Archives mensuelles : octobre 2010

Merci à toute la famille qui se reconnaîtra!

Le gros colis reçu d'Algérie, 1, l'ensemble Il y a quinze jours, mes amis néo-zélandais étaient en transit à Paris, entre Constantine, où ils ont passé quelques semaines de vacances en famille, et Londres avant de rentre en Nouvelle-Zélande… Toutes les dames de la famille avaient dû se mettre en cuisine pour moi, et ils devaient avoir des bagages énormes, voici rien que pour moi… plusieurs kilos de bonheur! La grande ballade que nous avons faite à travers Paris a permis de brûler quelques calories avant d’attaquer les colis!

Le gros colis reçu d'Algérie, 2, de la galette De la bonne galette maison, il m’en reste encore un peu au congélateur, décongelée et tiédie au micro-onde, cela me donne un petit-déjeuner délicieux et plein de souvenirs…

Le gros colis reçu d'Algérie, 3, des dattes Des dattes succulentes…

Le gros colis reçu d'Algérie, 4, des pâtisseries Des pâtisseries maison, mmm… délicieuses! J’ai un peu partagé avec mon père et des amis… mais me suis et me régale encore!

Le gros colis reçu d'Algérie, 5, du nougat, boîte fermée Et puis, des nougats qui viennent du meilleur confiseur de Constantine…

Le gros colis reçu d'Algérie, 6, du nougat, boîte ouverte Comment ça, vous ne voyez pas? Voilà la boîte ouverte. Un grand merci à vous tous!

Au fait, je vous ai déjà parlé Robyn et Lakhdar, ils m’ont entre autres offert cet énorme colis avec un magnifique kiwi qui trône dans ma chambre et un marque-page aux moutons que j’ai brodé ici, une frise sur la ZEA, Nouvelle-Zélande et l’année précédente, un marque-page avec un kiwi… (le fruit), je leur ai envoyé ce tablier, un sac à provisions. Pour mes amis en Algérie, vous pouvez aussi revoir la carte de l’Algérie brodée (désolée, un des premiers articles du blog, photo riquiqui) ou un un bienvenue en arabe.

Noël par Lili HR (5)

SAL noël de Lili HR, cinquième étape, les lutins

Bonne nouvelle hier matin, nous avons récupéré la fibre optique (et le web, la messagerie, la badgeuse…) au bureau… et le chauffage a été mis en route!

Pour la cinquième étape du SAL de noël proposé par Lili HR, deux petits lutins, toujours en fil DMC 666. Pas d’erreur de positionnement cette fois-ci, et j’ai réparé les cases jusqu’à la fin…

SAL noël de Lili HR, cinquième étape, l'ensemble Toutes les étapes du SAL bienvenue de Lilli HR :

La débauche, de Tardi et Pennac

La débauche de Tardi et Pennac pioche-en-bib.jpgUne BD elle aussi empruntée à la médiathèque.

Le livre : La débauche, de Jacques Tardi (dessins et couleurs) et Daniel Pennac (scénario), collection One-shot !, éditions Futuropolis, 76 pages, 2000, ISBN 978-2070788002.

L’histoire : au jardin des plantes à Paris, à une époque assez indéterminée (mais après l’apparition des téléphones portables). Justin, un flic, est accusé par ses collègues de mal faire son travail car il est obnubilé par son amour pour Lili, la vétérinaire de ce jardin. Avec un aide baraqué, elle pratique des opérations loufoques, comme récupéré le chat dans la gueule du tigre. Un jour, un homme décide de s’enfermer avec de la nourriture pour animaux dans la cage près des signes. Qui est-il? Un chômeur au bout du rouleau? Le public afflue, le débat fait rage… jusqu’à ce que la cage, un matin, soit vide et qu’il soit retrouvé mort à proximité.

Mon avis : le dessin fouillé de Tardi, une histoire loufoque de Pennac, mais pour moi, la mayonnaise n’a pas vraiment pris. Je n’ai pas trop mordu à cette BD, même si j’ai passé un assez bon moment à la lire jusqu’au bout. Une BD sur la débauche, le chômage, la manipulation des boîtes de publicité, mais j’aurais préféré des personnages avec plus de profondeur, je pense.

Logo du classement BD de Yaneck Cette BD sera soumise pour le classement du TOP BD des blogueurs organisé par Yaneck / Les chroniques de l’invisible. Mes chroniques BD sont regroupées dans la catégorie pour les BD et par auteur sur la page BD dans ma bibliothèque.

