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Voyage en Corse (8), les Calanche par la mer

Le port de Porto Après avoir vu les calanche par la route, nous sommes retournées (notre petit groupe de quatre filles) à Piana et Porto pour une visite par la mer. Nous avons loué des places sur un petit bateau de douze places sur le port de Porto. Au fond à droite, une autre tour génoise.

Les rochers de porphyre Et là, par la mer, la vue sur les rochers de porphyre est sublime…

Une grotte dans les calanche, vue vers la sortie … avec le petit bateau, nous pouvons entrer dans de petites grottes…

Une grotte dans les calanche, glouglous du bateau … glouglou,

Une grotte dans les calanche, le fond de la grotte … demi-tour au fond, nous admirons les anémones de mer (trop floues pour vous les montrer).

Les calanche, le maquis Plus loin, dans le maquis, le pilote nous montre des chèvres sauvages. Heureusement que j’ai toujours une paire de jumelles sur moi… Elles font le tour du bateau…

Les calanche, un nid d'aigle pêcheur Encore plus loin, un nid d’aigle ou balbuzard pêcheur… énorme… Vous ne le voyez pas ?

Les calanche, un nid d'aigle pêcheur Mais si, il est là… Mais pas les aigles, déjà partis en migration.

Les calanche, un nid d'aigle pêcheur Plus loin, un autre encore,

Les calanche, un nid d'aigle pêcheur …un peu d’aide… Si vous voulez découvrir cette espèce, il y a un beau dossier sur le site de la ligue protectrice des oiseaux.

Les calanche, la pollution du bateau Allez, j’y vais comme la dernière fois de mon petit couplet. regardez ce que rejette le moteur du bateau… Dans un site naturel protégé par l’Unesco, cela me semble inadmissible… Rentrer dans les grottes dans ces conditions aussi, même si c’est très agréable pour les yeux… Sans parler des remous qui perturbent le délicat équilibre… Alors, pourquoi ne pas imposer des bateaux à propulsion solaire, s’ils fonctionnent à La Rochelle, ils ne devraient avoir aucun problème en Corse, sans avoir besoin de complément d’électricité du réseau (fournie en Corse à 80% par deux centrales thermiques très polluantes). Je pense que la collectivité nationale pourrait aider à l’achat de ces bateaux pour une meilleure protection de cette magnifique baie.

Et retrouvez le reste du voyage sur la page dédiée… La semaine, nous retournons en Grèce, je vous dois la fin de mon voyage de l’année dernière !

Et pour retrouver le voyage de 2009 en Corse, suivez les liens…

Voyage en Corse (6) : les Sanguinaires…

Les sanguinaires vues depuis la plage de Porticcio Depuis l’hôtel à Porticcio, nous avions une très belle vue sur la baie d’Ajaccio et les Sanguinaires…

Les îles sanguinaires Aussi, après avoir déjeuné à Ajaccio, nous avons pris la route des Sanguinaires, avec son phare du 19e siècle.

Les îles Sanguinaires vues de l'extrémité de la pointe Nous les voyons mieux les îlots quatre îlots de porphyre rouge (Mezza Mare ou Grande Sanguinaire, des Cormorans, Cala d’Alga et Porri) du bout de la presqu’île… euh, de la pointe de la Parata.

La tour génoise des sanguinaires Puis une petite grimpette jusqu’à la tour génoise.

La forêt d'eucalyptus à Ajaccio, vers les sanguinaires Avant de rentrer, nous faisons une petite promenade dans la forêt d’eucalyptus…

une mante religieuse dans la forêt des sanguinaires … en prenant bien garde de ne pas écraser cette mante religieuse qui voulait nous barrer le chemin.

Puis une petite pause pour voir le cimetière et ses grandes chapelles, signalé dans tous les guides.

le coucher de soleil sur les Sanguinaires Au retour, pour une fois, aucun orage en vue. Le coucher de soleil sur la baie d’Ajaccio est superbe…

le coucher de soleil sur les Sanguinaires … même si ça ne rend pas comme je le voudrais…

le coucher de soleil sur les Sanguinaires … sur ces photographies.

