Archives par étiquette : Paris

Le parc Citroën à Paris

Paris, parc citroën, un parterre Dans quelques jours (5, 6, 7 juin 2009), ça sera le voir rendez-vous aux jardins. Je ne résiste pas à vous emmener au jardin Citroën à Paris, les photographies sont du mois d’août 2008… Le parc a été aménagé sur 13ha au bout de l’ancien port de Javel, à l’emplacement des usines Citroën (oui, celle qui a construit l’autochenille utilisée par Audouin-Dubreuil), sur des plans des paysagistes Gilles Clément et Allain Provost et des architectes Patrick Berger, Jean-François Jodry et Jean-Paul Viguier.

Paris, parc citroën, les serres Vous aurez peut-être l’occasion d’y aller un jour, il est au sud de Paris, pas loin du grand hôpital Pompidou (un bon lieu pour s’échapper un peu si un jour vous devez vous y rendre, ce que je ne vous souhaite pas). Et désolée pour le doigt en bas de la photo, LOL!

Paris, parc Citroën, la partie centrale et le ballon captif Et il paraît que la vue depuis le ballon captif est superbe, je ne peux pas confirmer, je n’ai pas essayé ! Pas plus que les montgolfières autour de Chaumont-sur-Loire.

Entre les murs de Laurent Cantet

Bien que ce film ait reçu la palme d’or à Cannes en 2008, je n’étais pas allée le voir. Chose réparée grâce au festival Télérama.

L’histoire : une année scolaire avec une classe de quatrième d’un collège classé ZEP à Paris, ce film est adapté de François Bégaudeau, professeur de français. Quelques scènes très bien vues, la réunion de pré-rentrée, la violence de la récré, les idéaux des nouveaux venus, le conseil d’administration (et la revendication sur le tarif de la machine à café), les cours où les élèves ne comprennent pas des mots qui devraient faire partie du vocabulaire courant, la réunion parent-prof, le conseil de discipline…

Mon avis : Certains ont trouvé que le film exagérait par rapport à la réalité. Par rapport à ce que me racontent des amis professeurs en ZEP en banlieue parisienne, ça doit être en-deçà de la réalité… Ce film fait réfléchir à cette forme de discrimination qu’une mère non francophone, en réunion parent-professeur, se voit réduite à la traduction de son autre fils, puis, en conseil de discipline, n’est pas assistée par un interprète, seul l’élève  » mit en jugement  » assure la traduction… C’est inadmissible, que fait la Halde ? Certes, la mère dit qu’elle comprend, mais c’est faux et le proviseur ne peut être dupe. Mais si certains passages sont très réalistes, je trouve que ce film joue trop sur l’ambiguïté film de fiction / film documentaire.

Pour aller plus loin : le site officiel du film.

Pour les 15 films du festival Télérama, ils se partagent en quatre catégories :

Ceux que j’ai vus et dont je vous ai parlé (pas beaucoup cette année)

Ceux que j’ai ratés et que je vais essayer de voir cette semaine au théâtre

Ceux que j’ai ratés et que je vais essayer de voir cette semaine au Dietrich

Ceux que je n’irai pas voir, sauf si vous avez des arguments pour me convaincre d’y aller…

  • À bord du Darjeeling Limited de Wes Anderson
  • L’heure d’été d’Olivier Assayas
  • Home d’Ursula Meier, finalement vu au Dietrich
  • Into the Wild de Sean Pen
  • Juno de Jason Reitman
  • There will be blood de Paul Thomas Anderson

Ron Arad au centre Pompidou

Le centre Pompidou à Paris L’exposition sur le designer Ron Arad, sous-titrée No discipline, se tient au Centre Georges-Pompidou à Paris jusqu’au 12 mars 2009 (aïe, dur de taper la date, ça fera ce jour là juste deux ans après le suicide de ma mère). Mais l’exposition n’a rien à voir avec cela. Elle se tient dans la galerie sud, là où il y a souvent des expositions sur des architectes. Cette fois, nous passons à l’intérieur des bureaux et maisons. D’un côté, les créations et les prototypes, de l’autre, des objets produits en série et que l’on peut même essayer (sensation bizarre sur une sorte de divan à ressort…). Vous connaissez sans doute la bibliothèque qui serpente sur les murs. Mais le mieux est d’aller rendre visite au site de Ron Arad ou de voir l’exposition en vidéo…

