Top BD des blogueurs, octobre 2013

Logo du top BD des blogueurs 2013Le classement du TOP BD des blogueurs proposé par Yaneck / Les chroniques de l’invisible du mois d’octobre est arrivé… merci à lui pour ces savants calculs et cette organisation. Il y a eu beaucoup de changements ce mois-ci, voir ses commentaires dans son article!

Comme d’habitude, en gras, les albums que j’ai chroniqués ici…

1- (N) Ma Révérence, 19, Wilfrid Lupano, Rodguen, Delcourt
2- (=) Le journal de mon père, 18.67, Jiro Taniguchi, Casterman
3- (=) Maus 18.66, Art Spiegelmann, Flammarion, j’ai parlé ici du tome 1 : mon père saigne l’histoire, et du tome 2, Et c’est là que mes ennuis ont commencé
4- (=) Un printemps à Tchernobyl 18.63, Emmanuel Lepage, Futuropolis, voir mon avis
5- (N) Punk Rock Jesus 18.58, Sean Murphy, Urban Comics
6- (=) Persépolis 18.55, Marjanne Satrapi, L’Association
7- (=) Asterios Polyp 18.5, David Mazzuchelli, Casterman
8- (+) Le loup des mers 18.5, Riff Reb, Soleil
9- (=) Idées Noires 18.5, Franquin, Fluide Glacial
10- (=) NonNonBâ 18.5, Shigeru Mizuki, Cornélius
11- (=) Daytripper 18.46, Fabio Moon, Gabriel Ba, Urban Comics
12 (=) Tout seul 18.38, Christophe Chabouté, Vents d’Ouest
13- (=) Le sommet des dieux 18.33, Yumemuka Bura, Jirô Taniguchi, Casterman, Tome 1,Tome 2,Tome 3, Tome 4, Tome 5.
14- (+) Universal War One 18.33, Denis Bajram, Soleil, Tome 1, Tome 2, Tome 3, Tome 4, Tome 5, Tome 6.
15- (N) Pendant que le roi de Prusse faisait la guerre, qui donc lui reprisait ses chaussettes? 18.33, Zidrou, Roger, Dargaud
16- (=) Grandville 18.3, Bryan Talbot, Milady Graphics, Tome 1, Tome 2,
17- (=) Portugal 18.27, Cyril Pedrosa, Dupuis
18- (=) Les derniers jours de Stefan Sweig 18.25, L. Seksik, G. Sorel, Casterman
19- (=) V pour Vendetta 18.22, Alan Moore, David Lloyd, Delcourt
20- (=) Le Grand pouvoir du Chninkel 18.19, Van Hamme, Rosinski, Casterman
21- (-) Rouge Tagada 18.13, Charlotte Bousquet, Stéphanie Rubini, Gulf Stream Editeur
22- (=) Les ignorants 18.12, Etienne Davodeau, Futuropolis, je l’ai aussi beaucoup aimé
23- (N) Revenants 18.08, Olivier Morel, Maël, Futuropolis
24- (=) Il était une fois en France 17.98, Fabien Nury, Sylvain Vallée, Glénat, Tome 1, Tome 2, Tome 3, Tome 4, Tome 5,Tome 6.
25- (=) Habibi 17.95, Craig Thompson, Casterman
26- (=) Abélard 17.92, Régis Hautière, Renaud Dillies, Dargaud, Tome 1, Tome 2.
27- (=) Gaza 1956 17.92, Joe Sacco, Futuropolis, voir mon avis : Gaza 1956
28- (+) Trois Ombres 17.9, Cyril Pedrosa, Delcourt
29- (=) Herakles tome 1 17.88, Edouard Cour, Akiléos
30- (+) Saga 17.88, Bryan K. Vaughan, Fiona Staples, Urban Comics, Tome 1, Tome 2,
31- (=) Une métamorphose iranienne 17.87, Mana Neyestani, Editions Ca et là
32- (=) Pinocchio 17.85, Winschluss, Les Requins Marteaux
33- (=) Manabé Shima 17.83, Florent Chavouet, Editions Philippe Picquier
34- (-) Scalped 17.83, Jason Aaron, R.M. Guerra, Urban Comics, Tome 1, Tome 2, Tome 3, Tome 4, Tome 5, Tome 6, Tome 7,
35- (=) L’histoire des trois Adolf, 17.75, Osamu Tezuka, Tonkam
36- (+) Blankets 17.73, Craig Thompson, Casterman
37- (-) Les enfants de Jessica tome 1 17.73, L. Brunschwig, L. Hirn, Futuropolis
38- (=) Calvin et Hobbes, 17.7, Bill Watterson, Hors Collection, Tome 1, Tome 2, Tome 15, tome 17,
39- (+) Les seigneurs de Bagdad 17.7, Brian K. Vaughan, Niko Henrichon, Urban Comics
40- (=) Holmes 17.69, Luc Brunschwig, Cecil, Futuropolis, Tome 1, Tome 2, Tome 3.
41- (=) Urban 17.69, Luc Brunschwig, Roberto Ricci, Futuropolis, Tome 1, Tome 2,
42- (+) La petite famille 17.67, Loïc Dauvillier, Marc Lizano, Editions de la Gouttière
43- (=) Anjin-san 17.67, Georges Akiyama, Le Lézard Noir
44- (=) Lorenzaccio 17.67, Régis Peynet, 12 Bis
45- (=) Alice au pays des singes 17.62, Tébo, Nicolas Keramidas, Glénat
46- (=) Voyage aux îles de la Désolation 17.58, Emmanuel Lepage, Futuropolis
47- (+) Elmer 17.58, Jerry Alanguilan, Editions Ca et là
48- (=) Moi, René Tardi, prisonnier au Stalag IIB, 17.58, Tardi, Casterman
49- (=) L’enfant cachée 17.56, Loïc Dauvillier, Marc Lizano, Le Lombard
50- (=) Pyongyang 17.55, Guy Delisle, Delcourt, j’en ai parlé ici

