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Un poireau au tricot

Un poireau au tricotPuisqu’il paraît que les enfants ont du mal à reconnaissance les légumes (sur de vilains dessins), j’ai décidé d’attaquer une série de légumes au tricot… Après le panais, la tomate et les cerises, j’ai choisi le poireau, longueur totale 41 cm (avec les racines). J’ai eu un peu de mal avec l’assemblage des « feuilles », assez mal expliqué.

Poireau, panais, cerises et tomate au tricotModèle de Susie Johns, Fruits & légumes au tricot (éditions Didier Carpentier, 2012), avec un reste de la laine blanche utilisée pour une boule pour noël 2011et pour des chaussons façon baskets et de la laine verte utilisée pour des glaces. Avec le panais, la tomate et les cerises… … et la suite: le chou-fleur, le champignon, l’ananas, la banane, le trognon de pomme, le petit pois, la pastèque, la figue, le poivron, l’aubergine,

Mon week-end au jardin et récompense gourmande…

Mon jardin le 7 mars 2009, les branches après la tempêteJe vous ai montré lundi les fleurs qui petit à petit s’épanouissent dans mon jardin… Mais j’ai aussi désherbé et attaqué le gros tas de branchettes d’après la tempête de mars et les branches coupées à la fin de l’été dernier.

Mon jardin le 18 avril 2010, l'incinérateur Comme en mai 2009, j’ai ressorti mon incinérateur et l’ai alimenté tout l’après-midi de samedi. Dimanche matin, voici ce qu’il restait de braises chaudes. Le soir, cela avait continué à brûler doucement, ça s’est un peu tassé, mais j’ai maintenant plein de cendres pour faire barrière aux limaces, !

Mon jardin le 18 avril 2010, plus de branches Et la preuve, maintenant, plus aucune branche !

Côté cueillette, je n’ai pas eu le courage de cueillir, enfin, surtout, après, de préparer les fleurs de pissenlits pour en faire de la liqueur. Je préparerai en revanche volontiers un bocal d’yeux de dragon (vous ne vous souvenez pas, c’est ici, et c’est la faute à Emmanuelle si je les ai appelés comme ça)…

De retour du jardin le 18 avril 2010, la tarte aux poireaux En attendant, j’ai arraché quelques poireaux et en ai fait une tarte ultra rapide. J’ai d’abord préparé une pâte brisée sans sel au robot. Puis j’ai fait précuire les poireaux dans mes casseroles qui cuisent à l’étouffe, une bonne dizaines de minutes, le temps de préchauffage du four. Je n’ai pas fait de préparation comme une flammiche aux poireaux (d’abord, il faut de la pâte feuilletée, une dessous, une dessus, et ajouter du lait et de la farine dans le poêlon). Donc, ici, j’ai juste mélangé quatre œufs et deux grands verres de lait, ajouté un peu de fromage râpé et de muscade. Puis assemblage, la tourtière, une feuille de papier sulfurisé (plus facile pour la vaisselle, je suis fainéante), la pâte, les poireaux (une grosse épaisseur, qui rentre juste), l’appareil à base d’œuf et enfin des petites tranches de chèvre (pas celui que j’achète d’habitude au marché, une buche carrée d’une coopérative régionale, même si je suis fâchée parce qu’elle importe du lait de l’étranger). Et hop, trois quarts d’heure au four thermostat 7, je surveille la fin de la cuisson. J’ai fait très attention, le fromage râpé et le chèvre font au total juste 120g, soit quatre doses de ce que j’ai le droit de manger en fromage journalier comme apport de sel. Parfait, je pourrais manger un quart de tarte avec une bonne salade comme plat complet.