Damian Ortega. Champ de vision au Centre Pompidou

Le centre Pompidou à Paris Jusqu’au 9 février 2009, vous pouvez aller voir la création Champ de vision de Damián Ortega au Centre Georges-Pompidou à Paris, dans l’espace 315. L’artiste a suspendu sur des câbles tendus du sol au plafond des milliers (6000 d’après des revues d’art) de petits disques translucides de couleur variée et assemblés deux par deux de telle sorte que leur contour imaginaire forme une sphère (enfin, ça, c’est mon interprétation). Le parcours prévoit que l’on aille d’abord au fond de la pièce, où l’on regarde dans un œilleton (comme celui qui est sur les portes d’entrée) la scène formée par les disques, puis que l’on se promène entre les sortes de rideaux de disques colorés… en essayant de ne pas penser que cela donne le vertige au visiteur suivant qui regarde maintenant dans le petit trou avec sa loupe… Amusant, tant qu’on ne lit pas le  » concept  » présenté dans le feuillet remis à l’entrée ou dans les revues d’art… Neuroscience, perception, langage, cosmos, du charabia… Laissez vous aller à cette expérience… Cette fois, pas besoin de grands textes incompréhensibles comme pour les 93 000 litres de cheval contemporain vus à Poitiers.

Le futurisme à Paris… et au centre Pompidou

Le centre Georges Pompidou à Paris Jusqu’au 26 janvier 2009, vous pouvez voir au Centre Georges-Pompidou à Paris l’exposition Le futurisme à Paris… Une avant-garde explosive. Le titre renvoie au manifeste du futurisme du poète italien Filippo Tommaso Marinetti, publié en une du Figaro le 20 février 1909. L’exposition aurait pu, symboliquement, se prolonger jusqu’à la date anniversaire du centenaire de ce texte dont des extraits sont dispersés sur des papiers de couleurs à emporter dans les différents espaces de l’exposition (voir en bas de l’article). Celle-ci s’organise en 9 espaces comme 9 mini expositions formant plus ou moins un tout. Télérama et d’autres revues ont souligné les manques de certains artistes. De mon côté, ce qui m’a gêné, c’est que l’avant futurisme et les relations entre futurisme et cubisme sont traités en long, en large et en travers… quitte à ce que l’on ne comprenne plus. Si la perspective historique prime, alors il manque quand même les relations du futurisme avec la Première guerre mondiale (l’exposition s’arrête net à 1914), l’évolution des artistes, le fait que l’on retrouvera de nombreux ex-futuristes dans le mouvement Dada, le Bauhaus ou le surréalisme… D’ailleurs, de nombreux visiteurs ne comprenaient pas, en voyant Duchamp et d’autres, genre « tiens, il est futuriste, je croyais qu’il était dada » (surtout que l’exposition Dada en 2005 à Pompidou puis en 2006 en tournée avait été une ÉNORME exposition avec un très gros catalogue de plus de 1000 pages sur papier bible… que j’ai lu entièrement et consulte souvent).

Pour le cubo-futurisme, c’est absurde de s’arrêter à 1914… Et d’autres avant-gardes sont évoquées, comme l’avant-garde russe (Malevitch, Popova, Gontcharova, …). mais celle-ci a été traitée en 2005, à Bruxelles, dans le cadre de Europalia 2005, avec une exposition au palais des Beaux-Arts intitulée L’avant-garde russe, 1900-1935, qui présentait environ 300 œuvres. L’avant-garde avait aussi été à l’honneur, toujours en 2005, au grand palais à Paris avec l’exposition Vienne 1900 (Gustav Klimt, Egon Schiele, Koloman Moser et Oscar Kokoschka).