Une boîte pour ranger les timbres…

Une boîte à timbres, avant et après...Je poursuis dans ma phase de rangement… Après la reprise des meubles en carton et les boîtes diverses, j’ai choisi de décorer une autre boîte (15,5 cm de côté, 9 cm de haut). Quand je reçois de beaux timbres, je les garde le plus souvent, pour les ré-utiliser dans des collages, des ATC ou autre…

Boîte à timbres, vue de côtéUne première couche de papier blanc, quelques (dizaines) de timbres, de la colle à papier peint, et voilà, l’affaire est faite!

Le monument aux morts de Saint-Jean-d’Angély (du sculpteur Albert Bartholomé)

Le monument aux morts de Saint-Jean-d'Angély par Albert bartholomé, vues de face et de dos

Pour son monument aux morts, la ville de Saint-Jean-d’Angély a choisi, comme Cormeilles-en-Parisis (Val-d’Oise), une œuvre que le sculpteur Albert Bartholomé (Thiverval-Grignon, 1848 – Paris, 1928, à découvrir sur sa photographie conservée au musée d’Orsay) a adaptée en 1920 à partir de la Gloire pour le monument à Jean-Jacques Rousseau au Panthéon, commandé en 1907 et inauguré en 1912. Sur le plâtre préparatoire daté de 1910 conservé au musée d’Orsay, la Gloire, tête nue, fait face à la Musique. Elles encadrent un relief  avec les allégories de la Vérité, la Philosophie et la Nature. Pour le monument aux morts, il a simplement ajouté une couronne civique sur les cheveux de l’allégorie.

Le monument, érigé en 1921 par l’architecte Ventu dans le jardin public à l’angle des avenues du Port-Mahon et du Général-Leclerc (pas très loin du monument à Audouin-Dubreuil), se compose d’une large stèle en pierre de taille, portant l’inscription « La ville de Saint-Jean-d’Angély à ses enfants morts pour la patrie, 1914-1918 » et la liste des morts pour la France de la première guerre mondiale, surmontée de la sculpture en bronze. L’entourage avec la grille a été ajouté un peu plus tard, en 1924, sur un dessin de l’architecte André Guillon, et des plaques avec les morts de 1939-1945 ont été apposées de part et d’autre, puis sur les petits côtés, ceux des autres victimes de guerre.

Le monument aux morts de Saint-Jean-d'Angély par Albert Bartholomé, la gloire de face et de trois quarts,

La Gloire, variante de l’allégorie de la République, se tient debout, pieds nus, le bras gauche en appui sur une exèdre (une sorte de banc un peu élevé). Elle est vêtue d’une longue robe moulante, épaule gauche dénudée. Elle présente dans sa main droite, levée dans un mouvement très souple, une couronne végétale.

