Après un truc rond et un lieu de culte, Monique / Bidouillette / Tibilisfil nous a proposé de mettre nos chaussures et de sortir avec notre APN pour photographier au moins quatre lampadaires… Vous n’allez pas être déçu(e)s de la variété en centre-ville de Poitiers. J’ai donc emporté mon APN hier matin en allant au marché, et vous mets des photographies plus petites que d’habitude, ils ne valent pas mieux. Cet article remplacera cette semaine mon article sur Poitiers, je suis en train de préparer une nouvelle série et j’ai quelques vérifications à faire…
Première pause à quelques mètres de chez moi, sortie rue Saint-Hilaire… Ces machins rectangles moches sont maintenant les plus fréquents en ville, basse consommation, ils éclairent à peu près…
Rue Aliénor d’Aquitaine (vous pouvez admirer aussi au passage, comme sur la précédente photo, les branchements électriques, en vous rappelant que nous sommes dans un périmètre de monument historique et dans la future extension du secteur sauvegardé…), voici le modèle un peu plus ancien, cette fois équipé d’ampoules basse consommation qui n’éclairent absolument pas la nuit, impossible de voir les nombreux trous et déjections canines sur la chaussée la nuit…
Au square de la République, le monument aux morts de 1870-1871 et les arbres rescapés de l’opération massacre en ville (j’ai prévu une autre vue pour la prochaine VDB de Petite fée Nougat)… et une version sur pied du lampadaire rectangle…
Place d’armes, voici les nouveaux lampadaires, les machins ronds (tiens, j’aurais pu aussi les montrer l’autre jour), ils éclairent vers le bas pour éviter la pollution lumineuse nocturne… en fait, ils éclairent à peine un mètre tout autour, la traversée de la place se fera par les bords ou dans le noir, actuellement, même avec un gros spot supplémentaire dans l’angle de l’hôtel de ville, c’est DANGEREUX de traverser… parce qu’on ne voit pas les bosses et les trous, le « tapis » en géotextile gondole, et au bout de la place, on arrive dans le gravier…
On sort maintenant du rayon de 500m de chez moi, mais on continue quand même avec un lampadaire de la rue des Grandes-Ecoles… version contre le mur…
… et version sur pied. Ampoule déglinguée, les glandeurs qui picolent au pied à longueur de journée (alors que la consommation d’alcool est interdite en ville sur la voie publique) ne sont pas encore arrivé…
Maintenant, nous voici rue de la Cathédrale, il y a les mêmes Grand’Rue… du faux vieux, il y a encore plus moche ailleurs, celui-ci semble avoir été nettoyé assez récemment (avec le changement de l’ampoule?).
Au retour, je suis rentrée par la gare, pour vous montrer d’autres variétés… Je descend donc pour rejoindre la gare par la Grande passerelle. Lampadaires blancs au bord de la chaussée, sortes de sucettes éclairantes sur les bords pour les piétons et gros spots au milieu du parking minute… pardon, il paraît que c’est un rond-point, mais il est toujours encombré de voitures stationnées…
Du bas, on voit mieux ces trois variantes…
Et voici la localisation de mon itinéraire sur le plan de Poitiers Cœur d’agglomération… à télécharger sur le site si vous venez en ville, les GPS et les plans vendus dans le commerce ne sont toujours pas mis à jour! La différence entre le point de départ et celui d’arrivée vient du fait qu’il y a deux sorties à mon immeuble… une sur le plateau en haut et une sur le boulevard en bas.
Oui, je vous entends, overdose de Poitiers cette semaine, de la sculpture sur Notre-Dame-la-Grande
Côté
Une dernière photographie d’incivilité ordinaire, quoiqu’en dise les services municipaux, les petits plots noirs casse-gu..le pour les piétons qui ne les voient pas n’empêchent absolument pas le stationnement, la preuve ce midi encore en rentrant du marché, rue Saint-Hilaire. Et le piéton, il passe comment???
Cela fait un petit moment que je ne vous ai pas montré l’avancée du chantier de
Les bistrots qui n’ont plus de terrasse en profitent pour faire leur ravalement de façade, obligatoire avant deux ans… mais apparemment toujours pas pour
Rue Saint-Hilaire, nous sommes maintenant le 17 septembre à 19h, les voitures ont décidé que les trottoirs étaient très accueillants là où les places de stationnement ont été supprimées. Depuis, des boules noires empêchent le stationnement, mais gênent beaucoup les personnes âgées qui, avec leur champ visuel plus restreint, se heurtent dedans… Rien n’est parfait, pourquoi ne pas tout simplement élargir le trottoir, ainsi, les familles avec enfants en poussettes, nombreuses à cause de l’école voisine, pourraient enfin marcher en toute sécurité et pas sur la rue…
Un petit saut dans le temps, deux semaines plus tard, le 30 septembre. Des soubassements en ciment sont réalisés place d’Armes…
…et les dalles, enfin, peut-on parler de dalles, elles sont très étroites, en calcaire de Bourgogne, commencent à être posées.
Dans la rue Victor-Hugo, ce sont des travaux sur les réseaux (il y eut une grosse fuite de gaz, mais sans explosion).
Place Aristide-Briand (encore un lieu que personne n’appelle comme ça, la place devant la préfecture), la fontaine a été détruite.