Bref, si vous voulez comprendre ce qu’est le futurisme, je ne pense pas que cette exposition y réponde, si vous voulez voir les influences de différents mouvements au tournant du 19e siècle au 20e siècle, alors peut-être aurez-vous un aperçu.

Mais si vous voulez juste contempler des œuvres d’art, alors, courrez à cette exposition…

Et si vous ne pouvez pas y aller, vous pouvez lire le dossier pédagogique du Centre Georges-Pompidou sur cette exposition.

Les petits extraits que j’ai réunis dans l’exposition :

  • Nous voulons chanter l’amour du danger, l’habitude de l’énergie et de la témérité, Filippo Tommaso Marinetti, Manifeste du futurisme, 1909, extrait sur papier vert.
  • Le Temps et lespace sont morts hier, Filippo Tommaso Marinetti, Manifeste du futurisme, 1909, extrait sur papier jaune.
  • Nous déclarons que la splendeur du monde s’est enrichie d’une beauté nouvelle : la beauté de la vitesse, Filippo Tommaso Marinetti, Manifeste du futurisme, 1909, extrait sur papier beige.
  • Nous exigeons, pour dix ans, la suppression totale du nu en peinture, Bocciono, Carrà, Russolo, Balla, Severini, Manifeste des peintres futuristes, 1910, sur papier bleu)
  • Nous déclarons qu’il faut se révolter contre la tyrannie des mots  » harmonie  » et  » bon goût « , Bocciono, Carrà, Russolo, Balla, Severini, Manifeste des peintres futuristes, 1910, sur papier plus ou moins orangé terne.
  • Le chef-d’œuvre doit disparaître avec son auteur. L’immortalité en art est une infamie, F.T.M. er R.W. Nevinson, Manifeste contre l’art anglais, 1914, sur papier rose.

L’apparition du visible de Christian Bonnefoi au centre Pompidou

La façade du centre Pompid à Paris

Comme l’exposition La comédie humaine de Jacques Villeglé au Centre Georges-Pompidou à Paris, l’exposition L’apparition du visible de Christian Bonnefoi se termine lundi prochain… (5 janvier 2009). Elle se situe dans les salles du musée national d’art contemporain.

J’ai bien aimé ses premiers collages des années 1970, et le travail sur des étamines à larges mailles, non enduites ou partiellement enduites, qui laissent voir par transparence le cadre et ses renforts, qui participent de l’œuvre.

Si vous ne pouvez pas y aller, vous pouvez visiter le premier site officiel de Christian Bonnefoi (sa page d’exposition n’est pas à jour… mais le reste vaut la visite) ou le nouveau site mentionné sur le site du centre Pompidou mais qui n’a pas voulu s’afficher chez moi à part une très jolie page blanche… Le centre Pompidou n’a pas préparé de dossier pédagogique.

La comédie humaine de Jacques Villeglé au centre Pompidou

La façade du centre Gorges-Pompidou à Paris

J’ai vu il y a déjà quelque temps l’exposition La comédie humaine de Jacques Villeglé au Centre Georges-Pompidou à Paris. Il est urgent que je vous en parle… Elle se termine lundi prochain… (5 janvier 2009). L’exposition est organisée en 9 salles, et j’ai trouvé que c’était ma fois assez monotone, à part la façon de détacher les affiches (ne pas rater la vidéo) et les ardoises, au début, c’est intéressant, mais la répétition devient lassante. Il n’y a d’ailleurs qu’à regarder les cartels qui répètent inlassablement :  » affiches lacérées marouflées sur toile « …