Chaumont-sur-Loire, festival 2010 (17), tennis et oiseaux

Chaumont-sur-Loire, festival 2010, le jardin 18, 1, vue d'ensemble Depuis quelques semaines, chaque jeudi après-midi (quand je ne me trompe pas de date de publication…), je vous emmène à Chaumont-sur-Loire. Je vous rappelle que j’y suis allée avec Jardin zen le vendredi 11 juin 2010.

Je vous parlais la semaine dernière d’un jardin beaucoup moins rigolo que celui-ci sur le thème des oiseaux… Je vous embarque donc dans le jardin n° 18, Le jardin qui chante, créé par Rosalie Zeile et Amalia Besada, paysagistes allemands.

Chaumont-sur-Loire, festival 2010, le jardin 18, 2, les maisons des oiseaux et des chaises d'arbitre Au centre, des nichoirs , plantés dans des parterres fleuris. Sur chaque nichoir, une figure en bois avec l’oiseau dont on peut entendre le chant qui s’échappe du nichoir (quelques uns ne fonctionnaient pas).

Chaumont-sur-Loire, festival 2010, le jardin 18, 3, vue rapporchée Et si l’on monte sur les chaises d’arbitre, nous avons une très jolie vue pour contempler ce jardin, tout en se faisant chatouiller les mollets par les graminées…

Chaumont-sur-Loire, festival 2010, le jardin 18, 4, les arbitres des oiseaux Personne ne résiste à monter… Ah, les petits panneaux solaires sur les nichoirs sont pour le son… La vue depuis ces chaises d’arbitres est vraiment intéressante, rigolo aussi de voir les (rares ce jour là) visiteurs qui se concentrent sur les chants d’oiseau. Les reconnaîtront-ils lors de leur prochaine sortie ?

Si vous souhaitez déjà faire un tour, je vous conseille d’aller sur le site du domaine de Chaumont-sur-Loire, vous y trouverez toutes les informations pratiques et une description de chaque jardin du concours 2010, sur le thème Jardins corps et âmes.

Pour retrouver les articles de 2010 / Jardins corps et âmes :

  • un premier aperçu
  • le premier jardin, Métempsycose , conçu par Timothée Blancpain et Philippe Caillaud
  • le deuxième jardin, Hommage à Lady Day, Anne Zaragoza, Jasper Springeling, Berno Strootman et Matthijs Willemsen
  • le troisième jardin, Ma terre, mater, conçu par Olivier Hostiou, ingénieur paysagiste, Marie Forêt et Laurent Weiss
  • le jardin 4, Signes de vie, conçu par Flavio Pollano et Maurice Kanah
  • le jardin 4 bis, Le Labyrinthe de la Mémoire, de Anne et Patrick Poirier
  • le jardin n° 5, Jardi-nez, conçu par Guylaine Piketty et Sylvie Polo, pas chroniqué
  • le jardin n° 6, le carré des simples, une alchimie du corps à l’âme ?, conçu par Jean-Claude Charlet, Anne Ribes, Elaine Jarvis et Cécile Halley des Fontaines.
  • le jardin 7, jardin de la terre gaste, conçu par Jean-Pierre et Tangi Le Dantec Le Dantec, avec l’aide de Julien Fleischl
  • le jardin 8, Rêverie dans la nature, conçu par Francesca Fornasari et Elisabetta Fermani
  • le jardin 9, rêve de Pantagruel, conçu par Carlotta Montefoschi, Niccolo Cau, Elsa Pandozi, Maria Cecilia Villanis Ziani, Nelda Tripicchio et Ricardo Walker Campos
  • le jardin 10, Un divan au jardin, conçu par Emeline Escats, Raphaël Beuchot, Fanny Perrot, Camille Picot et Leila Si Moussa
  • le jardin 11, Philocephalus Hortus, conçu par François Laborie, Jérôme Fortin, Sibila Jaksic, Alain Cousseran, Philippe Borderieux, Patrick Latour et Alain Weiss
  • le jardin 12, Hortithérapie sensorielle, conçu par Stefano Marinaz, Francesca Vacirca et Daniela Tonegatti
  • le jardin 13, L’arbre à prières, conçu par le collectif First republik
  • le jardin14, Contactez-moi, conçu par Loic Nys, Sébastien Roussel, Cécile Larcher et Sébastien Migné
  • le jardin15, Cupidon s’en fout, conçu par Didier Courant, Phillip Robert, Gilles Pujol, Ronan Séné et Yann Bruneau
  • le jardin 16, Bon thé bon genre, conçu par PiP Partnership – George Richardson et Jules Arthur
  • le jardin 17, Dix pieds sous terre, conçu par Tony Balmé, Ingrid Saumur, David Fabien, Franck Boulanger et Fabrice Ramalinghom,
  • le jardin 18, Le jardin qui chante, conçu par Rosalie Zeile et Amalia Besada
  • le jardin 19, jardin de la terre gaste, conçu par Christophe Marchalot et Félicia Fortuna
  • le jardin 19bis, Main dans la main, conçu par aroline Bourgeois, Virginie Brana, Marie Carayon, Annabelle Guehria, Nicolas Houdin, Christophe Lemoing, Cécile Mercat, Marcos Sampaio et Marie-France Taudière
  • le jardin 20, Le vilain petit jardin de Jean-Michel Vilain, conçu par Arno Denis, Pauline Robiliard et Xavier Coquelet
  • le jardin 21, calligrâme, conçu par Hélène Le Merdy, Michaël Ripoche, Jean-Michel Letellier et Miki Nakamura
  • le jardin 22, Des racines du corps à la bulle de l’âme, conçu Géraldine Gerin-Bougrain, Caroline Foulonneau et Julie Colin
  • le jardin 23, Igloolik ultima, conçu par Julien Lachal, Julie Bernard et Agathe Faure
  • le jardin n° 24, Le creux de la main, conçu par Juliette Berny, Fanny Cassat et Renaud Le Creff
  • le vallon des brumes
  • les oeuvres de Anne et Patrick Poirier
  • les oeuvres de Marc Deneyer, Patrick Blanc, Benoît Mangin et Marion Laval-Jeantet
  • les oeuvres de François Méchain, Rainer Gross, Erik Borja et Simon Crouzet
  • le Bob Verschueren, Karine Bonneval, Marie-Jésus Diaz
  • le Marie Denis
  • Colorès, de Michel Racine et Béatrice Saurel, qui a été complété depuis l’année dernière.
  • et les liens vers les articles des années précédentes

