Archives par étiquette : nature

De la neige en mai à Niort?

le moulin du Roc et la médiathèque de Niort, vue du sol couvert d'akènes de platanes Samedi dernier, je suis allée à Niort représenter Valentin Apac, association de porteurs d’anomalies chromosomiques à une réunion des délégués de Poitou-Charentes des associations affiliées à l’alliance des maladies rares. J’en ai profité pour arriver le matin et faire quelques photographies que j’avais en tête sans avoir jamais eu le temps de les prendre. Cela sera pour une série d’articles du mardi après-midi, en alternance avec Toulouse (quand j’aurai fini la petite série sur Périgueux et la Dordogne).

le moulin du Roc et la médiathèque de Niort, la façade vers la Sèvre Arrivée près du théâtre du Moulin du Roc (une scène nationale dont le site internet est pour le moins indigent) et de la médiathèque… et du monument aux morts).

le moulin du Roc et la médiathèque de Niort, vue rappochée du sol couvert d'akènes de platanes Là, j’ai observé un phénomène bien de saison, une pluie d’akènes, des fruits à une seule graine, de je ne savais quel arbre. J’ai appelé mon père à l’aide pour l’identification, et bien sûr, en bon biologiste, il a trouvé le platane sur un site de sciences de la vie et de la terre, merci !. Ces graines sont munies, comme les graines de pissenlit, de petits parachutes leur permettant de voler loin, et se présentent comme elles en capitules. Capitules ? Mais si, vous les connaissez bien, ce sont ces boules de graines sur lesquelles vous avez soufflé pour disséminer les graines aux quatre vents. Dans le rayon de soleil, la pluie était impressionnante, mais la photo ne rend rien… Au sol, avec les tourbillons du vent, cela donne ceci…

le moulin du Roc et la médiathèque de Niort, autre vue rappochée du sol couvert d'akènes de platanes ou cela, plus à l’abri…

le moulin du Roc et la médiathèque de Niort, la façade vers la Sèvre Encore une vue de la scène nationale et de la médiathèque, avec le restaurant dont la terrasse donne sur la Sèvre niortaise et une passerelle qui mène aux halles et au donjon, mais ça, c’est réservé à de prochains articles !

Des petites bêtes pour la biodiversité (2)

Logo de 2010, année de la biodiversité Pots de miel de un toit pour les abeilles 2010 est l’année mondiale de la biodiversité, je vous en ai déjà parlé et vous renvoie à cet article pour les liens sur les scarabées et les coccinelles. Hier, j’ai eu la bonne surprise de recevoir mes trois premiers pots de miel dans le cadre de mon parrainage de ruche avec Un toit pour les abeilles, à Fouras. PS voir ici pourquoi j’ai arrêté ce projet.

Cétoine dorée vue en mai 2010 Samedi, en allant au jardin, dans la rue de la Tranchée à Poitiers, en plein milieu des travaux, j’ai croisé une cétoine dorée (Cetonia aurata). J’avais mon carnet sur moi, les carreaux sont de 5 mm. Je l’ai emmenée jusqu’à une pelouse du parc de Blossac. C’est un scarabée commun ici, mais quand même, elle est mieux au parc que sur chantier de travaux publics…

Une coccinelle, en mai 2010 Arrivée au jardin, j’aperçois une coccinelle. La coquine refuse de rester immobile pour la photo et le comptage des points… Si je ne me suis pas trompée, c’est une Subcoccinella 24-punctata, toute petite et toute mignonne…

Pucerons jaunes sur feuilles de groseiller, en mai 2010 Mais elle a oublié son travail… J’ai repéré des feuilles de groseiller boursoufflées. Je les coupe, les retourne… Invasion de pucerons jaunes…

Pucerons jaunes sur feuilles de groseiller, en mai 2010, vus de près Voici de plus près… J’ai enlevé les feuilles les plus infestées, relâché la dame rouge et noire à proximité, si ça ne suffit pas, je ferai un traitement au purin d’ortie léger. Recette antipucerons : laisser macérer seulement 12h, filtrer, ne pas diluer, contrairement au purin classique qui macère plusieurs jours, jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de bulles en surface… et que vous ne puissiez plus approcher du récipient à cause de l’odeur!

