Après avoir vu les calanche par la route, nous sommes retournées (notre petit groupe de quatre filles) à Piana et Porto pour une visite par la mer. Nous avons loué des places sur un petit bateau de douze places sur le port de Porto. Au fond à droite, une autre tour génoise.
Et là, par la mer, la vue sur les rochers de porphyre est sublime…
… avec le petit bateau, nous pouvons entrer dans de petites grottes…
… glouglou,
… demi-tour au fond, nous admirons les anémones de mer (trop floues pour vous les montrer).
Plus loin, dans le maquis, le pilote nous montre des chèvres sauvages. Heureusement que j’ai toujours une paire de jumelles sur moi… Elles font le tour du bateau…
Encore plus loin, un nid d’aigle ou balbuzard pêcheur… énorme… Vous ne le voyez pas ?
Mais si, il est là… Mais pas les aigles, déjà partis en migration.
Plus loin, un autre encore,
…un peu d’aide… Si vous voulez découvrir cette espèce, il y a un beau dossier sur le site de la ligue protectrice des oiseaux.
Allez, j’y vais comme la dernière fois de mon petit couplet. regardez ce que rejette le moteur du bateau… Dans un site naturel protégé par l’Unesco, cela me semble inadmissible… Rentrer dans les grottes dans ces conditions aussi, même si c’est très agréable pour les yeux… Sans parler des remous qui perturbent le délicat équilibre… Alors, pourquoi ne pas imposer des bateaux à propulsion solaire, s’ils fonctionnent à La Rochelle, ils ne devraient avoir aucun problème en Corse, sans avoir besoin de complément d’électricité du réseau (fournie en Corse à 80% par deux centrales thermiques très polluantes). Je pense que la collectivité nationale pourrait aider à l’achat de ces bateaux pour une meilleure protection de cette magnifique baie.
Et retrouvez le reste du voyage sur la page dédiée… La semaine, nous retournons en Grèce, je vous dois la fin de mon voyage de l’année dernière !
Et pour retrouver le voyage de 2009 en Corse, suivez les liens…
- le départ difficile de l’aéroport de Poitiers-Biard
- Sartène,
- Bonifacio
- les Calanche
- le col de Saint-Eustache et Porto-Vecchio
- Ajaccio
- Les Sanguinaires
- Corte
- les Calanche par la mer
Depuis l’hôtel à Porticcio, nous avions une très belle vue sur la baie d’Ajaccio et les Sanguinaires…
Aussi, après avoir déjeuné à Ajaccio, nous avons pris la route des Sanguinaires, avec son phare du 19e siècle.
Nous les voyons mieux les îlots quatre îlots de porphyre rouge (Mezza Mare ou Grande Sanguinaire, des Cormorans, Cala d’Alga et Porri) du bout de la presqu’île… euh, de la pointe de la Parata.
Puis une petite grimpette jusqu’à la tour génoise.
Avant de rentrer, nous faisons une petite promenade dans la forêt d’eucalyptus…
… en prenant bien garde de ne pas écraser cette mante religieuse qui voulait nous barrer le chemin.
Puis une petite pause pour voir le cimetière et ses grandes chapelles, signalé dans tous les guides.
Au retour, pour une fois, aucun orage en vue. Le coucher de soleil sur la baie d’Ajaccio est superbe…
… même si ça ne rend pas comme je le voudrais…
… sur ces photographies.
Il y a une quinzaine de jours, j’ai reçu ce livre de la part de Suzanne, de
Le site
Petite erreur de programmation, vous n’avez pas eu le droit à mon article sur la Corse la semaine dernière…
Mais la vue vaut vraiment le déplacement, les formations de granites et de porphyres sont magnifiques…
… et nous avons échappé à l’orage que vous voyez monter ici… Nous reviendrons dans ce secteur pour une autre visite… par la mer cette fois.
