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Top BD des blogueurs, novembre 2009

Logo du classement BD de Yaneck Lundi, Yaneck / Les chroniques de l’invisible a terminé le récapitulatif d’un mois de lecture de BD par tous les blogs participants au Top Bd des blogueurs… Comme vous le voyez, il a sérieusement évolué depuis le mois d’octobre.

Les cinq premiers du mois de novembre sont :

1- (N) Le Grand pouvoir du Chninkel, Van Hamme, Rosinski, Casterman : 5/5

2- (N) V Pour Vendetta, Alan Moore, David Lloyd, Delcourt : 4.83/5

3- (+) Magasin général tome 2, Jean-Louis Tripp, Régis Loisel, Casterman : 4.75/5, j’en ai parlé ici

4- (=) Maus, Art Spiegelman, Flammarion : 4.75/5, j’ai parlé ici du tome 1 : mon père saigne l’histoire, et du tome 2, Et c’est là que mes ennuis ont commencé

5- (N) Le photographe tome 1, David Guibert, Didier Lefèvre, Depuis : 4.67/5, j’en ai parlé par là

Retrouvez la suite du classement chez par Yaneck / Les chroniques de l’invisible.

Lire tue ???

Couverture de Lire tue de Vial pioche-en-bib.jpgJe vous ai donné de mauvaises habitudes en vous livrant depuis quelques semaines des bandes dessinées le vendredi. Alors, cette semaine, je change un peu avec un recueil de dessins humoristiques. Je l’ai trouvé au rayon BD de médiathèque, c’est la couverture qui m’a intriguée.

Le livre : Lire tue, de Nicolas Vial (préface de Éric Fottorino), Éditions des Équateurs, 130 pages, 2004, ISBN 978-2849900208 .

L’histoire : après un assez long texte de Éric Fottorino (alors directeur du monde des livres, maintenant du Monde), le volume regroupe des dessins de presse de Nicolas Vial qui mettent en scène des livres, les plumes, etc. Certains sont inédits. Le texte de Fottorino parle d’un livre lu dans son enfance et retrouvé plus tard grâce à un lecteur belge du Monde (Rue du Havre de Paul Guimard). De la confrontation entre la lecture recomposée, le souvenir de la lecture et une lecture des années plus tard…

Mon avis : j’ai beaucoup aimé certains dessins, je vais essayer de vous en parler. D’abord, des personnages écrasés par des livres (Autopsie d’une gaffe éditoriale, dessin paru dans Le Monde le 18 décembre 1997). Ensuite, une immense bibliothèque avec une girafe (non, pas la bête, un de ces grands escabeaux avec plate-forme que l’on trouve dans les vieilles bibliothèques), un petit bonhomme grimpe à cette échelle (dessin inédit). La même bibliothèque se trouve avec un TGV Paris-Londres qui l’éventre depuis l’arrière en faisant tomber les livres (Londres, le fiasco de la grande bibliothèque Saint-Pancras, dessin paru dans Le Monde le 10 janvier 1995). Enfin, un homme lié à un porte-plume et transpercé de plumes à la façon d’un saint Sébastien (Les stigmates, dessin paru dans Le Monde le 17 avril 2001). Il y en a plein d’autres, à vous de les découvrir !

PS: depuis, j’ai lu deux autres livres de Fottorino, Le dos crawlé et Un territoire fragile.

Levée d’écrou de Didier Daeninckx et Mako

Couverture de Levée d'écrou de Daeninckx et Mako pioche-en-bib.jpgAujourd’hui et jusqu’à dimanche, retour du Free Market à Poitiers, une vente de créateurs avant noël et des spectacles variés. La chapelle des Gaillards, où il avait lieu les années précédentes, a fermé, le rendez-vous est donc cette année à la Maison des 3 quartiers (M3Q pour les Poitevins…). Plus d’infos chez l’association La Bulle, qui organise cette manifestation.

Vendredi, c’est BD. En voici une nouvelle empruntée à la médiathèque.