VDB 8, pont de l’ascension…

Poitiers, le Clain et la passerelle au moulin de Chasseigne Au début de chaque semaine, Petite fée Nougat propose un thème de photographies. Je n’y ai pas encore participé, je touche peu à mes articles en semaine. Mais cette fois, j’avais gardé une petite case pour cet après-midi, plutôt pour vous parler du jardin. Avec le mauvais temps, je n’y ai pas mis les pieds… Du coup, je reviens sur le Clain, juste à côté de la photo que je vous ai montrée dimanche. En fait, cette fois, la photo est prise un peu en aval du moulin de Chasseigne, dont vous voyez la chute d’eau à gauche. La photo a été prise le même jour de l’été 2008. Une passerelle permet de rejoindre le moulin, un peu plus loin, une passerelle plus longue permet de traverser le Clain.

Poitiers, le Clain et la passerelle au moulin de Chasseigne, avec indication de la passerelle Vous ne voyez pas la passerelle ? Mais si, tout au fond… Je reste dans le secteur ce week-end, il y a la brocante de l’Ascension sur la place du Marché, avec un marché aux livres, et je travaille sur mes anciens cahiers de fouilles pour commencer un nouvel article (sérieux, de préhistoire…).

La passerelle de Chasseigne à PoitiersPS La voici de plus près, dans l’autre sens…

Poitiers, le moulin de Chasseigne… ainsi que le moulin de Chasseigne vu depuis la passerelle.

Le Clain à Poitiers…

Le Clain à Poitiers près du moulin de Chasseigne Comme je vous l’ai déjà exposé, le centre-ville de Poitiers est composé d’un plateau situé à la confluence d’une rivière moyenne, le Clain, et d’un petit ruisseau, la Boivre. Jeudi était inaugurée, dans ma médiathèque préférée, une exposition consacrée au Clain, jusqu’au 29 mai 2010 (plus d’informations sur le site de médiathèque François Mitterrand à Poitiers). Elle est composée de plusieurs modules, dont une confrontation de vues anciennes avec des vues actuelles. Un petit détour par là si vous passez à Poitiers dans les prochaines semaines. L’occasion pour moi de vous montrer cette photographie que je ne vous ai jamais montrée, prise en août 2008 près du moulin de Chasseigne, que l’on voit au fond.

L’occasion aussi de vous rappeler les articles où je parle du Clain, à commencer par ceux sur mon jardin, qui le borde, le chemin de la Cagouillère, qui permet d’y descendre depuis le boulevard qui descend sous le parc de Blossac, la piscine de l’île Juteau (à compléter avec le dossier en ligne du service de l’inventaire, et le 25 mai 2010 à 19h, par une conférence de mon collègue Yannis Suire à la médiathèque), des graphes sous la passerelle de chemin de fer ou encore la passerelle près du moulin de Chasseigne.

Des petites bêtes pour la biodiversité…

Logo de 2010, année de la biodiversité 2010 est l’année mondiale de la biodiversité. Je vous ai déjà parlé de mon parrainage d’une ruche avec un toit pour les abeilles. Cette fois, je me suis inscrite chez Béatrice / Terlicoton, qui relaye un projet de Monique, qui a un gîte rural auprès des abeilles. Si vous voulez héberger des abeilles sauvages et autres insectes chez vous, vous pouvez leur construire un abri avec des trous dans un mur, comme Virjaja en a montré cette semaine. Vous pouvez aussi regrouper dans un tube des bambous et des roseaux de différents diamètres, chaque espèce d’abeille a sa préférence. J’en ai trouvé un sympa ici, en vente (mais super facile à bricoler), pas dans un tube, mais c’est le même principe…