Et pour retrouver le voyage de 2009 en Corse, suivez les liens…

L’Hiver indien de Frédéric Roux

Couverture de l'hiver indien de Frédéric Roux Il y a une quinzaine de jours, j’ai reçu ce livre de la part de Suzanne, de Chez les filles.com.

Le livre : L’Hiver indien de Frédéric Roux, éditions Le livre de poche, 2009, ISBN : 9782253126409, 503 p.

L’histoire : à la fin des années 1990, à Neah Bay dans l’état de Washington, au nord-ouest des États-Unis, sur la côte pacifique, non loin de Canada (Vancouver est de l’autre côté de la baie). Les indiens Makahs vivent dans la misère dans leur réserve, des aides publiques, un peu de la chasse (les daims pullulent), beaucoup de combines. Le diabète, l’obésité (abus de hamburgers) et l’alcoolisme font des ravages. Un jour, trois hommes décident de changer de vie en relançant la pêche à la baleine, abandonnée il y a des dizaines d’années. Ils vont monter un équipage de six « bras cassés », convaincre le conseil tribal… et déchaîner les passions. Des militants écolos rappliquent du monde entier pour s’opposer à cette chasse. Arriveront-ils à capturer une baleine ?

Mon avis : le récit se lit comme un roman d’aventure. Ce n’est pas de la grande littérature, mais c’est très agréable à lire. Je trouve cependant qu’il manque un petit quelque chose, je ne sais pas exactement quoi, sans doute la fin m’a-t-elle déconcertée… même si elle permet de comprendre alors la couverture. J’ai bien aimé l’idée de la play-list à la fin, c’est-à-dire la liste des morceaux de musique mentionnés tout au long du texte.

Pour aller plus loin : dans une sorte de postface, Frédéric Roux dit s’être inspiré d’un épisode raconté dans l’émission Thalassa en 1999. Je suis donc allée me renseigner…

Selon l’université Laval Québec, la langue Makah, qui appartient au groupe linguistique Wakashane du Sud, a quasiment disparu et ne compte plus de 10 à 30 locuteurs… Les Makahs eux-mêmes ne sont plus qu’environ 1200 a 1500 individus (contre 40 000 à la fin du 19e siècle), ils ont abandonné la pêche à la baleine en 1927, à cause la disparition de la ressource, sur-exploitée par les blancs plus au sud de leur territoire. La baleine grise n’est plus sur la liste des espèces menacées depuis 1994.

Ils ont fait en 1997 une demande de reprise de la pêche artisanale auprès de la commission baleinière internationale, qui leur a accordé en 1999 4 ou 5 baleines grises (les sources divergent et sur le site de la commission baleinière internationale, je n’ai trouvé que le chiffre global accordé aux peuples amérindiens). D’après leur tableau, une baleine a été abattue en 1999. En 2007, cinq chasseurs makahs ont tué une baleine de 9 m de long avec des harpons et un fusil souvent utilisé pour chasser les éléphants, sans avoir obtenu l’accord du conseil tribal, ils auraient été poursuivi (je n’ai pas trouvé la fin de I’histoire). La reprise de la chasse par les Makahs a en effet abouti à un défoulement parfois violent des opposants à la chasse. Cet épisode de la reprise de la chasse à la baleine par les Makahs fait l’objet d’un sujet pour l’enseignement des droits de l’homme, Les textes et documents rassemblés pour ce dossier sont très intéressants. Vous trouverez aussi sur le site de la FAO un article sur La pêche artisanale à la baleine en Amérique du Nord.

Logo de Chez les filles Le site Chez les filles.com (merci à eux et notamment à Suzanne) m’ont déjà envoyé ces autres livres, que j’ai parfois aimés, parfois pas du tout. Retrouvez-les sur la page des livres reçus pour critique.