Le livre : Levée d’écrou, scénario de Didier Daeninckx, dessin de Mako, couleurs de Laurence Croix, éditions Imbroglio, 48 pages, 2007, ISBN 978-2-914966-17-7.

L’histoire : adaptée par Didier Daeninckx à partir de son roman On achève bien les disc-jokeys (éditions La Branche, 2005). Entre Tours et Chinon, trois hommes dans une voiture, ils débarquent dans une maison de campagne et abattent les occupants, un homme, une femme et un enfant. Quelques planches plus loin, retour en arrière. La femme travaille dans un hôpital parisien et anime bénévolement une émission sur une radio engagée (à gauche) qui donne la parole aux exclus… Un ex-taulard qu’elle avait écouté de prison s’y présente un jour… La suite est à lire par vous-même. De Didier Daenincks, voir aussi A louer sans commission.

Mon avis : j’aime bien les dessins de Mako, son trait, et la colorisation des ambiances nocturnes. Pour le scénario, je pense que je préfère lire un polar qu’une histoire ainsi adaptée, même si c’est par le même auteur… Je note dans le petit carnet offert par Emmanuelle d’emprunter à la médiathèque le roman original…

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Lincoln

Couverture du tome 1 de Lincoln Couverture du tome 2 de Lincoln Couverture du tome 3 de Lincoln Couverture du tome 4 de Lincoln Couverture du tome 5 de Lincoln pioche-en-bib.jpgIl y a peu de temps, à la librairie francophone sur Fance-Inter, Georges-Marc Habib, libraire à Paris, recommandait le volume 6, French lover, de la série Lincoln en bande dessinée. Ni une, ni deux, je le note dans le joli carnet offert par Emmanuelle et trouve lors de la visite suivante à la médiathèque non pas ce volume 6, mais les cinq premiers de la série… dont vous pouvez aussi découvrir des extraits sur le site officiel de Lincoln.

Les livres : la série Lincoln, scénario Olivier Jouvray, dessins Jérôme Jouvray et mise en couleurs Anne-Claire Jouvray, aux éditions Paquet, tous en format de 46 planches. Tome 1 : Crâne de bois, 2002, ISBN 978-2-940199-89-2 ; tome 2 : Indian tonic, 2003, ISBN 978-2-940334-26-9 ; tome 3 : Playground, 2004, ISBN 978-2-940334-50-1 ; tome 4 : Châtiment corporel, 2006, ISBN 978-2-88890-063-7 ; tome 5 : Cul nu dans la plaine, 2007, ISBN 978-2-88890-151-8.

L’histoire : les aventures d’un jeune cow-boy paumé, qui a eu une enfance difficile, commence à vivre de rapines avant de tomber sur Dieu lui-même (tome 1), qui le rend immortel et décide d’en faire un redresseur de torts… et le diable, de le mettre au service de ses intérêts. Avec trois jeunes hommes, paumés comme lui, il se retrouve dans le far-west où les blancs usurpent les terres des Indiens (tome 2). Puis direction New-York, les bandits et le maire (tome 3). Devenu flic, il accepte de nombreux pots de vin… et finit dans un pénitencier dans le désert (tome 4)… fusillé mais immortel, le voici donc maintenant à la frontière mexicaine, entre pleine guerre civile (tome 5).

Mon avis : j’ai eu un peu de mal à me faire au graphisme et aux bagarres à n’en plus finir… mais Dieu et Satan sont très sympathiques. Pas au point quand même d’acheter le dernier volume paru, j’attendrai qu’il soit disponible à la médiathèque.

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L’aigle sans orteils de Lax

Couverture de l'aigle sans orteils de Lax pioche-en-bib.jpgJ’ai choisi ce volume en flânant dans le rayon bandes dessinées de la médiathèque.

Le livre : L’aigle sans orteils, de Lax (dessins et scénario), 78 pages, collection Aire libre, éditions Dupuy, 2005, ISBN 9782800137117.