Il y a quand même une salle qui m’a intéressée, la huitième, qui tourne autour de l’Hourloupe. Kesako ? C’est un cycle de tableaux commencé par Dubuffet en 1962 et qu’il poursuivit jusqu’en 1974. Vous pouvez le découvrir à la fondation Dubuffet à Paris (137 rue de Sèvres), de l’extérieur, cela ressemble à un immeuble normal, avec interphone… Mais la visite vaut vraiment le déplacement. Essayez de vérifier si elle est rouverte, je crois qu’elle avait fermé pour travaux… L’autre lieu de la fondation est à Périgny-sur-Yerres (dans le 94), mais je ne la connais pas. Il y a quelques années, la fondation a édité un livre avec CD sur les expériences musicales de Jean Dubuffet, comme le Coucou bazar. Vu par Villeglé, l’hourloupe, ce sont des affiches annonçant la grande exposition organisée en 1975 au centre national d’art contemporain, dont il a récupéré toute une collection…

Si vous ne pouvez pas y aller, vous pouvez lire dossier pédagogique du Centre Georges-Pompidou ou le site officiel de Jacques Villeglé.

Les plages d’Agnès, d’Agnès Varda

Poitiers, le TAP cinéma

Si l’on excepte le film de Charles Vanel (Dans la nuit, 1929), cela fait trois mois que je ne suis pas allée au cinéma (depuis Faubourg 36 de Barratier), ce n’est pas dans mes habitudes !

Chose réparée hier soir au TAP cinéma avec Les plages d’Agnès d’Agnès Varda [voir aussi de la même auteure Jane B[irkin]], présenté cette année à la 65e mostra de Venise. Je serais bien allée à la soirée couplée avec Bon anniversaire Agnès, huit courts métrages réalisés pour les 80 ans d’Agnès Varda, mais c’était en même temps que la soirée contre le créationnisme. C’est vraiment un film à voir absolument. Ça commence sur une plage du sud de la Belgique (la Plagne ? Elle y ressemble fort, à moins que ce ne soit du côté de Dunkerque…). Puis Agnès Varda revient sur 60 ans de photographies, de films, les siens, ceux de Jacques Demy, son ami. Entre séquences tournées pour ce film (la plage de la rue Daguerre à Paris est extra !), Sète, la Californie, elle nous montre aussi son engagement féministe, du Manifeste des 343 salopes (les signataires d’une célèbre pétition parue le 5 avril 1971 dans le Nouvel observateur pour la libéralisation de l’avortement) à Ni putes ni soumises. Je regrette vraiment de ne pas avoir vu son exposition à la fondation Cartier en 2006, les images montrées dans le film montrent que ce fut un événement important.

Il faut absolument voir ce film, dans les extraits, vous verrez des dizaines d’acteurs et artistes avec qui Agnès Varda a travaillé depuis 60 ans… Après le film, après le générique, la salle est restée longtemps silencieuse, personne ne semblait vouloir être le premier à sortir, un peu comme pour prolonger la projection.

Si vous n’y allez pas, ressortez les films de Varda de votre médiathèque… Il doit bien y en avoir.

Post-scriptum du 28 décembre 2008 : miracle, pour une fois, ce film a trouvé grâce aux yeux de tous les critiques du Masque et la plume sur France Inter !

Le film a reçu le César 2009 du meilleur film documentaire.

Pour les 15 films du festival Télérama, ils se partagent en quatre catégories :

Ceux que j’ai vus et dont je vous ai parlé (pas beaucoup cette année)

Ceux que j’ai ratés et que je vais essayer de voir cette semaine au théâtre

Ceux que j’ai ratés et que je vais essayer de voir cette semaine au Dietrich

Ceux que je n’irai pas voir, sauf si vous avez des arguments pour me convaincre d’y aller…

  • À bord du Darjeeling Limited de Wes Anderson
  • L’heure d’été d’Olivier Assayas
  • Home d’Ursula Meier, finalement vu au Dietrich
  • Into the Wild de Sean Pen
  • Juno de Jason Reitman
  • There will be blood de Paul Thomas Anderson

Musée du Quai Branly à Paris contre musée royal d’Afrique à Bruxelles

Façade Sur Seine du musée du Quai Branly Lors de mon marathon parisien mi août, j’étais passée au musée du Quai Branly, où a toujours lieu l’exposition-dossier Planète métisse dont je vous ai déjà parlé. Je viens de recevoir à corriger les épreuves d’un article pour un colloque auquel j’ai participé l’année dernière à Bruxelles. À cette occasion, j’avais prolongé le séjour le week-end et mon père m’avait rejoint le dimanche. Nous avions alors visité le musée royal d’Afrique centrale à Tervuren. Alors, cela m’a donné envie de faire une petite comparaison… L’histoire coloniale de la France et de la Belgique est à l’origine de la constitution de la plus grande partie de ces deux collections, alors pourquoi ne pas les comparer ?