Pas un mois sans petite croix, octobre de Miss Fil

Pas un mois sans petite croix,octobre de Miss Fil Vivent les travaux de coeur d’agglo à Poitiers… lundi un peu avant 9h du matin, un engin a coupé un faisceau de fibres optiques… Depuis, nous n’avons plus d’internet ni de messagerie au bureau, et même si le journal d’hier a dit que le millier de clients était rétabli, c’est faux, quand je suis partie hier soir, il n’y avait toujours aucune liaison… le grand calme, finalement, et le retour à la bibliothèque puisque nos revues locales préférées (genre Bulletin de la société des antiquaires de l’Ouest ou de la société archéologique et historique de la Charente) ne sont plus disponibles sur le site de Gallica, par exemple! Donc, je n’ai pas lu mes messages du bureau depuis vendredi, je pourrai le faire à distance de chez moi (lje suis sous ADSL et pas fibre optique), mais cela implique de diminuer ma sécurité anti-virus pour le certificat de sécurité, ce que je n’ai aucune envie de faire… Je l’ai fait 5 minutes lundi soir, juste pour voir si j’avais une réponse à un message de vendredi, mais n’ai lu que ce mél attendu et me suis vite déconnectée. Aucune idée de quand France Télécom rétablira notre ligne et quelques autres… mais s’ils pouvaient arrêter de mentir en disant que tout est revenu à la normale et préciser très vite le délai de rétablissement de toutes les lignes, ça m’arrangerait… Parce que pas de messagerie, pas d’internet (pour la recherche, ça aide!), pas de pointeuse ( ), … et pas de chauffage! Nous sommes hébergés dans des locaux de l’Etat (ministère de la Culture) qui n’a pas de sous à gaspiller dans l’allumage de la chaudière… et il fait de plus en plus froid dans les bureaux. Vivement la prochaine grève! Edit de midi : la fibre optique est réparée… et nous avons du chauffage au bureau!!!

