Samedi dernier, je suis allée à Niort représenter Valentin Apac, association de porteurs d’anomalies chromosomiques à une réunion des délégués de Poitou-Charentes des associations affiliées à l’alliance des maladies rares. J’en ai profité pour arriver le matin et faire quelques photographies que j’avais en tête sans avoir jamais eu le temps de les prendre. Cela sera pour une série d’articles du mardi après-midi, en alternance avec Toulouse (quand j’aurai fini la petite série sur Périgueux et la Dordogne).
Arrivée près du théâtre du Moulin du Roc (une scène nationale dont le site internet est pour le moins indigent) et de la médiathèque… et du monument aux morts).
Là, j’ai observé un phénomène bien de saison, une pluie d’akènes, des fruits à une seule graine, de je ne savais quel arbre. J’ai appelé mon père à l’aide pour l’identification, et bien sûr, en bon biologiste, il a trouvé le platane sur un site de sciences de la vie et de la terre, merci !. Ces graines sont munies, comme les graines de pissenlit, de petits parachutes leur permettant de voler loin, et se présentent comme elles en capitules. Capitules ? Mais si, vous les connaissez bien, ce sont ces boules de graines sur lesquelles vous avez soufflé pour disséminer les graines aux quatre vents. Dans le rayon de soleil, la pluie était impressionnante, mais la photo ne rend rien… Au sol, avec les tourbillons du vent, cela donne ceci…
ou cela, plus à l’abri…
Encore une vue de la scène nationale et de la médiathèque, avec le restaurant dont la terrasse donne sur la Sèvre niortaise et une passerelle qui mène aux halles et au donjon, mais ça, c’est réservé à de prochains articles !
2010 est l’année mondiale de la biodiversité, je vous en
Samedi, en allant au jardin, dans la rue de la Tranchée à Poitiers, en plein milieu des travaux, j’ai croisé une cétoine dorée (Cetonia aurata). J’avais mon carnet sur moi, les carreaux sont de 5 mm. Je l’ai emmenée jusqu’à une pelouse du
Arrivée au jardin, j’aperçois une coccinelle. La coquine refuse de rester immobile pour la photo et le comptage des points… Si je ne me suis pas trompée, c’est une Subcoccinella 24-punctata, toute petite et toute mignonne…
Mais elle a oublié son travail… J’ai repéré des feuilles de groseiller boursoufflées. Je les coupe, les retourne… Invasion de pucerons jaunes…
Voici de plus près… J’ai enlevé les feuilles les plus infestées, relâché la dame rouge et noire à proximité, si ça ne suffit pas, je ferai un traitement au purin d’ortie léger. Recette antipucerons : laisser macérer seulement 12h, filtrer, ne pas diluer, contrairement au purin classique qui macère plusieurs jours, jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de bulles en surface… et que vous ne puissiez plus approcher du récipient à cause de l’odeur!
Au début de chaque semaine,
Vous ne voyez pas la passerelle ? Mais si, tout au fond… Je reste dans le secteur ce week-end, il y a la brocante de l’Ascension sur la place du Marché, avec un marché aux livres, et je travaille sur mes anciens cahiers de fouilles pour commencer un nouvel article (sérieux, de
PS La voici de plus près, dans l’autre sens…
… ainsi que le moulin de Chasseigne vu depuis la passerelle.
Comme je vous l’ai déjà exposé, le centre-ville de Poitiers est composé d’un plateau situé à la confluence d’une rivière moyenne, le Clain, et d’un petit ruisseau, la Boivre. Jeudi était inaugurée, dans ma
Côté petites bêtes, j’ai croisé ce scarabée dimanche dernier sur un chemin du
Et maintenant, la petite coccinelle que j’avais aperçue sur une
Petit avant-propos, je pensais avoir enregistré cet article pour hier après-midi, je ne le trouvai pas tout à l’heure en rentrant du jardin puis d’une promenade au Bois de Saint-Pierre près de Poitiers… et pour cause, je me suis trompée d’un mois en saisissant la date, LOL! J’en profite pour vous dire qu’il a fait très beau ici, que j’ai bien profité de
Cythère / la maille au doigt
Voici un détail de plus près…
Et je retourne à mes photos prévues au départ pour cet article… Le blanc, pour moi, ce sont beaucoup de colles… En haut, une colle acrylique, comme dans le petit flacon à bouchon noir. Dans le bocal en bas à gauche, c’est du Primal (R), un produit utilisé comme une colle ou un vernis par les restaurateurs, comme le
Et une vue de l’une de mes bibliothèques, avec des tranches presque toutes blanches, de différentes collections, en particulier en bas les
Pour chacune, je vous mets le bouton de fleur et l’arbuste ou la fleur en entier, si vous avez des précisions, je les mettrai, je n’ai pas eu le temps de chercher dans mes livres de jardinage…
Le mahonia est à peine fleuri,
même si de plus loin, il est déjà tout jaune.
L’un des tulipiers du Japon est en gros boutons…
Son voisin, plus au soleil, a déjà des fleurs épanouies…
… le voici en entier.
Je poursuis avec une euphorbe…
… une autre différente… Mais je n’ai pas les noms de leurs espèces…
Une autre plante dont certaines fleurs sont en boutons, d’autres ouvertes…
Je poursuis avec un narcisse double (une fleur et le bouton caché dans le feuillage de l’arrière-plan)…
et une tulipe qui a résisté à la précédente averse de grêle… Et bonne nouvelle, aujourd’hui, le soleil est de retour, même si de gros nuages le cachent encore parfois.
J’avais entendu parler de
Il y a déjà deux ans que deux grandes tempêtes dévastaient la France. Si la seconde a beaucoup endommagé la Charente et la Charente-Maritime, Poitiers a été relativement épargnée, sauf le toit de la piscine et quelques dizaines d’arbres. parmi eux, un grand cèdre du
La voici aussi depuis l’autre côté, une sculpture, il faut tourner autour…
Après avoir vu
Et là, par la mer, la vue sur les rochers de porphyre est sublime…
… avec le petit bateau, nous pouvons entrer dans de petites grottes…
… glouglou,
… demi-tour au fond, nous admirons les anémones de mer (trop floues pour vous les montrer).
Plus loin, dans le maquis, le pilote nous montre des chèvres sauvages. Heureusement que j’ai toujours une paire de jumelles sur moi… Elles font le tour du bateau…
Encore plus loin, un nid d’aigle ou balbuzard pêcheur… énorme… Vous ne le voyez pas ?
Mais si, il est là… Mais pas les aigles, déjà partis en migration.
Plus loin, un autre encore,
…un peu d’aide… Si vous voulez découvrir cette espèce, il y a un beau dossier sur le site de la ligue protectrice des oiseaux.
Allez, j’y vais comme la dernière fois de mon petit couplet. regardez ce que rejette le moteur du bateau… Dans un site naturel protégé par l’Unesco, cela me semble inadmissible… Rentrer dans les grottes dans ces conditions aussi, même si c’est très agréable pour les yeux… Sans parler des remous qui perturbent le délicat équilibre… Alors, pourquoi ne pas imposer des bateaux à propulsion solaire, s’ils fonctionnent à