Scarabée dans le Bois de Saint-Pierre près de Poitiers, 11 avril 2010 Côté petites bêtes, j’ai croisé ce scarabée dimanche dernier sur un chemin du Bois de Saint-Pierre près de Poitiers… j’avais envoyé la photo en avant-première à Milkinise / Anne-Lise, qui l’a identifié à un méloé violet (attention, il est toxique, mais il est rare d’avoir envie d’en avaler un), confirmé par mon petit manuel sur les insectes… Je n’avais pas de mètre sur moi ni de petite pièce pour l’échelle, mais il est assez grand, entre 3,5 et 4 cm, à vue de nez. Vous pouvez en voir aussi chez Jean Henri Favre. Mais pour être sûr de l’identification, il faut se plonger dans un manuel de systématique (ça ressemble à une flore et existe pour le monde animal et végétal), en version papier ou chez les naturalistes vendéens, avec plein d’autres coléoptères. Si vous ne voulez pas vous plonger dans un manuel de systématique, alors, allez faire un petit tour chez les naturalistes belges, je vous mets le lien sur les invertébrés (clic sur les espèces à gauche), pratique pour vérifier quand on a un doute entre deux espèces, mais pour la détermination de base… pas si sûr. Et pour nos amis d’Amérique du Nord, qui ont d’autres insectes, je trouve que le site insectes du Québec est très bien fait… Ah, et le lien direct chez les scarabées. Je n’ai pas croisé le fameux petit pique-prune, ce scarabée qui réussit à bloquer pendant longtemps la construction de l’autoroute A-28.

Bois de Saint-Pierre près de Poitiers, coccinelle sur des anémones sylvie, 11 avril 2010Et maintenant, la petite coccinelle que j’avais aperçue sur une feuille d’anémone sylvie… Mon manuel ne connaît pas les coccinelles chinoises, importées pour combattre les pucerons et qui sont en train de prendre la place de nos bonnes vieilles coccinelles locales… Mais celle-ci est toute petite, je pense qu’il s’agit d’une Adalia 10-punctata ou coccinelle à dix points. J’ai essayé de vérifier avec ce tableau d’autres naturalistes belges. Et pour ne pas oublier d’autres voisins francophones, voici une page d’identification des coccinelles… suisses !

Tag en blanc…

Parc de Blossac le 3 avril 2010, une fleur blanchePetit avant-propos, je pensais avoir enregistré cet article pour hier après-midi, je ne le trouvai pas tout à l’heure en rentrant du jardin puis d’une promenade au Bois de Saint-Pierre près de Poitiers… et pour cause, je me suis trompée d’un mois en saisissant la date, LOL! J’en profite pour vous dire qu’il a fait très beau ici, que j’ai bien profité de mon jardin, que je suis allée au concert samedi soir à la carrière de Normandoux (dont je vous ai parlé ici à l’occasion d’un autre concert), que j’ai reçu un cadeau… de noël (je vous expliquerai…) de la part de Monique / Bidouillette / Tibilisfil… et que je manque d’entraînement, j’ai quelques courbatures et la peau du visage qui tire à cause du vent !

Voici donc, comme annoncé, quelques jours que j’ai été taguée en blanc par Cythère / la maille au doigt, et quelques mois en bleu par Emmanuelle, je n’oublie pas, j’avais même déjà pris quelques photographies… revenons au blanc, personne ne m’a encore Emmanuelle m’a identifié cette fleur blanche d’un arbuste photographié la semaine dernière, c’est un Viburnum tinus (ou laurier tin).

Bois de Saint-Pierre près de Poitiers, tapis d'anémones sylvie, 11 avril 2010 Cythère / la maille au doigt nous rédige toujours des textes très poétiques, je ne peux la concurrencer. J’ajoute à mon article d’origine ce tapis d’anémone sylvie (comme la forêt, que l’on retrouve dans dans sylvestre par exemple).

Bois de Saint-Pierre près de Poitiers, détail d'anémones sylvie, 11 avril 2010 Voici un détail de plus près…

Colles blanches Et je retourne à mes photos prévues au départ pour cet article… Le blanc, pour moi, ce sont beaucoup de colles… En haut, une colle acrylique, comme dans le petit flacon à bouchon noir. Dans le bocal en bas à gauche, c’est du Primal (R), un produit utilisé comme une colle ou un vernis par les restaurateurs, comme le paraloïde B72, mais qui a l’avantage de se diluer à l’eau et non à l’acétone (celle-ci reste indispensable pour le dissoudre). Je l’utilise comme un vernis-colle quand je ne peux pas travailler à l’extérieur (sinon, je préfère le paraloïd B72). En bas à droite, c’est de la colle à reliure.

