L’été se prête bien à la lecture de polars… Après Cadavre X de Patricia Cornwell mardi, voici un autre livre paru bien plus récemment. J’ai aussi parlé ici, il y a un an, de À genoux, du même auteur.
Le livre : Le verdict du plomb, de Michael Connelly, éditions du Seuil, traduit de l’anglais par Robert Pépin, 458 pages, 2009, ISBN9782020860901.
L’histoire : Los Angeles. 1992. Le procureur Jerry Vincent fait une boulette dans un procès, en faisant témoigner un détenu non fiable contre un autre, l’avocat Mickey Haller s’engouffre dans la brèche… Après ce procès, il a dû abandonner son poste, mais n’a pas perdu au change, financièrement, en devenant avocat de la défense. Sauf qu’il vient d’être assassiné hier, et que toutes ses affaires reviennent à Mickey Haller, qui n’a pas travaillé depuis plus d’un an, blessé lors d’une affaire précédente (voir La Défense Lincoln, du même auteur). Et l’ordinateur portable qui contenait la documentation sur ses affaires en cours a aussi disparu. Parmi la trentaine d’affaire en cours de Jerry Vincent, un gros procès dans lequel Walter Elliot, magnat du cinéma, est accusé d’avoir assassiné sa femme et son amant pris en flagrants délits d’adultère. Comment Mickey Haller va-t-il s’en sortir avec cette défense qu’il doit reprendre sur le champ et dont le procès commence dans une dizaine de jours ? Quant au héros récurrent de la série, Harry (Hieronimous) Bosch, c’est lui qui est chargé de l’enquête sur le meurtre de Jerry Vincent… Lequel de ses clients, présents ou passés, a pu s’en prendre à lui ?
Mon avis : Pas mal, même si je regrette le temps où Bosch était au centre des récits de Connelly. Pas un grand polar, mais agréable à lire par un week-end gris comme la semaine dernière…
Lundi soir, je suis allée au cinéma voir l’avant-première de Adieu Gary de Nassim Amaouche, précédé d’une projection d’un court métrage, De l’autre côté, réalisé en 2003 dans le cadre de ses études et qu’il avait présenté aux
Cela faisait une éternité que je n’étais pas allée au cinéma. L’autre jour, pour me détendre au frais, je suis allée voir Jeux de pouvoir de Kevin Macdonald. L’histoire est adaptée d’une série télé anglaise. Le scénario tourne autour d’une commission d’enquête sur la privatisation de l’armée et des forces de sécurité (y compris intérieure) aux États-Unis. Une grosse multinationale s’en met plein les poches… Deux morts dans une course poursuite, une assistante de a commission qui se jette sous le métro (mais s’est-elle jetée ou a-t-elle été aidée ?). L’enquête est menée par un journaliste du Washington globe et une de ses jeunes collègues qui a en charge un des blogs du journal. Une enquête bien ficelée, un film plein d’actions sans effets spéciaux à gogo. J’ai aussi adoré la scène finale, pendant le générique… une super idée que je vous laisse découvrir au cinéma ! Un bon moment de détente, pas un grand film de cinéma d’auteur…
début de soirée, je suis allée voir Les étreintes brisées, de Pedro Almodóvar. De toute façon, pas beaucoup de choix en ce moment au TAP-cinéma : cette semaine, Almodovar à toutes les séances, et la semaine prochaine, en alternance avec Looking for Eric de Ken Loach… D’habitude, nous avons le choix entre 5 ou 6 films…
Ce soir, je suis allée voir Dans la brume électrique de Bertrand Tavernier (depuis, j’ai aussi vu
Jeudi soir, je suis allée voir Nulle part, Terre promise, en présence du réalisateur, Emmanuel Finkiel, qui a reçu en 2008 le prix Jean Vigo.
Dans le cadre du festival Voix publique à Poitiers,
Après un après-midi sans électricité (le quartier où je travaille a connu une grosse panne, impossible de travailler dans la pénombre, sans ordinateur, sans réseau, sans téléphone, …), je rentre juste du cinéma, oui, encore, lundi, j’y suis déjà allée pour