Voyage en Corse (3) : les calanche

Le port de Piana Petite erreur de programmation, vous n’avez pas eu le droit à mon article sur la Corse la semaine dernière…

Chose rattrapée aujourd’hui. Après Sartène et Bonifacio, je vous emmène d’abord sur le petit port de Piana. À la sortie du village, vous pouvez vous stationner près du stade et vous rendre à pied pour voir les Calanche, ou vous engager sur la route en corniche… Interdite aux poids lourds, mais pas aux campings-cars ni aux bus… En automne, c’était parfois limite pour passer, je n’ose pas imaginer en été…

Les Calanche et la mer Mais la vue vaut vraiment le déplacement, les formations de granites et de porphyres sont magnifiques…

Les Calanche et la mer … et nous avons échappé à l’orage que vous voyez monter ici… Nous reviendrons dans ce secteur pour une autre visite… par la mer cette fois.

Maintenant, je me permets de poser une question qui fâche… Le golfe de Porto est l’un des rares sites naturels protégés par l’Unesco en France au titre du patrimoine naturel. La protection couvre les calanche (sans s) de Piana, le golfe de Girolata et la réserve de Scandola. Si cette dernière est bien interdite aux véhicules, des dizaines de visiteurs y débarquent par bateau chaque jour… Quant aux calanche, est-ce une bonne idée de permettre la circulation sur la route de centaines de voitures qui circulent au pas, en polluant un maximum, comme les car de tourisme ? ne pourrait-on pas envisager de réserver la visite aux piétons (quelques kilomètres à pied ne font pas de mal) ou, pour les gens qui ont des difficultés à marcher ou sont pressés, dans des navettes électriques ?

Et pour retrouver le voyage de 2009 en Corse, suivez les liens…

Découvertes à La Rochelle

Bus de mer électriques à l'énergie solaire de La Rochelle Week-end et presque vacances avec un ami, samedi à La Rochelle et ce dimanche sous la pluie à Angoulême… (un mois de pluie sur la journée, vient de dire la météo) et pas d’article sur Poitiers ce midi, j’avais oublié de le programmer. Avant de charger les images que j’ai prises pour vous faire les visites virtuelles, voici deux découvertes à La Rochelle.

D’abord, les bateaux-bus électrosolaires, magiques, pas de bruit, pas de pollution. Ce sont des catamarans à propulsion électrique, avec des panneaux solaires sur le toit. Les voici vus depuis la tour Saint-Nicolas, nous l’ai emprunté au retour de la plage des minimes vers le Vieux-Port. Et cela pour un tarif imbattable, comme les bus et inclus dans les abonnements.

Le Gabut à La Rochelle L’autre découverte, ce fut au Gabut (ici aussi, vu depuis la tour Saint-Nicolas), au retour vers la gare. L’atelier de l’artiste Viviane Perez Lorenzo est ouvert au public, avec ses œuvres très variées, peinture, photographie (plutôt arts graphiques, car plusieurs clichés traités numériquement et superposés), sculptures, dont un irrésistible robot en composants d’ordinateurs… Je vous invite à aller visiter son travail soit à La Rochelle, soit sur son site internet.

L’or des Amériques…

Affiche de l'exposition l'or des Amériques J’ai vu il y a une dizaine de jours au Muséum national d’histoire naturelle, galerie de minéralogie, l’exposition L’or des Amériques qui s’y tient jusqu’au 11 janvier 2010. Cette exposition nous vient du musée québecois des civilisations, avec quelques adaptations…
À Paris, elle comprend donc, dans l’ordre de la visite, au rez-de-chaussée, l’or dans la nature, de très jolis spécimens d’or natif… Au sous-sol, dans l’immense coffre-fort, l’or des dieux, des pièces venant surtout de civilisation amérindienne / précolombienne. Sublime ! Enfin, dans la grande salle de la galerie de minéralogie, plusieurs modules de plus petites dimensions et avec une muséographie beaucoup moins recherché, sur les thèmes suivants : la fièvre de l’or, les chasseurs de rêve, l’extraction de l’or en Guyane française et l’or et nous. C’est dommage, pour l’or de Guyane, les effets néfastes et la pollution engendrée sont si mal présentés que peu de gens s’attardent à lire le petit panneau…
Les collections viennent de divers musées du Pérou, de Colombie, du Mexique, du Canada, des États-Unis, de Madrid et du Muséum à Paris…
Et si vous passez à la boutique, j’ai trouvé que les moulages n’étaient pas terribles, mais il y a un sac en tissu bio aux couleurs de l’exposition à 1,50 euro, pourquoi se priver ? Dommage qu’il n’y ait qu’un gros catalogue, assez cher, et pas de petit journal de l’exposition.