Pas un mois sans petite croix, janvier à octobre de Miss Fil Sinon, je poursuis le calendrier de 2010 de Miss Fil avec une citrouille pour ce mois d’octobre…

Toutes les étapes de ce SAL :

Octobre, halloween se profile (2 et 3)

SAL octobre de Petite Fée Nougat, deuxième et troisième étape, une chauve-souris et un chaudron En octobre, halloween se profile… Aujourd’hui, je vous montre les deux premières cases proposées par Petite fée Nougat. J’ai choisi la chauve-souris et le chaudron…

Retrouvez toutes les étapes de ces SAL

L’arabe comme un chant secret de Leïla Sebbar

Couverture de l'arabe comme un chant secret de Leila Sebbar pioche-en-bib.jpgJ’ai pris ce livre sur une sélection de livres proposée par la médiathèque… tentée par cette auteure que j’aime bien (je vous ai parlé de Mon cher fils et d’un recueil de nouvelles qu’elle a dirigé, Une enfance algérienne). Il fait partie de la sélection des passeurs de monde(s) 2010 sur le thème Péninsules & Méditerranée(s). (avec de nombreuses lectures dans toute la région la semaine du 13 au 22 octobre).

Le livre : L’arabe comme un chant secret, récit, deuxième édition augmentée de Leïla Sebbar, éditions Bleu Autour, 2010, 111 pages, ISBN 978-2-35848-015-4 (première édition en 2007).

L’histoire : ce livre regroupe plusieurs textes de l’auteure sur un même thème. Née en 1941 d’un père algérien et d’une mère française (de Dordogne, dans la vallée de la Dronne), tous deux instituteurs, elle a été élevée dans la langue française, coupée de la langue de son père, qu’elle ne parle et ne comprend pas, mais en reconnaît la musicalité. Pourquoi son père a refusé qu’elle apprenne sa langue, celle des autres enfants dans la cour, dehors? Elle aborde aussi le rapport à la laïcité, l’impossibilité de parler de cette question avec son père, même après le retour en France et une fois devenue écrivain…

Mon avis : de beaux textes sur le rôle de la langue, de la double culture interdite, du colonialisme, de « l’intégration » ou plutôt de la désintégration de la culture d’origine, du non-dit avec le père, de la colère de la mère face à ce reproche de l’avoir coupée de ses racines, de la famille de son père…

Le Grand-Rond à Toulouse (6) : le David de Mercié

Le David vainqueur de Goliath de Mercié, au Grand-Rond de Toulouse, carte postale ancienne À Toulouse, en plus de Jeanne d’Arc et de Gloria Victis (en plus de ce dont je vous ai parlé, il y a aussi ce tirage à Châlons-en-Champagne) , vous pouvez découvrir cette très célèbre œuvre de Marius Jean Antonin dit Antonin Mercié (Toulouse 1845- Paris 1916), grand prix de Rome en 1868 avec Thésée vainqueur du Minotaure, vous pouvez découvrir David vainqueur de Goliath, créé en 1870 à Rome et présenté au salon des artistes français de 1872 sous le n° 1786 (page 277 du catalogue, attention il est précédé d’une présentation des artistes en pagination romaine, Mercié se trouvant page LXXIII). Il reçut pour ce David une médaille de première classe et présenta aussi un buste de Dalila en bronze sous le n° 1787. Le modèle original en plâtre est actuellement conservé au musée des Augustins à Toulouse, où l’État l’a déposé en 1874 (vous pouvez aussi découvrir une photographie du plâtre présenté au salon de 1874). À côté de lui, vous découvrirez un tirage en bronze de presque 2 m de haut. Si vous habitez ou passez à Paris, vous pouvez en découvrir un autre tirage au musée d’Orsay. Il y en a également beaucoup d’autres tirages dans toute la France, cette œuvre ayant été présentée comme la promesse de la future victoire de la France (David) sur l’ennemi prussien (Goliath), notamment lors de l’exposition universelle du Luxembourg en 1878. Mais si vous voulez (re)découvrir l’histoire de David et de Goliath, il y a un petit résumé sur dans le dossier pédagogique de l’œuvre au musée des Augustins (ah quelle époque sanglante… Qui plaignez vous le plus, Goliath ou saint Jean-Baptiste, dont la tête fut tranchée sur ordre d’Hérode après la danse de Salomé ?). Ce groupe sculpté de David vainqueur de Goliath a été vendu sur catalogue en six formats différents par le fondeur Barbedienne.

David est représenté comme un jeune homme nu, debout, posant le pied droit sur la tête de Goliath qu’il a vaincu. Il tient une épée dans la main droite, qu’il remet dans son fourreau tenu de la main gauche. Il est gracile, élégant, tête nue, avec un léger déhanchement.

