Archives de l’auteur : Véronique Dujardin

Col trop large puis pas assez…

Dans la foulée de mon dernier article sur mon pullover gris de mi-saison, (revoir mon  nouveau pullover, les manches avec le corps) je l’avais terminé mais je trouvais que le col était trop large. Nous étions en plein été et il faisait trop chaud, pas le courage d’attaquer du tricot!

Il y a une quinzaine de jours, j’ai attaqué le taureau par les cornes, ou plutôt le col façon Pénélope… Mais en Pénélope mal organisée et fainéante, j’ai compté le nombre de mailles à enlever (une vingtaine)… au lieu de compter celui qu’il fallait garder (ça faisait beaucoup plus à compter!), pensant que je verrai toujours les mailles relevées, mais que nenni! J’étais alors avec Maryse, et n’avais pas non plus pris le modèle de Passion tricot n° 3 (4e trimestre 2015). Je relève donc approximativement, commence 5 tours en côtes torses aiguilles circulaires 4, puis 5 rangs en 3,5. Je trouve alors que ça semble large, et décide de terminer avec mon jeu de quatre aiguilles 2,5. Je ferme, ça ne passe pas, je refais le rang de finition plus lâche, ça ne passe toujours pas, je redémonte le rang de finition et le remplace par un fil… et là, oups! ça ne passe pas non plus ;-(

Je démonte donc les 5 rangs les plus fins, remets un fil (grrr! il faut remonter ensuite les mailles), ouf, ça passe! Je remonte 5 rangs sur les aiguilles circulaires 3,5, puis décide d’ajouter encore 3 rangs. Je referme avec les mêmes aiguilles et… la tête ne passe à nouveau plus! Je redémonte le dernier rang, ferme avec des aiguilles 4, et ouf, la tête passe et le col n’est pas trop large!

Merci à Maryse et à N… pour les photos!

Le quartier de la cathédrale de Poitiers illuminé

Pour une semaine et jusqu’au 21 décembre 2017 de 18h à 22h, en complément des polychromies sur la façade de Notre-Dame-la-Grande, la ville de Poitiers a commandé au Kolektif Alambik la projection d’images sur les façades de la cathédrale, du baptistère Saint-Jean et du musée. Vous pouvez voir les polychromies de Notre-Dame de 18h à 18h30, puis descendre la grand’rue accompagné d’un guide et regarder la quarantaine de tableaux sur la cathédrale et autant sur le baptistère et la façade du musée… Compter une grosse demi-heure pour chacune des deux séries si vous voulez tout voir. L’ambiance est très agréable, alterne des mises en lumière colorées…

… géométriques …

… ou en lien avec le décor de la cathédrale, ici une représentation simplifiée de la crucifixion de saint Pierre du grand vitrail central, vous en découvrirez d’autres, ainsi qu’une jolie proposition avec le labyrinthe. Le tout est accompagné de musique classique et de bruitages (sonneries de cloches – en plus des vraies cloches de la cathédrale -, sabots de chevaux sur des pavés, etc.).

Mêmes ambiances (images, pas de son) sur les façades du baptistère et du musée…

Une version « urbaine »…

… et une autre plus « graphique » / BD!

Dommage que les voitures ne soient pas averties, c’est d’ailleurs pour cela qu’à la fin des années 1990, les images projetées avec les peintures murales du baptistère avaient été arrêtées. Malgré la diminution du trafic avec cœur d’agglomération, cœur de pagaille…, vendredi soir, une voiture a freiné pour laisser passer un piéton sur le passage protégé, alors que le taxi qui la suivait de trop près accélérait dans la montée et s’est arrêté dans un grand crissement de pneu à quelques centimètres de son pare-choc.

Des paillettes pour les fêtes de Noël

Aujourd’hui, c’est au tour de Maryse de partager ses réalisations avec vous… Snoods et serre-tête (bandeau) au bout de ses aiguilles!

Des paillettes pour les  fêtes de Noël

Quelques petits cadeaux prévus pour les fêtes.

Une fois n’est pas coutume, j’ai choisi de la laine Phildar pailletée, Phil diamant, à laquelle j’ai ajouté la laine Phil light pour l’adoucir et lui donner un peu de moelleux. D’autre part, n’étant pas très « paillettes », j’ai trouvé que l’aspect mohair de la Phil light atténuait légèrement le brillant.