Domaine Musée du Quai Branly à Paris Musée royal d’Afrique centrale à Bruxelles
Accès Soit à pied par les quais de la Seine, soit par le métro, avec le flux des visiteurs de la Tour Eiffel voisine Par un charmant trajet dans un vieux tramway à travers la banlieue bruxelloise (prévoir une bonne demi-heure depuis le parc du centenaire)
Architecture Résolument contemporaine, due à Jean Nouvel Dans un château daté de 1910 qui fait l’objet d’un projet de rénovation, travaux à partir de 2010 sans fermeture du musée
Environnement Un jardin contemporain de Gilles Clément et la Seine Un grand parc, avec étang, canal et de nombreux visiteurs. Idéal pour une promenade ou un pique-nique.
Les collections Sur tous les continents à part l’Europe Sur l’Afrique centrale et notamment le Congo
La présentation Résolument Beaux-Arts, ceux qui veulent avoir une idée du fonctionnement des objets ou de leur fabrication, etc., doivent regarder des films sur de minuscules écrans sans confort le plus souvent (debout, avec les bruits de la salle et des autres visiteurs). De belles vitrines, de beaux soclages, un bel emballage pour de beaux objets sans vie Des vitrines à l’ancienne, mais des fiches pédagogiques qui mettent l’accent sur le côté ethnographique
Le restaurant Chic, branché et un peu cher, avec peu de choix, et une partie seulement de la carte rappelle le thème du musée Façon cafétéria pour le service, mais plats variés, copieux et pas chers. Des plats africains, c’était excellent

Les deux se complètent bien, en fait… L’un ultra moderne et qui oublie que ces objets ont eu une vie. L’autre au charmant charme désuet. Pour mes amies lectrices belges, n’hésitez pas à aller à Tervuren si vous ne connaissez pas ! Et vous me raconterez votre impression.

Exposition Planète métisse au musée du quai Branly à Paris

La façade sur Seine et le jardin du musée du quai Branly Le musée du quai Branly à Paris organise jusqu’au 19 juillet 2009 une exposition dossier (donc entrée avec l’entrée du musée) dans la galerie suspendue ouest, exposition intitulée Planète métisse : to mix or not to mix. Certes, vous avez encore du temps pour la visiter. Je l’ai vue lors de mon marathon d’expositions à Paris mi août. Alors qu’il y avait du monde dans le musée et à l’exposition Polynésie, cet espace était quasiment désert. Le pari de l’exposition est de montrer les métissages, ce que la découverte d’un peuple a apporté à l’autre et vice-versa. Par exemple, un saint Sébastien en ivoire venant de Goa en Inde, vêtu d’un pagne, ou des poires à poudre à décor orientalisant. Surtout, ne ratez pas les codex d’Amérique du Sud, qui sont des pièces rarement montrées en raison de leur fragilité (l’un d’eux devra d’ailleurs faire un séjour de quelques mois à l’abri de la lumière au milieu du temps de cette exposition). À la fin du parcours, il y a un module avec des projections de films genre arts martiaux ou conquête de l’ouest. Juste à côté, un petit module avec un dispositif que j’ai adoré. un arbre à musique. Il est composé de tuyaux aux couleurs vives avec les petits hauts-parleurs qui diffusent de la musique de type samba. Les rares visiteurs qui y sont entrés n’ont pas vu que cet arbre diffusait des musiques, alors, tentez l’expérience !