Pour aller plus loin : voir Charlotte Pon-Willemsen, Les allégories de la République sur les monuments aux morts en Poitou-Charentes, Parcours du Patrimoine, n° 342. Geste éditions, 2008, p. 26.

Photographies d’octobre 2010.

Mon anniversaire 2013 par Cloeti

Mon anniversaire 2013 par Cloeti, carte et plaque d'atelierJ’ai été superbement gâtée pour mon anniversaire par Cloeti… Allez vite lui rendre visite, elle mène en ce moment de nombreux jolis projets de broderie en simultané!

Mon anniversaire 2013 par Cloeti, plaque d'atelierUne superbe broderie dans de jolis coloris avec une finition parfaite, cette enseigne « atelier de brodeuse » (22 cm de large) a trouvé sa place sur la porte de ma chambre d’amis/atelier en cours de rangement… Je vous montre des photographies quand j’aurai terminé, en attendant, vous pouvez déjà voir mon meuble en carton pour le rangement des tissus avec son nouvel habillage, je n’ai pas encore refixé le rideau brodé ni accroché les petites merveilles qui doivent orner son côté visible en entrant…

Un très grand merci à toi, Cloeti!

Réaménagement de mon sur-meuble à bandes dessinées…

Au fil des années, mon étagère en carton pour mes BD créé en 2008 avait tendance à basculer un peu vers l’avant…

J’ai choisi de réaliser des cales en carton à glisser verticalement dans l’espace entre le haut de l’étagère et le plafond… C’était sans compter sur quelques millimètres de décalage dans les collages (alternant les cannelures du carton positionnées verticalement et horizontalement, pour plus de résistance), impossibles de les passer comme j’avais prévu… Du coup, je les ai séparées positionnées à l’horizontale. Le rattrapage est satisfaisant, au moins pour l’instant…

Une petite bande de carton recouverte de papier maison blanc, et voilà, cela à meilleure allure… et moins de risque de bascule!

Sur le chemin de l’école de Pascal Plisson

Affiche du film Sur le chemin de l'école de Pascal PlissonSortie cinéma dimanche avec un documentaire, Sur le chemin de l’école de Pascal Plisson.

La présentation officielle du film : Les destins de quatre enfants, prêts à relever tous les défis pour aller à l’école et ainsi changer de vie. Parmi ces héros du quotidien, il y a Zahira, une jeune marocaine, qui chaque semaine, emprunte un chemin long, sinueux et dangereux pour quitter les monts de l’Atlas où vivent ses parents et pour rejoindre l’école. Trois enfants comme elle tentent l’aventure, bravent mille difficultés, car chacun est conscient que l’éducation leur assurera un avenir meilleur. Certains se déplacent à pied, à vélo ou à cheval, d’autres en pirogues, en bus, en train ou en traîneau…

Mon avis : bon, la présentation n’est pas vraiment le contenu du film, il s’agit non pas de quatre enfants, mais de quatre groupes d’enfants qui vont à l’école, trois filles d’un même village de l’Atlas au Maroc, qui traversent les montagnes à pied chaque semaine, un frère et sa sœur au Kenya, deux heures de marche (15 km, donc à un bon rythme… plus course que marche) à travers la savane en slalomant entre les éléphants, un autre frère et sa sœur à cheval en Amérique-du-Sud, deux frères en Inde qui poussent, tirent quotidiennement sur 4,5 km leur frère dans un antique fauteuil roulant. Tous se démènent pour aller à l’école, arriver à l’heure ou pas trop en retard malgré les embûches du trajet, tous restent des enfants (quelques beaux moments saisis au vol), désespèrent parfois (mal aux pieds, roue cassée du fauteuil roulant, etc.), aident leurs parents de retour chez eux. Un documentaire poignant, même si certains propos des parents (ou la grand-mère marocaine) peuvent sembler trop « mis en scène » (bénédictions, discours sur « travaille bien pour sortir de la misère)…

Une quiche aux légumes de fin d’été…

Une quiche aux légumes de fin d'étéAvec le printemps tardif et l’automne qui est encore assez doux, les légumes d’été (poivrons, tomates) jouent les prolongations au marché (j’ai aussi encore des tomates cerises sur le balcon) et côtoient les courges et autres choux sur les étals… Au gré de mon aspiration, j’ai préparé cette quiche… pas très dorée, j’ai mis un œuf de moins que d’habitude quand j’ai vu que l’appareil allait déborder de la tourtière!