Le David vainqueur de Goliath de Mercié, au Grand-Rond de Toulouse, copie, vue générale Sur l’exemplaire présenté actuellement au Grand-Rond (une copie), cette épée est fracturée et le bras gauche cassé.

Le David vainqueur de Goliath de Mercié, au Grand-Rond de Toulouse, copie, tête de GoliathVoici de plus près la tête disproportionnée de Goliath…
Le David vainqueur de Goliath de Mercié, au Grand-Rond de Toulouse, copie, le socle … et un détail du socle.

Pour information, suite à de nombreux actes de vandalisme, la ville de Toulouse a remplacé la plupart de ses statues dans les lieux publics par des copies, et mis à l’abri les originaux…

Les autres articles sur le Grand-Rond : le jardin et le kiosque (avec cartes postales anciennes) ; la chienne et la louve de Rouillard, le monument à Clémence Izaure ou les gloires de Toulouse (détruit).

Merci Virjaja, Capucine et Véro bis

Envoi de Capucine O, octobre 2010, 1, une ATC de fin d'été Tout d’abord, je vous invite à aller lire un article publié par la photographe Raphaël Colombi, qui a réussi l’exploit de réaliser une longue interview de mon père et de le faire parler sur une de ses réalisations! Vous pouvez aussi retrouver Raphaële Colombi sur le blog trottoir bleu… Ah, je pensais vous avoir montré une de ses photographies, que mon père m’avait offerte, mais je vous en ai parlé ici, sans vous montrer de photographie… Il faudra que je reprenne en photo mon mur de salon (celui sans bibliothèque…), un de ces jours…

Avant de passer aux photographies des envois reçus la semaine dernière, un grand merci à toutes ceux et celles qui m’ont souhaité un bon anniversaire hier! Je ferai un petit article dans la semaine… Il va falloir que j’augmente les étrennes de mon gardien d’immeuble, LOL!

Capucine O m’a envoyé deux grosses enveloppes à quelques jours d’intervalle… D’abord, une jolie fleur colorée au crochet, histoire d’illuminer l’automne… (je vais l’utiliser en marque-page).

Envoi de Capucine O, octobre 2010, 2, des cartes à publicité à dominante noire Des cartes à publicité sympathiques, une première série avec beaucoup de noir…

Envoi de Capucine O, octobre 2010, 3, des cartes à publicité colorées Des cartes à publicité très colorées… quelles tentations, tous ces spectacles sur Paris…

Envoi de Capucine O, octobre 2010, 4, de grandes cartes … et dans un autre envoi, des cartes de grande dimension (à peu près format A5), toutes très esthétiques.

Envoi de Virjaja en octobre 2010, la naissance du rocher de Palmer en cartes à publicité Virjaja me signale, avec une carte de Bordeaux, l’ouverture d’un nouveau lieu culturel, le rocher de Palmer à Cenon en Gironde. Je vous invite à visiter leur site internet, cela semble très prometteur, cette scène numérique des cultures du monde !

Envoi de Véro Bis, octobre 2010, 1, des cartes à publicité diverses Véro bis m’envoie aussi plein de cartes à publicité de sa région. J’ai un très gros faible pour celle que j’ai mise en haut à gauche, sur la politique culturelle de la ville de Tours. Un grand bravo au graphiste, qui a aussi décliné une série d’affiches, m’a dit Véronique.

Envoi de Véro Bis, octobre 2010, 2, des cartes à publicité à dominante rose mauve Dans une autre série, le rose/mauve semble à la mode!

Noël par Défi de toile (7)

SAL de noël de Défi de toile, la septième étape La semaine prochaine, je serai à l’université d’automne des professionnels de la médiation du patrimoine roman, sur le thème des cultes, déplacements et lieux de pèlerinage, organisée par la Région Poitou-Charentes avec le centre de culture européenne de Saint-Jean-d’Angély, le réseau des villes d’art et d’histoire de Poitou-Charentes, le rectorat de Poitou-Charentes, etc. Si vous êtes intéressés, cela a lieu à Pons, Saintes et Saint-Jean-d’Angély du 18 au 20 octobre 2010, il est encore (juste) temps de vous inscrire, plus d’informations à partir de la page d’accueil du service régional de l’inventaire du patrimoine culturel.

Pour cette septième étape du SAL de noël proposé Défi de toile, il s’agissait de broder le mot Christmas (pour la version en anglais que j’ai choisie)… Je vais surligner les textes en écru d’un fil plus contrasté…

SAL de noël de Défi de toile, les sept premières étapes Toutes les étapes de ce SAL :