L’histoire : juillet 1907, au Pic-du-Midi. Amédée Fario, jeune soldat, est affecté à la construction de l’observatoire et y transporte les matériaux. Un jour, l’astronome Camille Peyroulet le charge d’acheter pour lui un journal qui parle du tour de France… Ça sera le début d’une envie pour Amédée. Mais il va d’abord devoir s’acheter un vélo, et pour cela, gagner de l’argent, prendre des risques en portant en hiver des vivres à l’observatoire… Un soir de noël, il est pris dans la tempête. À sa descente au village, il doit être amputé de ses dix orteils gelés. Se relèvera-t-il et participera-t-il un jour au tour de France ?

Mon avis : j’ai bien aimé le scénario, très documenté sur le tour de France d’alors, les très longues étapes et le statut différent des amateurs et des professionnels, mais aussi sur le monde de la montagne, les relations entre un fils de guide et un astronomes. Le graphisme me plaît aussi, mais je n’aime pas trop le choix de la colorisation, dans des tons alternativement bleus et marrons-ocres. Je trouve que cela est trop froid…
Et je n’aurais pas mis de s à orteils dans le titre, puisqu’il n’en a plus aucun…

Lax a aussi publié des BD sous le nom de Christian X et de Chistian Lacroix.

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Tanger carnets de Dupuy et Berberian

Couverture des carnets Tanger de Dupuy et Barberian pioche-en-bib.jpgJ’avais vu des planches des Carnets à Angoulême, j’en ai emprunté un à la médiathèque.

Le livre : Tanger carnets, du 22 au 29 mai 2001, de Dupuy et Berberian , collection blaise, éditions Cornélius, 40 pages, 2004, ISBN 978-2915492019.

L’histoire : il n’y a pas d’histoire ni de scénario, c’est un carnet de croquis réalisés par les deux auteurs dans les rues de Tanger, au Maroc, avec parfois un petit commentaire…

Mon avis : J’aime bien le format à l’italienne de ces carnets, le changement des supports de dessins, papier blanc, papier jaune, cahier d’écolier, le travail à l’encre et au correcteur blanc, quelques petits textes courts avec la petite tête qui permet d’identifier l’auteur… Les carnets de voyage sont à la mode depuis quelques années, celui-ci est assez différent de ce qui paraît habituellement, d’abord en raison de ce travail en noir et blanc…

Chez Cornelius, Dupuy et Berberian ont publié plusieurs carnets de ce type : New-York (1996), Barcelone (1999), Lisbonne (2001), Tanger (2004), Istanbul (2007).

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Top BD des blogueurs, octobre 2009, et une BD d’actu…

Logo du classement BD de Yaneck Hier, Yaneck / Les chroniques de l’invisible a terminé le récapitulatif d’un mois de lecture de BD par tous les blogs participants… Les cinq premiers sont :

1- (N) Aya de Yopougon tome 2, Marguerite Abouet, Clément Oubrérie, Gallimard  : 4.8/5

2- (N) Maus, Art Spiegelman, Flammarion : 4.75/5, j’ai parlé ici du tome 1 : mon père saigne l’histoire, et du tome 2, Et c’est là que mes ennuis ont commencé

3- (N Le magasin général tome 2, Jean-Louis Tripp, Régis Loisel, Casterman : 4.7/5, j’en ai parlé ici

4- (=)  Animal’z, Enki Bilal, Casterman : 4.5/5, j’ai parlé de Animal’z ici

5- (N) Aya de Yopougon tome 3 , Marguerite Abouet, Clément Oubrérie, Gallimard : 4.5/5

Je n’en ai lu aucun [au moment du classement, depuis, j’ai lu ceux en gras]… Retrouvez la suite du classement chez Yaneck / Mes BD à moi.

En ce premier novembre, pas de chronique sur Poitiers, j’ai fait plein de nouvelles photos, il faut que je fasse un tri, que je rédige un peu, etc. À la place, je vous propose la lecture d’une BD qui m’a semblé d’actualité, trouvée à la médiathèque.