Les ingrédients:

– une pâte brisée (maison, mais vous pouvez en prendre une toute faite), avec du papier sulfurisé, c’est plus facile à démouler…
– deux gros oignons jaunes
– deux grosses tomates
– 250g de champignon de Paris frais
– 1 poivron vert
– un peu de fromage (ici bleu d’Auvergne)
– matière grasse (au choix, huile, beurre)
– moutarde

Et pour l’appareil à quiche:

– 3 œufs (enfin, cette fois-ci, je n’en ai mis que 2)
– 250 ml de lait (si vous préférez, vous pouvez mettre de la crème, je préféré la version plus légère)
– (sel), poivre, muscade

La recette

Faire revenir dans une poêle les oignons émincés, jusqu’à ce qu’ils soient colorés (pas complètement cuits) dans un peu d’huile ou de beurre (une petite dizaine de minutes), précuire 5 à 10 minutes les tomates coupées en rondelles, les champignons émincés et le poivron coupé en lanières.

Laisser les légumes s’égoutter une demi-heure sur une assiette, ça évite au fond de tarte de se détremper.

Étaler la pâte à tarte, la foncer dans la tourtière, l’enduire d’un peu de moutarde. Disposer  les mettre sur le fond de tarte les légumes, j’ai choisi de mettre dans l’ordre les oignons puis les tomates, les champignons et les lanières de poivron. Parsemer de fromage.

Préparer l’appareil à quiche (mélanger le lait, les œufs, le sel, le poivre, la muscade) et le verser sur la tarte

Enfourner 30 à 35 minutes dans un four chaud (je mets 10 minutes thermostat 8 puis 25 minutes thermostat 7, mais vous connaissez votre four, faites comme vous avez l’habitude pour vos tartes et quiches)…

 

Amie de ma jeunesse d’Alice Munro

pioche-en-bib.jpgCouverture de  	Amie de ma jeunesse d’Alice MunroAlice Munro vient de recevoir le prix Nobel de littérature (2013). Je l’ai donc choisie pour ma lecture du premier lundi du mois, un livre emprunté à la médiathèque.

Le livre : Amie de ma jeunesse d’Alice Munro,
traduit de l’anglais (Canada) par Marie-Odile Fortier-Masek, collection les grandes traductions, éditions Albin Michel [j’ai mis le lien sur l’édition poche chez Rivages, l’ouvrage n’est plus au catalogue d’Albin Michel], 1992, 284 pages, ISBN 978-2226056734.

L’histoire : le livre rassemble dix nouvelles assez intemporelles, celle qui ont des repères de temps se situent dans les années 1950, la plupart en Ontario, d’autres en Europe ou à bord d’un bateau. Beaucoup d’histoires de femmes. Flora qui a eu une vie compliquée et soumise (Amie de ma jeunesse), Bugs qui se meurt sur un cargo en route pour l’Europe (Grâce et Bonheur), Hazelqui part sur les traces d’une vieille tante de son défunt mari en Écosse, où, soldat pendant la guerre, il aurait connu la fille de l’hôtel (Serre-moi contre toi, ne me laisse pas aller), Almeda, une poétesse dans la deuxième moitié du 19e siècle, qui aurait pu épouser son voisin avec qui elle retrouve un jour une femme ivre-morte (Meneseteung), etc.

Mon avis : la plupart des nouvelles mettent en avant les souvenirs des narrateurs ou personnages principaux des nouvelles, souvent en Ontario, des personnes immigrées d’Écosse, avec un poids important de la religion, qui n’empêche pas l’adultère ou l’avortement. Des nouvelles au texte très travaillé, souvent assez longues (une trentaine de pages denses en moyenne), que j’ai ressenties comme des variations d’un même thème même si elles se passent dans des lieux et des époques qui s’étendent sur un siècle en gros.

Un anniversaire automnal, merci Milkinise!