À la Phil diamant noire, j’ai joint la Phil light écrue. À la Phil diamant rose j’ai ajouté la Phil light rose poudré et à la Phil diamant caramel, la Phil light beige clair.

J’ai donc fait un double snood noir avec des torsades et le serre-tête assorti…

… un snood rose simple mais large avec 3 torsades centrales et un snood beige au point de blé.

Le snood rose étant assez large, je l’ai cousu dans le sens de la longueur pour en faire un tour de cou très doux et très confortable.

Pour chaque cadeau j’ai utilisé une pelote de chaque ou presque, car il reste toujours de la Phil light: soit 8€ environ, ce qui fait des cadeaux pas très chers.

Sur les photos on ne voit pas bien l’aspect brillant, dommage.

Chatons violents, d’Océanerosemarie

Ma saison 2016-2017 au théâtre et auditorium de Poitiers / TAP se poursuit avec Chatons violents, d’Océanerosemarie, mis en scène par Mikaël Chirinian. Le spectacle passe à la Gaîté Montparnasse les dimanches et lundis à 20h30 jusqu’au 30 janvier 2017 et se déplace en tournée pour toute la saison en Europe (dates en suivant le lien Océanerosemarie). J’aimais bien sa chronique du vendredi sur France Inter en 2013-2014, ses vœux 2016 (voir en fin d’article) m’avaient réconciliée avec ce genre d’exercice.

Le spectacle : une chaise au milieu de la grande scène du théâtre… Inquiétude, seule en scène assise sur la chaise??? Non! L’actrice se déplace sur toute la scène! Exil de deux parisiens (pas en couple) à Marseille suite à deux déboires amoureux, retour à Paris, avec la vie des BBB, les « Bons Bobos Blancs », 1h20 d’humour autour de la politique (état d’urgence avec assignation à résidence de militants écolos, ventes records d’armes par la France, etc.) , du racisme, du vivre-ensemble ou du vivre côté à côte, en communauté, de la laïcité, mais elle n’a pas souligné que nous étions le 9 décembre, date anniversaire de la loi de 1905 sur la séparation DES ÉgliseS et de l’État et non de l’Église, comme elle l’a dit, à la suite de beaucoup de monde, c’est plus qu’une nuance.

Mon avis : le public comme d’habitude très « blanc blanc » du théâtre et auditorium de Poitiers / TAP, pourtant en très grande majorité BBB, avec des militantes féministes, des écolos – je ne sais pas de quelle tendance maintenant, Verts ou plus rouges via Osons Poitiers  mais le personnage du spectacle vote EELV 😉 -, le public donc a bien ri tout le long du spectacle. Les questions posées sont sans doute en grande partie bonnes et ont en tout cas provoqué de grandes discussions entre groupes de spectateurs qui continuaient à discuter dans le hall à la sortie, ou plusieurs jours plus tard… J’ai entendu des commentaires jusque sous les halles samedi!

S’il passe près de chez vous ou, ami(e)s parisien(ne)s, si vous avez besoin d’une parenthèse dans votre vie trépidante, n’hésitez pas à aller le voir! Ah, et pour les ami(e)s des chats, en dépit du titre, aucun chaton n’est maltraité, même si les pompiers ne sont pas coopératifs!

Si vous ne connaissez pas son humour, je vous propose de voir ses vœux 2016, juste élue « présidente de la République » après la démission surprise de l’actuel président… C’était il y a presque un an chez Médiapart, mais tout reste d’actualité!

C au tricot

initiale_10Après avoir envoyé mes diverses initiales (voir le V, le S, un deuxième V, le E et le G, le F, le N, le D, le M), il est apparu que le C serait aussi le bienvenu… Le voici donc, en vert clair sur vert foncé, le modèle est toujours tiré des grilles dans Lettres tricotées, de Catherine Hirst et Erssie Major, aux éditions Marabout (2013).

Baccalauréat, de Cristian Mungiu

Ma sortie cinéma, cette semaine, a été pour voir Baccalauréat, de Cristian Mungiu, qui a reçu le prix de la mise en scène au dernier festival de Cannes.