Couverture de Crevaisons de Larcenet et Casanave Le livre : Crevaisons (Une aventure rocambolesque du Soldat inconnu, tome 5), scénario de Manu Larcenet, dessin de Daniel Casanave, mise en couleur de Patrice Larcenet, collection Poisson Pilote, éditions Dargaud, 50 pages, 2009, ISBN 978-2205062601.

L’histoire : le soldat inconnu se réveille dans un immense cimetière où il ne reste que le gardien… qui écoute de la musique punk. On apprend que le monde a relégué tous ces morts dans d’immenses cimetières…

Mon avis : bof… Je ne suis pas vraiment rentrée dans l’histoire, et n’ai pas vraiment aimé le graphisme. Je ne lirai pas les autres de la série… Mais vous pouvez découvrir cet univers particulier sur le site officiel de Manu Larcenet.

Mes chroniques BD sont regroupées dans la catégorie pour les BD et par auteur sur la page BD dans mes lectures.

Manu Larcenet

Le combat ordinaire

Blast

Manu Larcenet et Daniel Casanave

  • Crevaisons (Une aventure rocambolesque du Soldat inconnu, tome 5)

Jean-Yves Ferri et Manu Larcenet

Le retour à la terre

Le disparu de Saint-Cirq-Lapopie de Joël Polomski

La BD (le disparu de Saint-Cirq-Lapopie de Polomski) envoyée par la petite fée Je vous avais montré le contenu de l’enveloppe rebondie envoyée par Petite fée Nougat. J’ai lu la bande dessinée… et te remercie beaucoup de m’avoir fait découvrir ce petit village du Lot, je connaissais Pech-Merle et Cougnac, il faudra que je fasse un détour quand je repasserai dans le secteur… [voir aussi 2007 l’Odyssée de l’espace vert et Le Diable du pont Valentré].

Le livre : Joël Polomski (scénario et dessin), Le disparu de Saint-Cirq-Lapopie, édité à compte d’auteur, 2007, 64 pages (54 planches et un texte illustré de présentation de la commune), ISBN 978-2-9518916-3-0.

L’histoire : Saint-Cirq-Lapopie, dans le Lot. Frédéric, un jeune peintre, a disparu. Un de ses amis reçoit un jour un manuscrit où il raconte son aventure… Il a suivi un jour un nain qui lui proposait d’améliorer sa peinture en l’emmenant dans ce charmant village. Grâce à un sablier, il peut remonter dans le temps, une seule fois pour chaque sablier (et donc chaque période), s’il l’utilise une seconde fois, il restera dans cette période… L’idée est qu’il y découvre sa femme, LA femme qui sera son égérie… Il s’aventure donc au tout début du 20e siècle, chez des tourneurs sur bois qui fabriquent des robinets, participe au halage à bras de gabarres dans un passage difficile sous la Révolution, trahit le village pendant la Guerre de Cent-Ans et participe à une fête pendant la préhistoire, la grotte de Pech-Merle étant tout près de là…

Mon avis : Un récit très intéressant, un bon moyen de retracer l’histoire d’un village sur fond d’une charmante histoire. J’aime bien les tons sépias qui ont été choisis par Emmanuel Cassier et Bernard Veyri pour mettre en couleur les dessins de J. Polomski. J’ai beaucoup aimé cette BD. Et le petit clin d’œil à Rahan avec le coutelas en ivoire, les petits détails comme un écureuil qui observe de sa branche les lavandières… Juste deux petits bémols, trop de fautes dans le texte final et un petit (enfin gros quand même) anachronisme dans une scène. Les contemporains de Pech-Merle (vers 26.000 ans) n’ont pas pu chasser le sanglier… à 15.000 près.