Es-tu le maître de l’aube ? de Pearl Buck

Couverture du livre de Pearl Buck, es-tu le maître de l'Aube? Alors que la justice vient de débouter des appelés du contingent victimes d’irradiation lors d’essais nucléaires au Sahara dans les années 1960 (pour cause de prescription) et qu’un autre procès à lieu en Polynésie, où les populations locales étaient encore moins protégées lors des essais, j’ai eu envie de lire un livre sur ce type d’essais.

Le livre : Es-tu le maître de l’aube ?, de Pearl Buck (prix Nobel de littérature en 1938), traduit de l’américain par Lola Tranec, Le livre de poche n° 3564, 380 pages, dans l’édition de 1976 (1ère édition : 1959), ISBN 2-253-00416-2.

L’histoire : 1940. Les États-Unis ne sont pas encore entrés en guerre, des savants qui ont fui le régime Nazi ont rejoint le pays. Le grand physicien Burton Hall réussit à convaincre le pouvoir politique de lui donner carte blanche pour constituer une équipe qui sera chargée de mettre au point la bombe atomique. Certains hésitent, comme Stephen Coast, un de ses collaborateurs, devant les risques d’une telle bombe. Mais les savants sont mobilisés, l’industrie aussi, un réacteur est construit dans le Nevada, où aura lieu la première réaction en chaîne de l’histoire le 2 décembre 1942. En filigrane, le sort des Japonais qui vivaient depuis longtemps aux États-Unis et qui sont internés après Pearl Harbor…

Mon avis : j’ai bien aimé la réflexion sur le danger de la bombe atomique, de l’énergie nucléaire, les compromis que certains acceptent (si on travaille sur la bombe, on pourra aussi travailler ensuite sur le traitement de certains cancers), le peu de précautions prises lors des essais de plein air par des savants pleinement conscients des dangers (surtout lorqu’arrive un accident avec une irradiation mortelle)… À lire ou relire dans le contexte actuel…

PS: sur le sujet de l’émigration japonaise et la seconde guerre mondiale, voir aussi Voir aussi Certaines n’avaient jamais vu la mer de Julie Otsuka, Si loin de vous de Nina Revoyr et Citoyenne 13 660 de Miné Okubo.

Nouvelles re-vertes

Couverture du livre nouvellesre-vertes pioche-en-bib.jpgLe livre : Nouvelles re-vertes, collectif, éditions Thierry Magnier, 2008, 173 pages, 978-2-84420-715-9. Le site de l’éditeur est en cours de construction… mais leur catalogue est en ligne.

L’histoire : pas l’histoire, treize histoires par treize auteurs, autour de la planète qui vire au vert, des nouvelles ancrées dans le monde d’aujourd’hui ou sous forme de science-fiction, toutes pleines d’humour. J’ai beaucoup aimé celle de la vie post-pétrole, celle sur la ville utopique au Brésil (Télérama y avait consacré un long article cet été, beaucoup d’émissions radio en ont parlé, il s’agit ici d’une version plus imaginée), ou la jeune ingénieure agronome qui essaye de rendre fertile un lopin de terre en Afrique…