Bibliothèqe, livres à tranche blanche Et une vue de l’une de mes bibliothèques, avec des tranches presque toutes blanches, de différentes collections, en particulier en bas les Arthur Upfield en 10/18.

Bois de Saint-Pierre près de Poitiers, coccinelle sur des anémones sylvie, 11 avril 2010 Je ne résiste pas à vous montrer cette coccinelle qui avait élu domicile sur les anémones sylvie, c’est la première que je vois cette année…

Je tague qui le souhaite… en vert, par exemple?

Boutons de fleurs

Parc de Blossac le 3 avril 2010, une fleur blancheIl y a quelques semaines, mes passions les orchidées et les hoyas a ouvert une nouvelle communauté, boutons de fleurs. Entre deux giboulées samedi, je suis allée faire un saut au parc de Blossac pour prendre quelques photographies et encourager les femmes d’agriculteur qui y manifestaient… Mais comme j’ai aussi été taguée en blanc par Cythère / la maille au doigt, je commence par des fleurs blanches (je ferai mieux dans les prochains jours, article programmé, mais chut…), désolées, avec l’hiver, les étiquettes des arbres et plantes se sont détachées, et les jardiniers n’ont pas encore remis de nouvelles indications… Mais Emmanuelle m’a donné la réponse pour celui-ci, c’est un Viburnum tinus (ou laurier tin).

Parc de Blossac le 3 avril 2010, une fleur blanche, le pied en entier Pour chacune, je vous mets le bouton de fleur et l’arbuste ou la fleur en entier, si vous avez des précisions, je les mettrai, je n’ai pas eu le temps de chercher dans mes livres de jardinage…

Parc de Blossac le 3 avril 2010, mahonia en gros boutons Le mahonia est à peine fleuri,

Parc de Blossac le 3 avril 2010, mahonia en entier même si de plus loin, il est déjà tout jaune.

Parc de Blossac le 3 avril 2010, bouton de tulipier du JaponL’un des tulipiers du Japon est en gros boutons…

bParc de Blossac le 3 avril 2010, boutons et fleurs de tulipier du Japon Son voisin, plus au soleil, a déjà des fleurs épanouies…

Parc de Blossac le 3 avril 2010, boutons et fleurs de tulipier du Japon … le voici en entier.

Parc de Blossac le 3 avril 2010, une euphorbe Je poursuis avec une euphorbe…

Parc de Blossac le 3 avril 2010, une autre euphorbe … une autre différente… Mais je n’ai pas les noms de leurs espèces…

Parc de Blossac le 3 avril 2010, une plante inconnue à fleurs jaunes Parc de Blossac le 3 avril 2010, une plante inconnue à fleurs jaunes Une autre plante dont certaines fleurs sont en boutons, d’autres ouvertes…

La même de plus loin…

Parc de Blossac le 3 avril 2010, narcisse Je poursuis avec un narcisse double (une fleur et le bouton caché dans le feuillage de l’arrière-plan)…

Parc de Blossac le 3 avril 2010, une tulipe et une tulipe qui a résisté à la précédente averse de grêle… Et bonne nouvelle, aujourd’hui, le soleil est de retour, même si de gros nuages le cachent encore parfois.

Les autres articles sur le parc de Blosssac

Un toit pour les abeilles

Une abeille, cliché de Jean-Claude MEMBRE, un toit pour les abeilles J’avais entendu parler de Un toit pour les abeilles, à Fouras. J’ai franchi le pas… pas bien grand, 6 euros par mois, il y a quelques jours. Le projet est géré par la SARL Ecolutis. J’aime bien le concept, un peu comme dans les Amap. Il s’agit de parrainer une ruche, enfin, 1/10e de ruche ou 4000 abeilles pour les particuliers, 1 ruche ou 40000 abeilles pour les entreprises. Les ruches sont installées dans le marais poitevin et confiées à un apiculteur. En échange, les particuliers reçoivent 6 pots de miel de 250 g par an (100 pots par ruche pour les entreprises). Première livraison prévue en juin, avec du miel provenant d’une autre ruche, la colonie que je parraine ne sera mise en place qu’après l’hiver… et n’aura donc pas encore produit de miel. (cliché: (c) Jean-Claude MEMBRE, un toit pour les abeilles).

