1, la maison avec la statue Sur une maison qui porte la date de 1840 située rue Saint-jean à Niort, juste en face de l’ancienne école de dessin se trouve une Vierge à l’Enfant réalisée entre 1840 et 1845 par (Jean) (je vous en ai parlé pour le monument à Amable Ricard).

Niort, la Vierge de Baujault, 2, vue de face Marie est représentée debout, portant une longue robe recouvert d’un large voile qui lui couvre légèrement la tête. Jésus est représenté nu tenant dans ses mains un globe.

Niort, la Vierge de Baujault, 3, détail de face et de profil

De près, on voit mieux le mouvement de la Vierge qui tient l’Enfant d’une manière un peu curieuse, la main gauche sous les fesses et la droite sous les pieds. Pour un nourrisson, il se tient déjà bien, !

Pour en savoir plus : lire les articles de Marie-Paule Dupuy, « À mon ami Baujault (1828-1899), sous le charme d’un sculpteur des Deux-Sèvres », Le Picton. Histoire, patrimoine, tourisme en Poitou-Charentes, n° 173, septembre-octobre 2005, p. 42-48 et « Baptiste Baujault, artiste statuaire La Crèche (Deux-Sèvres) : 19/04/1828 – 27/11/1899 », Revue Aguiaine, mai-juin 1999.

Photographies de mi juillet 2011.

Muffins à la carotte et au cumin

Muffins à la carotte et au cuminJ’ai testé une recette de muffins à la carotte et au cumin, à servir en entrée ou en apéritif. Une recette trouvée dans le journal local, et testée avec Emmanuelle / le Marquoir d’Élise lors de sa dernière visite. Verdict: pas mal, mais un peu trop de farine… A diminuer par rapport à la recette… peut-être parce que pour la purée, je n’ai utilisé que des carottes, sans eau ni lait?

La recette ne disait pas combien on pouvait en faire… avec les ingrédients indiqués, j’en ai fait 8 dans des moules individuels…

Les ingrédients:

200 g de purée de carottes
20 g de beurre
1 cuillère à soupe de crème fraîche
2 œufs
150 g de farine [à diminuer: 130g?]
1 cuillère à soupe de cumin moulu
1 cuillère à café de graines de cumin
1 cuillère à café de levure chimique
1 pincée de sel (pas mise pour moi…)

La recette (j’ai un peu changé l’ordre proposé, pour que ce soit plus pratique) :

Préparer la purée de carottes, la laisser refroidir.
Préchauffer le four à 180° (j’ai mis thermostat 8, mon four chauffant plutôt en dessous de la réalité).
Séparer les blancs des jaunes d’œuf, monter les blancs en neige très ferme (avec une pincée de sel).
Faire fondre une partie du beurre à feu doux (euh, j’ai tout mis…).
Mélanger la purée de carottes, le beurre fondu; les jaunes d’œuf et la crème fraîche, ajouter la farine, la levure et le cumin moulu jusqu’à obtenir une pâte bien lisse.
Incorporer délicatement les blancs en neige sans les faire retomber.
Beurrer (ou huiler) les moules et les remplir aux deux tiers, parsemer de graines de cumin en surface.
Enfourner pendant 15 minutes environ. Manger chaud ou tiède.

J’en ai congelé une partie, impeccable!

Eva, J.F. se cherche désespérément d’Aude Picault

pioche-en-bib.jpgLogo BD for WomenCouverture de Eva, J.F. se cherche désespérément d'Aude PicaultUne bande dessinée trouvée dans les bacs de la médiathèque. [De la même auteure, voir aussi Transat].

Le livre : Eva, J.F. se cherche désespérément d’Aude Picault (scénario et dessins), éditions Glénat, 2008, 56 pages, ISBN 9782723462815.

L’histoire : de nos jours dans un lieu indéterminé (on ne voit que des intérieurs). Eva, bientôt la trentaine, et sa copine Olivia, cherchent un « mec », si elles en discutent souvent entre elles, la chasse est une opération en solo, lors des soirées qui se succèdent… Mais elles ne trouvent que ceux dont les autres filles ne veulent pas.

Mon avis : bof! Côté dessin, les personnages ressemblent à des dessins de mode, silhouettes très simplifiées,visages à peine ébauchées. J’avais sorti cet album en pensant passer un moment léger et futile, une parenthèse de détente. Le discours est superficiel, je n’y ai trouvé aucun intérêt et pas non plus la « touche d’humour » mise en avant par des chroniqueuses ici et là. Même la mère qui vient s’imposer chez Eva ne m’a pas fait sourire…

Pour aller plus loin: voir le site de Aude Picault.

Logo du top BD des blogueurs 2013 Cette BD sera soumise pour le classement du TOP BD des blogueurs organisé par Yaneck / Les chroniques de l’invisible. Mes chroniques BD sont regroupées dans la catégorie pour les BD et par auteur sur la page BD dans ma bibliothèque.