Le film : de nos jours en Roumanie, dans une petite ville de Transylvanie. Romeo [Adrian Titieni], chirurgien à l’hôpital local, et sa femme Magda [Lia Bugnar], bibliothécaire, sont revenus en Roumanie après 1991.Ils ont tout fait pour que leur fille Eliza [Maria Drăguș] ait la meilleure vie possible, en économisant pour lui donner des cours particuliers dès son plus jeune âge. Elle doit passer son baccalauréat dans quelques jours et doit impérativement avoir une moyenne de 18 pour pouvoir aller à l’université à Cambridge, en Angleterre, avec une bourse d’étude. A la veille de l’examen, alors que son père l’a laissée à proximité du lycée, elle est agressée physiquement et sexuellement sur le chantier voisin, s’en sort avec un poignet plâtré et une grand frayeur. Pour mettre toutes ses chances de son côté, Romeo est prêt, contre tous ses principes, à accepter la solution proposée par son ami d’enfance, l’inspecteur en chef de la police [Vlad Ivanov]… Il y a sans doute une solution pour que les résultats soient bons même si Eliza n’est pas au mieux de sa forme.

Mon avis : le thème central du film, la corruption en Roumanie, est particulièrement d’actualité après le week-end électoral dans ce pays.

Si le couple a cru à la révolution et aux espoirs nés en 1989 en revenant de leur exil pour reconstruire leur pays, il a déchanté et décidé de tout faire pour que leur fille puisse partir étudier et faire sa vie à l’étranger. Cristian Mungiu a centré le scénario – et de très longues minutes de gros plans et de plans séquences parfois interminables – autour de la figure du père, qui a projeté sa vie sur sa fille, qui maintient aussi à elle seule le couple, il a une amante [Mălina Manovici] et couche sur le canapé. Il oublie de lui demander son avis, prend des décisions à sa place, sait ce qui est bien (les études, les morceaux de pommes soigneusement épluchés et découpés sur une assiette) ou mal (son petit copain motard passé par le lycée technique) pour elle. Ses certitudes vacillent quand même une fois, quand il revient là où il a heurté un chien en voiture dans la journée et finit par éclater en sanglots dans les broussailles. L’ambiance est lourde, par moment le film (presque 2h10) traîne en longueur, mais le mécanisme de la corruption, depuis la petite compromission, de la simple « magouille », jusqu’à la plus grande et aux renvois d’ascenseurs, est bien démont(r)é. Les jeunes procureurs pourront-ils mettre un terme à ces pratiques qui se reproduisent de de génération en génération? Au-delà du scénario principal apparaît en toile de fond un monde qui semble immuable, fait d’immeubles délabrés, d’habitats précaires en planches, de chiens errants, de chantiers interminables (« Na remont », en rénovation, comme j’ai pu le voir il y a plus de 20 ans dans les ex-pays de l’Est, avec même de savantes restaurations d’échafaudages plutôt que des façades).

Un film à voir malgré les quelques longueurs que j’ai ressenties…

Tours (6), la basilique Saint-Martin

la basilique Saint-Martin à ToursLe dôme de la basilique saint Martin de Tours a été restauré en 2016, dans le cadre de l’année des 1700 ans (supposés) de la naissance de saint Matin.

Tours, la basilique Saint-Lartin en mai 2016En mai 2016, quand je suis allée voir les expositions Robert Capa et la couleur et Bertrand Bellon au château de Tours et 200 ans de tourisme en Touraine à l’hôtel Gouïn, le dôme était sous des échafaudages et la statue de saint Martin déposée (depuis février 2014) dans un atelier de restauration en Dordogne, où il voisinait avec l’archange saint Michel du Mont-Saint-Michel.

Basilique Saint-Martin de Tours, dôme et statue restauréePour la saint Martin (11 novembre), le dôme était débarrassé de ses échafaudages et la statue reposée en grande pompe.

Statue de saint Martin redorée au sommet de la basilique Saint-Martin à ToursLa ville de Tours aurait voulu la dorer entièrement, mais l’État s’y est opposé, aucune source n’indiquait qu’elle avait été ainsi dorée… la ville avait trouvé un projet de qui le montrait ainsi, mais il n’a sans doute jamais été réalisé (c’est très fréquent dans les projets).

