Cette année, je suis allée visiter le festival des jardins de Chaumont-sur-Loire (sur le thème Jardins d’avenir ou l’art de la biodiversité heureuse) le 10 juin 2011, en train comme d’habitude (jusqu’à Onzain) , avec Dalinele. Vous retrouverez les liens vers les articles de cette année avec ceux des années précédentes, sur cette page, et au fur et à mesure de leur publication en bas de chaque article. En attendant la suite, vous pouvez aussi faire la visite sur le site du domaine de Chaumont-sur-Loire). J’essayerai de mettre des liens vers les sites des concepteurs ou les sites créés pour ce festival, n’hésitez pas à suivre les liens…
Je vous ai déjà montré les œuvres de Tadashi Kawamata et de Dominique Bailly, il reste à présenter une nouvelle installation de Dominique Perrault, dont je vous ai parlé pour une autre création dans la galerie du fenil.
Je continue avec des œuvres que je vous ai déjà montrées ces deux dernières années…. D’abord avec Capella dans la clairière de Anne et Patrick Poirier. Je vous l’ai déjà présentée l’année dernière, voici de nouvelles photographies…Ces œuvres sont présentées dans ce dossier en ligne (je ne suis pas sûre de sa pérennité)…
Notamment de l’intérieur, que je n’avais pas vu l’année dernière, avec un cerveau au milieu à la place de ce qui pourrait être le chœur de cette chapelle…
Voici une autre vue… Et sur les murs, il y a des mots gravés sur les dalles à l’extérieur (passion, émotion, rêve, oubli, observation, etc.) comme à l’intérieur.
Juste à côté se trouve L’œil de la mémoire…
Oups, c’est mieux dans ce sens là?
Dans la glacière se trouve toujours L’œil de l’oubli, mais si vous comparez avec la photographie de l’année dernière, vous voyez qu’il a été envahi par les feuilles mortes.
Puisque nous sommes là, empruntons le vallon des brumes.
Tout en bas, les grandes poupées et les arbres enroulés de rouge de Colorès, de Michel Racine et Béatrice Saurel, continuent à vivre leur ville.
Retournons dans le parc… Près du cimetière des chiens de la princesse de Broglie, le dispositif dans la chapelle est en panne, il n’y a plus de vidéo avec le chien qui court dans La chasse volante, mais l’autre œuvre de Victoria Klotz, La tombe de Miss Pundgi, est toujours là.
L’arbre aux échelles de François Méchain n’a pas vraiment changé par rapport à 2010 et 2009. Il est aussi présenté dans ce dossier en ligne (je ne suis pas sûre de sa pérennité)… Il a créé en 2012 une nouvelle œuvre dans la grange aux abeilles.
Le Toi(t) à terre de Rainer Gross est aussi toujours là, comme en 2010 (je ne l’avais pas photographié en 2009, panne de batterie).
Son Toi(t) en perspective aussi, à revoir aussi dans les photographies de 2010 et de 2009. Voir aussi Flux et exposition de Rainer Gross à Poitiers en 2014.
Cette année là, j’avais suivi une visite guidée du parc. La guide nous avait conseillé d’entrer à l’intérieur et de regarder la perspective… cette année, j’y ai glisse mon appareil photo, voici ce que donne cette vue…
Je n’ai toujours pas vu les lucioles d’Erik Samakh, il ne faisait pas nuit…
Pour retrouver les articles de 2011 / Jardins d’avenir ou l’art de la biodiversité :
- en préalable, le puits avec des archers et les gargouilles du château
- le jardin n° 1, Le laboratoire, conçu par Méryl Fanien, Philippe Guillemet et Cyrille Parlot
- le jardin n° 2, Sculptillonnages, conçu par Corinne Julhiet-Detroyat et Claude Pasquer
- le jardin n° 3, Tu me manques, conçu par Jacob Vilato et Marc Cunat
- le jardin n° 4, La transparence du ver, conçu par Anne Blouin et Alessandra Blotto
- le jardin n° 4bis, La bibliothèque du souvenir, conçu par Gaétan Macquet, Oreline Tixier et Pierre-Albert Labarrière
- le jardin n° 5, L’envers du décor, conçu par Cathy Viviès et Vanessa Farbos
- le jardin n° 6, Le jardin bijou, conçu par Loulou de La Falaise avec le concours de Paul-Antoine Penneau
- le jardin n° 7, la sève à la croisée des chemins, conçu par Ernesto Neto et Daisy Cabral Nogueira
- le jardin n° 8, La biodiversité en question, conçu par Olivier Chardin, Anaïs Brochiero, Philippe Verigno et Anaïs Brochiero,
- le jardin n° 9, Le jardin pixélisé conçu par Mattéo Pernigo et Claudio Benna
- le jardin n° 10, Le jardin méditerranéen conçu par les équipes du festival en liaison avec les étudiants de l’Institut national d’horticulture d’Angers
- le jardin n° 11, Manier avec précaution, conçu par Jeroen et Maarten Jacobs
- le jardin n° 12, Le jardin des plantes disparues, conçu par Olivier Barthélémy et Denis Valette
- le jardin n° 13, La nature des choses, conçu par Soline Portmann, Aurélie Zita et Mioko Tanaka.
- le jardin n° 14, Célébrons et tissons la [bio]diversité, conçu par Manon Bordet-Chavanes
- le jardin n° 15, Entre ciel et terre, conçu par Wang Xiangrong
- le jardin n° 16, Lucy in the sky, conçu par Chilpéric de Boiscuillé, Raphaëlle Chéré, Pauline Szwed et Benjamin Haupais,
- le jardin n° 17, Les bulbes fertiles, conçu par Xavier Bonnaud, Stéphane Berthier, Clément Bouchet, Fabien Gantois, Etienne Panien, Olivier Duraysseix et Guillaume Pezet
- le jardin n° 18, Le jardin à la rue, conçu par Julien Maieli et Germain Bourré
- le jardin n° 19, le jardin de Madame Irma, conçu par Gladys Griffault, Clara Juncker, Emmie Nyk et Pascale Trouillet
- le jardin n° 19bis, La biodiversité bleue, sans concepteur identifié
- le jardin n° 20, Le jardin à emporter, conçu par Steve Papps, Jo Chapman et Jackie Bennett
- le jardin n° 21, Le jardin des marées, conçu par Sarah Foque, Roland Horne, Jeremy Clark, Jos Gibson, Olly Hurst et Stan Van Der Laan…
- le jardin n° 22, Graines d’espoir ou le jardin d’un regard partagé, conçu par des étudiants de l’école Du Breuil et de l’école Boulle
- le jardin n° 23, Le pollen exubérant, conçu par Yekaterina Yushmanova et Ruth Currey
- le jardin n° 24, La salle à manger, conçu par un groupe d’étudiantes japonaises
- les jardins zen : le jardin de méditation d’Erik Borja et Simon Crouzet et le jardin 7
- les murs végétaux : le jardin 8 et les murs de Patrick Blanc
- des œuvres dans le château : La soupe verte de Gerda Steiner et Jörg Lenzlinger, Jardins engloutis et Carnivores de Helene Schmitz, Atmosphère de Shin-Ichi Kubota
- les œuvres de Dominique Bailly dans le parc et les écuries et celles de Bob Verschueren (Dominique Perrault, Herman de Vries, Manfred Menz)
- Colorès dans le vallon des brumes
- les œuvres de Tadashi Kawamata, de Dominique Perrault (avec de nouvelles photographies des œuvres de Anne et Patrick Poirier, François Méchain, Victoria Klotz et Rainer Gross), dans le parc