Je ne vais pas en parler à la banquière, LOL, elle comprendra encore moins que la participation à du micro-crédit sans intérêt chez Kiva ! En ce moment, j’aide Angeline Claveria aux Philippines pour sa ferme. Quand le prêt sera remboursé sur le compte de Kiva, je peux soit récupérer les sommes, soit les prêter à nouveau à un autre projet.

PS voir les seuls pots de miel reçus (un envoi au lieu de deux promis) et pourquoi j’ai arrêté ce projet.

La Tempête, dix ans déjà

Le cèdre du parc de Blossac, oeuvre de Antoine Thomas Il y a déjà deux ans que deux grandes tempêtes dévastaient la France. Si la seconde a beaucoup endommagé la Charente et la Charente-Maritime, Poitiers a été relativement épargnée, sauf le toit de la piscine et quelques dizaines d’arbres. parmi eux, un grand cèdre du parc de Blossac. Il a été débité en grands morceaux et transporté au parc de la roseraie, près du parc des expositions, où l’artiste Antoine Thomas l’a transformé en gigantesque œuvre d’art…

Le cèdre du parc de Blossac, oeuvre de Antoine Thomas La voici aussi depuis l’autre côté, une sculpture, il faut tourner autour…

Et les photographies datent du 24 mai dernier…

Voyage en Corse (8), les Calanche par la mer

Le port de Porto Après avoir vu les calanche par la route, nous sommes retournées (notre petit groupe de quatre filles) à Piana et Porto pour une visite par la mer. Nous avons loué des places sur un petit bateau de douze places sur le port de Porto. Au fond à droite, une autre tour génoise.

Les rochers de porphyre Et là, par la mer, la vue sur les rochers de porphyre est sublime…

Une grotte dans les calanche, vue vers la sortie … avec le petit bateau, nous pouvons entrer dans de petites grottes…

Une grotte dans les calanche, glouglous du bateau … glouglou,

Une grotte dans les calanche, le fond de la grotte … demi-tour au fond, nous admirons les anémones de mer (trop floues pour vous les montrer).

Les calanche, le maquis Plus loin, dans le maquis, le pilote nous montre des chèvres sauvages. Heureusement que j’ai toujours une paire de jumelles sur moi… Elles font le tour du bateau…

Les calanche, un nid d'aigle pêcheur Encore plus loin, un nid d’aigle ou balbuzard pêcheur… énorme… Vous ne le voyez pas ?

Les calanche, un nid d'aigle pêcheur Mais si, il est là… Mais pas les aigles, déjà partis en migration.

Les calanche, un nid d'aigle pêcheur Plus loin, un autre encore,

Les calanche, un nid d'aigle pêcheur …un peu d’aide… Si vous voulez découvrir cette espèce, il y a un beau dossier sur le site de la ligue protectrice des oiseaux.

Les calanche, la pollution du bateau Allez, j’y vais comme la dernière fois de mon petit couplet. regardez ce que rejette le moteur du bateau… Dans un site naturel protégé par l’Unesco, cela me semble inadmissible… Rentrer dans les grottes dans ces conditions aussi, même si c’est très agréable pour les yeux… Sans parler des remous qui perturbent le délicat équilibre… Alors, pourquoi ne pas imposer des bateaux à propulsion solaire, s’ils fonctionnent à La Rochelle, ils ne devraient avoir aucun problème en Corse, sans avoir besoin de complément d’électricité du réseau (fournie en Corse à 80% par deux centrales thermiques très polluantes). Je pense que la collectivité nationale pourrait aider à l’achat de ces bateaux pour une meilleure protection de cette magnifique baie.

Et retrouvez le reste du voyage sur la page dédiée… La semaine, nous retournons en Grèce, je vous dois la fin de mon voyage de l’année dernière !

Et pour retrouver le voyage de 2009 en Corse, suivez les liens…