Quatre vues de la statue de saint Martin, sur la basilique à ToursUne solution intermédiaire a été trouvée, dorer les attributs liturgiques, le pallium, la couronne, la crosse, le pectoral et l’anneau, ainsi que le bas des manches, de l’étole et de la chasuble et le bout des chaussures, ce qui donne déjà un effet assez « bling-bling ». Cette statue de 4,25 m de haut est une œuvre du sculpteur Jean [Baptiste] Hugues, fondue par Thiébaut frères.

basilique Saint-martin de Tours, statue de saint Martin au-dessus de la coupole, vue rapprochéeLa statue de saint Martin qui domine la coupole menace de tomber depuis un moment (premier élément de plomb tombé en 2011)… revoir mon article de 2014, la statue de saint Martin menace Tours.

Réédition de l’article du 23 janvier 2010

Tours, novembre 2009, basilique Saint-Martin : la rue des Halles

La première basilique (encore un terme à vous expliquer un jour, disons pour simplifier une grande église construite sur un plan hérité de l’Antiquité romaine et qui abrite le tombeau d’un saint ou des reliques importantes dites reliques insignes) fut construite vers 437 par saint Brice, évêque de Tours, à l’emplacement du tombeau du troisième évêque de la ville (de 371 à 397), saint Martin, mais si vous le connaissez, c’est celui qui a partagé son manteau avec un pauvre. Le tombeau était situé en dehors de la ville, comme il était de tradition jusqu’à la fin de l’époque romaine. C’est la même chose à Poitiers pour le tombeau d’Hilaire et la création de l’abbaye de Saint-Hilaire, hors les murs, et aussi pour le tombeau de sainte Radegonde. Vous trouverez ainsi des exemples dans toutes les anciennes cités romaines. Très vite, l’édifice doit être agrandit et l’évêque Perpet consacre en 482 une nouvelle basilique, vite trop petite elle aussi, le tombeau prestigieux (pare que riche de miracles) de saint Martin attirant les foules. En 818, elle devient collégiale avec un très important chapitre de 200 chanoines. L’histoire est ensuite mouvementée, avec des incendies qui endommagent plus ou moins gravement l’édifice en 853 et 903. Une nouvelle basilique est consacrée en 917, et les chanoines fortifient le faubourg qui devient Châteauneuf. Je vous passe ensuite les détails, que vous pourrez retrouver par les liens en bas de ce papier. Convertie en écurie pendant la révolution, mal entretenue, la nef s’écroule en 1797. En 1802, l’église est éventrée par la nouvelle rue des Halles, seuls les deux tours sont conservées :

Tours, novembre 2009, basilique Saint-Martin : la tour Charlemagne … la tour Charlemagne …

Tours, novembre 2009, basilique Saint-Martin : la tour de l'horloge … et la tour de l’horloge.

Tours, novembre 2009, basilique Saint-Martin : la façade de la basilique contemporaine Dans le renouveau catholique du 19e siècle, il était hors de question d’abandonner le si célèbre tombeau de saint Martin. Dès 1822, des projets de reconstruction, ou plutôt d’une construction neuve et plus modeste, sont établis. Il faudra près de 50 ans pour que le projet aboutisse. C’est finalement l’architecte Victor Laloux qui le mène à bien, la crypte avec le tombeau est inaugurée en 1889, et la nouvelle basilique, de style néo-classique, l’année suivante. L’achèvement des travaux donne lieu à une bénédiction en 1902, mais la basilique n’est finalement consacrée qu’en 1925. En raison des contraintes liées aux terrains qui ont pu être achetés et à l’emplacement du tombeau, le chœur de cette nouvelle basilique n’est pas orienté (tourné vers l’est), mais au nord de l’édifice. Comme je suis allée à Tours la semaine suivant la saint Martin (11 novembre), il y avait de nombreux pèlerins en prière dans la basilique et dans la crypte, je n’ai donc pas pris de photographie pour ne pas les déranger.

Tours, novembre 2009, basilique Saint-Martin : le côté est de la basilique contemporaine et au fond, la tour Charlemagne Ici et là, des vestiges de l’ancienne basilique restent visibles ou perceptibles [voir en débit d’article une photographie similaire de novembre 2016, avec les dorures].