Pour aller plus loin : le site de la commune de Saint-Cirq-Lapopie, le site de la grotte de Pech-Merle sur la commune de Cabrerets et celle voisine de Cougnac, que j’aime beaucoup aussi, moins connue mais avec des signes et des animaux très intéressants. Ce sont deux des rares grottes ornées encore ouvertes au public…

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L’affaire du voile de Pétillon

Couverture de l'affaire du voile de Pétillon pioche-en-bib.jpgAprès l’enquête corse, j’ai emprunté à la médiathèque l’affaire du voile….
Le livre : L’affaire du voile, de René Pétillon, éditions Albin Michel, 54 planches, 2000, ISBN 2226116265.

L’histoire : le détective privé Jack Palmer est contacté par une mère (dentiste) pour la disparition de sa fille depuis quelques jours… Il croit la retrouver dans un quartier musulman. Elle aurait pris le voile, puis trouvé la mosquée trop molle et rejoint des groupes plus radicaux, qui ne tardent pas à occuper la mosquée à l’imam jugé trop progressiste (sa femme et sa fille ne portent pas le voile). Le père, divorcé, chirurgien, ne facilite pas la recherche.

Mon avis : j’adore ces dessins de Pétillon, et le débat sur le port du voile, les mouvements islamistes intégristes qui s’opposent à des musulmans plus progressistes, qui justifient le non-port du voile (voir le débat théologique à la toute fin de l’ouvrage). Mon avis n’est pas objectif, j’aime beaucoup les dessins de Pétillon dans Le Canard enchaîné

Retrouvez la série Jack Palmer de Pétillon
1. Pétillon, Éditions du Fromage, 1976. Réédité les Éditions du Fromage sous le titre Gourous, derviches and co en 1979 et par Albin Michel sous le titre Une sacrée salade en 1983.
2. Mister Palmer et Docteur Supermarketstein, Éditions du Fromage, 1977.
3. La dent creuse, Éditions du Fromage, 1978.
4. Les disparus d’Apostrophes, Dargaud, 1982.
5. Le chanteur de Mexico, Dargaud, 1984.
6. Le prince de la BD, Dargaud, 1985.
7. Le pékinois, Dargaud, 1987.
8. Un détective dans le yucca, collection L’Écho des Savanes, Albin Michel, 1989.
9. Narco-dollars, collection L’Écho des Savanes, Albin Michel, 1990.
10. Un privé dans la nuit, Albin Michel, 1993.
11. L’affaire du top model, Albin Michel, 1995.
12. L’enquête corse, Albin Michel, 2000.
13. L’affaire du voile, Albin Michel, 2006.
14. Enquête au paradis, Dargaud, 2009.

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Mon anniversaire encore…

Une jolie enveloppe Cette fois, voici la très jolie enveloppe concoctée en collage par une amie…

Le dos de la jolie enveloppe … et le dos de cette enveloppe. Elle contenait une très gentille lettre et la photographie d’une peinture de chat réalisée dans sa jeunesse par son père, superbe ! Un grand merci à toi, tu te reconnaîtras…

L'enveloppe de la petite fée pour mon anniversaire Dans l’esprit récup toujours, comme j’aime le faire (ainsi que Zazimuth, Véro bis et de nombreuses autres copines), cette enveloppe arrive directement de chez Petite fée Nougat.

Un tablier brodé par la petite fée En plus de la jolie photo de famille, l’enveloppe bien dodue contenait ce très joli tablier, je ne sais pas si j’oserai le porter pour faire la cuisine, peut-être juste à la fin, quand le repas est presque prêt et que les invités sont là ?

Un tablier brodé par la petite fée, détail de la broderie Et voici plus en détail la superbe broderie, bien aux tons de la saison… La grille est celle du sal sauce caramel organisé il y a quelque temps par Sopsop

La BD envoyée par la petite fée Quant à la bande dessinée, elle est de Joël Polomski et s’intitule Le disparu de Saint-Cirq-Lapopie. Je ne l’ai pas emportée chez mon père, mais l’ai lue dès mon retour… De loin, le graphisme et les tons doux me plaisent bien.

Un grand merci à toi, Petite fée Nougat.