Il y a quelques mois, en vous parlant des
Son nom, fontaine du légat, semble venir d’un texte mal interprété, mais elle alimentait en haut potable ce quartier. L’eau pouvait aussi de déverser dans un petit lavoir avant de se jeter dans la rivière.
Les armoiries du fronton avec une date (1579)…
… et le relief au-dessus du bassin sont très endommagés. La date correspond à une restauration de l’édifice. Le blason du haut était celui des Sainte-Marthe (la famille qui compte dans ses rangs le poète Scévole qui a donné son nom à une petite rue perpendiculaire à la Grand’Rue, tout en haut). D’après E. Ginot (référence en bas de cet article), des textes signalent cette fontaine et des travaux à partir de 1443.
Et une petite vue sur le Clain, un peu bas en ce moment (mais je l’ai vu encore plus bas certaines années…).
Week-end et presque vacances avec un ami, samedi à La Rochelle et ce dimanche sous la pluie à Angoulême… (un mois de pluie sur la journée, vient de dire la météo) et pas d’article sur Poitiers ce midi, j’avais oublié de le programmer. Avant de charger les images que j’ai prises pour vous faire les visites virtuelles, voici deux découvertes à La Rochelle.
L’autre découverte, ce fut au Gabut (ici aussi, vu depuis la tour Saint-Nicolas), au retour vers la gare. L’atelier de
Aujourd’hui, je vous emmène à nouveau à proximité du
Quoi, vous ne le voyez pas ? Je vous ai mis une flèche, pourtant…
Bon, d’accord, pas facile à voir. Le mieux est de passer sur l’autre rive du Clain, soit par le pont Saint-Cyprien, et revenir en arrière sur la promenade des cours, soit par le
De là, vous voyez beaucoup mieux l’ancien plongeoir… À quoi correspond-il ? Je vous invite à le découvrir sur le site du service de l’inventaire du patrimoine culturel de la Région Poitou-Charentes, qui vient de mettre en ligne un dossier sur les villas et un autre sur les guinguettes de la communauté d’agglomération de Poitiers, dossiers rédigés par Hélène Achard. Il vous faudra lire entièrement le dossier sur les guinguettes pour retrouver ce plongeoir…
L’occasion aussi de vous annoncer la parution d’un » beau livre « , Autour de Poitiers, les communes de l’agglomération, dans la collection des Images du patrimoine (n° 253), rédigé par mes collègues Thierry Allard, Geneviève Renaud-Romieux et Yannis Suire (152 pages, chez Geste éditions, 2009, 24 €, ISBN : 978-2-84561-556-4). Dans toutes les bonnes librairies… probablement sur commande. Pour en savoir plus, allez voir la présentation de l’ouvrage.
J’ai vu il y a une dizaine de jours au
Hier, dans le cadre du
En attendant, voici quelques images du jardin des plantes, qui a eu un parcours sinueux : 8 lieux entre 1620 et 1870, date à laquelle il s’installe au bord du Clain, dans l’ancien parc de l’hôtel Fumé devenu hôtel-Dieu (et depuis, la présidence de l’Université). De l’ancien parc sont parvenus quelques arbres et le bassin.
Ce petit parc (1 ha arboré avec 16 parterres fleuris et 1 parterre de cactées, 0,5 ha de jardin botanique) est très près de Notre-Dame-la-Grande et j’y descend assez souvent. Côté jardin botanique, depuis une quinzaine d’années, les plantes ne sont plus classées pour les étudiants en médecine et pharmacie mais pour les visiteurs, avec plantes aromatiques, plantes officinales (classées par action – pour le cœur, la peau, etc. – et non par famille de plantes), et des légumes anciens dont une belle collection de tomates et de cucurbitacées… Les bordures des plates-bandes sont en petits fusains… Côté légumes, il faudra repasser dans un mois, histoire que ça passe…
Dans la petite serre tropicale, des essais de lutte biologique avec divers insectes sont en cours…