Cette semaine, mercredi 6 octobre, sur ces nouveaux bancs installés à côté de la bande de circulation, j’ai vu une vielle dame tomber. Blanc sur blanc, avec la réverbération, elle ne les avait pas vus… Quant à la bande de roulement, il y a encore parfois des voitures stationnées dessus (comme sur la dernière photographie de
Place Aristide-Briand, les arbres ont presque tous disparu, seuls quelques jeunes individus ont été épargnés. Sans doute des arbres pas plus malades que ceux de la
Dans la rue Victor-Hugo, difficile pour les piétons de se faufiler entre les trous et les lycéens qui envahissent les trottoirs pendant la pause méridienne, sans compter les voitures sur un tronçon en principe fermé à la circulation… Il me semble qu’il y a bien beaucoup de riverains, ces derniers temps…
Sur la place d’armes, la pause des dalles se poursuit…
Le chantier de cœur d’agglomération à Poitiers évolue chaque jour… Je vous ai montré le centre-ville
Les voici à terre. Au niveau de la flèche rouge,
Du côté sud, au retour vers le bureau, le décaissement de l’ancien bout de pelouse a repris, heureusement sous la surveillance d’une archéologue, cachée (cercle rouge) derrière un tilleul en sursis…
En arrivant au square Magenta, surprise, là aussi les travaux se déchaînent… Vous reconnaissez peut-être le monument aux morts de la
Je poursuis mon chemin, passe à côté du le
Je récolte mon dessert (!!!) et repars assez vite, car j’ai littéralement un dragon sur le feu à terminer pour l’anniversaire de
En haut, à l’entrée du parc de Blossac au niveau de ce qui s’appelle maintenant sur les plans de la ville la porte de la Madeleine, je prends en photo les ridicules conifères posés là dans de grands bacs blancs depuis quelques semaines.
Et au début de la rue de la Tranchée, il y a encore et toujours sur le côté droit une voiture garée sur le trottoir, sans PV, une voiture de police passe sans s’arrêter, il est 18h45 environ (les voitures de l’autre côté sont garées sur de vraies places).
Je vous ai déjà parlé des travaux de ces derniers mois à Poitiers, avec l’opération
De nouveaux panneaux ont fait leur apparition, parfois tellement abondants que je ne sais pas comment l’automobiliste va se repérer… Mais le but étant de le chasser du centre-ville, ce n’est peut-être pas grave, sauf pour les commerçants et ceux qui travaillent en ville en habitant à l’extérieur… soit énormément de monde quand même…
Certains annoncent le démarrage de nouveaux travaux, comme ceux-ci…
D’autres, parfois encore cachés, des changements de carrefour…
… ou de sens de circulation.
Sur les boulevards, des panneaux mobiles (hier à midi, ils ne marchaient pas encore tous) doivent orienter l’automobiliste téméraire vers les parkings, dont certains changent aussi de nom pour l’occasion… Tant qu’à changer, autant tout changer, même les repères! Le parking Carnot (que je vous ai montré avec une bâche sur
Maintenant, il va aussi et surtout falloir sévir contre l’incivisme, les voitures garées n’importe où et de préférence sur les trottoir ou bien, comme cette camionnette distribuant de la publicité hier au marché, sur la nouvelle bande de roulement le long de l’office du tourisme et de la faculté de droit qui permet aux personnes handicapées, aux poussettes, aux hauts talons de franchir l’obstacle des pavés irréguliers de la place… Certes, elle n’est pas restée tout le temps, mais quand même! [la manœuvre est maintenant impossible, voir cet article sur le
Gros orage ce matin tôt à Poitiers, depuis, il fait lourd et tombe de temps à autre quelques gouttes. Dommage pour les fêtes de quartier en cours. La rénovation du quartier de la
Ce parking fut baptisé espace Toumaï, en raison de la découverte de ce pré-hominidé au Tchad il y a quelques années par une équipe de chercheurs comprenant des poitevins, dont Michel Brunet. Le dernier étage du parking est relié à la grande passerelle (au fond), qui permet de rejoindre rapidement le centre-ville, mais qui devra prochainement être reconstruite. Au rez-de-chaussée se trouve la gare routière.
La grosse tour hideuse et qui ne trouve pas preneur est censée être un immeuble de bureaux… Opération immobilière privée, elle est en passe d’être un bel échec, mais la ville devrait en louer quelques bureaux pour y loger certains de ses services. Le grand rond-point en haricot sert surtout d’arrêt minute, mettant une belle pagaille dans le quartier. Malgré tout (la photo a été prise un dimanche il y a une quinzaine de jours), deux cabaretiers y ont installé des terrasses, croyant que des clients seront attirés par la vue de ce manège gratuit, avec le nez au ras des pots d’échappement des voitures et bus qui l’encombrent en semaine… Les quelques arrêts minutes (10 minutes gratuits, puis SMS à la police… mais je n’ai jamais vu de PV même quand les bornes clignotent rouges) sont, au goût des clients inciviques notamment du bar-tabac, trop loin.
Sur le parvis même, certes, c’est plus agréable sans voiture, mais pourquoi n’a-t-on pas le droit à un peu de verdure à part cette ligne d’arbres ? Les bancs et sièges commencent à trouver preneurs avec le beau temps…
Pour le reste, je trouve que ça ressemble à une immense forêt de poteaux pour empêcher les voitures de se garer n’importe où, et quelques ratées, par exemple, vous voyez la dame au pull blanc au centre de la photographie ? Elle est en fait en train d’attendre le bus… La ville dit que ce n’est pas elle qui est responsable de cet arrêt provisoire… qui dure depuis des mois, à la pluie et aux intempéries, qu’elle a réalisé les trois autres arrêts de bus, mais que celui-ci est du ressort de la SNCF qui cherche une solution, d’après le magazine municipal reçu ce mois-ci. Et bien elle en met du temps, la SNCF, à chercher une solution. Quelle image déplorable pour les touristes qui arrivent en train et souhaitent monter en ville en bus !