Mon avis : j’ai pioché ce livre sur la table des nouvelles acquisitions de la médiathèque. Des nouvelles courtes, variées même si elles ont pour thème commun l’avenir de la planète devenue sensible aux questions écologiques… Rapide et agréable à lire. Il est classé chez l’éditeur dans la catégorie livre pour adolescent… Mais tout adulte soucieux de l’avenir de la terre pourrait (devrait ?) le lire.
Et pourquoi Re-vertes, direz-vous ? Et bien, parce qu’il y a déjà eu des Nouvelles vertes, chez le même éditeur, Thierry Magnier, en 2005. Mais je ne les ai as lues…

La vie moderne de Raymond Depardon

Les critiques étaient mitigées, et j’ai été déçue par le travail de photographies qu’il a fait récemment dans la région Poitou-Charentes. J’avais donc boudé le film lors de sa sortie, surtout qu’il n’est pas resté longtemps à l’affiche. J’ai pourtant profité de ce qu’il soit sélectionné pour le festival Télérama pour aller le voir.

L’histoire : c’est un documentaire, donc pas d’histoire, quoique… Depuis une dizaine d’années, Raymond Depardon suit des familles de paysans / d’agriculteurs / d’éleveurs (cela dépend de l’idéologie, agriculture productiviste contre agriculture qui se veut raisonnée ou paysanne) de moyenne montagne, surtout dans les Cévennes, en Lozère, mais aussi en Ariège, en Haute-Saône et en Haute-Loire. Le troisième et dernier épisode (last but not least?) a été filmé sur une année environ.

Mon avis : les deux frères de plus de 80 ans, qui ronchonnent contre la nouvelle femme non paysanne (et en plus ch’ti du Pas-de-Calais) de leur neveu, sont absolument à voir… comme un témoignage historique ou ethnographique. Mais le gros tracteur tout propre (enfin, presque, il a dû avoir droit à un coup de bombe de boue pour 4×4) et tout neuf dont je tairai la marque n’est absolument pas crédible dans ce type de petites parcelles en terrasse. C’est d’ailleurs un autre tracteur que l’on voit sur les autres séquences, sans doute un sponsoring de la marque ? Ou du vendeur du coin ? Ou l’agriculteur qui veut montrer la belle machine dont il rêve ? C’est dans ce film que j’ai vu pour la première fois le reportage sur les obsèques de l’abbé Pierre… et probablement la dernière traite à la main de deux vaches que maintiennent un vieux couple dans une économie de subsistance. C’est une image beaucoup trop pessimiste et noire de la vie de moyenne montagne, un manque absolu d’espoir, un quart-monde rural… et un public qui rit sur certaines scènes qui, en fait, sont pathétiques, mais ces urbains sont incapables de les comprendre. À voir ou pas ? Je ne sais pas. Comme un témoignage sur certains agriculteurs de moyenne montagne, certainement, comme un tableau actuel de l’agriculture dans cette zone certes difficile, sûrement pas.

La fçade de la fondation Cartier à Paris Actuellement : la fondation Cartier à Paris, que j’aime bien fréquenter (voir par exemple mes avis sur l’exposition César ou celle consacrée à Patti Smith), organise jusqu’au 15 mars 2009 une exposition intitulée Terre natale, ailleurs commence ici, de Gérard Depardon et Paul Virilio, accompagnée d’un catalogue (éditions de la fondation Cartier, EAN 9782869250833, 299 pages). Je n’ai vu ni l’exposition ni le livre…

Pour les 15 films du festival Télérama, ils se partagent en quatre catégories :

Ceux que j’ai vus et dont je vous ai parlé (pas beaucoup cette année)

Ceux que j’ai ratés et que je vais essayer de voir cette semaine au théâtre

Ceux que j’ai ratés et que je vais essayer de voir cette semaine au Dietrich

Ceux que je n’irai pas voir, sauf si vous avez des arguments pour me convaincre d’y aller…

  • À bord du Darjeeling Limited de Wes Anderson
  • L’heure d’été d’Olivier Assayas
  • Home d’Ursula Meier, finalement vu au Dietrich
  • Into the Wild de Sean Pen
  • Juno de Jason Reitman
  • There will be blood de Paul Thomas Anderson