La carte scrappée automnale pour mon anniversaire 2013Pour mon anniversaire, Milkinise / Anne-Lise a choisi de décliner les couleurs de l’automne avec cette très jolie carte scrappée! Promenons-nous dans les bois… et cette fois, ça y est, les feuilles commencent à tomber!Mais les écureuils se cachent toujours…

Un papillon en origami de tissu aux couleurs automnales pour mon anniversaire 2013J’adore le papillon en origami de tissus également aux tons de l’automne, une bonne idée d’adapter un modèle du papier au tissu! Je pense qu’il va vite aller rejoindre le nouveau sac que j’envisage de me faire très bientôt, avec un jean récupéré… Chut, ça va venir bientôt, le projet est en train de mûrir, réflexion sur les poches externes et internes nécessaires, etc. Un grand merci à Milkinise / Anne-Lise, et n’hésitez pas à aller lui rendre visite sur son blog!

Vous cherchez le basptistère? Toujours des problèmes de relecture de panneaux à Poitiers…

Panneau signalant la direction du bapstistère Saint-Jean à Poitiers, 26 octobre 2013La ville de Poitiers continue à « améliorer » sa signalétique. Après les plaques de rue (revoir les coquilles multiples, liste en fin d’article) et la pose de panneaux d’orientation où le nouveau viaduc Léon-Blum restera pour longtemps encore le viaduc des Rocs, les flèches pour les piétons sont petit à petit remplacées, parfois avec une orthographe curieuse, comme ce panneau signalé la semaine dernière (26 octobre 2013) par Arnaud Clairand à l’angle de la rue de la Cathédrale et de la rue du Marché, où l’on peut lire « basptistère »… Bon, c’est un mot compliqué, non, le baptistère? Je ne relève même plus la grande pagaille sur les traits d’union… et je ne sais pas ce que veut dire « musée-baptistère ». Cela indique le musée lapidaire dans le baptistère? Le musée Sainte-Croix voisin regroupé sur le même panneau?

[Poitiers, panneau vandalisé avec la flèche Basptistère, 4 novembre 2013PS: oups, dès le week-end suivant la parution de cet article, le panneau a été vandalisé et les flèches arrachées, photographie du lundi 4 novembre 2013].

Poitiers, un panneau qui indique aux piéton la mauvaise direction pour rejoindre l'église Saint-Jean-de-MontierneufSi la ville devait commander d’autres panneaux à l’occasion des corrections nécessaires, j’ai quelques suggestions de changements à aire… En bas de la rue de la Chaîne, depuis des années, le piéton est envoyé à l’église (et pas Montierneuf comme signalé sur les panneaux anciens et nouveaux) par le chemin des écoliers… plus exactement par la rue des trois-Rois à gauche alors que l’église est juste en face, par la rue Jean-Bouchet…

Poitiers, panneau signalant le ministère des affaires culturellesaffaire_culturelleJe ne pense pas que le siège du « ministère des affaires culturelles » ait jamais été situé à Poitiers (panneau dans la Grand-Rue)… de toute façon, c’est ministère de la Culture (et de la communication) depuis longtemps, et il vaudrait mieux signaler la Direction régionale des Affaires culturelles (dans l’hôtel de Rochefort qui a aussi le droit à une flèche), service déconcentré de l’Etat… tant qu’elle existe encore, pas gagné avec toutes ces coupes budgétaires actuelles!

Poitiers, panneau avec un curieux logo des monuments historiquesIl existe encore des panneaux avec des logos fantaisistes pour signaler les monuments historiques, vaguement la bonne couleur (ici à l’angle de la rue Jean-Jaurès et de la rue Arsène-Orillard)…

Panneau avec le bon logo des monuments historiques… mais pas le motif officiel (depuis des dizaines d’années) du labyrinthe.

Il y aurait encore beaucoup d’autres suggestions, mais cela suffit pour aujourd’hui.

Pour revoir la « saga des nouvelles plaques de rue »:

rues Renaudot et Carnot (anciennes rues des Hautes Treilles, des Trois Piliers, des halles),

– rue de Blossac (corrigée en février 2013)

rues Montgau(l)tier et du Souci(s),toujours du scotch sur le s de souci, mais la rue Montgautier a été corrigée

rue des frères Lumière(s) et cité de la Traverse, les Lumières ont enfin perdu leur S (voir ici la plaque corrigée)

– la rue Sainte-Radegonde scotchée

– les rues Scheurer-Kestner (sans C), Augouard, Foch (corrigée en février 2013)

– et Philippe de Tout Poitiers en a trouvé une excellente pour la rue de la Cueille aigüe / aiguë / aigüë!