En sortant de la basilique, empruntez la rue Rapin et admirez les maisons canoniales (maisons des chanoines), du 15e siècle pour certaines. Allez jusqu’au musée Saint-Martin.

Tours, novembre 2009, basilique Saint-Martin : la façade du musée Saint-Martin En saison (j’y suis passée le dernier jour d’ouverture pour 2009), juste à côté, dans l’ancienne chapelle Saint-Jean, construite au 13e siècle à l’emplacement supposé d’un baptistère fondé par Grégoire de Tours, vous pouvez visiter le musée municipal Saint-Martin, inauguré en 1990. Dans un espace dense, très serré, vous pourrez découvrir la vie de saint Martin, le culte qui lui est rendu, mais surtout admirer quelques vestiges des fresques de l’ancienne église détruite, et une copie du chapiteau avec Daniel dans la fosse aux lions si difficile à voir en vrai.

Tours, novembre 2009, basilique Saint-Martin : la tour Charlemagne, chapiteau historié Daniel dans la fosse aux lions est un grand thème traité par les artistes de l’époque romane, je vous en ai montré plusieurs représentations à Poitiers, vous trouverez sur ce précédent article des liens utiles sur ce thème. Ici, il est plus ou moins visible sur le vestige de la tour dite tour Charlemagne. Il se trouve sur la colonne supportant la tribune du pavillon nord.

2Tours, novembre 2009, basilique Saint-Martin : la tour Charlemagne, chapiteau historié, Daniel dans la fosse aux lions caché par la végétation Mais il est largement caché par la végétation pour la face où on devrait le voir le mieux…

Tours, novembre 2009, basilique Saint-Martin : la tour Charlemagne, chapiteau historié avec Daniel dans la fosse aux lions Si vous voulez mieux le voir, il vaut mieux aller sur le trottoir opposé de la rue des halles et vous munir de vos jumelles… car bien sûr, vous avez toujours une paire de jumelles quand vous allez visiter des édifices romans (ou autres). Je blague, mais c’est bien pratique de les avoir toujours à portée de main, le décor est parfois caché bien haut… ou bien loin.

Tours, la tour Charlemagne et ses abors en novembre 2016En novembre 2016, la végétation a été enlevée, mais la tour n’est toujours pas restaurée.

Pour aller plus loin : mes collègues du service de l’inventaire de la région Centre ont numérisé et mis à la disposition de chacun les dossiers sur l’ancienne basilique (ne pas rater l’abondante iconographie ancienne).

Invasion de souris!

Marionnette de doigt, souris blanche au crochet avant assemblageLe numéro spécial Doudous et petits jouets, n° 8 avril-juin 2012 de la revue Passion crochet, attendait patiemment que je ressorte mon crochet et mes restes de laine (plus ceux de quelques amies, dont Maryse) pour être largement rentabilisé! J’ai commencé par me laisser tenter par les petites marionnettes de doigt, avec la souris réalisée en blanc…

Marionnettes de doigt, souris blanche et deux souris grises au crochetUn peu de couture et trois perles noires, et voici le résultat. J’ai refait la même deux fois avec de la laine grise, et une nouvelle fois avec le museau et les yeux brodés, mieux pour un enfant. Elles mesurent 11 cm de haut (sans la queue).

Ma saison 2016-2017 au TAP

La façade du théâtre auditorium de Poitiers après l'incendie du 21 novembre 2016Ma saison 2016-2017 au théâtre et auditorium de Poitiers / TAP a déjà bien commencé… et même failli s’interrompre avec le gros coup de chaud du 21 novembre 2016, lorsqu’un ouvrier a accidentellement mis le feu à un important stock de polystyrène. Que faisait une si grande quantité de matériau inflammable dans un lieu accueillant du public??? Grosses flammes et gros nuages de fumée sur la ville, explosion d’une bouteille d’acétylène, mais au final, plus de peur que de mal, il ne reste plus qu’à changer quelques dalles de verre bien noircies…

Voici donc les spectacles que j’ai choisis, par catégorie:

Revoir mes avis sur les saisons 2015-2016, 2014-2015, 2013-2014, 2012-2013, 2011-2012, 2010-2011 et 2009-2010.